Les questions à se poser avant de faire des enfants.

il y a 5 minutes, Sittelle a dit :

C’est dommage pour toutes les discutes en fait . 

Quel interet pour le forum ?

Sachant que les IAs furent entrainées à partir, entre autres, des discussions sur forums et réseaux sociaux, on peut y voir une certaine ironie. Un peu comme un retour de vomi condensé à l'envoyeur...

il y a 2 minutes, Tequila Moor a dit :

Sachant que les IAs furent entrainées à partir, entre autres, des discussions sur forums et réseaux sociaux, on peut y voir une certaine ironie. Un peu comme un retour de vomi condensé à l'envoyeur...

Serieux .? 

Pas etonnant avec nos delirs finalement..

il y a 11 minutes, Tequila Moor a dit :

Sachant que les IAs furent entrainées à partir, entre autres, des discussions sur forums et réseaux sociaux, on peut y voir une certaine ironie. Un peu comme un retour de vomi condensé à l'envoyeur...

J'avais cru comprendre que c'était plutôt une adaptation à la personne qui lui pose une question ou lui commande une recherche. Mais c'est peut-être une combinaison des deux, j'en sais rien.

Trop de questions incite a la débandade ...............donc .......action    !!

une jeune fille va se marier avec un grec. Avant la nuit de noce la maman eest affolée et la préviens

Surtout s'il te demande de te retourner, tu dit non, toujour tu dira non!

Tout se passe bien, de temps en temps la maman se renseigne et toujour sa fille lui repond

Non non, il ne m'a jamais demandé de me retourner

Au bout de 2 ans le grec dit a sa femme

Cherie tu ne voudrait pas te retourner?

La femme est horrifiée

je le savait que tu me ie demanderais! ma mére m'avait prévenu, cochon, cochon...

Mais cherie, je croyais que tu voulais un enfant ...

Combien coûte un enfant à ses parents jusqu’à ses 18 ans ?

C’est une fatalité : la naissance d’un enfant occasionne une perte du niveau de vie. En 2011, les familles monoparentales dépensaient en moyenne 5 900 € de plus par an que les personnes seules, et les couples avec enfant(s) en moyenne 8 400 € de plus que les couples sans enfant, selon des données de la Drees. « La part des dépenses, avant allocations et aides, directement imputable à l’enfant représente en moyenne 14,4 % de la consommation totale des ménages propriétaires avec enfant(s), et 12,1 % de la consommation totale des ménages locataires avec enfant(s) », expliquait la Drees.

S’appuyant sur des données de l’Insee publiées en 2014, l’économiste a calculé qu’un enfant coûte 9 000 € à ses parents annuellement en coût monétaire uniquement. « Il y a 9 000 € sous la forme de dépenses et services sur le marché », explique Antoine Math. Résultat, 6 800 € par an. Mais si on rajoute les 20 % d’inflation puisque les données datent de 2014, le coût s’élève à 8 160 €. Donc, si on divise par le nombre de mois dans une année, un enfant coûte en moyenne 680 € par mois à ses parents en 2024. Et de manière plus large, si on multiplie ce chiffre par 18, correspondant aux 18 ans de l’enfant, on trouve 146 880 €. En moyenne, selon Antoine Math, les parents dépensent donc presque 147 000 € pour un enfant de sa naissance jusqu’à ses 18 ans.

« Mais il manque dans ces dépenses celles non monétarisées, comme les tâches parentales et domestiques, souvent supportées par les mères », tempère Antoine Math. « Tout comme les coûts indirects, la perte de revenus et de salaires pour s’occuper des enfants, le temps partiel, le congé parental… », énumère l’économiste.

Dans le graphique ci-dessous, nous nous sommes appuyés sur les données de l’Insee datant de 2015 et avons distingué le coût d’un enfant pour les familles modestes de celui pour les familles aisées. Pour ces dernières, elles dépensent en moyenne 231 660 € pour un enfant de ses 0 à 18 ans.

Par Maïté CHARLES et Nolwenn CHAPELLON. Ouest France du 22 Novembre 2024

C'est bien connu, quand on aime on ne compte pas.Et c'est bien là l'essentiel.Un enfant désiré sera toujours une bénédiction pour ses parents à partir du moment où"tous les deux"remplissent leurs responsabilités.

