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Faut-il craindre une poussée de l'extrême droite en Europe ?

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latin-boy30

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
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Faut-il craindre une poussée de l'extrême droite en Europe ?

http://www.atlantico.fr/decryptage/peut-on-vraiment-parler-poussee-extreme-droite-en-europe-jean-yves-camus-stephane-francois-666603.html#oaPe5Ob7TYfcWZOV.99

Selon un récent sondage, une majorité des Autrichiens estiment que les Nazis remporteraient aujourd'hui un succès politique aux élections. Un effet trompe-l'œil qui en dit long sur la perception parfois biaisée des extrêmes-droites sur le Vieux Continent.

Atlantico : Selon un sondage local, 54% des Autrichiens pensent que le parti Nazi gagnerait des sièges au Palais Epstein (Parlement) s'il était autorisé. Ce type de phénomène nous démontre-t-il qu'il y a une montée notoire des extrêmes-droites en Europe ?

Jean Yves Camus : Je commencerai par une réflexion légèrement annexe mais pas inutile selon moi, à savoir la manière d'interpréter les sondages d'opinion. Ces enquêtes, qui sont par ailleurs crédibles et sérieuses, sont souvent commentées avec un art de la déformation qui va jusqu’à transformer le sens de la question posée. Je donne un exemple : lorsque l'on demande "Voyez vous Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017" on en déduit hâtivement que les Français qui répondent par l'affirmative seraient prêts à voter pour elle le jour venu.

Quant à ce fameux sondage autrichien. 54% des autrichiens ont répondu oui à la question " si le parti nazi existait aujourd'hui obtiendrait-il des sièges à l'Assemblée ?" ce qui n'a strictement rien à voir avec l'idée que 54% d'entre eux seraient prêts à plébisciter ce parti. On peut par ailleurs ajouter que l'Autriche a été la première à interdire toute formation nazi en 1945, avant l'Allemagne.

J'en reviens donc à la question posée pour vous répondre que non, il n'y a pas de remontée de l'extrême droite en Europe. Ce qui a pu le plus ressembler à une "vague" a été ce que la littérature scientifique baptise la troisième vague néo-populiste, dans les années 1980. On a pu à cette époque effectivement constater une hausse conjointe de différentes formations de droite dures : le Front National en France, le Vlaams Belang en Belgique, la Ligue du Nord en Italie ou encore le FPÖ en Autriche. Néanmoins, depuis, le mouvement est redevenu extrêmement hétérogène. Les élections législatives italiennes de février ont par exemple donné en cumulé seulement 5% de voix à tous les mouvements situés à droite à Berlusconi (on peut dire de ce dernier qu'il et populiste, mais pas d'extrême droite). Plus récemment, le premier tour des élections à Malte, petit pays où l'immigration illégale est un sujet de société constant, n'a pas fait émerger de formations se réclamant d'un populisme xénophobe. Le problème doit être vu différemment, puisque ce n'est pas tellement d'une nouvelle émergence électorale de l'extrême droite qu'il s'agit mais plutôt d'une avancée de certaines de ses idées dans la société.

Stéphane François : S’il y a bien actuellement une volonté de repli sur soi en Europe, on ne peut pas dire qu’elle soit uniforme. Les raisons de ce repli varient d’un pays à l’autre, en fonction des histoires nationales, particulières. En affinant, on peut voir qu’il existe au sein d’un même pays différentes variantes d’extrême droite : il n’y a pas une mais des extrêmes droites ayant chacune leur idéologie propre, les unes insistant sur l’aspect identitaire, les autres sur le nationalisme, certaines étant chrétiennes, d’autre païennes, etc. Parfois, et cela arrive assez fréquemment, ces différentes tendances s’opposent. Malgré tout, on peut tout de même dire que les ravages de la mondialisation sont à l’origine de la montée globale de l’extrême droite.

N'y a-t-il pas plutôt une émergence d'une nouvelle droite "néo-populiste" au détriment d'une extrême droite plus traditionaliste ?

Jean Yves Camus : Je parlerai plutôt d'un éloignement des référents de l'extrême-droite historique, nous sommes après tout en 2013. Les hommes politiques qui autrefois s'étaient formés pendant les deux Guerres Mondiales ou durant les guerres coloniales se sont faits extrêmement rares de nos jours. Nous sommes encore une fois dans une avancée des idées plutôt que des partis. Un personnage comme Beppe Grillo, malgré une tonalité très altermondialiste et anti-capitaliste, n'hésite pas ainsi à manipuler certaines discours empruntés à l'extrême-droite locale, notamment le rejet des partis politiques et l'opposition au droit du sol. Ce dernier est un populiste, dans le sens ou il oppose la démocratie directe à la démocratie représentative, celle des élus et qu'il attribue au peuple un bon sens naturel capable de surmonter les difficultés de la sphère politique. Cet argument de la démocratie par et pour le peuple se retrouve dans le discours du FN ou de l'UDC Suisse, qui usent souvent de l'argument du référendum d'initiative populaire. On peut parler de montée de la rhétorique populiste, plutôt que d'une marée électorale profitant à l'extrême droite.

