Salles de shoot : êtes vous pour ?

Non les salles de shoot ne permettront pas de contrôler juste essayer de soigner un peu la misaine dans ce ba monde

Sur la légalisation de la drogue qui aurait un effet sur le nombre de consommateur

Je demande a voir les chiffre je suis très septique

dépénalisation pour le portugal pas légalisation ben il suffit de taper drogue depénalisation portugal il y a plein d'article je t'en met un mais il y a pleins d'articles

http://www.liberatio...lisation_740295

En avril 2009, un rapport du Cato Institute, l’un des plus influents think tanks américains, avait décrit l’expérience comme «un succès retentissant».Comparant les données européennes et portugaises, il fait apparaître que le pourcentage d’adultes prenant des drogues dans le pays est devenu l’un des plus faibles de l’UE : 11,7% de consommateurs de cannabis contre 30% au Royaume-Uni ; 1,9% prennent de la coke contre 8,3 % chez le voisin espagnol. Les 100 000 héroïnomanes d’avant la loi ne sont plus que 40 000. Et la proportion des 15-19 ans qui se droguent est passée de 10,8% à 8,6%. A la fin des années 90, la drogue était la première préoccupation des Portugais, elle se situe désormais à la 13^e place…

eux ça fait longtemps qu'ils otn dépénalisé

pour savoir qui sont les plus gros consommateurs de cannabis en europe pareil google on est

un article pas trop ancien

http://lci.tf1.fr/fr...is-8425807.html

Les salles de shoot à permis de réduire la transmission des maladies en suisse et j'ai lue que du positif dessus.

Pas faux, j'ai toujours "connu" ça et je trouve que c'est une très bonne chose.

Enfin, on a pas vraiment la même politique au niveau de la drogue que vous avez en France ou seule la diabolisation et la répression peuvent exister, c'est assez malsain.

Je me souviens qu'avaient été mis en place, lors de festivals, des stands où on pouvait faire tester sa drogue (histoire de pas prendre n'importe quelle merde coupée à je ne sais quoi) et, j'imagine, recevoir du matériel de shoot clean, au final, les flics attendaient tout près et contrôlaient ceux qui y étaient passé, c'est vraiment pousser le vice à l'extrême.

Le problème est comment l'outil statistique est utiliser

Comment tu ressence les drogué en France c'est simple le nombre d'interpellation multiplier par un coefficient mais la ba ???

Ba oui plus d'arrestation donc plus de source

Je supose qu'ils se sont baser sur un sondage le problem cens que les population de drogue sont pas homogène dans les classes social donc très dur a mesurer

Faux. La consommation d'opium, par exemple, me semble un classique pour être entrée dans le romanesque.[/font][/size]

En occident, la consommation de drogue à grande échelle est un phénomène récent. Je ne parle pas de romanesque ou de quelques artistes consommateurs (ex Beaudelaire ou Cocteau), mais bien d'une consommation de masse de la drogue qui est phénomène très récent (années 60).

Phénomène qui s'est imposé aux plus jeunes par l'apologie de la drogue dans la musique anglo-saxonne et dont les sources d'approvisionnement et les meilleurs crus ont toujours été en phase avec les guerres civiles (Liban, Colombie, Afghanistan etc...)

Au lieu de s'extasier sur le bien fondé des salles de shoot, la société toute entière ferait mieux de s'interroger sur les conséquences néfastes de ces 40 années d'inclinaison béate et imbécile vers toutes les drogues.

Pas faux, j'ai toujours "connu" ça et je trouve que c'est une très bonne chose.

Enfin, on a pas vraiment la même politique au niveau de la drogue que vous avez en France ou seule la diabolisation et la répression peuvent exister, c'est assez malsain.

