17 octobre 1961 : massacre des Algériens à Paris

Combien y a t-il eut de morts qu’importe le fait est là il faut bien le reconnaître si on est honnête , Les responsables sont morts pour la plus parts. On était en état de guerre ,le FLM lance cette manif interdite stupide dans le but d'étendre la guerre , la police soutenue par Papon ce sent le droit de commettre l’impardonnable suivent les attentats du FLM et de l'OAS qui ajoutent des victimes et le général De Gaulle signe la fin de la partie l'Algerie a gagnée.On ne peut refaire l'histoire alors arrêtez de pleurnicher des fausses larmes sur cette tragédie, le vin est bue la messe est dite . Français continuez à vous battre pour que la France ne devienne pas Algérienne .c'est pas gagné!

Combien y a t-il eut de morts qu’importe le fait est là il faut bien le reconnaître si on est honnête , Les responsables sont morts pour la plus parts. On était en état de guerre ,le FLM lance cette manif interdite stupide dans le but d'étendre la guerre , la police soutenue par Papon ce sent le droit de commettre l’impardonnable suivent les attentats du FLM et de l'OAS qui ajoutent des victimes et le général De Gaulle signe la fin de la partie l'Algerie a gagnée.On ne peut refaire l'histoire alors arrêtez de pleurnicher des fausses larmes sur cette tragédie, le vin est bue la messe est dite . Français continuez à vous battre pour que la France ne devienne pas Algérienne .c'est pas gagné!

Le FLN avait rispoté contre le couvre feu, tous les algériens devaient rentrer chez eux vers 20h00, il me semble et beaucoup avaient un travail la nuit, ce qui n'était pas possible, pour cela il y a eu cette manifestation.

Le FLN avait rispoté contre le couvre feu, tous les algériens devaient rentrer chez eux vers 20h00, il me semble et beaucoup avaient un travail la nuit, ce qui n'était pas possible, pour cela il y a eu cette manifestation.

et alors on etait en état de guerre avec qui?

et alors on etait en état de guerre avec qui?

Et alors est une raison pour tuer tous ces manifestants pacifiques non armés ?

Et alors est une raison pour tuer tous ces manifestants pacifiques non armés ?

Non mais la guerre c'est ça !on la fait ou on la fait pas il faut choisir !et souvent on a pas le choix

Qu'ils s'en prennent sur le FLN s'ils avaient des problèmes avec eux mais pas sur des innocents qui n'ont rien fait.

le FLM leurs a pas donné le choix les pauvres il les a forcés d'aller à la manif

17 octobre 1961 : Alger satisfait mais attend plus de Hollande

C’est bien mais pas assez. Le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal a salué mercredi « les bonnes intentions » manifestées par la France pour tourner la page de la répression sanglante de la manifestation du 17 octobre 1961 dont ont été victimes des citoyens algériens, mais sans oublier ces faits. Mais les Algériens attendent des excuses officielles pour les crimes coloniaux.

Le Premier ministre algérien, cité par l’agence officielle APS, a souligné que la visite attendue du président français François Hollande en Algérie dans le courant du mois de décembre prochain constituerait un gage de la volonté de tourner cette page de l’histoire sans toutefois signifier, a-t-il insisté, l’oubli.

François Hollande a déclaré que la France « reconnaît avec lucidité » la « tragédie » qu’a constitué la répression « sanglante » de la manifestation d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961, qui avait fait des dizaines et sans doute des centaines de morts.

Les manifestants, qui avaient bravé un couvre-feu imposé en pleine guerre d’Algérie aux « Français musulmans d’Algérie », ont terminé jetés dans la Seine, tués par balle ou morts le crâne fracassé par des manches de pioche ou des crosses de fusil : selon les sources, de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de personnes sont mortes au cours de la répression de la manifestation pacifique.

Rue89

Hollande et le 17 octobre 1961: à quand une vraie coopération avec le Maghreb ?

Quelle coopération entre la France et le Maghreb ?

Ceci implique qu'un engagement renouvelé de la France au Maghreb intervienne sous peu – par exemple sous la forme d’assises économiques France-Maghreb – du fait de l’accélération des urgences et de l’aggravation de la crise en Europe. À défaut de cela, il est probable que les pays d’Afrique du Nord envisagent de déporter en partie leurs partenariats vers le Moyen-Orient, qui dispose d’une plus grande capacité d’investissement et qui semble plus enclin à enclencher une dynamique de soutien.

Ce n’est pas également un hasard si le premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, se soit immédiatement positionné après les déclarations de François Hollande au sujet de la répression d’octobre 1961 en estimant que l’Algérie "attend plus" de lui.

Le président français aura l’occasion très vite de montrer quel visage il souhaite donner à la coopération économique avec le Maghreb, puisque des visites officielles auprès de ses deux partenaires principaux, l’Algérie et le Maroc, sont programmées sous trois mois. Ces deux déplacements constitueront autant de rendez-vous importants, où le "présent donnera rendez vous à l’avenir".

