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Présidentielles 2012 : Jean-Luc Mélenchon - Discussion générale

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Invité lobotomie_

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Invité Simplicius
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Invité Simplicius
Invité Simplicius Invités 0 message
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Bien tenté. Tu réponds à The Economist par une vague moquerie sur le Wall Street Journal. Mais tu te dispenses toujours de la moindre analyse de l'argumentation de The Economist, à part "les libéraux ne peuvent rien comprendre au social" "les entreprises qui font du fric sont des pourries". Si ce n'est utiliser des caricatures dignes du langage imagé de Mao et dénier d'emblée toute légitimité à tout ce qui n'est pas de ton affiliation partisane, ce fut, en effet, très court.

Je comprends que l'analyse de la presse étrangère soit dure à digérer pour d'aucuns. Ca atténue les catégories franco-françaises sur le clivage "gauche-droite" qui existerait chez nous pour le ramener à de plus justes propensions.

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Membre, 46ans Posté(e)
_plop_ Membre 2 325 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
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bien bien bien.

Tentons une autre méthode pour créer un vrai débat.

Allons y par questions courtes, non ambigues et merci d'y apporter des réponses concises et directes, sans noyer le poisson :

"Qu'est-ce qui incite les entreprises toujours sur le territoire à rester ?"

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Invité veau2k
Invités, Posté(e)
Invité veau2k
Invité veau2k Invités 0 message
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Membre, Posté(e)
Moriarty Membre 3 624 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce sont des manipulateurs d'ouvriers, mais il n'y a pas d'ouvriers chez eux. Et il n'y en a jamais eu chez les trotskystes.

Le trotskysme, Mélanchon formé à l'OCI.... etc...

C'est facile à retracer, il a le même parcours qu'un Bergeron par exemple, qui a fini par dire qu'il s'en tapait complétement des ouvriers. Son combat c'était la défense inconditionnelle d'Israël et la lutte contre le Stalinisme. Sorti de là... Mélenchon a exactement le même parcours.

Ca a toujours été un anti-ouvriérisme assez conséquent, financés par les USA qu'ils étaient pour combattre les russes. De même qu'ils ont combattu le PCF à l'époque, les ouvriers "patriotes" et "beauf" selon eux, c'est ce qu'ils détestaient le plus.

Deux fois sénateur socialiste (un oxymore !), "qu'il y ait ou non le traité de Maastricht l'acte unique s'appliquera, nous aurons la libre circulation des capitaux, des marchandises et des gens, et Maastricht sera le contrepoids politique". Faut oser 12/13 ans plus tard venir aboyer contre la libre circulation des capitaux et jouer l'anti-capitaliste de service.

Maastricht, c'est la matrice de tout ce dans quoi on est enfermés aujourd'hui...

La franc-maçonnerie, et plus précisemment encore le Grand-orient de France (gauche) sont spécialisés dans la social-traitrise.

Les francs maçons étaient d'ailleurs interdits au PCF parce qu'il représentaient la trahison de classe. C'était l'exclusion.

Suffit de voir avec qui se rallient systématiquement ces trotskystes. Barroso... juste un exemple.

Les authentiques communistes lui "crachent à la face" quand ils le croisent physiquement.

Quand un syndicaliste de SUD croise Mélenchon : "on a vraiment un problème avec les anciens ministres". Mélanchon : "moi j'ai un problème avec les cons" (n'ayant pas vu la caméra, il dira :"merde, ils sont là, eux").

C'est un type qui a pris le contrôle par le haut, certainement pas par le bas.

Il a toujours fait risette aux pires libéraux-libertaires (quand il demandait à Cohn-Bendit de s'allier avec lui).

Quand on voit la façon dont ses militants ont sorti Dupont-Aignan de la manif' pour la Grèce, avec les mêmes méthodes et les mêmes punks à chien crasseux sortis du caniveau, caniveau politique, en le traitant de "nazi" alors qu'il a 100 fois plus de légitimité que lui de se montrer à une mainif de soutien de la Grèce... (souverainiste, sortie de l'Euro, etc...).

C'est un rentier de la politique, un apparatchik, un sénateur, haineux, franc-mac', trotskyste de la pire espèce, anti-ouvriériste. (le stalinisme avait au moins le mérite d'en avoir dans ses rangs).

One point

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Invité Simplicius
Invités, Posté(e)
Invité Simplicius
Invité Simplicius Invités 0 message
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bien bien bien.

Tentons une autre méthode pour créer un vrai débat.

