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Titsta

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Membre, 43ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 43ans‚
Posté(e)

Je viens de penser à quelque chose.

Sans critiquer aucunement le choix d'un mode de vie, qui aussi drastique puise t'il être ne concerne que nous.

Je viens de réaliser que les religions aujourd'hui prônent un mode de vie issue de tradition, sans avoir forcément pris en compte qu'elles même n'avaient plus la capacité d'apporter le soutiens qu'elles apportaient avant, et sans même forcément se rendre compte que ces pratiques pouvaient êtres sensée lorsqu'elles sont appliquées ensembles. Et non appliquées l'une ou l'autre séparément.

Pour prendre un exemple, je comprends très bien la cohérence d'une pratique qui consiste à considérer la sexualité impossible avant d'avoir établis des contrats sacrée extrêmement puissant ET le fait de ne pas avorter.

Mais ceci implique que la contrainte de ne pas avorter était beaucoup plus faible à l'époque.

Si on a une sexualité avant mariage, ne pas avorter en cas d'accident de contraception est une règle considérablement plus contraignante qu'elle ne pouvait l'être, quand on ne pouvait matériellement avoir d'enfants qu'en couple marié.

À ceci s'ajoute le fait qu'à l'époque l'église avait une puissance considérable et prenait à sa charge le soutiens des solidarités envers les orphelins, le soutiens aux pauvres, démunis, veuves ou femme mariée abandonnées.

OR les religions n'assument plus le soutiens solidaire qu'elles assumaient. Donc demande à la société d'assumer la charge de leur consignes. Ce qui est pour le coup fondamentalement irresponsable.

Je me demande donc quel poids accorder aux consignes de vie conseillés par des prêtres lorsque leur religion n'assument plus le poids social de leurs exigences, et qui plongé dans leur époque passée, ne perçoivent plus que les contraintes qu'ils exigent sont bien plus importantes qu'elles ne l'avaient été par le passé.

Je pense aussi que les jugements moraux, ou les conseils qu'emportent ces considérations religieuses vis à vis d'une règle devraient prendre en compte la nécessité de cette cohérence d'ensemble, et mesurer ce surcroit de contraintes exigés en cas de non respect d'une autre pratiques.

La choses est d'ailleurs généralisable à toute sociétés.

Une règle exigé d'un "non pratiquant" est beaucoup plus contraignante qu'une règle exigé d'un "pratiquant".

Une culture différente devrait pouvoir ainsi être une forme de circonstance atténuante au devant du non respect de certaines règles.

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Membre, Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge, 32ans Posté(e)
Delenda Carthago est Membre 4 165 messages
32ans‚ Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge,
Posté(e)

Je viens de penser à quelque chose.

Sans critiquer aucunement le choix d'un mode de vie, qui aussi drastique puise t'il être ne concerne que nous.

Je viens de réaliser que les religions aujourd'hui prônent un mode de vie issue de tradition, sans avoir forcément pris en compte qu'elles même n'avaient plus la capacité d'apporter le soutiens qu'elles apportaient avant, et sans même forcément se rendre compte que ces pratiques pouvaient êtres sensée lorsqu'elles sont appliquées ensembles. Et non appliquées l'une ou l'autre séparément.

Pour prendre un exemple, je comprends très bien la cohérence d'une pratique qui consiste à considérer la sexualité impossible avant d'avoir établis des contrats sacrée extrêmement puissant ET le fait de ne pas avorter.

Mais ceci implique que la contrainte de ne pas avorter était beaucoup plus faible à l'époque.

Si on a une sexualité avant mariage, ne pas avorter en cas d'accident de contraception est une règle considérablement plus contraignante qu'elle ne pouvait l'être, quand on ne pouvait matériellement avoir d'enfants qu'en couple marié.

À ceci s'ajoute le fait qu'à l'époque l'église avait une puissance considérable et prenait à sa charge le soutiens des solidarités envers les orphelins, le soutiens aux pauvres, démunis, veuves ou femme mariée abandonnées.

