j'ai 14 ans et j'aimerais écrire un livre

Bonjour, je m'appelle Edène et j'ai 14 ans, voilà,

j'adore écrire des petites histoires qui peuvent touchées sur tous les sujets et sur tous les genres même si j'ai une préférence pour les Policiers et les thrillers.

J'aimerai écrire un livre, car pour l'instant, je ne fais que des petites histoires de environs deux pages.

Le seul problème, c'est que je me suis habituée a faire rentrer mon histoire dans quelques pages et je n'arrive pas à la développer pour que celle-ci en fasse plus d'un centaine.

Au bout de trois lignes, je bloc et ma feuille reste pratiquement blanche.

Je me demandai aussi si 14ans n'était pas un peu tôt pour m'aventurer là dedans.

Peut-on faire publier un livre à mon âge (même si je sais que quand je l'aurai terminer j'aurai bien deux ans de plus ) ?

J'ai aussi du mal à construire (inventer) une histoire originale qui me plaise, car mes idées, j'ai l'impression qu'elles sont déjà prises et je ne voudrait pas copier quelqu'un d'autre.

Enfin, je voudrai des conseils pour améliorer ma technique et des avis extérieures sur ma façon d'écrire.

Cordialement .:D Edène

Peut-on faire publier un livre à mon âge (même si je sais que quand je l'aurai terminer j'aurai bien deux ans de plus ) ?

On peut, certaines l'ont fait.

Après, il est pas facile de trouver un éditeur. Si tu veux à tout prix publier, tu peux essayer Publibook.

Je te conseille juste de continuer à faire des petites histoires en développant toutes les idées qui te viennent à l'esprit, en essayant d'agrandir à chaque fois, ça devrait venir.

PS : Attention a l'orthographe

En fait, l'idée d'écrire un livre me trotte dans la tête depuis bien trois ans déjà, j'ai fait plein de débuts d'histoires que je n'arrivais jamais à terminer, mais j'ai vraiment envie d'écrire un livre. Mes copines me disent que je devrai faire écrivaine, car elles trouvent mes textes géniaux, mais ce sont des copines et je ne sais pas si leurs points de vue et très objectif (sachant qu'elles ont environ 10/20 en rédactions alors que moi mes notes tournent autour de 17/20).

Si vous voulez, je peux vous mettre une de mes histoires pour que vous puissiez me dire si je me débrouille bien.

excusez moi pour les fautes d'orthographe :blush:

Bonsoir, tu bloques peut être au bout de trois lignes, du fait que tu veux écrire un livre, et que tu veux le faire trop parfaitement. Laisse toi guider par ton imagination et écris comme il te semble, après tu pourras le reprendre, ou trouver des personnes qui pourront te donner des conseils pour progresser; si tu cherches trop rapidement à écrire un livre, tu ne vas pas y arriver.

PS : Attention a l'orthographe

+1

Je te conseille d'utiliser un correcteur automatique, ça te permettras d'améliorer encore ton orthographe.

Bien sûr que tu peux ! Il y a même des gens plus jeunes qui ont été publiés :) Mais bon je pense que tu devrais juste écrire un livre (ou des nouvelles) pour le plaisir avant tout, avant de penser à être publiée C'est quand même vraiment rare ! (Malheureusement :/)

Sinon, le journal pour ados l'actu propose chaque année un concours de nouvelles réservé aux moins de 18 ans : Le Prix Clara. Tu pourrais surement proposer ta candidature ! Il n'y pas de thème imposé, et le jury ne demande pas très long : de 5 à 70 pages. :) Par contre dépêche-toi, parce que la date butoir est le 11 mai 2011 ! Les lauréats du concours seront publiés !! (Éditions Eloïse D'Hormesson)

Et le plus : Les bénéfices des ventes vont à une association caritatives pour enfants malades !

Renseigne-toi sur internet, il y a plein d'infos !

Bonne chance ! :)

PS : Comme dit Tityus, fais attention à l'orthographe, surtout si tu envoies ta nouvelles ! ;D

Quelques conseils comme ça, même si je n'écris pas vraiment.

Avant de te lancer dans un livre d'une centaine de page, pourquoi ne pas évoluer plus doucement, tu apprendrais ainsi à étoffer tes histoires, commence par passer de 2 à 4/5 pages, puis essaye une dizaine, et ainsi de suite. Ca te fera un entrainement.