Si on calculait tout avec autant de précision, on n'entreprendrait plus rien.Et puis, les joies (parce q'il  y en )-d'être parent vont au delà de ces calculs.

Je suis désolé que mon message ait été pris pour une rédaction IA alors que cela n'est pas le cas, je ne sais s'il faille le prendre comme un compliment ou un reproche, mais cela n'est que le fruit de lectures à ce sujet, et de constatation d'expériences heureuses et malheureuses familiales du quotidien. Par IA, la "check-list" avant de faire un enfant aurait été peut-être plus longue, d'ailleurs, rien ne vous empêche de lui poser la question et souligner les manquements de la mienne.

Quant au coût d'un enfant, mon évaluation vient d'un sujet du journal télévisé du matin sur france2 le 26 décembre dernier sans plus de précisions notées.

Il y a 8 heures, Emergence a dit :

Faire des enfants est un choix qui vous engage jusqu’à la fin de votre vie et mérite d’être bien pesé.

 

Voici un début de réflexions à engager, avant d’entreprendre ce choix de vie, et être sûr de sa volonté :

 

·         Capacité financière : il est considéré dans les normes actuelles d’éducation et de bien-être de l’enfant qu’il faille prévoir un budget de 750 euros par mois par enfant jusqu’à l’âge de sa majorité (habillement, loisirs, para-éducation…) ; ce budget ne prévoit pas le coût des études supérieures (c’est ainsi que nous avons moult étudiants dans la misère). Se baser sur les aides sociales en vigueur est un risque, voire une erreur, car elles ne sont pas gravées dans le marbre mais sont tributaires de volontés politiques, de la prospérité du pays (entrées de prélèvements sociaux).

·         Faire l’erreur de considérer que son enfant sera à l’image de ses parents : c’est souvent l’intention des parents, formant un couple épanoui et estimé suffisamment éprouvé, de vouloir prolonger de foyer heureux en y créant descendance. Il est fréquent que les enfants soient à l’opposé des parents. En effet, quand bien même les parents auront pu avoir la volonté de leur transmettre des valeurs, les enfants seront soumis à multiples influences extérieures : école, médias, … qui les forgeront peut être différemment, voire contrariant l’éducation parentale, ce qui pourra devenir dans des cas les plus extrêmes, un enfer familial, et si votre enfant fera des enfants, l'enfer sera peu à peu potentiellement décuplé ; vous ne maitriserez pas ce qu'il en adviendra.

·         Ne pas oublier qu’il soit possible que ce soit un enfant à problèmes : handicap congénital ou ultérieur à la naissance par traumatisme, drogué, délinquant… Et qu’il faudra assumer cela.

·         Faire un enfant n’engage pas que les parents. Tel le mariage, l’enfant, lien encore moins aisé à rompre, va engager le couple dans la durée, même si le couple par la suite fera le choix de se séparer. Mais les engagements vont bien au-delà de cela, ils engagent les branches de la famille aussi, qui n’a pas fait le choix d’avoir cet enfant (c'est tout comme pour le mariage, on ne pense que se marier avec une personne mais on se marie avec toute une famille, et les problèmes qui vont avec). A l’inverse, les parents vont subir, dans le cadre des familles dysfonctionnelles, les obligations familiales : les cas typiques des procès des grands-parents toxiques ou en conflit qui réclament à la justice un droit de visite pour le petit-enfant en vue de créer nuisance dans le couple.

·         Le monde dans lequel va évoluer l’enfant : conflits, perspectives écologiques. Espérance de vie 80 ans, quel sera le monde ? Allez-vous lui donner vie dans un milieu qui sera un enfer à vivre ou sans perspective heureuse pour lui ?

·         La capitulation du père : encore un cas classique, le père qui est là pour les parties de jambes en l’air mais fuit à l’arrivée d’un enfant : prise de conscience tardive qu’il va sacrifier sa vie personnelle pour celle de l’enfant. La mère qui ne va plus être attrayante (déformation physique de la grossesse, etc.). Beaucoup de facteurs qui vont avoir un impact sur le père et qui font de nombreuses mères célibataires rapidement. Ce cas de figure quelques soient les promesses du père est à considérer malgré tout comme un aléa probable dans ce projet de vie et anticiper d’être en capacité d’assumer ce risque.

·         Les problèmes de la mère : dépressions et autres psychopathologies post accouchement, décès à l’accouchement, désintérêt du père au profit d’une liaison fusionnelle avec l’enfant.