Stéphane François : Oui, on peut parler de l’émergence d’une droite extrême néo-populiste. Les observateurs ont remarqué son essor depuis une dizaine d’année, même s’il en existe des exemples plus anciens comme le Front national. En fait, l’extrême droite « traditionnelle », antirépublicaine et antidémocratique, n’a jamais réussi à avoir de nouveau, depuis la fin de la Seconde guerre, l’importance qu’elle avait eue avant guerre. Encore aujourd’hui, ces groupes ou partis, s’ils sont radicaux, restent minoritaires. N’oublions pas que l’extrême droite est restée marginale en France jusqu’au début des années 1980, et le renouveau est venu d’un parti néo-populiste, le Front national. Dans un sens, cette extrême droite traditionnelle est un reliquat du passé… Par contre, l’extrême droite populiste, aux origines diverses (soit des partis de l’extrême droite « classique » qui ont su se transformer, soit des partis nés dans la droite de gouvernement qui se sont radicalisés), a su surfer sur l’air du temps. Mais surtout ce qui a permis l’émergence et l’essor de cette extrême droite populiste est le fait qu’elle accepte le jeu démocratique, au contraire des groupes de l’extrême droite « traditionnelle ». Cela a favorisé évidemment son essor, en sus de son discours démagogique…

Peut-on davantage parler d'une montée du sentiment identitaire plutôt que d'une hausse de l'extrême droite ?

Jean-Yves Camus : Je ne pense pas, puisqu'à mon sens le sursaut identitaire ne se fait pas tellement dans le cadre de l'Etat-nation. On peut parler selon moi d'une montée des identités singulières face au mouvement de massification que provoque la mondialisation. On voit arriver dans plusieurs régions d'Europe des volontés d'autonomie relative, voire d'indépendance, comme en Catalogne ou en Ecosse, qui n'ont encore une fois rien de similaire avec le nationalisme identitaire d'extrême droite. Il s'agit d'une affirmations de spécifités plus fines encore que celle données par la nationalité. Face à l'alignement global des cultures, il n'est effectivement pas étonnant de voir apparaître des besoins d'appartenance et de transmission propres à une ou des identités proches, mais cela ne se fait pas au bénéfice de la rhétorique de l'extrême-droite.

Stéphane François : L’essor des discours identitaires a commencé au milieu des années 1990. Ils sont apparus dans le sillage de la Nouvelle droite, en particulier chez certains dissidents, qui mirent en avant l’affirmation ethnique. Mais surtout, ces discours ont connu un essor au début des années 2000, à la fois comme rejet de la mondialisation, comme rejet de l’islam, et comme volonté de se réapproprier une mémoire. En effet, ces discours identitaires s’inscrivent aussi, comme on l’a montré Nicolas Lebourg et moi-même dans un ouvrage à paraître, dans le cadre de la montée des communautarismes et se présente comme la volonté de créer un communautarisme blanc. Ceci dit, si l’on est honnête, on doit chercher l’une des origines de cet identitarisme chez certains auteurs de gauche qui firent l’éloge des communautés dans les années 1970 … Toutefois, le tournant reste quand même le 11 septembre et les thèses du « choc des civilisations » qui ont suivies.

Le succès ou non de l'extrême droite en Europe ne s'explique t-il pas davantage par les évolutions nationales plutôt qu'européennes ?

Jean-Yves Camus : Evidemment. Un parti nationaliste répond logiquement à des tendances directement... nationales ainsi qu'à une histoire remplies de particularismes in-transposables. L'histoire du nationalisme des pays d'Europe Centrale et Orientale n'a par exemple que peu en commun avec celle de la France, ou s'affrontent depuis plus de deux siècles les tenants et les opposants de l'idéologie des Lumières. Ce n'est pas non plus l'histoire de la Grande Bretagne, qui n'a jamais réellement connu d'extrême-droite, et ce n'est pas, bien sûr, celle de l'Allemagne et de l'Italie. Je finirais en disant que tous ceux qui parlent d'une "vague" rappellent un sentiment qu'avait décrit Pierre-André Taguieff qui consiste à imager l'adversaire, en le définissant comme une maladie, une catastrophe ou encore un animal. Quand on parle de "vague brune" sur l'Europe on évoque en filigrane une épidémie, ou l'on peut encore utiliser la métaphore de la gangrène. Il s'agit là d'une déshumanisation de l'adversaire qui révèle finalement la vision caricaturale que l'on peut avoir du phénomène.