Il sera essentiel pour Paris de ne pas les manquer et de faire preuve d’implication et d’engagement, au risque de voir la France se faire brûler la politesse par de nouveaux entrants, tel le Qatar, aux ambitions clairement affichées.

LeNouvelObservateurl

Moi aussi Samira cela m'avait écoeuré à l'époque ! mais cet ainsi à la guerre on ne choisi pas toujours ses ennemies et si par malheur on est là ou il faut pas il nous reste qu'a prier ,et moi à d'aller me coucher . bye bye!

libre à toi d' ouvrir un topic général sur la guerre d' Algérie !

ici, c 'est juste sur ce funeste 17 octo 1961 ! ok ??????

et merci de donner des sources, c 'est mieux !:smile2:

Essayer d'analyser le 17 octobre 1961 sans parler du contexte, c'est comme parler d'Auschwitz sans parler du nazisme. Ca n'a aucun sens et ça ne mènera nul part. Y'a vraiment que les cons pour croire le contraire.

tu attends quoi pour en ouvrir un au lieu de baver sur moi ???:p

Aux dernières nouvelles, ce n'est pas moi qui ouvre des sujets à la pelle sur "les crimes de l'Etat Français" en permanence.

Vous dites condamnez aussi ceux du FLN. Mais c'est un mensonge. Vous vous en foutez complètement. On ne vous voit jamais ouvrir le moindre sujet sur ces atrocités là.

Par contre, ouvrir des sujets foireux et manipulateurs sur la France et tout ce qui est "fasciste", ça vous savez le faire.

Faire passer comme vérité une manipulation, vous savez faire.

Hollande représente la sagesse de la France.. après la folie de sarko le dingue!et il n'a absolument rien a foutre des arabes..tu te trompes..el corso!

Hollande représente surtout la lâcheté de la France.

Ok si on parle de vérité, crue et douloureuse, rappelons que notre Cher héros , Charles de Gaulle était un islamophobe patenté et qu'il ne voulait pas de musulmans en france

Il avait bien raison, ce brave De Gaulle.

Quand on cherche, on trouve... nous avons tous un devoir de mémoire...

Bonne journée

J'ai vraiment adoré -et je dis bien a-do-ré - cette vidéo. C'est un exemple typique de la manipulation et de la désinformation sur cet évènement.

On nous présente des photographies, commenté par un historien (selon la vidéo). Qui est cet "historien"? Monsieur Gilles Manceron. Or on apprend, si l'on fait l'effort de taper sur nom sur google, que ce brave monsieur n'a pas le moindre diplôme universitaire, pas la moindre formation historique. Mais, par contre, qu'il milite activement à gauche. Ca doit servir de laisser-passer, sans doute. Le militantisme prime évidemment sur le professionnalisme...

Mais revenons à la vidéo.

Le texte nous parle de la fédération française du FLN, mais semble malencontreusement oublier de préciser que ce mouvement est terroriste. Cela va être mentionné très rapidement en passant ... entre deux descriptions d'images où l'on nous déclare que la Police assassinait les algériens en leur tirant dans le dos. Autant dire que le "terrorisme" du FLN sera vite oublié par l'auditoire.

En passant, on n'a pas la moindre idée d'où viennent ces informations. Du bon dieu? Mystère...

La troisième image est franchement admirable! Elle nous montre une photo de la manifestation (enfin selon la vidéo) où l'on voit des gens souriants de toutes leurs dents, claquant des mains, désarmés...

N'importe quel auditeur non avertis sur ces évènements va immédiatement les trouver sympathiques. Et en vouloir d'autant plus à la Police pour avoir aussi sauvagement massacrés de personnes aussi gentilles.

Manipulation sentimentale?

La vidéo, en tous cas, se garde bien de nous préciser que le FLN faisait alors régner un climat de terreur dans la communauté algérienne, assassinant tout algérien ne payant pas la taxe révolutionnaire, appartenant à un autre mouvement nationaliste ou refusant de collaborer avec lui. Un grand nombre de témoignages de manifestants de ce jour là nous informent aussi que le FLN avaient lancé des menaces contre quiconque ne se joindrait pas à cette manifestation. Bref, que d'oublis, que d'oublis!

Le texte de cette image, quand à lui, nous dit que la répression de cette manifestation fit plus de 150 à 200 morts. Or, Hussard Noir et son article le précisent, les entrées de cadavres de Nords-Africains dans les morgues de Paris le 17 abaissent ce chiffre à ... 0 pour la manifestation. Et à deux en dehors du périmètre de la manifestation. Dans les jours suivants, pareil: 4 entrées de N-A à la morgue.

Après "Où est Charlie?", voici donc "Où sont les cadavres des 194 restants?"

La suite de la vidéo nous annonce que les témoignages ont été pris dans l'arrière d'un café où de nombreux algériens blessés venaient se réfugier. Ce qu'on peut dire, c'est que c'est loin d'être clair. Quel café? Où? Quand?

Comment un travail qui a la prétention d'être "historique" peut-il a ce point être aussi imprécis!