Allons y par questions courtes, non ambigues et merci d'y apporter des réponses concises et directes, sans noyer le poisson :

"Qu'est-ce qui incite les entreprises toujours sur le territoire à rester ?"

Le marché intérieur ?whistling1.gif

Merci de ne pas répondre à The Economist.thumbdown.gif

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Membre, 46ans Posté(e)
_plop_ Membre 2 325 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
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En quoi le marché intérieur incite une entreprise à rester en France ?

(J'enverrai un courrier à The Economist, pour l'instant, je te répond à toi).

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Invité Simplicius
Invités, Posté(e)
Invité Simplicius
Invité Simplicius Invités 0 message
Posté(e)

Eclaire moi. Pour toi entreprise = production de biens manufacturés ?

Car pour demander le rapport entre l'implantation sur un territoire de sociétés et le marché intérieur, il faut avoir un raisonnement économique soit des plus originaux soit des plus parcellaires.

Je te laisse deviner par toi même pourquoi des sociétés restent dans un pays de près de 65 millions d'habitants où le pouvoir d'achat n'est pas le plus bas de la planète.

Ce n'est pas pour autant que notre pays attire, comme il le devrait, une proportion suffisante de sociétés novatrices et est à la pointe du développement dans une large gamme de secteurs.

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Membre, 69ans Posté(e)
bibibastille Membre 292 messages
Baby Forumeur‚ 69ans‚
Posté(e)

Ce sont des manipulateurs d'ouvriers, mais il n'y a pas d'ouvriers chez eux. Et il n'y en a jamais eu chez les trotskystes.

Le trotskysme, Mélanchon formé à l'OCI.... etc...

C'est facile à retracer, il a le même parcours qu'un Bergeron par exemple, qui a fini par dire qu'il s'en tapait complétement des ouvriers. Son combat c'était la défense inconditionnelle d'Israël et la lutte contre le Stalinisme. Sorti de là... Mélenchon a exactement le même parcours.

Ca a toujours été un anti-ouvriérisme assez conséquent, financés par les USA qu'ils étaient pour combattre les russes. De même qu'ils ont combattu le PCF à l'époque, les ouvriers "patriotes" et "beauf" selon eux, c'est ce qu'ils détestaient le plus.

Deux fois sénateur socialiste (un oxymore !), "qu'il y ait ou non le traité de Maastricht l'acte unique s'appliquera, nous aurons la libre circulation des capitaux, des marchandises et des gens, et Maastricht sera le contrepoids politique". Faut oser 12/13 ans plus tard venir aboyer contre la libre circulation des capitaux et jouer l'anti-capitaliste de service.

Maastricht, c'est la matrice de tout ce dans quoi on est enfermés aujourd'hui...

La franc-maçonnerie, et plus précisemment encore le Grand-orient de France (gauche) sont spécialisés dans la social-traitrise.

Les francs maçons étaient d'ailleurs interdits au PCF parce qu'il représentaient la trahison de classe. C'était l'exclusion.

Suffit de voir avec qui se rallient systématiquement ces trotskystes. Barroso... juste un exemple.

Les authentiques communistes lui "crachent à la face" quand ils le croisent physiquement.

Quand un syndicaliste de SUD croise Mélenchon : "on a vraiment un problème avec les anciens ministres". Mélanchon : "moi j'ai un problème avec les cons" (n'ayant pas vu la caméra, il dira :"merde, ils sont là, eux").

C'est un type qui a pris le contrôle par le haut, certainement pas par le bas.

Il a toujours fait risette aux pires libéraux-libertaires (quand il demandait à Cohn-Bendit de s'allier avec lui).

Quand on voit la façon dont ses militants ont sorti Dupont-Aignan de la manif' pour la Grèce, avec les mêmes méthodes et les mêmes punks à chien crasseux sortis du caniveau, caniveau politique, en le traitant de "nazi" alors qu'il a 100 fois plus de légitimité que lui de se montrer à une mainif de soutien de la Grèce... (souverainiste, sortie de l'Euro, etc...).

C'est un rentier de la politique, un apparatchik, un sénateur, haineux, franc-mac', trotskyste de la pire espèce, anti-ouvriériste. (le stalinisme avait au moins le mérite d'en avoir dans ses rangs).