Et ben, heureusement que nos parents, nos grand parents, nos arrière grand parents, et tous les parents depuis que le monde est monde ne sont pas posé toutes ces questions au moment de faire des enfants !

Faut pas réfléchir, il faut foncer ! La vie c'est des aléas, des envies, des imprévus, des joies, des peines. 

il y a 28 minutes, Emergence a dit :

Je suis désolé que mon message ait été pris pour une rédaction IA alors que cela n'est pas le cas, je ne sais s'il faille le prendre comme un compliment ou un reproche, mais cela n'est que le fruit de lectures à ce sujet, et de constatation d'expériences heureuses et malheureuses familiales du quotidien. Par IA, la "check-list" avant de faire un enfant aurait été peut-être plus longue, d'ailleurs, rien ne vous empêche de lui poser la question et souligner les manquements de la mienne.

 

Quant au coût d'un enfant, mon évaluation vient d'un sujet du journal télévisé du matin sur france2 le 26 décembre dernier sans plus de précisions notées.

 

 

Vous avez une excellente memoire. Félicitations .

Il y a 4 heures, Sittelle a dit :

Voila la seule phrase reelement pertinante de votre tirade .

 

Pas du tout; j'ai connu dans ma vie quatre couples qui ont eu recours à la FIV, à l'adoption, ou qui ont renoncé à faire des enfants et ont divorcé parce que l'un des conjoints s'est avéré être stérile!

J'ai connu des femmes qui se sont littéralement effondrées  après avoir accouché d' un bébé. L'une a fini en maison de repos parce que l'accouchement a été difficile (hémorragie),l'autre a fait une dépression post partum carabinée qui l'a menée en HP, un couple  a eu un bébé qui confondait le jour avec la nuit était sur les rotules parce que le marmot ne les laissait pas dormir, sans compter ceux qui ont eu des naissances gémellaires et qui n'avaient jamais l'impression de pouvoir souffler!

il y a 3 minutes, querida13 a dit :

Pas du tout; j'ai connu dans ma vie quatre couples qui ont eu recours à la FIV, à l'adoption, ou qui ont renoncé à faire des enfants et ont divorcé parce que l'un des conjoints s'est avéré être stérile!

On a tous connu l’homme qu’a vu l’homme qu’a pas vu l’ours. 

il y a 2 minutes, Sittelle a dit :

On a tous connu l’homme qu’a vu l’homme qu’a pas vu l’ours. 

ça n'arrive pas qu'aux autres!

Il y a 10 heures, Emergence a dit :

Faire des enfants est un choix qui vous engage jusqu’à la fin de votre vie et mérite d’être bien pesé.

 

Voici un début de réflexions à engager, avant d’entreprendre ce choix de vie, et être sûr de sa volonté :

 

·         Capacité financière : il est considéré dans les normes actuelles d’éducation et de bien-être de l’enfant qu’il faille prévoir un budget de 750 euros par mois par enfant jusqu’à l’âge de sa majorité (habillement, loisirs, para-éducation…) ; ce budget ne prévoit pas le coût des études supérieures (c’est ainsi que nous avons moult étudiants dans la misère). Se baser sur les aides sociales en vigueur est un risque, voire une erreur, car elles ne sont pas gravées dans le marbre mais sont tributaires de volontés politiques, de la prospérité du pays (entrées de prélèvements sociaux).

·         Faire l’erreur de considérer que son enfant sera à l’image de ses parents : c’est souvent l’intention des parents, formant un couple épanoui et estimé suffisamment éprouvé, de vouloir prolonger de foyer heureux en y créant descendance. Il est fréquent que les enfants soient à l’opposé des parents. En effet, quand bien même les parents auront pu avoir la volonté de leur transmettre des valeurs, les enfants seront soumis à multiples influences extérieures : école, médias, … qui les forgeront peut être différemment, voire contrariant l’éducation parentale, ce qui pourra devenir dans des cas les plus extrêmes, un enfer familial, et si votre enfant fera des enfants, l'enfer sera peu à peu potentiellement décuplé ; vous ne maitriserez pas ce qu'il en adviendra.

·         Ne pas oublier qu’il soit possible que ce soit un enfant à problèmes : handicap congénital ou ultérieur à la naissance par traumatisme, drogué, délinquant… Et qu’il faudra assumer cela.