OR les religions n'assument plus le soutiens solidaire qu'elles assumaient. Donc demande à la société d'assumer la charge de leur consignes. Ce qui est pour le coup fondamentalement irresponsable.

Je me demande donc quel poids accorder aux consignes de vie conseillés par des prêtres lorsque leur religion n'assument plus le poids social de leurs exigences, et qui plongé dans leur époque passée, ne perçoivent plus que les contraintes qu'ils exigent sont bien plus importantes qu'elles ne l'avaient été par le passé.

Je pense que ton raisonnement pêche sur un point important: ce n'est pas l'Eglise qui a cessé d'assurer sa charge de solidarité, sa charge sociale. C'est l'Etat, avec la Révolution, avec l'anticléricalisme, qui a arraché ces secteurs à l'Eglise en prétendant les assurer lui-même.

Ce qu'il fait plutôt fort mal.

Par ailleurs, prétendre que l'Eglise n'assume plus le soutien solidaire... Il reste quand même de très nombreuses associations catholiques qui luttent au front mais qui ne font pas dans la publicité (pas comme une certaine ministre du logement).

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Membre, 43ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 43ans‚
Posté(e)

C'est pas faux. C'est l'état qui a "arraché" ces secteurs.

Toutefois, les religions devraient prendre acte de la réalité actuelle.

C'est un fait aujourd'hui, et elles devaient peut être le prendre en considération dans leur exigences.

L'état assure avec ses règles ses besoins.

Et que penser de la responsabilité d'une église qui interdit l'avortement sans assurer prendre en charge tous les enfants nés de ces non-avortements...

Ainsi que la prise en charge de toutes les femmes qui vont devoir arrêter leur travail, ou qui risquent d'avoir leur vie détruite de par le respect de ces consigne ?

L'église d'autrefois était responsable en demandant ces pratiques, celle d'aujourd'hui l'est elle encore en souhaitant en faire autant sans en assumer les conséquences ?

Dans le même ordre d'idée, quand l'ancien pape avait conseiller aux africains de ne pas utiliser de préservatif... l'église assumait elle la charge de la médication et de la lutte contre le sida dans ces pays ?

Je pense que si ça avait été le cas, le pape aurait été beaucoup plus nuancé.

Il me semble que les conseils religieux donné par les religions aujourd'hui sont beaucoup plus irresponsables qu'ils ne l'étaient autrefois.

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Membre, Posté(e)
Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est pas faux. C'est l'état qui a "arraché" ces secteurs.

Ah ? Y a une loi qui empeche de venir en aide aux nécessiteux ? Depuis quand ?

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Membre, 44ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)

pour l'avortement je penses que l’église doit prendre en compte qu'un enfant peut n’être pas désirer (viol par exemple)

mais je restes contre si c'est pour avorter pour un oui ou un non

quand au mariage vierge c'est dur de nos jours d’être chaste

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 51ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
51ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Bien sur que l'Eglise prend soin de ses brebis égarées.

Le cardinal Giovanni Battista Re, préfet de la congrégation pour les évêques au Vatican, a justifié l'excommunication de la mère d'une Brésilienne de 9 ans ayant avorté après avoir été violée par son beau-père, car les jumeaux qu'elle portait "avaient le droit de vivre".

Sinon en France, l'Eglise n'a jamais pris soin de ses oies, sauf les reconnaissantes. Une femme ayant un enfant seule est banni. Jugée immorale, à moins de s'appeler Marie et de pondre un petit Jésus. Au mieux vous avez droit à un mariage forcé histoire de régulariser dans l'urgence.

Il existe par contre des actions contre la pauvreté non soumise à la morale du client. Mais en ce qui concerne l'avortement, pardon. Heureusement que l'état est là, et d'autres association. Par ce qu'avec M. le curé, ça se fini avec un môme sur les bras. A votre charge il va de soi. De toute façon il serait criminel de confier l'éducation d'un enfant à un curé. C'est mieux ainsi.

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