One point

C'est inadmissible de lire des choses comme ça. Mélanchon est le candidat DU FRONT DE GAUCHE dont le programme a été rédigé sur la base de rencontres avec les syndicats professionnels, les organisations syndicales et la remontée des contenus des assemblées citoyennes. C'est plus qu'un programme, c'est une vraie vision sociétale dans tous ses aspects qui porte une vraie ambition nationale et universaliste et une vraie démocratie. Vous aurez beau tenter de salir ce qu'il est, il rassemble et il convaint, en le salissant vous salissez tous ceux qui le soutiennent et surtout, vous insultez leur intelligence, tout le contraire de ce qu'il porte : le respect des autres, l'humanité, la valeur des humains, j'engage tous ceux qui en doutent de visionner ses meetings. Le reste, c'est de la mauvaise politique, en rase-motte, celle qui vise à salir les gens qui portent une vraie vision et une vraie adhésion et oui, qui les dérange. Vous n'enrayerez pas le mouvement en salissant son leader. On s'y attendait au fur et à mesure que l'influence du Front de Gauche se fait plus prégnante dans la campagne. C'est le moyen des faibles, des inquiets, de ceux qui s'ont prisonniers d'un carcan intellectuel, qui peinent à s'ouvrir au monde et à être créatifs pour nous sortir de la poubelle dans laquelle on nous a mis. Vous pouvez toujours essayez de patauger dans la vase, de chercher des déchets et des remugles supposés, de saupoudrer de la merde subrepticement, négligemment comme ça sous prétexte d'information un peu partout, cela changera rien : nous serons toujours plus nombreux et l'élection présidentielle n'est pas l'objectif. Ce n'est qu'une étape.

Modifié par bibibastille
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Invité veau2k
Invités, Posté(e)
Invité veau2k
Invité veau2k Invités 0 message
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Aie, je me suis planté de meeting plus haut ^^. Je voulais vous mettre celui de Vierzon:

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

C'est inadmissible de lire des choses comme ça. Mélanchon est le candidat DU FRONT DE GAUCHE dont le programme a été rédigé sur la base de rencontres avec les syndicats professionnels, les organisations syndicales et la remontée des contenus des assemblées citoyennes. C'est plus qu'un programme, c'est une vraie vision sociétale dans tous ses aspects qui porte une vraie ambition nationale et universaliste et une vraie démocratie. Vous aurez beau tenter de salir ce qu'il est, il rassemble et il convaint, en le salissant vous salissez tous ceux qui le soutiennent et surtout, vous insultez leur intelligence, tout le contraire de ce qu'il porte : le respect des autres, l'humanité, la valeur des humains, j'engage tous ceux qui en doutent de visionner ses meetings. Le reste, c'est de la mauvaise politique, en rase-motte, celle qui vise à salir les gens qui portent une vraie vision et une vraie adhésion et oui, qui les dérange.

Ce sont des mots. La réalité c'est que La carrière de Mélanchon au PS et la carrière du PC dans ses aventures présidentielle (PC qui est l'armature du FDG) a littéralement assassiné, tué, laminé, exterminé la classe ouvrière a chacun des passages de la "gauche" au pouvoir.

Là où vous avez raison par contre c'est que ce n'est pas un programme politique, qui est totalement inapplicable et contradictoire jusqu'à l’extrême. Qu'il y ait plein de bons sentiments dans cet idéal qui ne se base sur rien de concret, que ce soit notre position politique au sein de l’Europe, notre position économique, et notre position géostratégique, sans doute, encore qu'il pue un peu trop la haine de l'argent et du type qui pour s'en sortir veut monter sa boite, sa PME.

Et hélas, Mélanchon est trop intelligent pour ne pas ignorer ses contradictions, ses non sens, et inapplicabilité de 90 % de son son programme.

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Membre, Posté(e)
nana89 Membre 902 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

ce que souhaiterai comprendre c'est comment la france peut prétendre proposer une autre Europe ?

En conclusion générale, on peut tout d’abord remarquer l’extrême complexité du système décisionnel européen dans tous ses aspects : la multiplicité des lieux de décision, dispersés entre Bruxelles, Luxembourg, Strasbourg et les capitales européennes, multiplicité et variété des acteurs, officiels et officieux, diversité de leurs pouvoirs et de leurs moyens d’actions,… Cette complexité est surtout problématique d’un point de vue démocratique, dans la mesure où le citoyen doit se soumettre à des décisions dont il ne connaît pas l’origine (le mythe du technocrate bruxellois et ses décisions arbitraires), et qui ne lui paraissent pas de fait légitimes. A bien des égards, au cours de l’élaboration des décisions européennes, les arbitrages qui sont faits ne reflètent pas les intérêts majoritaires des peuples (groupes d’intérêts privés, Etat qui défend des intérêts purement nationaux, par exemple). Les décisions sont le fruit d’une confrontation permanente d’intérêts et d’influences contradictoires, au sein desquels il est difficile de déterminer ceux qui prévalent, et donc, qui, réellement, détient le pouvoir.

source: forum sciences politiques

De plus la france représente 72 membres sur les 754 existants

Sachant que les directives politiques globales sont décidées et votées par l'ensemble.

