La Grande-Bretagne envisage le travail gratuit des chômeurs

Exactement.

Ceux qui travaillent au noir travaillent par exemple sur les marches, dans les entreprises de batiments, etc.. Par consequent, d'avoir une activite a temps plein est susceptible de reduire d'autant leur activitee remuneree non declaree.

Simple question ,as tu vécu en GB ?,je ne parle pas de vacances,tu saurais que la majorité des ouvriers crèvent de faim tout en cumulant deux emplois pour la majorité. Aucun ouvrier ne peut se payer le dentiste,n'abordons pas les restaurants autres que les fishers ships,avec leur poisson pourri...De plus entre le nord et le sud ,le contraste est encore pire, mais soyons rassurés cela vient en france, la pauvreté enregistrée s'est accrue de 20% (restos du coeur et banque alimentaire)..Pour ceux qui approuvent cela ,je ne leur souhaite qu'une chose c'est un chômage de longue durée, l'expérience s'ils ne sont pas crétins ,il n'y a rien de tel....

J'habite en Angleterre et tu racontes n'importe quoi. Je ne connais pas UNE seule personne qui correspond au portrait que tu fais. Bien au contraire, meme parmi les Roumains que je connais, leur vie est plus agreable et plus profitable que si ils etaient en France.

Des chomeurs heureux ! Voilà bien le problème , si tant est qu'on puisse ètre heureux quand on est au chomage !

Je parle des vrais chomeurs , pas des branleurs qui se complaisent à ne rien faire en profitant de l'assistanat de la société , mais à priori tu sembles faire partie de ceux qui défendent cet état de fait , et çà confirme nos discussions sur d'autres sujets .

Si on part de ton principe , rien ne sert de résorber le chomage puisque les français y sont heureux ! Donc messieurs les grands patrons , continuez à délocaliser ! Les français sont heureux au chomage !

1°) Chacun a le droit de choisir sa vie, c'est un principe non négociable. Donc, oui, des chômeurs heureux ça existe, des RSAïstes heureux aussi, ça existe, et ça n'est pas un problème, c'est un choix.

2°) Les branleurs qui se complaisent à ne rien faire , ça n'existe pas. Tu confonds, faire et travailler, ça n'est pas la même chose. Tu n'autorises la vie que contrainte, au garde-à-vous des règles imposées, et par qui ? Par les puissances financières et économiques qui nous gouvernent. Personne n'est obligé d'obéir, ne t'en déplaise.

J'espère que dans les branleurs qui profitent de l'assistanat de la société, tu places la rentière Liliane Bettencourt.

3°) Je ne dis pas : tous les chômeurs sont heureux, je dis que certains le sont, et tant mieux pour eux.

4°) Puisque tu fais ici la propagande de la valeur " travail ", après avoir fait celle : du mariage, des enfants, et des cotisations sociales qui ne doivent profiter qu'à ceux qui en payent, démontrant par là ton amour d'autrui et ta liberté de penser, quand en vérité tu ne fonctionnes que sur le mode du retour sur investissement, y compris dans ta vie privée,

je te demanderai, sur l'autel de ce travail que tu vénères, une minute de silence, une minute de respect, pour une femme morte.

Elle avait 44 ans, elle avait 2 enfants, elle était responsable de la déontologie à la BNP, elle s'est suicidée la semaine dernière après une altercation sur son lieu de travail avec le directeur commercial. Nul doute qu'elle a élevé ses enfants dans la vénération du dieu travail. Bien fait pour elle, nan ?

Sans vouloir défendre ce projet (dont je viens de discuter longuement avec mon prof d'anglais qui débarque juste en France),

ce projet à pour cible les chômeurs de longue date. Et principalement, les personnes qui n'ont jamais travailler.

Ca évitera certains débats que je lis depuis quelques jours comme quoi dès l'inscription au chômage on est convoqué..

De plus, seul la moitié des chômeurs britanniques touchent ces allocations chômages de 65£. Ce qui n'est pas tellement une allocation chômage non plus, mais une "jobless seeking' allowance" souvent réservé pour les gens qui n'ont jamais travaillé ou plus depuis une longue période..

Il ne faut surtout pas comparer le système de chômage français et britannique..

D'ac, à condition de mettre les travailleurs en repos payé!