Et aussi tu pourrais reprendre, dans un 1er temps, tes anciens écrits, avec le temps, peuvent mûrir de nouvelles idées, ça va te permettre d'ajouter de nouvelles choses à tes récits, comme ça, tu pourras prolonger un peu tes textes à ça t'aidera pour les prochains.

Puis, si tu "t'inquiètes", parce que tu as 10 idées à la seconde, tu peux commencer par rédiger les différentes idées que tu as et seulement après, tu choisis celle qui te convient le mieux une fois rédigée, celle que tu penses pouvoir le mieux étoffer, qui te semble être la plus intéressante, etc.

Quelques conseils comme ça, même si je n'écris pas vraiment.

Avant de te lancer dans un livre d'une centaine de page, pourquoi ne pas évoluer plus doucement, tu apprendrais ainsi à étoffer tes histoires, commence par passer de 2 à 4/5 pages, puis essaye une dizaine, et ainsi de suite. Ca te fera un entrainement.

Et aussi tu pourrais reprendre, dans un 1er temps, tes anciens écrits, avec le temps, peuvent mûrir de nouvelles idées, ça va te permettre d'ajouter de nouvelles choses à tes récits, comme ça, tu pourras prolonger un peu tes textes à ça t'aidera pour les prochains.

Puis, si tu "t'inquiètes", parce que tu as 10 idées à la seconde, tu peux commencer par rédiger les différentes idées que tu as et seulement après, tu choisis celle qui te convient le mieux une fois rédigée, celle que tu penses pouvoir le mieux étoffer, qui te semble être la plus intéressante, etc.

merci de tes conseils, je vais faire ça.:D

http://fabrissou.kazeo.com/la-colline-corrompue,a1917341.html

écrit à l'âge de sept ans sur la machine à écrire que mes parents m'avaient offert ; à l'époque on avait pas toute cette technologie Web 10. *jten mets plein la vue" ; nan j'étais TOUT SEUL sur la machine à écrire offerte par mes parents, et c'est en ayant des pensées positives à l'égard de leur cadeau que j'ai commencé à écrire ; étant donné qu'effectivement pour écrire "bien" faut un minimum savoir de quoi on parle, forcément mon sujet était donc ben des choses connues quoi..... mais donc c'est point infaisable, suffit de visualiser un endroit familier, un peu comme font les sophrologues, et après laisser virevolter l'imagination.. bon courage ^^

bien que des fois faut pas aveuglément se fier aux notes scolaires, si elles sont très hautes, car certes des fois des profs te disent sérieusement ce qu'ils en pensent, en aparté par rapport au reste de la classe, même des fois ils s'excusent d'avoir fait tomber leur gobelet de café sur ta copie, mais le "commun" ils s'en foutent complètement, balançant des dix sept et des dix huit sur vingt comme ça simplement parce que tu as une excellente orthographe et scrupuleusement respecté leurs consignes, alors bon gare aux mauvaises influences de ton environnement, mais gare aussi aux apparences, trouve un juste milieu en faisant surtout ce qui te plaît, quitte à faire plutôt un journal intime au début afin d'aiguiser ta plume en quelque sorte..... bon jréitère : courage...

Abattu par l'idée de ne plus revoir son chien et ses compagnons de beuverie et de ne plus sentir cette émanation de joints venant du salon de jazz, William s'avance lentement vers le comptoir. Il s'assoit sur l'un des tabourets en peau de boeuf, tellement sale et inconfortable qu'il ferait sûrement fuir un touriste se trouvant encore en état de sobriété ; mais pour le peu de visiteurs qu'accueillait la petite ville Tormstone situé à l'ouest de l'Arizona, le gérant du Toro-Peligrosso avait bien d'autres occupations que de nettoyer les sièges.

Il commande alors à Reynolds, le barman, un whisky bien corsé. Pendant que celui-ci prépare sa boisson, William se demande s'il survivra à ce qui l'attend prochainement.

Il se souvient qu'il n'a pas eu le choix et qu'il s'est vu contraint d'accepter la demande en duel de Cody Barnett.

William est persuadé d'être tué, comme il est sûr que la bière est de l'alcool.

