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Anthracite, pour l'instant c'est excellent, à voir la suite

sur arte cinema

En 1846, le quartier de Five Points, un faubourg pauvre de New York, est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, les Dead Rabbits menés par Père Vallon, et les Native Americans de l'autre, dirigés par le sanguinaire Bill le Boucher. Ce dernier met rapidement en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend par la même occasion le contrôle exclusif des rues de la "grosse pomme". Afin de renforcer ses pouvoirs, Bill s'allie avec Boss Tweed, un politicien influent.

Seize ans plus tard, le gang des Native Americans règne toujours en maître dans New York. Devenu adulte, Amsterdam Vallon souhaite venger la mort de son père en éliminant Bill. Mais sa rencontre avec Jenny Everdeane, une énigmatique pickpocket dont l'indépendance et la beauté le fascinent, va compliquer les choses...

il y a 5 minutes, Axo lotl a dit :

sur arte cinema

En 1846, le quartier de Five Points, un faubourg pauvre de New York, est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, les Dead Rabbits menés par Père Vallon, et les Native Americans de l'autre, dirigés par le sanguinaire Bill le Boucher. Ce dernier met rapidement en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend par la même occasion le contrôle exclusif des rues de la "grosse pomme". Afin de renforcer ses pouvoirs, Bill s'allie avec Boss Tweed, un politicien influent.

Seize ans plus tard, le gang des Native Americans règne toujours en maître dans New York. Devenu adulte, Amsterdam Vallon souhaite venger la mort de son père en éliminant Bill. Mais sa rencontre avec Jenny Everdeane, une énigmatique pickpocket dont l'indépendance et la beauté le fascinent, va compliquer les choses...

j'aime beaucoup ce film ! une pléthore de bons acteurs

je survole "tout simplement noir", sur Netflix

"Apocalypse : les Débarquements", sur France 2.

Le commentaire, lu par Mathieu Kassowitz est intéressant, mais n'apprend pas grand-chose quand on connaît bien le sujet. Par contre les images, souvent inédites, sont passionnantes. Je dois dire que la colorisation des images en noir et blanc  a fait beaucoup de progrès.

The sinner, sur Netflix.

Il y a 3 heures, Gouderien a dit :

"Apocalypse : les Débarquements", sur France 2.

Le commentaire, lu par Mathieu Kassowitz est intéressant, mais n'apprend pas grand-chose quand on connaît bien le sujet. Par contre les images, souvent inédites, sont passionnantes. Je dois dire que la colorisation des images en noir et blanc  a fait beaucoup de progrès.

Idem. J'ai appris deux, trois trucs quand même. Le 6 juin à minuit, 156 000 soldats (parfaitement équipés) ont débarqué. Cette opération est un grand succès, incontestable. On insiste toujours sur le cas d'Omaha, parce que sur cette plage, rien, absolument rien, ne s'est passé comme prévu : parachutistes chargés de la prise à revers largués au mauvais endroit, bombardement aérien raté, débarquement des blindés raté, ... la mouise intégrale. En fait, avec ce débarquement commence la bataille de Normandie, qui elle sera beaucoup plus dure (dixit les psychiatres U.S.), le débarquement l'éclipse un peu. Une dernière chose. Tout ce que les états-major avaient prévu juste après la phase de débarquement ne s'est pas passé comme prévu. Je résume la pensée de Moltke (Helmuth, grand famille de grands soldats), vainqueur des français en 1870 : " La première victime de la guerre, c'est le plan ".

P.S. Il fallait pendre Mac-Mahon, etc., O.K., je sors !

Il y a 6 heures, Neopilina a dit :

 

P.S. Il fallait pendre Mac-Mahon, etc., O.K., je sors !

Quel rapport avec le débarquement?

Il y a 6 heures, Gouderien a dit :

Quel rapport avec le débarquement?

Au dessus, je signale qu'hormis la phase de débarquement, après celui-ci, rien de ce que les alliés avaient planifié ne s'est passé comme prévu. D'où ma référence à Moltke, ce qui amène à la guerre de 1870. Lors de celle-ci, les soldats français se battent au moins aussi bien que les " prussiens ", mais ils sont dirigés par des incapables plus soucieux de politique. Quand Guillaume se rend à Gravelotte, victoire stratégique pour eux, il pleure quand même devant l'ampleur des pertes. Le désastre de 1870 est bien dû aux Mac-Mahon, Bazaine, etc., qui veulent garder la main sur le pays. Les communards ne voulaient pas du cessez le feu, et dans toute la France des troupes montaient vers le Nord. Les Allemands savaient qu'ils devaient faire très vite, ils ont très habillement joué les divisions françaises. Les Versaillais et les allemands se sont très très bien entendus pour écraser les " autres " français.

Il y a 1 heure, Neopilina a dit :

Au dessus, je signale qu'hormis la phase de débarquement, après celui-ci, rien de ce que les alliés avaient planifié ne s'est passé comme prévu. D'où ma référence à Moltke, ce qui amène à la guerre de 1870. Lors de celle-ci, les soldats français se battent au moins aussi bien que les " prussiens ", mais ils sont dirigés par des incapables plus soucieux de politique. Quand Guillaume se rend à Gravelotte, victoire stratégique pour eux, il pleure quand même devant l'ampleur des pertes. Le désastre de 1870 est bien dû aux Mac-Mahon, Bazaine, etc., qui veulent garder la main sur le pays. Les communards ne voulaient pas du cessez le feu, et dans toute la France des troupes montaient vers le Nord. Les Allemands savaient qu'ils devaient faire très vite, ils ont très habillement joué les divisions françaises. Les Versaillais et les allemands se sont très très bien entendus pour écraser les " autres " français.