Finalement la france a t'elle vraiment la possibilité de sa politique intérieure ?

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Invité brindorge
Invités, Posté(e)
Invité brindorge
Invité brindorge Invités 0 message
Posté(e)

melanchon,est aussi représentatif du peuple de France ,qu,un singe dans un band de sardines,il a tout été même Trotskyste,je n,ai aucune confiance dans ce gus ,il agite trop les bras,et a souvant le poing levé, a la mussolini

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Je ne prends pas parti mais j'ai relevé cet article dans Capital...il m'a semblé pertinent!

Le coût astronomique du programme de Jean-Luc Mélenchon

Source : Capital.fr

05/04/2012 à 10:51 / Mis à jour le 05/04/2012 à 13:05

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melenchon-tavernier_paysage360.jpg

©REA

Jean-Luc Mélenchon est-il crédible sur le plan économique ? Son programme risque en tout cas de coûter cher, très cher. A elles seules, les quelques mesures phares du candidat du Front de gauche engendreraient une facture de plus de 100 milliards d'euros, selon l'Institut de l'Entreprise, proche du patronat.

Parmi les propositions les plus onéreuses : le remboursement intégral des dépenses de santé couvertes par la Sécurité sociale. Le surcoût pourrait atteindre 76 milliards d'euros pour la Sécu en 2017, si elle prenait à son compte le reste à charge des ménages ainsi que la part financée par les mutuelles.

La réforme des retraites prônée par le candidat de gauche, qui prévoit le rétablissement du départ à 60 ans à taux plein pour tous, et la garantie qu'aucune pension ne soit inférieure au Smic, coûterait la bagatelle de 27 milliards d'euros par an à la fin du prochain quinquennat.

Le programme de Mélenchon prévoit aussi quelques recettes supplémentaires. Mettre fin aux exonérations de charges sociales accordées aux entreprises permettrait d'économiser 28 milliards d'euros. Mais cette mesure aurait un effet catastrophique pour l'emploi : plus de 800.000 postes seraient mis en péril, estime l'Institut de l'Entreprise.

Le marché du travail serait aussi mis à mal par la revalorisation de plus de 20% du salaire minimum, à 1.700 euros brut. Les experts citent une étude de l'Insee, selon laquelle une hausse de 10% du Smic aurait pour conséquence 290.000 chômeurs supplémentaires.

Enfin, la création d'un "pôle 100% public de l'énergie" risque de plomber les finances de l'Etat. La nationalisation à 100% d'EDF, GDF, Areva et Total alourdirait la dette de plus de 142 milliards d'euros. Pas sûr que les marchés financiers apprécient…

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Ouais mais le coût par rapport à quoi et sur combien d'années ? L'article est un peu lacunaire là... Il y a des recettes aussi, et les retombées d'une relance. Ce qui est intéressant, c'est que tous les candidats (Marine le Pen j'ai un doute) basent leur programme et leurs dépenses sur une croissance à 2%... Là est le problème : il faut déjà les avoir, les 2%...

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Invité brindorge
Invités, Posté(e)
Invité brindorge
Invité brindorge Invités 0 message
Posté(e)

de toutes façons les politiques sont des gens irresponsables,tout ce qu,ils veulent ,c,est être élus,le reste ils s,en foutent,même si ils mettent la France dans la pire des mouscailles ,ils savent qu,il n,y aura pas de poursuite judiciaires,et même s,il y avait une menace si petite soit elle ,ils ont tous pouvoirs sur la justice. ((alors adieu les illusions,tout n,est que belles paroles pour endormir les Français))

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Eh bien ça tombe bien que tu en parles ^^ En rapport avec pouvoir et responsabilité, je t'invite à lire ceci et, pourquoi pas, donner ton avis à ce propos.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Sans parler du fait que beaucoup de recette qu'il s'imagine faire par rapports à des mesures politiques sont en contradiction totales avec les traités européens dans lesquels il veut rester.

Il ne réponds absolument pas à la question du : comment on fait pour recréer de la richesse et rétablir notre balance commerciale ? comment on recréer un modèle de croissance et au delà de ça, de développement, sain ?