Quand monsieur Manceron commence à nous parler de la manifestation elle-même, il nous la décrit comme presque spontanée. Et omet, par pur hasard, de rappeler que cette manifestation avait été interdite.

Il omet également de parler du couvre-feu en détail. Il nous en donne un rapide aperçu mais garde un silence complet sur le pourquoi de cette mesure. Une nouvelle fois, c'est pas très professionnel.

Il continue ensuite en nous parlant de morts et de cadavres. Bon... On veut bien le croire.

Mais de qui? Qui donc? Si on a des cadavres, on a leur noms. Alors je sais que c'est une vidéo courte. Mais quand même! Quand même! Un peu plus de sérieux, que diable! D'où ces chiffres sortent-ils? D'où ces informations sortent-elles? On n'en sait RIEN.

On nous apprend ensuite que Maurice Papon avait préparé cette violente répression. Par un conditionnement de ses forces.

Par contre, pas un seul mot sur les nombreux assassinats de policiers par le FLN dans les jours précédents. C'est sans aucun doute anecdotique...

La suite nous apprend ensuite que le bilan officiel (trois morts) est complètement sous évalué.

Sous-évalué? Par qui? Par lui, qui n'est pas historien?

Ah! La suite nous dis que "les historiens qui ont travaillés sur cet évènement nous disent qu'il y a eu plus de 100 morts...". Bon, on avance... en théorie. Parce que pas un seul nom d'historiens n'est cité. La seule chose que l'on sait, c'est que "des historiens" prétendent cela. C'est vague, très vague!

Ah, quand même! En arrière plan, en image, il y a des couvertures de livres. Mais dans les auteurs sont quasiment illisible (pour cause: la taille). Sauf un nom: Paulette Péju. Qui est ... une journaliste. Et non une historienne. Elle doit être de gauche, elle aussi, vu que le militantisme remplace les diplômes.

On continue avec un autre chiffres: "300 disparus". Mais qui nous sont présentés comme victimes de la répression: il nous est dit que la répression a duré tout l'automne et qu'il y a eu environ 300 disparus. L'auditoire franchira vite le pas et en conclura que ces disparitions sont à attribuer à la Police.

Alors que s'ils sont "disparus", c'est qu'on ignore les causes de cette disparition.

Bref, tout est mis sur le dos de la Police, dans un savant mélange de propagande, d'oublis, de manipulation. On nous trace les évènements à gros très, de façon brouillonne, vague. Et fausse, qui plus est.

Alors je n'ai pas peur de le dire: cette vidéo est une énorme connerie! Qui a en plus la prétention de passer pour un travail historique!

Ca me fout dans une rage noire de voire des bêtises aussi énormes, qui se font passer pour des travaux historiques alors qu'ils sont vagues, brouillons et mensongers. Et pire encore: de parti pris!

Quant aux arabes (en realité des berberes)jetés a la seine..il te faudrais consulter les vieux poissons de ce grand fleuve,ils te diront le gout de leurs depouilles!

t'as pas honte d'etaler ainsi ton ignorance..mathu..vu!

Les registres des morgues de l'époque sont très loin d'indiquer les myriades de morts décrits ici.

il parait qu'a l'epoque,il y a eu un laché de Piranhas,dans la seine..peut-etre c'est ça non??

C'est ça prend le avec sarcasme, les vrais historiens se basent sur des sources et remettent en cause les témoignages de "bon français" qui ne sont pas corroborres par les registres de la morgue de Paris.....

il parait qu'a l'epoque,il y a eu un laché de Piranhas,dans la seine..peut-etre c'est ça non??

Mais encore? Ca ne seraient pas plutôt les hommes verts de Mars qui ont nettoyés ça pour aider leurs copains nazis?

Qu'est-ce qu'il faut pas lire...

Vous êtes vraiment impossible......mais l'histoire,la vrai,qui sera écrite un jour,par des historiens impartiaux,vous apportera la contradiction...et j'evite d'use du copié-collé..car je saturerai le site,par les témoignages de Français honnêtes qui vous étonneront,si vous en preniez connaissance!

On a ici des historiens qui ont démontés la manipulation sur le 17 octobre 1961. Ce sont quoi, des menteurs?

@HUSSARD

Exprimes toi..arretes de copier des articles fastidieux de l'extreme droite sur la toile,pour "bourrer" le crane des forumeurs..

Définition de l'extrême-droite: terme actuellement employé pour désigner tout ceux et tout ce qui ne sont pas à gauche. Son utilisation montre une volonté de décrédibiliser la cible et de la faire se taire.

pour "bourrer" le crane des forumeurs..c'est inutile et fatiguant...

Il est sans doute bien mieux de publier des vidéos truffées d'erreurs, d'imprécisions et d'oublis pour "cultiver" les gens. N'est-il pas?

et si cela peut te faire plaisir..ok..il n'y a eu aucun morts ni blessé le 17 octobre 61

Et ça aussi, c'est un mensonge.

bien au contraire les Algeriens ont été conviés a un grand banquet offert par le SS maurice Papon

J'ignorais que Maurice Papon s'était engagé dans les SchutzStaffel. Ses biographes, aussi, de toute évidence...

