Confrontation réussir sa vie / espérance de vie

Deux scénarios imaginaires.

Une personne qui réussit ses études en cravachant pour y arriver, et qui finit rock star internationale, PDG, acteur de cinéma ou président de la république. Une personne qui gagne bien sa vie. Qui a un beau ou une belle partenaire et de beaux enfants. Une belle maison, qui a voyagé souvent et découvert le monde. Une personne qui est célèbre et appréciée de son pays, voire du monde entier.

Cette personne, pour raisons de santé, décède à 50 ans.

Une autre personne, qui ne s'est pas prise au sérieux dans ses études, qui a abandonné vite fait. Devenue intérimaire, chômeuse, puis suite à des endettements, SDF pendant 15 ans, puis un peu de la taule aussi, puis par chance cette personne se trouve un toit, modeste mais un toit et du travail. La personne travaille comme ouvrier. La retraite ? Minable fiscalement. Mais bon, elle s'y fait.

Et puis, comme cette personne n'a pas que de la malchance, elle meurt de sa belle mort à 100 ans, dans son lit, de vieillesse.

Entre ces deux vies, laquelle est-il préférable de vivre ?

Moi je dirais la première.

Faut vraiment choisir entre Charybde et Scylla ?

50 ans c'est pas le pire hein ... Jésus en avait 33 ...

Sérieusement, oui un choix.

Faut-il rajouter des années à la vie ou de la vie aux années ??

Nan mais c'est pas ça le problème, on doit choisir obligatoirement entre une vie de 50ans de merde et une vie de 100ans pourrie ? Sérieux ?

Ce ne sont que des exemples dans le but de confronter la réussite sociale et l'espérance de vie.

Dans le premier paragraphe, je n'ai pas décrit une vie socio-professionnelle de merde.

Ah non, t'as pas décrit une vie socio professionnelle de merde.

Mais t'as décrit une vie de merde.

surtout que dans ces deux extrême , en général , c'est pas un choix , mais sa viens du milieu social d’où on sort qui nous dirige , ver un chooix ou l'autre . rare ceux qui décide d'eux même .

Salut.

Le bonheur, c'est un état d'esprit. Dans la doctrine bouddhiste, la souffrance est causée par l'attachement. Détachez-vous de tout et rien ne pourra vous rendre malheureux. Alors n°2.

++

La numéro 1

La une, j'aurais préféré vivre que 30 ans; mais heureuse plutôt que 50 ans, malheureuse. Et ce ne sont pas des paroles en l'air.

Le bonheur, c'est un état d'esprit. Dans la doctrine bouddhiste, la souffrance est causée par l'attachement. Détachez-vous de tout et rien ne pourra vous rendre malheureux.

c'est meme pas moi qui le dit. pourtant ca reste discutable, puisque vivre tout seul sans attachement est aussi une vie malheureuse.

la souffrance serait elle donc humaine INEVITABLE?

il faudrait donc l'accepter.

hum... comme dirait l'autre "vie de merde"

Moi je choisi un mix des 2 :

Ne pas me prendre au sérieux, faire des études pour le fun, avoir un job simple ou je suis libre, voyager souvent, faire des choses un peu hors du commun, ne surtout pas être célèbre, ni riche, ni apprécié du monde entier, mes amis proches me suffisent, et découvrir le monde, assouvir mes rêves puis claquer subitement à 50 ans d'une mort accidentelle.

Avec ça, je devrais pas être trop malheureux non ?

Tout pareil que la laitue au dessus :D

La 1 sans hésier. Avoir une vie de merde ne m'interesse pas.

C'est quoi une "vie de merde" ?

Marylin Monroe est morte à 36 ans et je doute qu'elle ait eu une vie de merde.

Elvis à 42 ans.

JF Kennedy à peu près au même âge ...

Steve Jobs ...

Maryline Monroe a certainement vécu de très belles choses, mais j'ai cru comprendre qu'au final c'était une femme extrêmement seule et très loin d'être heureuse.

Je ne désirerai sa vie pour rien au monde...

Autant pour moi... sa mort aura été assez bête .... les médocs ...

Et quand on prend à ce point des médocs (à priori à tendance anti-dépresseurs), c'est que ça va pas fort fort .........

Dans la culture grecque antique, mourir jeune n'était pas forcément vu comme quelque chose de malheureux. Au contraire, le jeune, en pleine force de l'âge, a pu accomplir des actes de bravoure. Mort jeune, sa mémoire ne sera pas entâché de mauvaises actions, qui ont plus de chance d'arriver à mesure que l'on vit longtemps.