Poésie libre...

j'ai oublié les clefs de ma maison sans porte , que le diable m'emporte

tu m'y attendais , mais je ne crois pas que je reviendrai

laisse-moi courir les mondes improbables

du haut de ces tours le Temps nous observe

les étoiles lui racontent combien nous sommes seuls

alors laisse-moi partir pour que jamais nous ne puissions mourir

et vivre si fort que nous en pissions de rire !

Derrière vous laissés sur votre sillage

N'oubliez les enfants fruits de la passion

Se gaussant de la Mer et de vos mensonges

Comme de l'an quarante et vos ramages

Semblables au vent ne les font aux virages

De la voie lactée ni rire ni chanter du moins si sages

Ils sont demeurés en attendant une rallonge

Autant des rivages de l'Océan que : de leur argent de poche !

Tant l'humain sur cette planète n'est point "tel" un poisson dans l'eau....

(enfin jdis ça jme demande ce que j'ai fumé en même temps ^^ Xd)

Je trouve le mien très bof, mais bon. Je l'ai fait pour l'occasion, alors on va au moins partager cette horreur.

Mon c¿ur s'éteint lentement et sans un bruit

Dans un coin abandonné d'une rue fréquentée,

Et il se laisse piétiner par chacun des passants

Qui veut bien participer à cette sympathique tuerie.

Mais est-ce ainsi possible d'achever les cris

D'un morceau de corps à ce point meurtris?

Je l'ignore, mais que je sache, jusqu'ici la mort

N'a jamais tué la mort, si ce n'est par la vie.

Nous sommes ainsi, terminé dans notre inconscience,

Terminé car impuissant de ne pouvoir le faire battre

Rien qu'une seconde, de ne pouvoir donner incandescence

A la flamme inexistante, ou de percevoir les battements

D'une machinerie imparfaite autant qu'inutilisable.

Mon c¿ur, cet outil qui m'est si essentiel

Et qui, de par les essais et les factices espoir,

N'a jamais cessé de ne pas fonctionner.

J'aime bien,

C'est du lourd du dur.

Mon coeur, cet outil qui m'est si essentiel

Et qui, de par les essais et les factices espoirs

N'a jamais cessé de ne pas fonctionner.

C'est bon, voilà.

Salut,

Slkpax

Merci pour le message slkpax

Parfois, on pense que le plus difficile est de vivre,

Que l'ultime épreuve est de trouver de quoi être ivre.

Parfois, on pense que la vie, c'est être enfin libre,

Que c'est avoir le cœur qui palpite et qui en vibre.

Pourtant, après avoir cherché un peu à comprendre,

Suite à quelques erreurs insuffisantes pour se pendre,

On remarque que le bonheur n'est pas ce morceau tendre

Dont nous souhaitons tous goûter, supputer, puis vendre.

Car si l'amour est d'or, si chère est l'âme de la belle aimante,

Le corps de l'amante est de diamant, à la forme charmante.

Car la fidélité est faible face à l'envie, face à ces provocantes

Pulsions dont un homme s'enivre à des heures parfois étonnantes.

Seulement alors, après la rencontre et une nécessaire adultère,

On sait que le bonheur, ce n'est pas partager sa vie entière

Avec l'esprit d'une seule femme, mais bien de s'en défaire

Par la peur et le désir, de se laisser envahir par notre état primaire.

un nécessaire adultère ; c'est du masculin....

Du masculin, ouai.

Même si je ne pense rien de ce que j'ai écrit.

En faite, j'avais autre chose en tête, au début.

Mais finalement, je me suis abstenu. Ca évite le personnel, encore et toujours.

Et puis, ça plaira (presque) à la gente masculine, hein

Non mais en réalité, je disais plutôt par cet 'exemple' que ce que l'on veut, c'est jamais ce que l'on a.

Que la vie, c'est pas le bonheur, c'est le désir.

Et pour la troisième édition, j'vais redire le contraire, qui est que je n'avais aucune idée dans la tête, si ce n'est dire que l'adultère, c'est la vie x)

Fast and furious

Nuit et voitures....

Un air, un refrain, nous

Comme un genou

Mon esprit agenouillé

Face à quelques fantasmes

Faits avant-hier soir au ciné

Avant de me plonger en rêve

Dans une illusoire indépendance

M'ont obligé à coucher des mots

Dés mon réveil sur de nouveaux maux.....

Comme cela arrive souvent, jour après jour

Salut CHATOOO ! tu vas bien? je vous rejoins j'ai eu un contre temps , une incapacité à faire face, une vicissitude de la vie, une banalité de chaque jour, continue frère à tout à l'heure...

Une hirondelle me dit de la suivre,

Mais je ne peux la poursuivre,

Car mes ailes ont brûlés,

A force d'avoir trop aimer.

Le soleil, astre somptueux,

M'a rendu malheureux.