La SS est un corps militaire, pas une insulte envers les gens qu'on méprise. Merci de ne pas l'oublier.

combien vous etes hypocrites et arrogants vous les nervis de lepen!!!

Ah, l'argument suprême! Ca y est, c'est fini! Nous voilà catalogué à vie.

P primo contrairement a ce que je lis pour le 17 oct 61 se n'est pas aux français à demander pardon mais à la police Française qui comme en 1941 avait gardé ces anciennes habitudes pétainistes hein!

Secondo c'est aussi au FLM qui sachant ce qui allait ce passer à envoyer tous ces pauvres bougres au massacre , à demander pardon aussi . On savait que la police n'était pas tendresse avec les algériens en France.

Immondes socialistes .

Ignobles socialistes .

Collaborateurs .

Vous continuez à vendre le pays comme l'a fait l'UMP !

Racailles .

Crapules .

Vous comparaîtrez comme complices ...

Plus tôt que vous ne le pensez ...

Normal de reconnaitre nos erreurs surtout quand elles sont aussi atroces.

Octobre 1961: le témoignage d'un policier.

Gardien de la paix débutant, Raoul Letard a participé, sous les ordres de Maurice Papon, à la traque des Algériens.

Dans ce témoignage, encore inédit, il raconte la tragique nuit de haine du 17 octobre 1961.

"Nous, on faisait la guerre et on avait un adversaire bien désigné: c'étaient les Algériens." En 1961, Raoul Letard, alors tout jeune policier, est en poste dans une brigade d'intervention de la préfecture de police de Paris, dirigée par Maurice Papon. Il participe à la tragique nuit du 17 octobre, au cours de laquelle 200 Algériens au moins sont tombés sous les matraques ou les balles des policiers chargés de mater la manifestation organisée par le FLN. Ce témoignage - encore inédit - a été recueilli dans le cadre d'une enquête de l'Ihesi (Institut des hautes études de la sécurité intérieure). Il sera publié, avec de nombreux autres, dans un essai de l'historien Jean-Marc Berlière intitulé La Cour du 19 août.

On se disait: "Un jour, un jour quand même ils vont bien faire la connerie de sortir tous ensemble." Et ça, c'était une sorte de rêve... D'avoir un jour un paquet de mecs face à nous, là, et de pouvoir régler les comptes parce qu'on avait accumulé des morts et des morts, et, bien sûr, de la haine. Et puis un jour, à l'occasion d'obsèques, le préfet de police Papon fait un discours dans la cour de la Cité: "A partir de maintenant, nous ne rendrons plus coup pour coup; pour un mort, nous ferons dix morts." [En réalité, Maurice Papon déclara: "Pour un coup porté, nous en porterons dix."] Ce discours a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. (...) Il a remis une pression formidable parce qu'on savait que Papon protégeait toutes les exactions de la police.

(...) Et puis on apprend la veille ou l'avant-veille du 17 octobre 1961 qu'il y aura une manifestation des Algériens dans Paris. Le lendemain, on a la confirmation. Un collègue qui était de radio vient nous dire: "Les gars, ça y est, les... ratons - on disait les ratons - se réunissent sur les Champs-Elysées... Il paraît qu'ils veulent aller agresser le commissariat du VIIIe arrondissement." Et après: "Des collègues sont encerclés par des ratons." Alors, là, même les joueurs de tarot ont laissé tomber leurs cartes... C'était la mort qui commençait à rôder... On a donc commencé à aller se servir dans le "sac à bidules"... Chacun se cherchait le plus beau casse-tête...

Puis on est partis en direction de l'Etoile. On a pris l'avenue Victor-Hugo, où on a fait une première descente sur une dizaine de mecs, des Algériens qui ont, bien sûr, été matraqués et qu'on a laissés sur le carreau. (...) Ensuite, on passe le pont de Neuilly, on arrive à Colombes, et qu'est-ce qu'on voit devant nous? Une manifestation d'Algériens, plusieurs centaines. Notre patron, l'officier qui commandait, était prêt à couvrir tout ce qui devait être couvert... Il n'y avait pas de raison de se retenir. (...) J'ai un collègue qui était le chauffeur du car de commandement; il descend et tue d'emblée un Algérien qui avait sous son manteau une arme qui se révélera être factice, en bois. Le patron est affolé: "Vous êtes fous! Commencez pas comme ça!" Ce mort-là a été l'un des deux "morts officiels" recensés dans la nuit du 17 au 18 octobre 1961... On était devenus incontrôlables

C'était parti... On s'est lancés dans ce qu'on appelait les ?courettes? [les poursuites], qui nous ont conduits dans une zone de pavillons de Colombes. Il était déjà 23 heures. (...) Les habitants qui avaient peur nous appelaient... On montait dans les étages pour mieux voir et on tirait sur tout ce qui bougeait... C'était l'horreur, l'horreur...