Je me souviens qu'avaient été mis en place, lors de festivals, des stands où on pouvait faire tester sa drogue (histoire de pas prendre n'importe quelle merde coupée à je ne sais quoi) et, j'imagine, recevoir du matériel de shoot clean, au final, les flics attendaient tout près et contrôlaient ceux qui y étaient passé, c'est vraiment pousser le vice à l'extrême.

Rassurez-vous : la police n'est pas plus jouasse à l'idée d'arrêter des consommateurs. Ce sont le plus souvent des ordres des directions départementales et régionales (elle-mêmes sous les ordres du ministère) qui orientent les priorités. Et depuis pas mal d'années, la drogue est une priorité : des objectifs d'interpellations pour détention, usage ou intention de revente devaient être atteints (je parle du temps de Sarkozy, j'ignore pour l'actuel pouvoir).

Donc bon...

Le problème est comment l'outil statistique est utiliser

Comment tu ressence les drogué en France c'est simple le nombre d'interpellation multiplier par un coefficient mais la ba ???

Ba oui plus d'arrestation donc plus de source

Je supose qu'ils se sont baser sur un sondage le problem cens que les population de drogue sont pas homogène dans les classes social donc très dur a mesurer

On peut aussi voir d'une autre manière ,les gens quand ils répondent aux sonsdages n'ont plus peur,ni honte.Pas besoin de contrôle de police pour faire des sondages et ça m'étonnerai qu'ils soient fait en ce basant sur ça en France,ça serait pas professionel du tout,on peut toujours essayé de se voiler la face en attendant on est les champion médaille d'argent malgrè une politique répréssive.

Rassurez-vous : la police n'est pas plus jouasse à l'idée d'arrêter des consommateurs. Ce sont le plus souvent des ordres des directions départementales et régionales (elle-mêmes sous les ordres du ministère) qui orientent les priorités. Et depuis pas mal d'années, la drogue est une priorité : des objectifs d'interpellations pour détention, usage ou intention de revente devaient être atteints (je parle du temps de Sarkozy, j'ignore pour l'actuel pouvoir).

Donc bon...

Ca fout un peu les j'tons....

Enfin oui, vous avez un sacré problème avec la drogue, quand j'entends certains discours je me demande si l'on parle bien de la même chose.

Et tu prends vite très cher pour pas grand chose.

On peut aussi voir d'une autre manière ,les gens quand ils répondent aux sonsdages n'ont plus peur,ni honte.Pas besoin de contrôle de police pour faire des sondages et ça m'étonnerai qu'ils soient fait en ce basant sur ça en France,ça serait pas professionel du tout,on peut toujours essayé de se voiler la face en attendant on est les champion médaille d'argent malgrè une politique répréssive.

En fait c'est pas la réponse c'est a qui tu pose la question

Mais bon apret c'est un détaille j'aurais juste aimer voir les sondage et les statistique qu'un article

En fait c'est pas la réponse c'est a qui tu pose la question

Mais bon apret c'est un détaille j'aurais juste aimer voir les sondage et les statistique qu'un article

Je comprends mais google est là pour voir qui sont les plus gros consommateurs en europe ça regorge d'article,il y a aussi pleins darticles qui parle du cas portugais...j'invente rien.t'es pas obligée de me croire,faut juste chercher sur google tape les mots clés c'est tout.Je t'ais montrer deux articles de site "neutre" ou il y a des statistiques,tu peux regarder tout seul.

Il y a des statistiques dans les articles que je t'ais montrer.

En fait c'est pas les articles mais leur source que je remet en code c tout

regarde d'autres sources par toi même,renseigne toi sur le sujet c'est le meilleur moyen de te faire une bonne et vraie opinions et d'avoir un avis objectif écoute ce qui sont contre et pour bien sur... le meilleur moyen d'avancé les choses et faire ce qui est le mieu pour les autres.