Le serveur lui dépose un verre à moitié plein sous le nez en lui disant "_ Voilà pour toi, Bonnepoire !"

Le jeune Walker a reçu ce qualificatif à cause de la relation entre son prénom et la poire William.

Il se dit qu'il ne va pas boire son whisky tout de suite, car il a mal au ventre. C'est alors qu'il plonge sa tête dans ses bras entrecroisés et se remémore la scène qui va bientôt l'emmener aux portes du bagne.

Cody Barnett, la terreur locale, a sorti son énorme revolver et a crié : " _ William ! tu oses coucher avec ma femme tandis que je suis dans la plaine à chasser le lapin ! ".

Bonnepoire se tenait nu comme un ver, dans la petite chambre dont les murs étaient recouverts de têtes d'animaux empaillées et Ingrid en tenue d'Eve était prostrée, dans le lit. William savait d'avance que si Cody découvrait qu'il commettait l'acte de chair avec sa femme, il le tuerait sans le moindre état d'âme.

Il avait du mal à expliquer son attirance pour Ingrid, d'autant qu'elle ne ressemblait pas à Mona-Lisa, ou à la fille du shérif qu'il trouvait belle et séduisante. Le fait de coucher avec la femme de l'homme le plus dangereux de la vile était sûrement la seule chose qui l'avait attirée chez elle.

"_Tu vas me le payer !"lança Cody.

Sous l'effet de la colère, ses veines se sont mises à gonfler et sa respiration sa respiration était devenue haletante.

Ingrid s'est interposée entre eux et il espérait qu'elle les séparerait et qu'elle défendrait corps et âme leur amour naissant. Au lieu de cela, elle a continué son chemin vers le sofa et se prenant les pieds dans le tapis, elle est tombée en se fracassant bruyamment la tête contre la table de chevet. A ce bruit Barnett s'est retourné et s'est précipité vers elle. En voyant la gigantesque flaque rouge sur le parquet, il s'est mis à pousser de petits gémissements qui ressemblaient à des pleurs.

Il avait lâché son pistolet et William a entrepris de se sauver, mais au moment même où il a saisi la poignée, Cody a tourné la tête en lui hurlant "_ C'est pas fini Bonnepoire ! ce n'est qu'une question d'heures avant que tu sois un homme mort ! tu peux partir, mais saches que je te retrouverai, où que tu sois."

Sur le moment, ces paroles ne lui ont fait ni chaud ni froid. Il a pris ses jambes à son cou et a détalé le plus vite possible, dans les escaliers en bois qui grinçaient terriblement sous le poids de ses pas.

Voici un extrait d'une de mes histoires, dites le moi si vous voulez la suite, je vous la donnerai demain.

Donnez-moi vos avis, négative ou positif, je veux pouvoir m'améliorer.

MERCI. Bonsoir.:D

http://fabrissou.kaz...e,a1917341.html

écrit à l'âge de sept ans sur la machine à écrire que mes parents m'avaient offert ; à l'époque on avait pas toute cette technologie Web 10. *jten mets plein la vue" ; nan j'étais TOUT SEUL sur la machine à écrire offerte par mes parents, et c'est en ayant des pensées positives à l'égard de leur cadeau que j'ai commencé à écrire ; étant donné qu'effectivement pour écrire "bien" faut un minimum savoir de quoi on parle, forcément mon sujet était donc ben des choses connues quoi..... mais donc c'est point infaisable, suffit de visualiser un endroit familier, un peu comme font les sophrologues, et après laisser virevolter l'imagination.. bon courage ^^

bien que des fois faut pas aveuglément se fier aux notes scolaires, si elles sont très hautes, car certes des fois des profs te disent sérieusement ce qu'ils en pensent, en aparté par rapport au reste de la classe, même des fois ils s'excusent d'avoir fait tomber leur gobelet de café sur ta copie, mais le "commun" ils s'en foutent complètement, balançant des dix sept et des dix huit sur vingt comme ça simplement parce que tu as une excellente orthographe et scrupuleusement respecté leurs consignes, alors bon gare aux mauvaises influences de ton environnement, mais gare aussi aux apparences, trouve un juste milieu en faisant surtout ce qui te plaît, quitte à faire plutôt un journal intime au début afin d'aiguiser ta plume en quelque sorte..... bon jréitère : courage...