(...) Pendant deux heures, ça a été une chasse à l'homme véritablement terrible, terrible, terrible! (...) Enfin, on a fini par rentrer, faute de combattants. Il y avait un car qui nous suivait, un car de police qui était chargé de ramasser les manifestants. Dans ce car-là, il y avait pas mal de morts. Là, ça a gueulé parce que le commandant n'était pas content qu'on ramène des cadavres. Il disait qu'il fallait les laisser sur place... On était tellement déchaînés qu'on était devenus incontrôlables. L'ambiance était telle que si un officier, ou le patron, s'était avisé de vouloir nous reprendre en main, il aurait été malmené à son tour...

(...) Quelques jours plus tard, le 1er novembre, les Algériens devaient ressortir... A la limite, ça nous aurait pas déplu, mais le directeur est arrivé en disant: "Voilà, je sors de chez le préfet, qui n'est pas content de ce qui s'est passé le 17, parce qu'il y a eu beaucoup trop de morts dans les commissariats. Il ne veut pas que ça se renouvelle... En revanche, vous avez carte blanche sur la voie publique." Vous vous rendez compte? Dire à des gardiens de la paix (...): "Vous avez carte blanche sur la voie publique"! En rentrant à la maison après la nuit du 17 octobre, j'ai réveillé ma femme. D'habitude, je ne raconte rien à personne, mais, cette fois, je lui ai dit: "La haine, c'est terrible, ça conduit à tuer.""

On va peut être me dire que ce policier est un vieux sénile qui a rêvé?

Un peu de respect SVP, pour ses hommes morts assassinés ...

J'ai vraiment adoré -et je dis bien a-do-ré - cette vidéo. C'est un exemple typique de la manipulation et de la désinformation sur cet évènement.

On nous présente des photographies, commenté par un historien (selon la vidéo). Qui est cet "historien"? Monsieur Gilles Manceron. Or on apprend, si l'on fait l'effort de taper sur nom sur google, que ce brave monsieur n'a pas le moindre diplôme universitaire, pas la moindre formation historique. Mais, par contre, qu'il milite activement à gauche. Ca doit servir de laisser-passer, sans doute. Le militantisme prime évidemment sur le professionnalisme...

Mais revenons à la vidéo.

Le texte nous parle de la fédération française du FLN, mais semble malencontreusement oublier de préciser que ce mouvement est terroriste. Cela va être mentionné très rapidement en passant ... entre deux descriptions d'images où l'on nous déclare que la Police assassinait les algériens en leur tirant dans le dos. Autant dire que le "terrorisme" du FLN sera vite oublié par l'auditoire.

En passant, on n'a pas la moindre idée d'où viennent ces informations. Du bon dieu? Mystère...

La troisième image est franchement admirable! Elle nous montre une photo de la manifestation (enfin selon la vidéo) où l'on voit des gens souriants de toutes leurs dents, claquant des mains, désarmés...

N'importe quel auditeur non avertis sur ces évènements va immédiatement les trouver sympathiques. Et en vouloir d'autant plus à la Police pour avoir aussi sauvagement massacrés de personnes aussi gentilles.

Manipulation sentimentale?

La vidéo, en tous cas, se garde bien de nous préciser que le FLN faisait alors régner un climat de terreur dans la communauté algérienne, assassinant tout algérien ne payant pas la taxe révolutionnaire, appartenant à un autre mouvement nationaliste ou refusant de collaborer avec lui. Un grand nombre de témoignages de manifestants de ce jour là nous informent aussi que le FLN avaient lancé des menaces contre quiconque ne se joindrait pas à cette manifestation. Bref, que d'oublis, que d'oublis!

Le texte de cette image, quand à lui, nous dit que la répression de cette manifestation fit plus de 150 à 200 morts. Or, Hussard Noir et son article le précisent, les entrées de cadavres de Nords-Africains dans les morgues de Paris le 17 abaissent ce chiffre à ... 0 pour la manifestation. Et à deux en dehors du périmètre de la manifestation. Dans les jours suivants, pareil: 4 entrées de N-A à la morgue.

Après "Où est Charlie?", voici donc "Où sont les cadavres des 194 restants?"

La suite de la vidéo nous annonce que les témoignages ont été pris dans l'arrière d'un café où de nombreux algériens blessés venaient se réfugier. Ce qu'on peut dire, c'est que c'est loin d'être clair. Quel café? Où? Quand?

Comment un travail qui a la prétention d'être "historique" peut-il a ce point être aussi imprécis!

Quand monsieur Manceron commence à nous parler de la manifestation elle-même, il nous la décrit comme presque spontanée. Et omet, par pur hasard, de rappeler que cette manifestation avait été interdite.

Il omet également de parler du couvre-feu en détail. Il nous en donne un rapide aperçu mais garde un silence complet sur le pourquoi de cette mesure. Une nouvelle fois, c'est pas très professionnel.