Regarde comment ça se passe ailleurs etc.....prends tes sources. à plus

Il existe un centre d'injection supervisée à Vancouver depuis 2003, le premier en Amérique du nord, (et au monde il me semble) et le bilan est plutôt positif;

«Nous devons intégrer ces gens, et non pas les repousser. La philosophie de la loi et de l'ordre ne fait qu'empirer les choses.» Aux yeux de Russ Maynard, il n'y a aucun doute : l'ouverture d'Insite en 2003, au coeur du Downtown East Side de Vancouver, le quartier le plus défavorisé au pays, n'a eu que des effets positifs. Autant pour les utilisateurs de drogues par injection (UDI) que pour la population en général. Et ses bienfaits dépassent largement les aspects sociosanitaires immédiats.

«On voit beaucoup moins de seringues souillées dans les parcs et dans les rues. La santé des UDI s'est améliorée, et ils ne propagent plus autant de maladies. Mais le centre a surtout permis à beaucoup d'entre eux de se libérer de la drogue. Les statistiques montrent que les UDI qui fréquentent Insite ont 30 % plus de chances d'aller en désintoxication que ceux qui ne le fréquentent pas.»

Et ceux qui veulent se libérer de leur dépendance n'ont pas à aller bien loin : ils n'ont qu'à monter au deuxième étage de l'immeuble, où se trouve un centre de désintoxication. Selon Russ Maynard, plus de 400 clients d'Insite s'y inscrivent chaque année. «On ne suffit pas à la demande. Tous les jours au moins une demi-douzaine de personnes formulent le souhait d'aller en désintox. Mais nous n'avons que 12 places, toujours occupées...»

La grande majorité des personnes qui fréquentent Insite sont très marginalisées et souffrent de problèmes de santé mentale, enchaîne M. Maynard. Soixante-dix pour cent sont des hommes, la majorité ont entre 35 et 40 ans. En disposant d'un endroit où aller pour s'injecter, sous supervision médicale, la drogue qu'elles se sont elles-mêmes procurée, précise M. Maynard, elles en viennent souvent à créer des liens avec le personnel, jusqu'à se confier à lui.

«Certains ne restent que cinq minutes au début, puis 15, et parfois une heure. Le centre devient un lieu d'engagement où on propose à ces gens, souvent méfiants envers les institutions, de les rencontrer à mi-chemin de leur univers. On leur demande d'être propres. En retour, tous les employés du centre sont habillés normalement. Personne n'a l'air d'un médecin. On veut qu'Insite soit un endroit où ils auront envie de venir.»

regarde d'autres sources par toi même,renseigne toi sur le sujet c'est le meilleur moyen de te faire une bonne et vraie opinions et d'avoir un avis objectif écoute ce qui sont contre et pour bien sur... le meilleur moyen d'avancé les choses et faire ce qui est le mieu pour les autres.

Regarde comment ça se passe ailleurs etc.....prends tes sources. à plus

Non mais t'inquiète je t'ais pas attendu pour le faire et c'est pourquoi je soulignais la faiblesse des sources justement

Apret comme je le dis souvent chaque situation est différent c'est pourquoi je suis pour l'expérimentation des salles de shoot bien que je sois septique sur leur réel efficacité

Si cela aide certains à s'en sortir c'est très bien! C'est clair que l'isolement doit aussi être un gros facteur d'addiction.

Ce qu'il faudrait voir c'est si ça n'entraîne pas d'autres, qui s'en seraient autrement sortis, à continuer dans leur spirale infernale!

En toute rigueur sinon l'Etat n'aurait qu'à leur vendre les doses (car la qualité du produit est importante) de façon très encadrée, et utiliser l'argent récolté pour ouvrir des centres de désintoxication supplémentaires!

Il faut surtout voir les modalités administratives et les éventuelles conséquences!

J'ai du mal à me positionner par rapport à ce probléme.

Egoistement, si c'est à coté de chez moi, je suis contre.

Ben ouais, pas envie de voir des camés en série sur la route de retour d'école de mes gosses.