Mais je vis encore,

Car mon essor sera réservé,

A mon coeur en or.

Ah comme il me tarde,

D'avoir le sourire,

et l'âme charitable.

J'aime le genre humain,

et non le Malin.

Comme c'est étrange le soleil qui se lève alors que j'ai envie de dormir

Comme c'est bizarre la nuit qui noircit l'atmosphère alors que j'ai envie de fuir

La lumière défile sur le film de mes paupières closes

L'excitation monte à l'heure du couché

Je dors dans la pénombre et marche sur des bris de brume, né de l'horreur ou fille des ténèbres

Je rêve dans le monde imaginaire de la réalité

Mes sens sont des voies oniriques qu'emprunte la fureur du dehors jusqu'à mon corps, jusqu'à mon coeur

La passion s'évapore face aux monstres d'air et d'eau

Mais l'esprit la capture dans sa mémoire et la rend aux nouvelles créatures du futur

Je ne me lasse pas de rester allonger, à rêver, à imaginer

Je navigue sur mon lit et ne me relève que lorsque viennent les fourmis

J'aime bien que les heures comptent pour du beurre et que tout compte pour rien.

J'ai rêvé que je rêvais

Mais ce n'était qu'un rêve.

La solitude

Qui es-tu solitude

Amie ou ennemie

Je t'aime par habitude

Mais je te hais aussi

Cela dépend des heures

Du soleil, de la pluie

Pour changer mon humeur

Pour que tu me souries

Trop de monde parfois

Evince ta présence

Ou alors d'autres fois

Je désire ton absence

Je ne sais pas toujours

Comment t'apprivoiser

Et parfois ton amour

Me retrouve enchaînée

Viens, je te prends pour amie

Viens hanter mes pensées

C'est bon pour aujourd'hui

Mais demain, je ne sais...

Comme c'est étrange le soleil qui se lève alors que j'ai envie de dormir

Comme c'est bizarre la nuit qui noircit l'atmosphère alors que j'ai envie de fuir

La lumière défile sur le film de mes paupières closes

L'excitation monte à l'heure du couché

Et moi, Reath, j'aime bien ce passage là, bien que le reste soit très bien aussi.

Cosette 2, j'adore ton poème.

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Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Je crois que je n’ai jamais su

T’attendre vraiment

Te dire que je l’ai voulu

Sans que ce soit autrement

Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Je crois que je n’ai jamais pu

Assumer réellement

Ce rôle d’abruti déchu

Avec qui tu joues gaiement

Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Je crois que j’aurais dû te tuer

Le premier où je t’ai aperçu

Toi et ton sourire à tomber

Je crois que j’aurais pu t’écorcher

La peau en ce jour d’euphorie

Te montrer mon inexistante folie

Que j’apprécie tant ignorer

Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

poème du matou...

l'amour ou la mort ?

l'alpha ou l'oméga ?

tel est le sujet du remord,

qui brisa le silence du chat

avait-elle tord ?

cette souris qui l'accusa,

elle lui dit que de l'or,

il avalait s'il la mangeait

il détruisait s'il la tuait

alors que s'il la laissait,

elle lui donnerait,

cet or, si merveilleux,

quelle détenait

il la laissa donc partir,

en pensant la revoir,

tôt ou tard,

mais la maligne,

qui pensait déjà au dicton

"quand le chat n'est pas là, les souris dansent !"

se fit écraser par un camion,

si gros,si maladroit, si dense...

et le chat, attendant là,

se lassa, puis repartit à la chasse aux rats,

décidé, à l'idée de tous les exterminer...

Comme c'est étrange le soleil qui se lève alors que j'ai envie de dormir

Comme c'est bizarre la nuit qui noircit l'atmosphère alors que j'ai envie de fuir

La lumière défile sur le film de mes paupières closes

L'excitation monte à l'heure du couché

Et moi, Reath, j'aime bien ce passage là, bien que le reste soit très bien aussi.

Cosette 2, j'adore ton poème.

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Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Je crois que je n’ai jamais su

T’attendre vraiment

Te dire que je l’ai voulu

Sans que ce soit autrement

Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Je crois que je n’ai jamais pu

Assumer réellement

Ce rôle d’abruti déchu

Avec qui tu joues gaiement

Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Je crois que j’aurais dû te tuer

Le premier où je t’ai aperçu

Toi et ton sourire à tomber

Je crois que j’aurais pu t’écorcher

La peau en ce jour d’euphorie

Te montrer mon inexistante folie

Que j’apprécie tant ignorer

Mon cœur mort s’éteignait dans la paume de ma main.

Je venais de l’arracher à l’aide de ce couteau de cuisine.

Merci cher Jedino

Pour ce beau compliment

Tu es trop indulgent

Sous ma plume les mots

Ont du mal à rimer

Je préfère de beaucoup

Mes histoires surannées

Aux thèmes un peu fous...:)