Il continue ensuite en nous parlant de morts et de cadavres. Bon... On veut bien le croire.

Mais de qui? Qui donc? Si on a des cadavres, on a leur noms. Alors je sais que c'est une vidéo courte. Mais quand même! Quand même! Un peu plus de sérieux, que diable! D'où ces chiffres sortent-ils? D'où ces informations sortent-elles? On n'en sait RIEN.

On nous apprend ensuite que Maurice Papon avait préparé cette violente répression. Par un conditionnement de ses forces.

Par contre, pas un seul mot sur les nombreux assassinats de policiers par le FLN dans les jours précédents. C'est sans aucun doute anecdotique...

La suite nous apprend ensuite que le bilan officiel (trois morts) est complètement sous évalué.

Sous-évalué? Par qui? Par lui, qui n'est pas historien?

Ah! La suite nous dis que "les historiens qui ont travaillés sur cet évènement nous disent qu'il y a eu plus de 100 morts...". Bon, on avance... en théorie. Parce que pas un seul nom d'historiens n'est cité. La seule chose que l'on sait, c'est que "des historiens" prétendent cela. C'est vague, très vague!

Ah, quand même! En arrière plan, en image, il y a des couvertures de livres. Mais dans les auteurs sont quasiment illisible (pour cause: la taille). Sauf un nom: Paulette Péju. Qui est ... une journaliste. Et non une historienne. Elle doit être de gauche, elle aussi, vu que le militantisme remplace les diplômes.

On continue avec un autre chiffres: "300 disparus". Mais qui nous sont présentés comme victimes de la répression: il nous est dit que la répression a duré tout l'automne et qu'il y a eu environ 300 disparus. L'auditoire franchira vite le pas et en conclura que ces disparitions sont à attribuer à la Police.

Alors que s'ils sont "disparus", c'est qu'on ignore les causes de cette disparition.

Bref, tout est mis sur le dos de la Police, dans un savant mélange de propagande, d'oublis, de manipulation. On nous trace les évènements à gros très, de façon brouillonne, vague. Et fausse, qui plus est.

Alors je n'ai pas peur de le dire: cette vidéo est une énorme connerie! Qui a en plus la prétention de passer pour un travail historique!

Ca me fout dans une rage noire de voire des bêtises aussi énormes, qui se font passer pour des travaux historiques alors qu'ils sont vagues, brouillons et mensongers. Et pire encore: de parti pris!

Les registres des morgues de l'époque sont très loin d'indiquer les myriades de morts décrits ici.

C'est dure d'admettre que les français ont commis des atrocités, n'est ce pas ?

à lire ;

« L’horreur fut à son comble quand nous vîmes des policiers traîner sur le sol des corps d’Algériens inertes. Ils les traînaient par les bras, par les vêtements, par le col, puis ils les entassaient les uns sur les autres à même le sol, devant le portail du n° 5 du boulevard Poissonnière, à l’enseigne d’un journal qui s’appelait Noir et Blanc et qui faisait partie de l’immeuble du cinéma le Rex », 
témoigne Georges Azenstarck, qui parle d’un déchaînement de « sauvagerie », de « férocité », lors du procès intenté en mars 1999 par Maurice Papon, préfet de police de Paris, contre l’historien Jean-Luc Einaudi qui avait enquêté sur l’ampleur de ce crime d’État injustement nié"".

lire en entier sur :http://www.humanite.fr/politique/17-octobre-1961-photographie-l%E2%80%99une-des-preuves-des-massacres-481824

extrait :

David Assouline n’attend pas le passage de la parole aux actes, il se rend naturellement aux Archives de Paris, où il est reçu par le conservateur en chef, Philippe Grand. «Je n’avais pas l’autorisation de ma hiérarchie, explique alors ce dernier à Libération, mais j’avais celle de mon ministre de tutelle, madame Trautmann.» Et David Assouline d’exhiber une dizaine de grandes pages de papier vieilli mais très lisibles, documents extraits Philippe Grand des cartons contenant les archives du Parquet. «Les pages des mois d’octobre et novembre sont remplies de FMA (Français musulmans d’Algérie), frappés du tampon"Mort", par coups et blessures volontaires, explique David Assouline. Pour certains, figure même la mention manuscrite "repêché ou repêchage". Après une première consultation non exhaustive, on en dénombrait déjà soixante-dix.»

lire en entier sur :

http://www.liberation.fr/politiques/01012365774-seine-macabre-17-octobre-1961

un fake ou pas ?? :

""Quelques faits, le 17 octobre...

Parmi les milliers d’Algériens emmenés au parc des Expositions de la porte de Versailles, des dizaines ont été tués à coups de crosse et de manche de pioche par enfoncement du crâne, éclatement de la rate ou du foie, brisure des membres. Leurs corps furent piétinés sous le regard bienveillant de M. Paris, contrôleur général.

D’autres eurent les doigts arrachés par les membres du service d’ordre, policiers et gendarmes mobiles, qui s’étaient cyniquement intitulés " comité d’accueil ".

