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Qu'est-ce qu'une maladie mentale ?

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Invités, Posté(e)
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Posté(e)

hum, d'après ce que je vois, on est loin de s'être fait comprendre Alors que je croyais le contraire.

.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Bah, c'est toi qui dit

Dans le trouble mental le problème est tout autre, à mon avis, le référentiel c’est "soi", mais aussi "soi parmi les autres" ; plus précisément c’est la relation qui est déséquilibrée et pathologique, c’est la relation à soi-même et/ou aux autres qui dysfonctionne.
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Membre, Posté(e)
dieux Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

MOI !

regarde mon pseudo il y de quoi en faire un cas psychiatrique non?

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  • 2 ans après...
Membre, 43ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 43ans‚
Posté(e)

J'ai relu partiellement ce sujet, que je trouve très intéressant.

J'avais discuté de cette définition de la maladie mentale avec un ancien dépressif.

Je suis contre cette appellation, pour la plupart des raisons invoquées par théia précédemment, et quelques autres que j'explique après.

Mais le témoignage de cet amis était intéressant. Il a été aidé par le fait qu'on lui dise que sa dépression était une maladie, et qu'il pouvait en guérir.

Je pense que c'est pour ça que les psy utilisaient cette expression, à l'origine.

Je le vois comme une sorte de "mensonge thérapeutique".

Il est plus facile d'expliquer à quelqu'un qu'il peut changer, que sa souffrance n'est pas une fatalité en empruntant poétiquement ce qui n'est rien d'autre qu'une métaphore, d'une maladie physique.

Si ça peut être utile d'user de métaphore pour aider quelqu'un, et faire passer un message sans s'encombrer des subtilités philosophiques et éthiques, je pense qu'il est très dangereux de prendre la métaphore pour la réalité, et de penser la chose comme étant réellement une maladie.

——————————————————————

J'ajoute une réflexion aux arguments de théia considérant que la souffrance n'est pas suffisante pour catégoriser une maladie.

La souffrance psychologique n'est pas dû qu'à un état de la personne. Mais au comportement de la société envers cette personne.

Or il existe une volonté consciente de manipulation politique, visant à masquer les problèmes de la société en problèmes individuels.

Un problème de société devient une "maladie", donc c'est l'individu qui intègre le problème en lui-même. C'est magique pour les vrais responsables : c'est presque l'individu qui devient "coupable" de sa souffrance. C'est l'individu qui devient "anormal" de souffrir.

Pouf, plus de responsable.

Je peux passer pour un "complotiste" en disant ça, mais je pense important que tout le monde sache que les pouvoirs publics organisent ça. Notamment des réunions, des "think tank", que nous pouvons parfaitement identifier. Dont le rôle est très exactement de construire des termes et des expressions qui servirons d'outils de propagande, pour orienter la population dans la direction désirée, et éviter qu'elles puissent penser correctement les responsabilités et les causalités.

Une fois ces expressions élaborées, les pouvoirs politiques obligent à leur utilisation. En ne subventionnant que ceux qui les utilises et les manient. Je pense que seuls ceux utilisant l'expression "maladie mentale" seront subventionnés. Nous ne sommes pas libres de réfléchir et d'élaborer nos propres concepts, nous sommes obligés de prendre ceux décidé par l'état.

Je prend un exemple : Un clochard était autrefois appelé un "exploité" (une situation sociale), et après être passé par "clochard" (ça devient un état), c'est devenu un SDF ( un problème technique, poussant au soutiens à l'industrie du bâtiment. et minimisant la situation puisqu'il y a une "solution". )

Exploité faisait trop penser au système qui l'amenait à cette situation. Ce mot était une accusation implicite du système qui l'avait amené là.

Les pouvoir politique ont changé ce mot, et ce plusieurs fois.

Car après clochard (qui devient un état de la personne, et non plus une conséquence de notre société), on s'est mit à "techniciser" le problème. ça devient un SDF… un sans domicile fixe.

Comme si le problème avait déjà une solution purement technique... Ce qui oriente la pensée des généreux vers le soutiens au lobbying de l'industrie du bâtiment, sans qu'ils s'en rendent compte.

Or s'ils sont des clochards, ça n'est pas uniquement parce qu'il n'ont pas de domiciles. Ils ont d'autres problèmes, grave, d'adaptation à la société. Ou plutôt, la société a des problèmes grave d'adaptation aux individus. Et là est le véritable problème, et les véritables responsabilités.

Je soupçonne très fortement cette expression "maladie mentale" de faire partit de ces pratiques de propagandes.