Actuellement on vit dans le monde d'une croissance financée par la dette publique ( dont la majeure partie est détenue par des pretuers privés étrangers), et on arrive déjà plus à tenir le cap de cette manière, Mélanchon propose de remettre une couche supplémentaire....C'est du "court termisme" le plus absolu puisque cette croissance est fondée sur la consommation d'importations..

De trois choses l'une :

- Soit après la rigueur que nous impose la komandatur allemande, celle ci accepte un gouvernement federal européen et on rentre enfin dans une étape ou le gouvernement européens pourra s'assurer d'un modele de devellopement coéherent et pas unilatéral et ultra concurrentiel. Autant dire que tous les voyants indiquent plutôt que l'Allemagne est très peu tentée par cette solution et envisage plutôt de filer avec une partie de l’Europe du nord et de l'est de son coté une fois que l'UE sera moins avantageuse pour elle que les années précédentes.

- Soit on négocie une sortie de l’Europe actuelle par une modulation, par exemple, une monnaie par pays mais on garde une monnaie de réserve européenne, création d'une Europe à plusieurs vitesses, etc.

- Soit on continue de cette manière là et il faut s'attendre d'ici à très peu à la mort de notre système social, a une grosse gifle sur la secu, a des coupes drastiques de la fonction publique en premier lieu, l’hôpital, etc etc etc, le tout pour des résultats plus qu'incertains voir une crise économique certaine. Dans ce cas là ceux qui criaient au scandale du néo libéralisme sarkozyste vont franchement faire la gueule sous Hollande.

Modifié par Constantinople
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Membre, 50ans Posté(e)
lily12 Membre 2 037 messages
Baby Forumeur‚ 50ans‚
Posté(e)

Je vous rappelle que le financement du programme du Front de Gauche se fait par une répartition totale de l’imposition (Total payera des impôts au même taux que tous), la chasse aux fraudeurs, l’égalité devant l’impôt de tous en état le principe. Dont la fin des exonérations diverses faites aux entreprises (30 milliards en 2010).

Protection sociale & retraites

Les propositions sur les retraites sont présentées dans la partie sur les salaires du programme du Front de gauche. Une manière de signifier, même si ce n’est pas indiqué explicitement, que l’augmentation des salaires prônée par le Front de gauche améliore le financement des retraites.

Jean-Luc Mélenchon entend rétablir, pour tous, le droit à la retraite à 60 ans à taux plein avec 75% du salaire de référence et fixe l’objectif qu’aucun salarié ne touche de retraite inférieure au Smic. Il précise que la « pénibilité de professions particulières » sera prise en compte et donnera droit à des départs anticipés.

Le Front de gauche et son candidat comptent assurer le financement des retraites par une cotisation nouvelle sur les revenus financiers des entreprises, au même taux que les cotisations employeurs sur les salaires. L’accroissement « du taux et de la masse » des cotisations patronales sur les salaires serait modulé en fonction du choix de gestion des entreprises.

Jean-Luc Mélenchon indique qu’il n’aura pas recours à la fiscalisation pour financer les retraites ou la protection sociale.

Il s’engage à réévaluer les retraites – et, plus globalement, les salaires et traitements ainsi que les indemnisations chômage – et à les indexer sur le coût de la vie « afin d’enrayer la montée des inégalités ».

Europe & mondialisation

Jean-Luc Mélenchon refuse la soumission aux options des conservateurs allemands, révélatrices d’un « modèle allemand vieillissant et rentier ». Il s’élève contre le « fédéralisme autoritaire » et la « souveraineté limitée » imposés aux Etats. Une majorité d’Etats est à constituer « pour imposer à la Banque centrale européenne de prêter directement aux Etats à taux réduit ». Le rachat par la BCE de la totalité des dettes des pays en difficulté est aussi proposé. Le risque d’inflation est considéré comme secondaire et soutenable. Le relais devrait être rapidement pris par la relance de l’activité via la hausse des salaires et la reconversion écologique de l’activité.

Jean-Luc Mélenchon considère, sur son blog, l’accord européen du 9 décembre 2011 ouvrant la voie au traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (qui sera signé en mars 2012) comme « un tournant dans l’histoire de la construction européenne », de nature à la fois « autoritaire » et « austéritaire ». Il considère qu’il s’agit d’une « illusion mortelle : un modèle économique pourrait devenir une constitution politique ». Il juge que cette « usine à gaz » sera vite dépassée par les évènements.