En 1870 l'armée française est très mal organisée et, vivant encore dans le souvenir du Ier Empire, éprouve en face des Prussiens un sentiment de supériorité que rien ne justifie. Les généraux français ne sont effectivement pas très bons, mais surtout Napoléon III est malade - monter à cheval est un supplice pour lui - et pourtant il tient à conduire les opérations, ce qui va conduire au désastre de Sedan, à l'issue duquel il est fait prisonnier.

En juin 1944, les Alliés avaient planifié le débarquement avec un luxe de détails inouï, et grosso-modo les choses se sont passées conformément aux prévisions, plus facilement à Utah Beach et plus difficilement à Omaha. Le gros problème est que Montgomery ne réussit pas à prendre Caen le premier jour comme c'était prévu, ce qui va conduire à une longue bataille d'usure, d'autant que les Alliés sont surpris par la nature du bocage normand, qui offre de bonnes opportunités de défense aux Allemands. Les plus graves problèmes de planification se produiront après la percée, quand la logistique ne réussira plus à suivre le rythme de l'avance alliée, puis quand il faudra choisir un objectif décisif, avec l'espoir de finir la guerre avant la fin de l'année - ce qui n'arrivera pas. C'est là qu'on verra les limites d'Eisenhower, plus diplomate que général en chef...

"D-Day, 100 jours pour la liberté", sur TF1.

Pour une fois TF1 propose un documentaire sérieux sur un sujet d'histoire. Pas mal fait, aussi complet qu'on peut l'être en deux heures, peu d'oublis (ah si, on a peu parlé des parachutistes). Comme souvent maintenant, l'accent est mis aussi sur les côtés "noirs" de la Libération, comme les bombardements des villes françaises, les viols, l'épuration sauvage.

Il y a 10 heures, Gouderien a dit :

En 1870 l'armée française est très mal organisée et, vivant encore dans le souvenir du Ier Empire, éprouve en face des Prussiens un sentiment de supériorité que rien ne justifie.

C'est vrai. Le patriotisme, le courage, ne suffisent pas. L'armée française avait quelques trains de retard. A contrario, du coté allemand, chaque chose était à sa place, et le tout a parfaitement fonctionné : L'Empereur, Bismarck et Moltke. Le coup du siècle. Et 5 milliards de francs-or de compensation. Ce qui a permis la refonte urbaine totale de Berlin (en retard sur toute les métropoles européennes), etc., etc., etc.

Je veux juste dire une chose à propos de la Commune de 1871. En France, en 2024, j'aimerais bien qu'on appelle un chat, un chat : c'était une guerre civile.

Il y a 4 heures, Neopilina a dit :

 

Je veux juste dire une chose à propos de la Commune de 1871. En France, en 2024, j'aimerais bien qu'on appelle un chat, un chat : c'était une guerre civile.

Bien sûr.

Empire du Soleil. de Speilberg.

Hier soir sur arte:

"la maison de la rue en pente" (série japonaise de 6 épisodes)

Il me reste les deux derniers épisodes à voir.

Une jeune femme mène une vie paisible avec son mari et sa fillette jusqu'au jour où elle se voit nommée jurée suppléante dans un procès d'assises (procès d'une jeune mère ayant noyé son bébé).

On assiste au long des épisodes au quotidien des épouses et mères au Japon, aux difficultés auxquelles elles sont confrontées lorsqu'elles travaillent, leur soumission à leur mari et le comportement de celui-ci.

Un parallèle est fait entre l'histoire de la jeune accusée et celle de cette jeune femme confrontée aux mêmes problèmes qu'elle, avec son mari et avec sa mère; elle s'identifie à elle.

Glaçant...

Sur arte

https://www.arte.tv/fr/videos/104024-000-A/femmes-massais-et-rangers/

Au Kenya, deux gardes forestières s’engagent pour une cohabitation pacifique entre humains et faune sauvage, sur fond d’émancipation féminine. 

Leah et Purity sont gardes forestières dans la brousse kényane. Chaque jour, elles parcourent le parc national d’Amboseli, au pied du Kilimandjaro. Elles interviennent souvent dans les villages massaïs environnants pour éviter que les habitants ne se vengent après l’attaque de leurs troupeaux ou pour rassurer ceux qui ont subi les incursions des animaux sauvages sur leur territoire. Ce documentaire donne un aperçu du quotidien de deux femmes engagées pour une cohabitation pacifique entre les hommes et les animaux, qui luttent aussi pour leur indépendance dans une société régie par des traditions patriarcales. 

Sur ARTE

Quand elle avait cinq ans, l'écrivaine Stefanie Zweig a quitté l'Allemagne de Hitler avec sa mère pour rejoindre son père au Kenya, dans une pauvre ferme du bush où celui-ci, ayant perçu la menace mortelle du nazisme, avait trouvé un emploi. Plus tard, elle a tiré du grand amour qu'elle a immédiatement éprouvé pour les gens et les lieux un roman autobiographique, qui fut un best-seller en Allemagne.

"The Killer" de David Fincher. Sur Netflix.

Un tueur à gages (Michael Fassbinder) rate sa cible, à Paris. Dès lors pour lui les ennuis commencent. Mais en fait c'est surtout pour les gens qui se trouvent sur son chemin que ça va chauffer. L'acteur germano-irlandais se montre très convaincant dans le rôle de ce tueur froid, méthodique et impitoyable.