En particulier à une époque où la fuite vers le profits maximum de cours terme a considérablement accrus l'exploitation physique et psychologique des individus. À une époque ou les pressions exercées par la peur du chômage, par la "rigueur", par l'inflation des prix et la diminutions des revenus… Pousse un nombre de plus en plus croissant de personne à la dépressions (ou aux troubles musculo-squelettiques)

Dans ce contexte, je trouve vraiment "heureux" pour les pouvoir financiers et politiques que nous appelions ces conséquences de leur actes et de leur décision des "maladies mentales"…

Et que nous évitions par cette "fausse idée", de trop penser aux causes réelles qui les ont provoquées.

Je soupçonne très fortement cette expression d'avoir été forgé dans le but très conscient de stigmatiser une population, et de la désolidariser des autres, en dévalorisant la situation et en attirant la pitié plutôt que l'indignation.

Car il est écrit dans tous les manuels de management, que les conflits sociaux nécessitent un regroupement autours de terme positif.

Être exploité permet de fédérer, car un exploité est quelqu'un qui produit de la valeur. On peut par solidarité (et non par pitié) se joindre à des exploités dans leur lutte. On peut avec dignité se revendiquer exploité, car c'est l'exploiteur qui est indigne.

Personne ne souhaite être qualifié de "malade mental". Personne ne se regroupera derrière ce terme. Et on évite ainsi la création d'un mouvement social.

Ces techniques de dissolutions des mouvements sociaux sont parfaitement décris dans les manuels de management.

Je prend peut être un peu de hauteur par rapport au sujet initial, mais je pense que cet autre point de vu est nécessaire pour comprendre le problèmes dans l'utilisation de ce terme.

Tu passes d'exploité à "malade mental"… c'est tellement facile.

Je suis sûr que la suite à venir, lorsqu'on aura intégré suffisamment cette expression méprisante, sera un truc du genre des "NM : non-médicalisé".

Concept qui, sous couvert de "politiquement correct", poussera au soutiens inconscient de l'industrie pharmaceutique. Et devant la recrudescence des malades, nous poussera à soutenir et développer des "centres de médicalisation" (plus ou moins forcée bien sûr) des "malades"… ( car pourquoi ne pas soigner une maladie, si on a les moyens techniques de le faire ? )

Malades qui on le "droit" à être drogué comme tout le monde, pour continuer à être productif.

Le pire, c'est qu'on le fera en étant persuadé qu'on agit "généreusement", en drogant de force des individus qui deviennent fou à cause de la sur-exploitation. ^^

Modifié par Titsta
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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Si c'est pour éviter qu'ils fassent du mal à d'autres, alors c'est le législateur.

Pour le reste, désolé, mais violer la volonté d'un individu, je trouve ça assez répugnant, même avec la plus grande envie de gentillesse. Qu'une personne trouve ça bien, soit. Mais moi je pense aussi à celle qui se retrouve légumisé "pour son bien" au tercian ou autre.

Bonjour,

@Casdenor, Oui, le législateur pour ceux qui font du mal à d'autres après je te rejoins si une personne se fait du mal à elle-même et qu'elle ne souhaite pas prendre des médicaments, c'est son choix. Mais ce que je trouve très difficile à répondre, c'est à quel moment, on peut penser que l'autre peut être responsable de lui-même et donc lui laisser prendre sa décision.

@Titsta, je vois que tu as relancé le sujet d'où parfois on peut se rendre compte qu'avec du recul, en se relisant, nos réponses pourraient être différentes.

Modifié par samira123
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

@Casdenor, Oui, le législateur pour ceux qui font du mal à d'autres après je te rejoins si une personne se fait du mal à elle-même et qu'elle ne souhaite pas prendre des médicaments, c'est son choix. Mais ce que je trouve très difficile à répondre, c'est à quel moment, on peut penser que l'autre peut être responsable de lui-même et donc lui laisser prendre sa décision.

à mon sens, c'est très simple, en situation de crise (j'appelle situation de crise mise en danger de sa vie), on peut passer outre la décision de la personne sur une durée limitée. En dehors, on ne peut pas.

Il est extrêmement dangereux de vouloir agir différemment, parce qu'un individu demeure, avant tout, lui et pas "un patient" ou "un appareil à réparer"

Mais le témoignage de cet amis était intéressant. Il a été aidé par le fait qu'on lui dise que sa dépression était une maladie, et qu'il pouvait en guérir.

C'est d'ailleurs le point où l'on fait, de plus en plus, la différence entre maladie mentale / trouble psys et... neuroatypicité.

Parce que s'il est exact qu'on peut guérir quelque part de la dépression, on ne peut pas "guérir" de la bipolarité, et il est tellement rare qu'on ne soit plus schizophrène qu'on peut pratiquement dire qu'on ne peut pas en guérir (ou en tout cas que dire à un-e schizophrène qu'iel peut en guérir est franchement violent m'est avis).