Régulation financière & bancaire

Jean-Luc Mélenchon et le Front de gauche partent du constat que la France n’a jamais produit autant de richesses qu’aujourd’hui mais que les inégalités de partage de ces richesses n’ont jamais été aussi élevées. Il impute la responsabilité de cet inégal partage des richesses à la finance néolibérale, qui a pu se développer parce que les réformes politiques successives, singulièrement au niveau européen (Acte Unique, Traité de Maastricht, Traité de Lisbonne, etc.), ont favorisé la domination de la finance et des marchés financiers permettant à certains d’ « accumuler des fortunes considérables ». Dès lors, le Front de gauche dénonce d’une part la nocivité de la régulation financière actuelle et d’autre part le carcan d’institutions européennes (BCE et Commission européenne) qu’il juge non démocratiques.

En termes de régulation bancaire et financière, Jean-Luc Mélenchon propose notamment de :

  • Bloquer les échanges de capitaux avec les paradis fiscaux, en retirant au besoin leur agrément aux institutions financières qui y disposeraient de filiales.

  • Interdire les ventes de gré à gré, à découvert et des produits spéculatifs.

  • Interdire les stock-options, les LBO, les opérations dites « hors bilan », la cotation en continu (pour revenir à une cotation quotidienne).

Concernant le financement public et privé de l’économie, le Front de gauche propose :

  • La sortie du Traité de Lisbonne et de sa logique qui, selon lui, font la part belle aux institutions financières. Cela passe notamment par la suppression de l’indépendance de la BCE et par une modification de son mandat qui à l’avenir permettra de financer directement les biens et services publics, via des prêts à taux faibles, et l’achat de dette publique sur le marché monétaire secondaire (ce que la BCE fait déjà en ce moment pour certains pays comme la Grèce ou l’Italie).

  • L’abrogation du Pacte de stabilité et du « Pacte pour l’Euro » et la création d’un « Fonds européen de développement social, économique et solidaire pour l’expansion des services publics, de l’emploi et des qualifications », qui remplacera l’actuel « Fonds de stabilité financière », créé en mai 2010. L’Euro-système (la BCE et les banques centrales nationales) financera directement ce Fonds de développement auprès duquel les Etats pourront se financer à taux très bas ou nuls.
  • La création immédiate d’un « pôle public bancaire et financier » avec un mandat de service public du crédit et de l’épargne.

  • La nationalisation de certaines banques et assurances.

  • La séparation des activités de banque de détail et de banque de financement.

  • L’octroi de nouveaux pouvoirs aux salariés des institutions financières et aux citoyens.

Politique énergétique & environnementale

Jean-Luc Mélenchon affirme la volonté d’une maîtrise publique du secteur de l’énergie. Cette exigence donnera lieu à la création d’un pôle 100% public comprenant EDF, GDF, Areva et Total. L’ensemble des salariés auront le même statut et les citoyens seront associés à la direction de ce pôle. L’objectif du Front de gauche est d’agir pour la création d’un tel pôle au niveau européen.

Un débat public national « immédiat » sur la politique énergétique en France aura lieu afin de remettre à plat les choix énergétiques et du nucléaire. Ainsi, le Front de gauche, dans son programme, ne prend pas parti sur la prolongation ou non du nucléaire. Seule une réinternalisation de toutes les opérations de maintenance et de sûreté nucléaire sera engagée.

De plus, Jean-Luc Mélenchon prévoit la mise en place d’une tarification progressive et sociale de l’électricité et annonce la fin des coupures d’électricité « qui se multiplient aux dépens des plus pauvres ».

Le Front de gauche vise la sobriété et l’efficacité énergétiques ainsi que la diversification des sources d’énergie par la programmation des investissements publics. Un effort massif en faveur de la recherche doit permettre de développer les énergies renouvelables.

Il s’engage à abroger la loi NOME (libéralisant le marché de l’électricité) et à lancer un réseau de géothermie profonde.

Au niveau thermique, un plan national de remise aux normes énergétiques des logements pour l’ensemble des bâtiments publics est envisagé. Afin de financer cette rénovation, une allocation sous conditions de ressources sera créée pour les particuliers.

Education

Le Front de gauche et Jean-Luc Mélenchon considèrent que les politiques publiques doivent placer « en leur coeur les enjeux de culture, d’art, de savoir, de création (…) ». La philosophie du programme éducatif de Jean-Luc Mélenchon est de combattre « la mise en concurrence des établissements », d’affirmer la nécessité de politiques éducatives « dans une logique de service public ». Jean-Luc Mélenchon veut une « école émancipatrice » qui permette de parvenir à une « culture scolaire commune pour tous par l’appropriation de savoirs ambitieux ».