J'espère que tu pourras lire l'extrait d'une de mes histoires pour dire ce que tu en penses, comme cela je verrais si j'écris du "commun" ou si je peux tenter ma chance dans l'écriture d'un livre. Je te remercie de ta franchise. Je n'écris pas vraiment mes textes sur l'ordinateur, mais plutôt dans un cahier. A bientôt. :)

Pas mal.

Cependant, évite les tournures un peu ampoulée. Par exemple : se trouvant encore en état de sobriété pourrait avantageusement être remplacé par "encore sobre".

A 14 ans, je trouve que tu te débrouilles pas mal. Si c’est ta passion, renseigne-toi pour te faire aider afin de progresser, tu as déjà de l’imagination et ton texte est agréable à lire, il te manque surtout à peaufiner ton écriture, mais avec du temps, tu y arriveras sûrement.

Pas mal.

Cependant, évite les tournures un peu ampoulée. Par exemple : se trouvant encore en état de sobriété pourrait avantageusement être remplacé par "encore sobre".

c'est vrai tu as raison, je ferai attention.

J'trouve ça vraiment pas mal, même si je rejoins l'avis de grenouille verte, pour certainement tournures.

VOICI un autre de mes textes, c'est un thème complètement différent, vous verrez, donnez moi vos avis. Merci ! :D:pardon:

Blottit bien au chaud au fond de son terrier, il se réveilla tranquillement et étira ses quatre pattes une à une. Il ressentit un frisson de frayeur quand il sentit les griffes aiguisées de son frère contre sa joue . A ce contact, il poussa un léger cri de désarroi. La chambre était décidément très étriquée. L'animal ouvrit les yeux et pour la première fois de sa vie, aperçut dans quelle sorte d'endroit il logeait. Il trouvait qu'il faisait très sombre. Il contempla un brin de lumière qui se glissa en quelques secondes sur la pièce laissant deviner des murs de terre et un sol tapit d'herbes sèches. Il fût incroyable pour lui de voir enfin. Étant né depuis quelques semaines, il pensait qu'il allait rester aveugle toute sa vie comme il croyait qu'il resterait avec une peau lisse et sans poils. Finalement, il avait acquis une épaisse et douce fourrure. Il se remit délicatement sur ses pattes afin de ne pas rentrer une nouvelle fois en collision avec son congénère. Il voulait sortir de là.

Il remarqua que l'endroit abritait ses cinq frères et sœurs encore endormis. Ne voyant aucune issues, il essaya de se frayer un chemin parmi les autres et s'aperçut que l'un d'entre eux bouchait le conduit. Il entreprit de passer par-dessus.

L'animal s'engouffra dans le tunnel. Il n'aima guère cette sensation d'étouffement qu'il éprouva dans cet étroit couloir. De plus, la terre qui lui tombait dessus, rendait cette ascension digne d'un cauchemar. Il se trouva presque à la verticale et dut décupler ses forces pour s'accrocher aux parois terreuses. Plus il avançait, plus il remarquait que le tunnel s'élargissait et devenait boueux.

Il sortit et s'agrippa au terrain humide. Il se secoua afin d'enlever les résidus sur sa fourrure et contempla le paysage. Il découvrit de gigantesques arbres qui s'étaient dressés au dessus de lui. Il huma l'herbe fraîche qui laissait s'échapper un merveilleux effluve de fleurs et observa le ciel nuageux qui se mit à recouvrir la lumière du soleil. Derrière un amas de pierres, il aperçut une silhouette brune et réussit à sentir le parfum de celle qui l'avait maternée jusque là. Il parti la rejoindre en trottinant gaillardement, quand soudain à l'arrière il entendit un sifflement strident le stoppant net. Il se retourna et vit une dizaine de frimousses affolées le fixer du regard. Il comprit que quelque chose allait lui arriver et décida de retrouver sa mère. Il courut vers elle en poussant de petits cris de frayeur et juste avant qu'il parvienne à la rejoindre, un aigle royale se jeta sur le petit pour l'entrainer dans la forêt.