Et c'est là aussi tout le problème. Pourquoi avoir mis dans le même sac des états radicalement différents, en ce sens que certains, on veut vivre avec, d'autres on veut s'en séparer ? à cause du problème de la norme, encore une fois. Si t'es pas dedans, faut y entrer.

On commence juste à s'en sortir. On commence à réfléchir à la différence entre les troubles psys / maladies mentales, et les divergences de fonctionnement psychique.

On commence, dans le même temps, à amener une critique sérieuse de la psychiatrie qui est souvent un outil de consolidation de l'ordre établi.

On commence à peine à étudier les dégâts psychiques des violences du système, à découvrir les liens entre diagnostic et racisme, diagnostic et sexisme, ainsi qu'entre sexisme & troubles psys, et racisme & trouble psy.

On est en train de comprendre que le bloc "fous" et "folie" n'a rien à voir avec l'image qu'on s'en faisait.

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Membre, forumeur éclairé, 54ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
54ans‚ forumeur éclairé,
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en fait j'ai vu un reportage sur ce DSM et cette association qui au delà de répertorier les maladies mentales en invente au profit du lobby pharmaceutique pour mettre sur le marché toujours plus de médicament et inversement, une fois que le médicament existe, c'est bien la preuve que c'est une maladie et qu'il faut la soigner.

exemple, si tout le monde marche dans la rue en regardant autour de soi et que quelque uns se prennent sans arrêt les poteaux parce qu'il regarde les nuages , il y à maladie mentale, ces gens on certainement un trouble de la concentration qui les empêches d'être dans le moule.

par contre si ça va à l'encontre de l’intérêt d'un autre lobbys là on ne fait rien.

un schizophrène à parfaitement le droit de porter une arme, un tuberculeux n'est pas restreins de fumer, un jeune étudient d'université qui participe à des orgies d'alcool et de drogue chaque semaine c'est normale mais si il à du mal à suivre les cours avec ça c'est à cause de trouble de l'attention dont le médecin prescrit un traitement quasi permanent sans aucun problème etc, etc..

ha le rêve américain.rolleyes.gif

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

un schizophrène à parfaitement le droit de porter une arme, un tuberculeux n'est pas restreins de fumer, un jeune étudient d'université qui participe à des orgies d'alcool et de drogue chaque semaine c'est normale mais si il à du mal à suivre les cours avec ça c'est à cause de trouble de l'attention dont le médecin prescrit un traitement quasi permanent sans aucun problème etc, etc..

Précision: les schizophrènes sont moins susceptibles que la population normale d'assassiner quelqu'un.

Ils sont en revanche plus susceptibles d'être assassinés.

Voilà un exemple de préjugé destructeur.

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Membre, forumeur éclairé, 54ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
54ans‚ forumeur éclairé,
Posté(e)

Précision: les schizophrènes sont moins susceptibles que la population normale d'assassiner quelqu'un.

Ils sont en revanche plus susceptibles d'être assassinés.

Voilà un exemple de préjugé destructeur.

oui peut être , il me semblait avoir vu quelques reportages ou certain était très agressif comme certain paranoïaque bien que ce ne soit pas une généralité mais ce n'était pas le fond de mon propos qui montre du doit la face caché de ce DMS.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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Je conçois tout à fait, mais sur ce point, c'était un très mauvais exemple, qui montre d'ailleurs qu'à côté du DSM, il y a un gros problème de médiatisation amenant ce genre de pensée.

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Membre, forumeur éclairé, 54ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
54ans‚ forumeur éclairé,
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oui, c'est certain que les médias sont plus là pour nous mettre des clichés dans la tête que pour les enlever.sleep8ge.gif mince encore un cliché mais celui là c'est internet qui me la foutu dans le crane, smiley_ohwell.gif c't'un média aussi.sleep8ge.gif

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Invité s
Invités, Posté(e)
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Invité s Invités 0 message
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à mon sens, c'est très simple, en situation de crise (j'appelle situation de crise mise en danger de sa vie), on peut passer outre la décision de la personne sur une durée limitée. En dehors, on ne peut pas.

Il est extrêmement dangereux de vouloir agir différemment, parce qu'un individu demeure, avant tout, lui et pas "un patient" ou "un appareil à réparer"

(Mise en danger de sa vie), si une personne préfère mourir parce qu'elle sait que l'on ne peut pas la guérir mais juste lui donner des médicaments qui vont l'empêcher d'avoir des idées suicidaires. Qu'est ce qui est mieux, lui donner des médicaments en sachant que cela ne peut être dans une durée limitée puisque dès l'arrêt du traitement, la personne a de nouveau des idées suicidaires ou l'aider à partir si c'est son souhait ?