Stéphane François : Je pense que c’est plus compliqué que cela. En effet, ces groupes identitaires ou populistes se retrouvent aussi aux Etats-Unis. En fait, il y a des échanges entre les continents, comme il y a des échanges entre pays d’un même continent, voire entre les différentes tendances au sein d’un même pays. Paradoxalement, on est face à des groupes (ou partis, ou mouvements) qui ne sont pas fermés à ce qui se passe ailleurs, du moins du point de vue des idées. Néanmoins, ils restent fermés à l’Autre, surtout s’il n’est pas « blanc » ou « occidental ». L’autre est rejeté si son altérité est jugée inassimilable. Ce qui serait intéressant d’étudier serait de comprendre pourquoi, et comment, se sont développées ces thèses identitaires, l’origine et l’essor du populisme ayant très étudiés…

Propos recueillis par Théophile Sourdille

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Membre, 46ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
Posté(e)

l’extrême droite est pas que a craindre mais a éviter de tomber dans la spirale de mensonges et de haine

tout ça pour le pouvoir et mépriser le peuples d'en bas et de les diviser

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Membre, 42ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

l’extrême droite est pas que a craindre

:plus:

mais a éviter de tomber dans la spirale de mensonges et de haine

tout ça pour le pouvoir et mépriser le peuples d'en bas et de les diviser

Comme avec tous les autres partis UMP PS FG,... et sans oublier les anars

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Membre, Brise-noix devant l'éternel, 31ans Posté(e)
Ninouschkaya Membre 3 047 messages
31ans‚ Brise-noix devant l'éternel,
Posté(e)

:plus:

Comme avec tous les autres partis UMP PS FG,... et sans oublier les anars

L'extrême droite est un parti maintenant ? Attention à ce qu'on dit, ça fait une éternité que Marine nie l'appartenance du FN à l'extrême droite...bien que je soupçonne le contraire, faut savoir où on en est quand même.

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

extraits :

Mouvement de balancier permanent, certains partis de droite, polarisés en général en Europe par les libéraux d’un côté et conservateurs de l’autre (plus une branche sociale dans certains pays), ont commencé à intégrer en leur sein des courants plus radicaux côté conservateur. Les idées de l’extrême-droite désormais légitimées par des scores électoraux prouvés à coup de chocs nationaux dans quasiment tous les pays d’Europe, certains leaders ont pensé qu’il était temps d’intégrer les idées traditionnellement soutenues par l’extrême-droite dans leurs propres programmes électoraux, puis, une fois au pouvoir, de les appliquer, selon deux axiomes :

.....(.....).....

Il n’est pas étonnant que le rejet, ne serait-ce que rhétorique, de l’Europe sur les scènes politiques nationales, provoque la réémergence d’idéologies contre lesquelles l’Union européenne a été bâtie. Car ce sont bien les idéologies nationalistes (nazisme, fascisme, pétainisme, franquisme, salazarisme, horthysme) qui ont provoqué le suicide historique de l’Europe et c’est pour prévenir tout nouveau conflit que l’on a mis en place la Communauté européenne.

Il y a un donc un triple danger dans cette expansion des idées xénophobes. Premièrement, à force d’être exprimées avec plus ou moins de détours par les élites à des fins électorales, elles finissent par devenir une norme morale. Elles se diffusent ensuite comme telle dans la société, ravie d’avoir un bouc-émissaire désigné responsable de ses malheurs, réels ou fantasmés. Troisièmement, cela provoque un durcissement des partis extrémistes, qui tendent à opposer les peuples plus qu’à les faire se comprendre, s’accepter et travailler ensemble, dans le complexe tissu ethnique, linguistique, culturel, économique et politique qu’est l’Europe.