Il était terrorisé et avait froid. Le paysage défila devant lui tellement vite qu'il ne put pas voir où il était. Pendu aux serres du rapace, la tête à l'envers, il essaya de se débattre, mais en vain. L'animal volait près du sol où les branches d'arbres devenaient de véritables obstacles pour l'oiseau. Le quadrupède se plia en deux et alla mordre la patte du volatile. L'aigle glapit de douleur et se prit un tronc en pleine tête. Il lâcha brusquement sa prise et comme désorienté fuit dans la forêt. Le marmotton tomba dans un parterre de brindilles et perdit connaissance. Quelques minutes plus tard, il fut ranimé par une pluie diluvienne. Il ne se sentit pas très bien et eut une très forte douleur au niveau du cou. Il était las et aurait bien voulu rester allonger jusqu'à ce qu'il reprenne des forces. Mais il ne pouvait rester sous cette horrible averse et il voulait plus que tout retrouver sa famille. Il se releva faiblement et se mit à marcher. Il fut dur pour lui de regagner le terrain vague, car la pluie recouvrait sa vue d'un voile blanchâtre. Il n'eut que pour faible indication le tronc d'arbre taché de sang. Il sentait la boue s'engouffrer sous ses ongles, il était trempé jusqu'à la moelle et avait ses membres comme paralysés de froid. Cela faisait déjà plusieurs minutes qu'il trottinait sur des feuilles mortes. Il commença soudainement à sentir de l'herbe sous ses coussinets. Il pensa que cela voulait dire qu'il était sur la bonne voie. La pluie s'arrêta, il faisait face à un immense terrain verdoyant entouré de pierres. Il était enfin arrivé ! L'endroit était désert. Le bébé marmotte eut un soupçon de panique qui s'effaça rapidement en voyant sortir de plusieurs trous ses congénères. Ils commencèrent à siffler gaiement en guise de soulagement et quant elle le vit, sa mère courut à sa rencontre. Il fut tellement heureux de la retrouver qu'il sifflota de bonheur ! Ils se blottirent l'un contre l'autre et se laissèrent ainsi bercer par le chant des oiseaux.

Bonjour, je m'appelle Edène et j'ai 14 ans, voilà,

j'adore écrire des petites histoires qui peuvent touchées sur tous les sujets et sur tous les genres même si j'ai une préférence pour les Policiers et les thrillers.

J'aimerai écrire un livre, car pour l'instant, je ne fais que des petites histoires de environs deux pages.

Le seul problème, c'est que je me suis habituée a faire rentrer mon histoire dans quelques pages et je n'arrive pas à la développer pour que celle-ci en fasse plus d'un centaine.

Au bout de trois lignes, je bloc et ma feuille reste pratiquement blanche.

Je me demandai aussi si 14ans n'était pas un peu tôt pour m'aventurer là dedans.

Peut-on faire publier un livre à mon âge (même si je sais que quand je l'aurai terminer j'aurai bien deux ans de plus ) ?

J'ai aussi du mal à construire (inventer) une histoire originale qui me plaise, car mes idées, j'ai l'impression qu'elles sont déjà prises et je ne voudrait pas copier quelqu'un d'autre.

Enfin, je voudrai des conseils pour améliorer ma technique et des avis extérieures sur ma façon d'écrire.

Cordialement .:D Edène

bojour .avant de chercher une maison d ' éditions , il faut que tu soit capable d ' écrire une histoire compléte .l ' àge n ' à pas d 'importance ni les fautes d 'hortographe, la maison d 'éditions les fera corriger par un logitiel de traitement de texte et par leurs correcteurs si t ' on histoire en vaux le coup .pour écrire une histoire , il faut avoir un sujet qui te plait et un minimum d ' imagination .l ' idéal , c 'est de vivre l 'avanture de tes personnages avec eux , resentire leurs peines , leurs joies ou leurs angoisses .ne pas chercher à faire de la litérature grandiloquante à moin que tu soit douée pour cela . choisie un théme simple au départ , et laisse toi emporter par l ' histoire sans te creuser les méninges vie la et racconte la avec simplicitée .tu finira peut-ètre à vivre avec les personnages de fiction sortis de ton imagination .ne te décourage pas , on n ' à pas batti paris en un jour , patience et longueur de temps sont les mamelles de la réussite .bonne soirée .