Modifié par samira123
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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(Mise en danger de sa vie), si une personne préfère mourir parce qu'elle sait que l'on ne peut pas la guérir mais juste lui donner des médicaments qui vont l'empêcher d'avoir des idées suicidaires. Qu'est ce qui est mieux, lui donner des médicaments en sachant que cela ne peut être dans une durée limitée puisque dès l'arrêt du traitement, la personne a de nouveau des idées suicidaires ou l'aider à partir si c'est son souhait ?

Hormis dans le cas où la personne est incapable physiquement de se tuer, je ne crois pas qu'aider une personne à mourir ait un intérêt.

En revanche, je ne pense pas non plus qu'on ait le droit de forcer cette personne à prendre des médicaments.

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Hormis dans le cas où la personne est incapable physiquement de se tuer, je ne crois pas qu'aider une personne à mourir ait un intérêt.

En revanche, je ne pense pas non plus qu'on ait le droit de forcer cette personne à prendre des médicaments.

Donc la laisser partir d'elle-même si tu penses qu'on ne peut la forcer à prendre des médicaments.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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Je ne pense pas, en effet, qu'en dehors des situations de crises (donc à durée limitée) le fait de forcer la prise de médicaments soit acceptable.

Le fait de forcer la prise de médocs cause d'énormes soucis. Je pourrais faire une longue liste de personnes, dont certaines très proches, qui ont eu droit à des médocs obligatoires lesquels ont causé des dégâts si ce n'est irréversible, qui, au moins, se sont poursuivis (ou se poursuivent) sur des années. Anorexie, Boulimie, Dépression, problème de reins, asthme grave etc...

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Invité s Invités 0 message
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Oui mais je suis d'accord avec toi Casdenor mais là j'évoque un cas où la personne, on ne peut pas lui donner des médicaments que dans une situation limitée puisque les idées suicidaires reviendront dès l'arrêt, donc à part, soit l'aider à partir, soit la laisser partir ou lui donner des médicaments continuellement même si celle-ci n'est pas d'accord, je ne vois pas d'autres possibilités.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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Je refuse l'idée d'aider une personne à mourir si elle est capable de le faire physiquement.

Je refuse l'idée de forcer à donner des médicaments à une personne hormis en cas de crise.

Le reste, c'est la responsabilité de la personne. (et entre nous, le cas en question est plus un homme de paille qu'une réalité, surtout comparé à l'immensité des autres cas)

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Invité s
Invités, Posté(e)
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Invité s Invités 0 message
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Pour ma part, je ne trouve pas que ce n'est pas la réalité parce que même si d'un point de vue général, on pourrait trouver qu'il y a énormément d'abus dans ces traitements envers les patients, on ne peut pas ne pas considérer ses cas puisque le médecin y est confronté.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
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Ah mais je ne dis pas qu'il ne faut pas les considérer, je dis qu'ils sont instrumentalisés comme épouvantail pour justifier la prise forcée de médicaments, et détruire des centaines de fois plus de vies.

Donc non, forcer une personne à prendre des médicaments sur la durée, ça reste inadmissible.

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Membre, Raven, 42ans Posté(e)
Mak Marceau Membre 5 697 messages
42ans‚ Raven,
Posté(e)

Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), publié par l'Association américaine de psychiatrie, est un manuel de référence classifiant et catégorisant des critères diagnostiques et recherches statistiques de troubles mentaux spécifiques. Il est utilisé aux États-Unis, et internationalement à travers le monde, par les cliniciens, chercheurs, psychiatres et compagnies d'assurance santé et pharmaceutiques, ainsi que par le grand public.

(...)

La valeur clinique du DSM, depuis la troisième édition, est l'objet de vives critiques de la part de certains psychiatres et psychologues cliniciens, entre autres ceux qui se référent à la psychopathologie psychanalytique1.

---

Avec quelques forumeurs, nous avons commencé à discuter sur un autre topic de la pertinence de ce manuel de référence, avec une question en filigrane : Qu’est ce qu’une maladie mentale ? Quels devraient être les critères retenus ?

Dans la mesure où - contrairement aux maladies physiologiques - il n'existe aucun indicateur biochimique, neurologique ou génétique, dans nombre de troubles psychiatriques, certains trouvent abusif de les nommer "maladies mentales" et défendent l’idée que seuls ceux qui souffrent devraient être déclarés malades.

Quelques citations qui illustrent cette idée :

Et sur la pédophilie en particulier :

Il ne s’agit pas ici de parler de la pédophilie en particulier, mais de la maladie mentale en générale.

Qu’est ce qu’une maladie mentale selon vous ?

Quels critères devraient être retenus pour déclarer un individu "malade mental" ?

Celui de la souffrance est-il suffisant ? Est-il même nécessaire ?

Quelle serait votre définition de la maladie mentale ?

En d'autres termes, qu'est ce qu'un "esprit pathologique" selon vous?

.

Dépend des chefs et des états ou des organisations au pouvoir.

J'aime autant tenir mes critères secret pour l'instant.

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