Donc, c'est sympa de les empécher de partager tous la méme seringue pourrie....mais aprés, on surveille aussi leur trip où on les laisse partir....parce qu'on ne peut pas condamner un cafetier qui laisse partir bourrer un mec qui crée un accident, mais décharger ceux qui laisserons partir quelqu'un de blindé!!!...............

Il y a des distributeurs de préservatifs pas chers....il n'y a pas de maison de baise protégée, que je sache.

Alors ok pour les distributeurs de seringues.

En occident, la consommation de drogue à grande échelle est un phénomène récent. Je ne parle pas de romanesque ou de quelques artistes consommateurs (ex Beaudelaire ou Cocteau), mais bien d'une consommation de masse de la drogue qui est phénomène très récent (années 60).

Phénomène qui s'est imposé aux plus jeunes par l'apologie de la drogue dans la musique anglo-saxonne et dont les sources d'approvisionnement et les meilleurs crus ont toujours été en phase avec les guerres civiles (Liban, Colombie, Afghanistan etc...)

Idée reçue que vous devriez aller vérifier. Au début du XXe siècle, la consommation d'opium mondiale s'élevait à 2,5% de la population, en moyenne, contre moins de 1% de la population pour l'héroïne, en France, par exemple en 2015.

Au lieu de s'extasier sur le bien fondé des salles de shoot, la société toute entière ferait mieux de s'interroger sur les conséquences néfastes de ces 40 années d'inclinaison béate et imbécile vers toutes les drogues.

Caricature tout autant imbécile, il y a toujours eu débat sur les drogues "douces", tandis que les drogues dures n'ont jamais fait un pli dans le consensus légal. Il est vain de le feindre.

Idée reçue que vous devriez aller vérifier. Au début du XXe siècle, la consommation d'opium mondiale s'élevait à 2,5% de la population, en moyenne, contre moins de 1% de la population pour l'héroïne, en France, par exemple en 2015.

Caricature tout autant imbécile, il y a toujours eu débat sur les drogues "douces", tandis que les drogues dures n'ont jamais fait un pli dans le consensus légal. Il est vain de le feindre.

La consommation d'opium en 1900 incluait le monde entier avec les pays asiatiques. Je parle bien de consommation de masse en Occident à partir des années 60. C'est un fait, celle-ci a explosé dès cette époque. L'apologie des drogues dans la rock music + le financement des guerres civiles que j'ai cité ont permis leur diffusion jusqu'à leur banalisation aujourd'hui.

Les salles de shout sont une bonne chose, ça permet un peu d'hygiène, un suivi social. L’addiction est une maladie sérieuse, et laisser les gens seul face, c'est pas très malin.

Le résultat c'est plus de délinquance pour payer sa dose, plus de repère, une santé vacillante avec tout ce que ça représente comme vecteur de maladie pour les autres qui se pensent à l'abris.

J'ai du mal à me positionner par rapport à ce probléme.

Egoistement, si c'est à coté de chez moi, je suis contre.

Ben ouais, pas envie de voir des camés en série sur la route de retour d'école de mes gosses.

Donc, c'est sympa de les empécher de partager tous la méme seringue pourrie....mais aprés, on surveille aussi leur trip où on les laisse partir....parce qu'on ne peut pas condamner un cafetier qui laisse partir bourrer un mec qui crée un accident, mais décharger ceux qui laisserons partir quelqu'un de blindé!!!...............

Il y a des distributeurs de préservatifs pas chers....il n'y a pas de maison de baise protégée, que je sache.

Alors ok pour les distributeurs de seringues.

Il existe des centres d'accompagnement individualisé et global à la campagne pour les toxicos. Leur objectif est de les amener à se sortir de cet enfer. Les salles de shoot ramènent les camés à leur univers quotidien : la ville tentacule lieu de tous leurs cauchemars.

A Paris dans le Xe ar, il y a des banderoles aux façades des immeubles dans le quartier qui va bientôt avoir droit à sa salle de shoot.