Jean-Luc Mélenchon propose d’allonger le temps scolaire en instaurant un droit à la scolarité dès 2 ans et la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans. Il souhaite favoriser l’allongement des études au-delà du secondaire le plus possible.

Le candidat prône une redéfinition des programmes et de l’école, en prenant comme référence les élèves les plus défavorisés. Il se prononce également pour une relance de la recherche en éducation, le développement de la formation initiale et continue, et la création de « temps d’échanges pédagogiques » dans les établissements.

Jean-Luc Mélenchon prévoit un plan de lutte contre les inégalités sociales à l’école, qui passera par la mise en place d’un observatoire des inégalités, et par une nouvelle sectorisation scolaire pour favoriser les établissements les moins favorisés. Il précise que le soutien scolaire sera assuré par l’Education nationale.

Pour Jean-Luc Mélenchon, la suppression de postes dans l’Education nationale doit cesser. Il entend programmer un plan de recrutement pour rétablir les postes supprimés. Un « pré-recrutement » des enseignants serait institué afin de favoriser l’accès de tous au métier. Le candidat indique aussi qu’il rétablira les postes de conseillers d’orientation psychologues et les moyens des Rased.

Jean-Luc Mélenchon préconise une revalorisation de l’enseignement professionnel en augmentant de 50% l’investissement de l’Etat.

Enfin, Jean-Luc Mélenchon défend le cadre national des diplômes pour garantir à tous le droit à une qualification égale pour ceux qui ont suivi une même formation.

Formation professionnelle

Jean-Luc Mélenchon pose comme postulat de base que la formation professionnelle continue doit relever du service public. Ce service public est conçu comme un outil au service des politiques de développement économique. Dans cette perspective, il doit définir des plans de formation répondant aux besoins sociaux : énergies nouvelles, ferroutage, secteurs industriels à relocaliser….

Au sein de ce dispositif, chacun doit pouvoir bénéficier de parcours sécurisés dans l’emploi et la formation. Pour ce faire, le candidat du Front de gauche prévoit la mise en en place d’une sécurité sociale professionnelle prenant en charge les périodes de non-emploi, de formation ou de retrait d’activité, afin de garantir une continuité de revenu tout au long de la vie.

Pour financer ces dispositifs, Jean-Luc Mélenchon propose la création de fonds régionaux et d’un Fonds national pour l’emploi et la formation qui mobiliseraient des moyens d’intervention publique (bonifications d’intérêts, garanties d’emprunts) et seraient alimentés par « les fonds aujourd’hui gaspillés dans les cadeaux fiscaux et sociaux aux entreprises ».

Temps de travail

Le projet du Front de Gauche propose une application pleine des 35 heures, la suppression de l’annualisation du temps de travail, la compensation en embauches de l’application des 35 heures en particulier dans la fonction publique, la stricte limitation du recours aux heures supplémentaires, et la compensation salariale du rétablissement des 35 heures.

Finances publiques & fiscalité

Selon le candidat, la taxation des riches est « la clef de la solution de ce qu’il est convenu d’appeler la crise de la dette publique ». Il fait le constat suivant pour justifier ses propositions :

  • Les patrons du CAC 40 gagnent en moyenne 300 fois le revenu médian des Français. Un patron du CAC 40 gagne ainsi en 1 jour ce qu’un smicard gagne en 1 an.
  • Les 500 plus gros actionnaires français détiennent 15% du PIB contre 6% il y a 10 ans.
  • Les 10% les plus riches perçoivent 25% des revenus (et ont touché 33% des hausses de revenus de 2004 à 2007), les 10 % les moins riches en reçoivent 3,5%.
  • Depuis 1998, les revenus des 0,01% les plus riches (6 000 personnes) ont augmenté de 51%, ceux des 90% les moins riches (23 millions de salariés) de 3,1%. Les revenus des 6 000 plus riches ont donc augmenté 17 fois plus vite que ceux de 23 millions de personnes.

Jean-Luc Mélenchon promet par conséquent de rendre l’impôt sur le revenu plus progressif en créant neuf nouvelles tranches progressives du taux marginal supérieur actuel de 41% jusqu’à 100% (tous revenus confondus) au-delà de 20 fois le revenu médian (soit aujourd’hui 360 000 euros par an). Le candidat du Front de gauche vise ainsi un impôt à 14 tranches comme en 1981 avec un revenu maximum de 360 000 euros annuels, ce qui concerne « 0,05% des contribuables, soit 15 000 ultra-riches ». Les contribuables visés par les nouvelles tranches gagnent « plus de 70 000 euros de revenus annuels ».

