Maréchal, le revoilà...

moi je veux bien, je laisserai même Napo finir le fond de la bouteille

Qu'est-ce que le chinon ?

rho!!!! Danaos, on a un néophyte, tu crois que c'est bien raisonnable de l'inviter? il est capable d'y mettre des glaçons

Qu'est-ce que le chinon ?

ça!

faut en profiter, c'est Danaos qui arrose

Si les historiens sont tous d'accord concernant l'histoire de cette bouteille et l'année de sa cuvée, pourquoi pas.

Mais si tu me laisses le fond de la bouteille, ça me donne seulement deux mois pour me marier avant la fin de l'année ; j'en conclu que c'est plutôt une invitation à ce que je me pende.

ah mince...je n'avais pas pensé à ça

je ne veux pas que tu te pendes, tu me manquerais

je finis la bouteille, alors, moi je ne risque rien

Sourdais se trouve à cravant les coteaux à côté de cheu moi par contre pas le meilleur : je préfère un Hérault qui lui est du tonnerre de dieu surtout en vieille vigne!

j'ai pris ce qui m'est tombé sous la main, il était urgent de cultiver un peu Napo , j'ai vu arriver le moment où il allait nous demander si ça se mange

Sourdais se trouve à cravant les coteaux

Cravant les coteaux bien sur, c'est tout de suite plus claire.

Pétain a fait beaucoup plus de mal à la France à l'occasion de la première guerre mondiale, dont l'issue a débouchée sur la seconde.

En géopolitique il est important pour un pays d'avoir des frontières naturelles, montagnes et fleuves, sinon il est facilement attaquable.

La frontière nord-est naturelle de la France est le Rhin, dont la rive gauche nous a été partiellement confisquée jadis. C'est cette partie qui a rendu possible l'écrasement de la France par l'Allemagne.

En 1918 la victoire était proche, l'Allemagne au bord de la rupture. Hélas Pétain et son attentisme ¿ notamment ¿ nous ont fait cesser toute offensive et attendre les américains, alors que nous le savons maintenant, l'Allemagne était au bord du gouffre et une victoire entièrement française était possible. Durant cette première guerre mondiale, Mangin disait « Avec Pétain, les Boches seront encore là en 40. »

Pourquoi l'importance d'une victoire française et non à demi américaine en 1918 ? parce que l'influence ensuite dans les négociations n'est plus la même, chacun y va de ses conditions. Avec une victoire seule, nous aurions récupéré la rive gauche du Rhin et la frontière nord-est était sécurisée ; à plusieurs on arrive à rien, chacun veut sa part du gâteau, trop de monde est concerné, en découle l'écriture d'un très mauvais traité.

Mangin affirmait dès 1919 « Mes enfants reverront cela dans vingt ans. »

Faut, Pétain voulait écrasé justement l'Allemagne, ce sont les politiques qui ont dit non.

Faut, Pétain voulait écrasé justement l'Allemagne

écraser l'Allemagne avec les Américains. Pétain est réputé pour avoir épargné la vie de ses hommes par un attentisme atlantiste.

c'est même pire que ça!

il était complètement à l'Ouest, Pétain

il s'imaginait que les Ricains allaient conclure une alliance avec la France vychiste et les nazis, pour faire pièce aux Russes et au communisme

écraser l'Allemagne avec les Américains. Pétain est réputé pour avoir épargné la vie de ses hommes par un attentisme atlantiste.

Ceci est encore faut, Pétain connaissait son métier de général durant la 1er guerre mondial.

Comme je vois que tu aimes bien dire "faut" ça s'écrit comme ça : faux !! Dsl mais à chaque fois ça me saute aux yeux.

Ceci est encore faut, Pétain connaissait son métier de général durant la 1er guerre mondial.

Mangin connaissait aussi son métier, deux courants se sont pourtant opposés.

le portrait de Petain, bof, il y a bien celui de Mitterand....

encore une fois je relativise l'image d'épinal de nos vaillants généraux de 14/18. Cette longue et sanglante guerre a été une succession d'erreur et d'aveuglements de la part des gégé. Ils se sont tous vus en nouveau Napoléon, stratège de génie et tacticien hors pair, au prix de milliers de morts.

http://www.armees.com/Le-gachis-des-generaux-14-18.html

Ce bouquin est assez édifiant sur la vista de nos dirigeants de l'époque. Pétain et Gamelin n'ont pas échappé au désastre.

Mangin connaissait aussi son métier, deux courants se sont pourtant opposés.

En effet, Mangin était un boucher, alors que Pétain non et compétant en plus

encore une fois je relativise l'image d'épinal de nos vaillants généraux de 14/18. Cette longue et sanglante guerre a été une succession d'erreur et d'aveuglements de la part des gégé. Ils se sont tous vus en nouveau Napoléon, stratège de génie et tacticien hors pair, au prix de milliers de morts.

http://www.armees.com/Le-gachis-des-generaux-14-18.html

Ce bouquin est assez édifiant sur la vista de nos dirigeants de l'époque. Pétain et Gamelin n'ont pas échappé au désastre.

J'ai lu ce bouquin, cela confirme que Pétain était bien plus compétant que Joffre, Foch ou Mangin.

Pétain avait compris avec Maud'huy dés fin 1914 que la guerre serait longue et sanglante et que la meilleur chose à faire était d'infliger le plus de perte à l'ennemi en ayant le moins de perte possible.

Pétain ne fut pas écouté et ce fut l'hécatombe.

é savoir que la victoire de la bataille de la marne fut possible grâce à la désobéissance du général Lanrezac qui quelques semaines plut tôt sauva l'armé française de la destruction en faisant battre en retraite sa propre armé '' la 5e armé''. Il fut limogé par cette incompétant de Joffre.

Gamelin était trop jeune pour avoir la responsabilité d'une armé, même si à la fin de la première guerre mondiale il fut fait général de brigade.

En effet, Mangin était un boucher, alors que Pétain non et compétant en plus

Pétain était déjà très compétant pour les intérêts allemands, sans même le savoir.

Pétain ne fut pas écouté et ce fut l'hécatombe.

Dans l'ensemble c'est plutôt le contraire, le camp Pétain a été politiquement écouté à l'inverse du camp Mangin ; ce qui nous a mené, pour faire simple, à l'hécatombe de la seconde guerre mondiale.

Gamelin était trop jeune pour avoir la responsabilité d'une armé, même si à la fin de la première guerre mondiale il fut fait général de brigade.

Ce n'est pas une question de jeunesse : vingt ans après il était encore plus incompétent.