Abattu par l'idée de ne plus revoir son chien et ses compagnons de beuverie et de ne plus sentir cette émanation de joints venant du salon de jazz, William s'avance lentement vers le comptoir. Il s'assoit sur l'un des tabourets en peau de boeuf, tellement sale et inconfortable qu'il ferait sûrement fuir un touriste se trouvant encore en état de sobriété ; mais pour le peu de visiteurs qu'accueillait la petite ville Tormstone situé à l'ouest de l'Arizona, le gérant du Toro-Peligrosso avait bien d'autres occupations que de nettoyer les sièges.

Il commande alors à Reynolds, le barman, un whisky bien corsé. Pendant que celui-ci prépare sa boisson, William se demande s'il survivra à ce qui l'attend prochainement.

Il se souvient qu'il n'a pas eu le choix et qu'il s'est vu contraint d'accepter la demande en duel de Cody Barnett.

William est persuadé d'être tué, comme il est sûr que la bière est de l'alcool.

Le serveur lui dépose un verre à moitié plein sous le nez en lui disant "_ Voilà pour toi, Bonnepoire !"

Le jeune Walker a reçu ce qualificatif à cause de la relation entre son prénom et la poire William.

Il se dit qu'il ne va pas boire son whisky tout de suite, car il a mal au ventre. C'est alors qu'il plonge sa tête dans ses bras entrecroisés et se remémore la scène qui va bientôt l'emmener aux portes du bagne.

Cody Barnett, la terreur locale, a sorti son énorme revolver et a crié : " _ William ! tu oses coucher avec ma femme tandis que je suis dans la plaine à chasser le lapin ! ".

Bonnepoire se tenait nu comme un ver, dans la petite chambre dont les murs étaient recouverts de têtes d'animaux empaillées et Ingrid en tenue d'Eve était prostrée, dans le lit. William savait d'avance que si Cody découvrait qu'il commettait l'acte de chair avec sa femme, il le tuerait sans le moindre état d'âme.

Il avait du mal à expliquer son attirance pour Ingrid, d'autant qu'elle ne ressemblait pas à Mona-Lisa, ou à la fille du shérif qu'il trouvait belle et séduisante. Le fait de coucher avec la femme de l'homme le plus dangereux de la vile était sûrement la seule chose qui l'avait attirée chez elle.

"_Tu vas me le payer !"lança Cody.

Sous l'effet de la colère, ses veines se sont mises à gonfler et sa respiration sa respiration était devenue haletante.

Ingrid s'est interposée entre eux et il espérait qu'elle les séparerait et qu'elle défendrait corps et âme leur amour naissant. Au lieu de cela, elle a continué son chemin vers le sofa et se prenant les pieds dans le tapis, elle est tombée en se fracassant bruyamment la tête contre la table de chevet. A ce bruit Barnett s'est retourné et s'est précipité vers elle. En voyant la gigantesque flaque rouge sur le parquet, il s'est mis à pousser de petits gémissements qui ressemblaient à des pleurs.

Il avait lâché son pistolet et William a entrepris de se sauver, mais au moment même où il a saisi la poignée, Cody a tourné la tête en lui hurlant "_ C'est pas fini Bonnepoire ! ce n'est qu'une question d'heures avant que tu sois un homme mort ! tu peux partir, mais saches que je te retrouverai, où que tu sois."

Sur le moment, ces paroles ne lui ont fait ni chaud ni froid. Il a pris ses jambes à son cou et a détalé le plus vite possible, dans les escaliers en bois qui grinçaient terriblement sous le poids de ses pas.

Voici un extrait d'une de mes histoires, dites le moi si vous voulez la suite, je vous la donnerai demain.

Donnez-moi vos avis, négative ou positif, je veux pouvoir m'améliorer.

MERCI. Bonsoir.:D

j ' ai lu t 'on texte , pour quelqu ' un de 14 ans , çe n ' est pas mal du tout .fait attention à çe que tu écrit , tu dit que l ' homme est surpris nu dans une chambre avec la femme de celui qui les surprend et , tu dit que s ' il se doute de quelque actes sexuel , il va se venger ,réfléchit , un homme nu avec la femme en petite tenue il est certain qu ' ils ne jouaient pas à la belotte . à moins , que çe soit un effet comique ? continue .