Au total, « 100 000 très riches » seraient touchés par cette augmentation d’impôt, ce qui rapporterait 20 milliards d’euros.

Le candidat du Front de gauche estime que l’instauration d’un revenu maximum de 360 000 euros ne pénaliserait pas l’économie productive car le revenu moyen des 3 millions de chefs d’entreprise français (évalué à 40 000 euros annuels par Jean-Luc Mélenchon) est « nettement moins que les 70 000 euros à partir desquels la taxation serait relevée » et celui des patrons d’entreprises entre 50 et 100 salariés (110 000 euros annuels selon Jean-Luc Mélenchon) est « nettement en dessous du plafond de 360 000 euros proposé pour la taxation à 100 % ». En revanche, le revenu maximum « frapperait l’accumulation spéculative des rentiers qui se concentre dans les secteurs de la finance, de la communication et du show-business qui vampirisent toute l’économie ».

Jean-Luc Mélenchon prône également :

  • une augmentation de l’ISF,
  • une augmentation de l’impôt sur les revenus du capital,
  • une taxation des revenus financiers des entreprises,
  • la suppression des niches fiscales,
  • la suppression des exonérations de cotisations sociales patronales,
  • la mise en place du principe de modulation de l’impôt sur les sociétés (et du taux des cotisations sociales patronales) afin d’inciter les entreprises à développer la valeur ajoutée, les formations, les salaires et l’emploi, en pénalisant « les entreprises qui délocalisent, développent leurs placements financiers, ou se servent des nouvelles technologies pour supprimer des emplois et dégrader les conditions de travail ».

Jean-Luc Mélenchon envisage une réforme de la fiscalité locale en faisant participer les actifs matériels et financiers des entreprises.

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Membre, 32ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Je ne prends pas parti mais j'ai relevé cet article dans Capital...il m'a semblé pertinent!

Le coût astronomique du programme de Jean-Luc Mélenchon

Source : Capital.fr

05/04/2012 à 10:51 / Mis à jour le 05/04/2012 à 13:05

melenchon-tavernier_paysage360.jpg

©REA

Jean-Luc Mélenchon est-il crédible sur le plan économique ? Son programme risque en tout cas de coûter cher, très cher. A elles seules, les quelques mesures phares du candidat du Front de gauche engendreraient une facture de plus de 100 milliards d'euros, selon l'Institut de l'Entreprise, proche du patronat.

Parmi les propositions les plus onéreuses : le remboursement intégral des dépenses de santé couvertes par la Sécurité sociale. Le surcoût pourrait atteindre 76 milliards d'euros pour la Sécu en 2017, si elle prenait à son compte le reste à charge des ménages ainsi que la part financée par les mutuelles.

La réforme des retraites prônée par le candidat de gauche, qui prévoit le rétablissement du départ à 60 ans à taux plein pour tous, et la garantie qu'aucune pension ne soit inférieure au Smic, coûterait la bagatelle de 27 milliards d'euros par an à la fin du prochain quinquennat.

Le programme de Mélenchon prévoit aussi quelques recettes supplémentaires. Mettre fin aux exonérations de charges sociales accordées aux entreprises permettrait d'économiser 28 milliards d'euros. Mais cette mesure aurait un effet catastrophique pour l'emploi : plus de 800.000 postes seraient mis en péril, estime l'Institut de l'Entreprise.

Le marché du travail serait aussi mis à mal par la revalorisation de plus de 20% du salaire minimum, à 1.700 euros brut. Les experts citent une étude de l'Insee, selon laquelle une hausse de 10% du Smic aurait pour conséquence 290.000 chômeurs supplémentaires.

Enfin, la création d'un "pôle 100% public de l'énergie" risque de plomber les finances de l'Etat. La nationalisation à 100% d'EDF, GDF, Areva et Total alourdirait la dette de plus de 142 milliards d'euros. Pas sûr que les marchés financiers apprécient…

Tout d'abord, il faut voir le projet de Mélenchon comme un investissement dans l'économie.

Le principe même de l'investissement, c'est de coûter d'abord de l'argent pour en rapporter plus tard.

Je n'ai encore jamais vu un investissement qui ne coûte rien.

De plus, ne dit-on pas que c'est en période de crise qu'il faut investir?

Ensuite, le coût du programme ne me semble pas abérrant ( le Figaro parle de 150 milliards).

Mais il faut savoir que l'Etat donne chaque année 172 milliards d'aides publiques aux entreprises.

Alors on a de l'argent pour subsidier les entreprises, mais améliorer la protection sociale et investir dans la recherche c'est trop cher?

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