Je me dis que Morano a perdu une bonne occasion de se taire car:

- la remarque venant de celle qui était la premiere a jouer la voix discordante sonne creux

- vu que Xavier bertrand soutient le meme point de vue que rama yade, je me dis que si cela se trouve rama yade exprimme une volonté présidentielle et que donc, morano en soutenant l'inverse est celle qui se désolidarise :blush:

- et j'en pense qu'au travers sa remarque Morano vient de nous faire comprendre qu'elle n'etait qu'une potiche qui disait ce qu'on lui disait de dire

Je soutiens Rama yade non pas sur le fond de son propos discordant mais juste sur le fait qu'elle l'ai exprimé, d'autant plus que c'est plutot impopulaire.

Ce qu'il y a de bon dans cette histoire, c'est que les Ministres et autres Secrétaires d'état commencent à la ramener.

Fallait bien que ça commence un jour... Par contre, comme Icare, à trop vouloir s'approcher du soleil, on risque de se brûler les ailes. :blush:

nadine morano est une chieuse de premiere... c'est pas nouveau! :blush:

et dire qu'elle représente notre belle région

Je pense qu'il ne faut pas s'inquiéter, le temps donnera raison à la liberté d'expression. De plus, je crois que le pouvoir exécutif commence déjà à se faire du souci.

En tout cas, Rama Yade fait plus fantasmer que Morano :

Mais ce non-débat est ridicule. Nadine Morano est la première à ouvrir sa gueule, Rama Yade n'est pas en reste. On a tout à fait le droit de critiquer son camp, son gouvernement. Personne n'est absolu, même pas Nicolas Sarkozy.

La bonne décision est celle qui accorde toutes les voix. Encore faut-il qu'elles se fassent entendre !

Morano : "on ferme sa gueule ?". C'est une façon de parler devant des caméras ?

Pendant les présidentielles, Je l'ai vu arriver sur un simple coup de fil en bas d'une scène sur laquelle figurait un candidat de l'opposition. Elle voulait parler. Il y a des coups de pied au c.. qui se perdent.

nadine morano est réellement détestable... je n'arrive pas à croire qu'elle fait partie du gouvernement ! c'est la grande pretresse des basses oeuvres de nicolas sarkozy