Abattu par l'idée de ne plus revoir son chien et ses compagnons de beuverie et de ne plus sentir cette émanation de joints venant du salon de jazz, William s'avance lentement vers le comptoir. Il s'assoit sur l'un des tabourets en peau de boeuf, tellement sale et inconfortable qu'il ferait sûrement fuir un touriste se trouvant encore en état de sobriété ; mais pour le peu de visiteurs qu'accueillait la petite ville Tormstone situé à l'ouest de l'Arizona, le gérant du Toro-Peligrosso avait bien d'autres occupations que de nettoyer les sièges.

Il commande alors à Reynolds, le barman, un whisky bien corsé. Pendant que celui-ci prépare sa boisson, William se demande s'il survivra à ce qui l'attend prochainement.

Il se souvient qu'il n'a pas eu le choix et qu'il s'est vu contraint d'accepter la demande en duel de Cody Barnett.

William est persuadé d'être tué, comme il est sûr que la bière est de l'alcool.

Le serveur lui dépose un verre à moitié plein sous le nez en lui disant "_ Voilà pour toi, Bonnepoire !"

Le jeune Walker a reçu ce qualificatif à cause de la relation entre son prénom et la poire William.

Il se dit qu'il ne va pas boire son whisky tout de suite, car il a mal au ventre. C'est alors qu'il plonge sa tête dans ses bras entrecroisés et se remémore la scène qui va bientôt l'emmener aux portes du bagne.

Cody Barnett, la terreur locale, a sorti son énorme revolver et a crié : " _ William ! tu oses coucher avec ma femme tandis que je suis dans la plaine à chasser le lapin ! ".

Bonnepoire se tenait nu comme un ver, dans la petite chambre dont les murs étaient recouverts de têtes d'animaux empaillées et Ingrid en tenue d'Eve était prostrée, dans le lit. William savait d'avance que si Cody découvrait qu'il commettait l'acte de chair avec sa femme, il le tuerait sans le moindre état d'âme.

Il avait du mal à expliquer son attirance pour Ingrid, d'autant qu'elle ne ressemblait pas à Mona-Lisa, ou à la fille du shérif qu'il trouvait belle et séduisante. Le fait de coucher avec la femme de l'homme le plus dangereux de la vile était sûrement la seule chose qui l'avait attirée chez elle.

"_Tu vas me le payer !"lança Cody.

Sous l'effet de la colère, ses veines se sont mises à gonfler et sa respiration sa respiration était devenue haletante.

Ingrid s'est interposée entre eux et il espérait qu'elle les séparerait et qu'elle défendrait corps et âme leur amour naissant. Au lieu de cela, elle a continué son chemin vers le sofa et se prenant les pieds dans le tapis, elle est tombée en se fracassant bruyamment la tête contre la table de chevet. A ce bruit Barnett s'est retourné et s'est précipité vers elle. En voyant la gigantesque flaque rouge sur le parquet, il s'est mis à pousser de petits gémissements qui ressemblaient à des pleurs.

Il avait lâché son pistolet et William a entrepris de se sauver, mais au moment même où il a saisi la poignée, Cody a tourné la tête en lui hurlant "_ C'est pas fini Bonnepoire ! ce n'est qu'une question d'heures avant que tu sois un homme mort ! tu peux partir, mais saches que je te retrouverai, où que tu sois."

Sur le moment, ces paroles ne lui ont fait ni chaud ni froid. Il a pris ses jambes à son cou et a détalé le plus vite possible, dans les escaliers en bois qui grinçaient terriblement sous le poids de ses pas.

Voici un extrait d'une de mes histoires, dites le moi si vous voulez la suite, je vous la donnerai demain.

Donnez-moi vos avis, négative ou positif, je veux pouvoir m'améliorer.

MERCI. Bonsoir.:D

Oui c'est vrai c'est pas mal ! Franchement , globalement j'aime assez bien ton écriture ! ^^ Juste un petit truc qui m'a gêné : A la fin, quand tu racontes l'enchaînement d'actions, tu n'utilises pas le passé simple, et j'ai eu du mal à accrocher à cette scène, normalement clé et pleine de rebondissement qui sont censés "emporter le lecteur". Et là, franchement, j'ai pas senti que le récit accélérait... Voilà c'est tout pour les reproches, avec c'est vrai la présence de quelques phrases un peu lourdes ;P

Continues comme ça, peut-être qu'en progressant tu parviendras à être publiée !

Bonne chance !