A l’une des extrémités du pont de Neuilly, des groupes de gardiens de la paix, à l’autre des CRS, opéraient lentement leur jonction. Tous les Algériens pris dans cet immense piège étaient assommés et précipités systématiquement dans la Seine. Il y en eut une bonne centaine à subir ce traitement. Ces mêmes méthodes furent employées au pont Saint-Michel. Les corps des victimes commencent à remonter à la surface journellement et portent des traces de coups et de strangulation.

A la station de métro Austerlitz, le sang coulait à flots, des lambeaux humains jonchaient les marches des escaliers […].

lire en entier sur ce site à fouiller :

http://www.17octobre61.org/Un-groupe-de-policiers.html

source du texte de bella23 de 10 h 43 aujourd' hui :

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/histoire/octobre-1961-le-temoignage-d-un-policier_494878.html

Octobre 1961: le témoignage d'un policier.

Gardien de la paix débutant, Raoul Letard a participé, sous les ordres de Maurice Papon, à la traque des Algériens.

Dans ce témoignage, encore inédit, il raconte la tragique nuit de haine du 17 octobre 1961.

"Nous, on faisait la guerre et on avait un adversaire bien désigné: c'étaient les Algériens." En 1961, Raoul Letard, alors tout jeune policier, est en poste dans une brigade d'intervention de la préfecture de police de Paris, dirigée par Maurice Papon. Il participe à la tragique nuit du 17 octobre, au cours de laquelle 200 Algériens au moins sont tombés sous les matraques ou les balles des policiers chargés de mater la manifestation organisée par le FLN. Ce témoignage - encore inédit - a été recueilli dans le cadre d'une enquête de l'Ihesi (Institut des hautes études de la sécurité intérieure). Il sera publié, avec de nombreux autres, dans un essai de l'historien Jean-Marc Berlière intitulé La Cour du 19 août.

A partir de maintenant, nous ne rendrons plus coup pour coup; pour un mort, nous ferons dix morts

On se disait: "Un jour, un jour quand même ils vont bien faire la connerie de sortir tous ensemble." Et ça, c'était une sorte de rêve... D'avoir un jour un paquet de mecs face à nous, là, et de pouvoir régler les comptes parce qu'on avait accumulé des morts et des morts, et, bien sûr, de la haine. Et puis un jour, à l'occasion d'obsèques, le préfet de police Papon fait un discours dans la cour de la Cité: "A partir de maintenant, nous ne rendrons plus coup pour coup; pour un mort, nous ferons dix morts." [En réalité, Maurice Papon déclara: "Pour un coup porté, nous en porterons dix."] Ce discours a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. (...) Il a remis une pression formidable parce qu'on savait que Papon protégeait toutes les exactions de la police.

(...) Et puis on apprend la veille ou l'avant-veille du 17 octobre 1961 qu'il y aura une manifestation des Algériens dans Paris. Le lendemain, on a la confirmation. Un collègue qui était de radio vient nous dire: "Les gars, ça y est, les... ratons - on disait les ratons - se réunissent sur les Champs-Elysées... Il paraît qu'ils veulent aller agresser le commissariat du VIIIe arrondissement." Et après: "Des collègues sont encerclés par des ratons." Alors, là, même les joueurs de tarot ont laissé tomber leurs cartes... C'était la mort qui commençait à rôder... On a donc commencé à aller se servir dans le "sac à bidules"... Chacun se cherchait le plus beau casse-tête...

Ce mort-là a été l'un des deux "morts officiels" recensés dans la nuit du 17 au 18 octobre 1961... On était devenus incontrôlables

Puis on est partis en direction de l'Etoile. On a pris l'avenue Victor-Hugo, où on a fait une première descente sur une dizaine de mecs, des Algériens qui ont, bien sûr, été matraqués et qu'on a laissés sur le carreau. (...) Ensuite, on passe le pont de Neuilly, on arrive à Colombes, et qu'est-ce qu'on voit devant nous? Une manifestation d'Algériens, plusieurs centaines. Notre patron, l'officier qui commandait, était prêt à couvrir tout ce qui devait être couvert... Il n'y avait pas de raison de se retenir. (...) J'ai un collègue qui était le chauffeur du car de commandement; il descend et tue d'emblée un Algérien qui avait sous son manteau une arme qui se révélera être factice, en bois. Le patron est affolé: "Vous êtes fous! Commencez pas comme ça!" Ce mort-là a été l'un des deux "morts officiels" recensés dans la nuit du 17 au 18 octobre 1961... On était devenus incontrôlables

C'était parti... On s'est lancés dans ce qu'on appelait les ?courettes? [les poursuites], qui nous ont conduits dans une zone de pavillons de Colombes. Il était déjà 23 heures. (...) Les habitants qui avaient peur nous appelaient... On montait dans les étages pour mieux voir et on tirait sur tout ce qui bougeait... C'était l'horreur, l'horreur...