·         Faire un enfant n’engage pas que les parents. Tel le mariage, l’enfant, lien encore moins aisé à rompre, va engager le couple dans la durée, même si le couple par la suite fera le choix de se séparer. Mais les engagements vont bien au-delà de cela, ils engagent les branches de la famille aussi, qui n’a pas fait le choix d’avoir cet enfant (c'est tout comme pour le mariage, on ne pense que se marier avec une personne mais on se marie avec toute une famille, et les problèmes qui vont avec). A l’inverse, les parents vont subir, dans le cadre des familles dysfonctionnelles, les obligations familiales : les cas typiques des procès des grands-parents toxiques ou en conflit qui réclament à la justice un droit de visite pour le petit-enfant en vue de créer nuisance dans le couple.

·         Le monde dans lequel va évoluer l’enfant : conflits, perspectives écologiques. Espérance de vie 80 ans, quel sera le monde ? Allez-vous lui donner vie dans un milieu qui sera un enfer à vivre ou sans perspective heureuse pour lui ?

·         La capitulation du père : encore un cas classique, le père qui est là pour les parties de jambes en l’air mais fuit à l’arrivée d’un enfant : prise de conscience tardive qu’il va sacrifier sa vie personnelle pour celle de l’enfant. La mère qui ne va plus être attrayante (déformation physique de la grossesse, etc.). Beaucoup de facteurs qui vont avoir un impact sur le père et qui font de nombreuses mères célibataires rapidement. Ce cas de figure quelques soient les promesses du père est à considérer malgré tout comme un aléa probable dans ce projet de vie et anticiper d’être en capacité d’assumer ce risque.

·         Les problèmes de la mère : dépressions et autres psychopathologies post accouchement, décès à l’accouchement, désintérêt du père au profit d’une liaison fusionnelle avec l’enfant.

Si nous devions nous prendre la tête avec tous ces delires avant de faire des enfants l’extinction de la race humaine à l’image de celle des dinosaures, serait déjà de l’histoire ancienne...

Faites absolument des enfants, il en va de la garantie du paiement de ma bientôt future retraite, sinon le secret de sa tranquilité résidera dans cette capacité de brouiller avec prudence toutes les pistes pouvant remonter au fait générateur de la conception en qualité de géniteur ...

Il y a 4 heures, Tor boudine a dit :

une jeune fille va se marier avec un grec. Avant la nuit de noce la maman eest affolée et la préviens

Surtout s'il te demande de te retourner, tu dit non, toujour tu dira non!

Tout se passe bien, de temps en temps la maman se renseigne et toujour sa fille lui repond

Non non, il ne m'a jamais demandé de me retourner

Au bout de 2 ans le grec dit a sa femme

Cherie tu ne voudrait pas te retourner?

La femme est horrifiée

je le savait que tu me ie demanderais! ma mére m'avait prévenu, cochon, cochon...

Mais cherie, je croyais que tu voulais un enfant ...

 

Ah c'est drachmatique   !!

il y a 18 minutes, G6K972 a dit :

Si nous devions nous prendre la tête avec tous ces delires avant de faire des enfants l’extinction de la race humaine à l’image de celle des dinosaures, serait déjà de l’histoire ancienne...

 les dynosaures n’avaient pas les allocations familiales . Ceci explique cela . .

Il y a 3 heures, Fantasio128 a dit :

Faut pas réfléchir, il faut foncer !

"dé"

J’ai lu rapidement, en diagonale, alors chuis peut-être passée à travers, mais me semble que LA vraie question, c’est l’envie. Est-ce que j’ai envie, je veux VRAIEMENT un enfant... ?

Il y a 11 heures, Mak Marceau a dit :

Je pense que ces points doivent être remplis:

• Assez d'argent pour le faire
• Logement approprié
• Femme ou/et homme fort parce que c'est pas facile et ça prends beaucoup d'effort
• Accord de la localité voir du national: les gens sont d'accord dans l'entourage, le nation donne l'argent et les pensions
• Être avec les écoles

Je pourrais oublier d'autres points; les autres sont où?

Faux la nation ne donne pas d'argent, faut tout payer au premier enfant.

il y a 3 minutes, Zora80 a dit :

Faux la nation ne donne pas d'argent, faut tout payer au premier enfant.

Sauf si tu es parent isolé