....(....)....

lire l'article en entier sur :

http://geopolitiqueconflits.blog.lemonde.fr/2012/01/17/en-europe-la-dangereuse-expansion-de-l%E2%80%99extreme-droite/

lire aussi ;

http://tempspresents.wordpress.com/2012/10/13/nicolas-lebourg-quest-ce-que-le-front-national/

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Membre, 65ans Posté(e)
Darius3 Membre 2 721 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

L'extrême droite:

citation:RésiJournal Belge. stancRésistanceS.be 11-12-2011eS.be 11-12-2011

RésistanceS.be p 11-12-2011

presse belge

Lourde condamnation pour l’extrême droite flamandeLa Nieuw-solidaristische alternatief (N-SA) se présente comme une alternative nationaliste radical au Vlaams Belang. Son dirigeant-fondateur, Eddy Hermy, vient d’être condamné pour racisme. L’avenir politique de la N-SA est désormais fortement assombri. Cette condamnation est aussi un signal inquiétant pour l’ensemble des formations et groupes d’extrême droite, néerlandophones comme francophones.

un exemple

Modifié par Darius3
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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Bien sûr qu'elle est à craindre.

De temps en temps elle est une bonne opposition et rappelle au gouvernement qu'il peut pas faire n'importe quoi. Mais donnez-lui le pouvoir, et ça devient catastrophique.

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Membre, 65ans Posté(e)
Darius3 Membre 2 721 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

merci pour l'infos mais :

-cela date de quand ?? quel journal ?? penses à mettre un lien !!

bon, comme je connais un peu, je sais que c'est :

http://www.resistanc...idarisme10.html

vous avez raison; j'aurais dû mettre le lien. Le fait est réel. C'est un exemple.

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
Posté(e)

l’extrême droite est pas que a craindre mais a éviter de tomber dans la spirale de mensonges et de haine

tout ça pour le pouvoir et mépriser le peuples d'en bas et de les diviser

Ici, on parle des extrême-droites européennes, mais on aurait pu aussi parler des extrême-droites orientales comme Ennahda.

Modifié par latin-boy30
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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Ici, on parle des extrême-droites européennes, mais on aurait pu aussi parler des extrême-droites orientales comme Ennahda.

oui !

on pourrait parler aussi du parti national socialiste syrien qui a financé une partie de l'extrême droite française !!

demandez donc à fréderic chatillon ce qu'il pense de ce fascisme

http://www.liberation.fr/monde/01012388794-des-reseaux-francais-au-service-de-la-syrie

qui finance la Syrie ??? hein ???:o°

il n'y aurait il pas la russie, l'iran ???

pays apprécié par l'extrême droite française !!

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Membre, 30ans Posté(e)
RaphStaf Membre 2 937 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
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CONFUSION !!! rtfm.gifrtfm.gifrtfm.gifrtfm.gif*

etre de L'extreme droite et etre Nazi c'est pas pareil .. rtfm.gif

Et puis il faut pas oublier que Hitler était de gauche MAIS BREF !! dev.gif

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Membre, Charogne, 32ans Posté(e)
I.verik Membre 1 402 messages
32ans‚ Charogne,
Posté(e)

Et puis il faut pas oublier que Hitler était de gauche MAIS BREF !! dev.gif

Gauche en politique signifie progressisme (et non socialisme, tu peux donc être de n'importe quel bord et être socialiste) penses-tu qu'Hitler était progressiste ?

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
Posté(e)

penses-tu qu'Hitler était progressiste ?

En tout cas, il me paraît difficile de dire que le nazisme était conservateur. Le fascisme institutionnel est né en 1919, c'est une idéologie assez récente au regard de l'Histoire.

Modifié par latin-boy30
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Invité Jadis
Invités, Posté(e)
Invité Jadis
Invité Jadis Invités 0 message
Posté(e)

CONFUSION !!! rtfm.gifrtfm.gifrtfm.gifrtfm.gif*

etre de L'extreme droite et etre Nazi c'est pas pareil .. rtfm.gif

Et puis il faut pas oublier que Hitler était de gauche MAIS BREF !! dev.gif

Socialiste stp :smile2:!

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Membre, 65ans Posté(e)
Darius3 Membre 2 721 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

CONFUSION !!! rtfm.gifrtfm.gifrtfm.gifrtfm.gif*

etre de L'extreme droite et etre Nazi c'est pas pareil .. rtfm.gif

Et puis il faut pas oublier que Hitler était de gauche MAIS BREF !! dev.gif

Wendersienne der großen Dummheiten, die sich für eine Nachricht halten: wie, sie vertragen, ohne in der Feindseligkeit zu schelem.......

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

CONFUSION !!! rtfm.gifrtfm.gifrtfm.gifrtfm.gif*

etre de L'extreme droite et etre Nazi c'est pas pareil .. rtfm.gif

Et puis il faut pas oublier que Hitler était de gauche MAIS BREF !! dev.gif

tellement de gauche qu'ils cassaient la gueule à ces centristes de socialiste et communistes ???

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