On était tellement déchaînés qu'on était devenus incontrôlables

(...) Pendant deux heures, ça a été une chasse à l'homme véritablement terrible, terrible, terrible! (...) Enfin, on a fini par rentrer, faute de combattants. Il y avait un car qui nous suivait, un car de police qui était chargé de ramasser les manifestants. Dans ce car-là, il y avait pas mal de morts. Là, ça a gueulé parce que le commandant n'était pas content qu'on ramène des cadavres. Il disait qu'il fallait les laisser sur place... On était tellement déchaînés qu'on était devenus incontrôlables. L'ambiance était telle que si un officier, ou le patron, s'était avisé de vouloir nous reprendre en main, il aurait été malmené à son tour...

(...) Quelques jours plus tard, le 1er novembre, les Algériens devaient ressortir... A la limite, ça nous aurait pas déplu, mais le directeur est arrivé en disant: "Voilà, je sors de chez le préfet, qui n'est pas content de ce qui s'est passé le 17, parce qu'il y a eu beaucoup trop de morts dans les commissariats. Il ne veut pas que ça se renouvelle... En revanche, vous avez carte blanche sur la voie publique." Vous vous rendez compte? Dire à des gardiens de la paix (...): "Vous avez carte blanche sur la voie publique"! En rentrant à la maison après la nuit du 17 octobre, j'ai réveillé ma femme. D'habitude, je ne raconte rien à personne, mais, cette fois, je lui ai dit: "La haine, c'est terrible, ça conduit à tuer.""

On va peut être me dire que ce policier est un vieux sénile qui a rêvé?

Un peu de respect SVP, pour ses hommes morts assassinés ...

C'est dure d'admettre que les français ont commis des atrocités, n'est ce pas ?

que des Français ont commis des assassinats gratuits comme le FLM ok! Mais pas tous les Français !!!!!arrêtez de tout généraliser merci!!!!

g

à lire ;

« L’horreur fut à son comble quand nous vîmes des policiers traîner sur le sol des corps d’Algériens inertes. Ils les traînaient par les bras, par les vêtements, par le col, puis ils les entassaient les uns sur les autres à même le sol, devant le portail du n° 5 du boulevard Poissonnière, à l’enseigne d’un journal qui s’appelait Noir et Blanc et qui faisait partie de l’immeuble du cinéma le Rex », 
témoigne Georges Azenstarck, qui parle d’un déchaînement de « sauvagerie », de « férocité », lors du procès intenté en mars 1999 par Maurice Papon, préfet de police de Paris, contre l’historien Jean-Luc Einaudi qui avait enquêté sur l’ampleur de ce crime d’État injustement nié"".

lire en entier sur :http://www.humanite....assacres-481824

extrait :

David Assouline n’attend pas le passage de la parole aux actes, il se rend naturellement aux Archives de Paris, où il est reçu par le conservateur en chef, Philippe Grand. «Je n’avais pas l’autorisation de ma hiérarchie, explique alors ce dernier à Libération, mais j’avais celle de mon ministre de tutelle, madame Trautmann.» Et David Assouline d’exhiber une dizaine de grandes pages de papier vieilli mais très lisibles, documents extraits Philippe Grand des cartons contenant les archives du Parquet. «Les pages des mois d’octobre et novembre sont remplies de FMA (Français musulmans d’Algérie), frappés du tampon"Mort", par coups et blessures volontaires, explique David Assouline. Pour certains, figure même la mention manuscrite "repêché ou repêchage". Après une première consultation non exhaustive, on en dénombrait déjà soixante-dix.»

lire en entier sur :

http://www.liberatio...17-octobre-1961

un fake ou pas ?? :

""Quelques faits, le 17 octobre...

Parmi les milliers d’Algériens emmenés au parc des Expositions de la porte de Versailles, des dizaines ont été tués à coups de crosse et de manche de pioche par enfoncement du crâne, éclatement de la rate ou du foie, brisure des membres. Leurs corps furent piétinés sous le regard bienveillant de M. Paris, contrôleur général.

D’autres eurent les doigts arrachés par les membres du service d’ordre, policiers et gendarmes mobiles, qui s’étaient cyniquement intitulés " comité d’accueil ".

A l’une des extrémités du pont de Neuilly, des groupes de gardiens de la paix, à l’autre des CRS, opéraient lentement leur jonction. Tous les Algériens pris dans cet immense piège étaient assommés et précipités systématiquement dans la Seine. Il y en eut une bonne centaine à subir ce traitement. Ces mêmes méthodes furent employées au pont Saint-Michel. Les corps des victimes commencent à remonter à la surface journellement et portent des traces de coups et de strangulation.

A la station de métro Austerlitz, le sang coulait à flots, des lambeaux humains jonchaient les marches des escaliers […].

lire en entier sur ce site à fouiller :

http://www.17octobre...-policiers.html

source du texte de bella23 de 10 h 43 aujourd' hui :

http://www.lexpress....ier_494878.html

t’aime bien fouiller la merde toi hein sa sent si bon !tu est un bon fouille merde quoi! apparenté aux semeurs de merde !!!!!