Face à la presse, Sarkozy défend son grand emprunt et son bilan économique

de la promotion

du commercial

Sa spécialité non ?

absolument!

Un emprunt d'Etat pour financer essentiellement des boites privées...

Ou comment faire pour encore filer de la tune à des potes.

Même si ces boites ne remboursent jamais, pas grave, dans tous les cas se sera encore le contribuable qui mettra la main à la poche.

Nous sommes bien dans un système boursier qui permet à qui le veut d'investir dans la boite de son choix non ?

Oui, dans un domaine industriel que je connais bien, on cherche à diminuer la charge de ses investissements pour développer de nouvelles technos via des subventions.

Il faut savoir que l'état via ses organismes de recherche a toujours fait des contrats avec le privé et le subventionne en quelque sorte

Depuis quelques années, l'Europe apporte aussi ses subventions

Dans tous les cas, la subvention ne représente que la moitié et l'industriel doit financer l'autre moitié

alors, le grand emprunt, c'est une aubaine pour les industriels de ce secteur.

Ce sont des technos qui auraient de toutes façon été développées car elles en ont besoin pour garder des produits compétitifs.

Alors j'imagine qu'une grande partie de ce grand emprunt ne générera pas d'activité supplémentaire mais financera les entreprises.

Je vois pas l'intérêt de favoriser la recherche. Car une fois la trouvaille faite, les emplois seront délocalisés encore une fois pour faire plus de tunes.

A dix mois de la présidentielle, Nicolas Sarkozy a fait lundi devant la presse la promotion de sa politique économique en dressant un premier bilan d'un "grand emprunt" selon lui incontournable pour que la France "reste une grande nation" et "préserve son modèle social".

Il n’y a rien de plus antisocial qu’un grand emprunt. Il s’agit de vendre des obligations d’État à des taux intéressants à ceux qui ne savent quoi faire de leur argent tant ils en ont, plutôt que de leur faire payer quelque impôt.

Face à plus de 180 journalistes réunis à l'Elysée pour la quatrième conférence de presse de son mandat, le chef de l'Etat a défendu pendant une heure et demie, exemples à l'appui, sa décision de dépenser 35 milliards d'euros dans "l'innovation, la recherche et l'investissement" pour "relancer la croissance" et "ne pas subir la mondialisation".

"Jamais dans son histoire la France n'a fait un tel effort au service des investissements", a lancé d'entrée M. Sarkozy en égrenant les enveloppes attribuées à l'enseignement, la recherche et la formation (19 milliards d'euros), aux filières industrielles (6,5 mds), l'énergie et le développement durable (5 mds) et le numérique (4,5 mds).

Enfumage.

La droite au pouvoir a démantelé le CNRS, supprimé les IUFM, supprimé des postes par dizaines de milliers dans la recherche et l’enseignement. Il est impossible pour un génie, aujourd’hui, d’obtenir un poste de chercheur en France.

Je vois pas l'intérêt de favoriser la recherche. Car une fois la trouvaille faite, les emplois seront délocalisés encore une fois pour faire plus de tunes.

La recherche ne vise pas uniquement, et pas non plus directement, le progrès technique.

Ensuite, le progrès technique, c’est aussi ce qui fait qu’on peut travailler aujourd’hui 35 heures et avoir du chômage, alors qu’on travaillait 70 heures en 1900. Était-ce mieux ?

Le chômage, les délocalisations, tiennent beaucoup plus à l’absence d’ambition industrielle nationale au sommet de l’État, et à la dictature de la finance et du capital, qu’à l’existence d’une recherche publique.

J’ai bien dit publique. Car c’est une sacré blague que de prétendre que les entreprises privées, qu’on leur donne ou non des milliards d’euros de « crédits impôt recherche », font de la recherche.

La recherche est en effet une activité utile à long terme, et coopérative (tous en bénéficieront). Quelque chose d’entièrement contraire à une entité mue par la survie, la compétition, et le rendement à court terme.

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    Face à plus de 180 journalistes réunis à l'Elysée pour la quatrième conférence de presse de son mandat, le chef de l'Etat a défendu pendant une heure et demie, exemples à l'appui, sa décision de dépenser 35 milliards d'euros dans "l'innovation, la recherche et l'investissement" pour "relancer la croissance" et "ne pas subir la mondialisation".

Je suis mort de rire! Sarko qui essaie d'imiter Le Pen dans son anti-mondialisation.

Non sérieusement, ce n'est que du vent ce qu'il promet et il n'osera surement pas proner le protectionnisme pour nous protéger contre la Chine.

Se trouve-t-il encore des "innocents" pour croire les vantardises de sarko?

C'est peut être, avec être à la botte de ses copains capitalistes, ce qu'il sait faire de mieux: l'autopromotion.....

en oubliant bien sur toutes les promesses et engagements no-tenus....

J'aimerais bien par exemple, qu'il vienne nous parler de la république irréprochable qu'il nous avait promis, entouré des estros, ijoyandet, boutin, blanc et autres si honnêtes personnages politiques de son entourage!

sarko n'a jamais regle aucun probleme , il les a juste deplace

a part son sentiment de superiorite et sa grande geule y a pas grand chose a en tirer

houps !et les super cadeaux a ses potes sur le dos du contribuable afin d'assure sa retraite

c'est un taucard!!!