La Politique et la Religion sont-ils les domaines de la science infuse ?

La Politique et la Religion sont-ils les domaines des personnes incapables d'arrêter de penser qu'elles savent tout ?

Donc logiquement les plus dangereux, puisque les domaines où les personnes savent déjà tout n'ont ni besoin ni envie des autres, c'est négligeable voire inutile.

il y a 3 minutes, timot-33 a dit :

Donc logiquement les plus dangereux, puisque les domaines où les personnes savent déjà tout n'ont ni besoin ni envie des autres, c'est négligeable voire inutile.

C'est pourquoi ces deux domaines contiennent leur propre antidote. La fraternité. 

Il y a 13 heures, timot-33 a dit :

La Politique et la Religion sont-ils les domaines des personnes incapables d'arrêter de penser qu'elles savent tout ?

La politique et la religion partage en commun une croyance.

En politique, il y ceux qui sont très nombreux à croire que le politique peut tout, (C’est la tribu des Yaka, des Yfoque, des Izonka), leur lamentation gutturale, se fait entendre en continu et leur danse à lieu en général sur les ronds-points, leur mot d’ordre est « La grève »

En religion, il y a ceux qui croient que le moment présent est difficile à vivre, mais il serre les dents, car ils savent que leur épreuve sera finalement récompensée demain dans l’accueil au paradis.

Pour le reste, il y a ceux qui comme ma pomme, savent peu de chose finalement, qu’ils ne savent pas tout et qui ont bien conscience de leur dépendance à leurs coreligionnaires, s’inscrivant dans une histoire en marche depuis longtemps, avec des tragédies alternées de périodes heureuses, dont il n’ont pas nécessairement conscience sur le moment. 

Si les hommes et les femmes  politiques et religieux avaient la science infuse  cela se serait. 

Ils savent déjà pas infuser leur thè 

Ok 

La politique peut évoluer, pas la religion qui sait tout et craint la recherche.

Si on peut en déduire que les deux bossent, je dirais non !

Les deux sont politiques. 

Le 08/10/2025 à 21:38, Apator a dit :

C'est pourquoi ces deux domaines contiennent leur propre antidote. La fraternité. 

Quelle fraternité ?

Les politiques ne peuvent progresser qu’en gagnant la place d’une autre personne.  Sinon ils ne montent pas dans la hiérarchie du parti et dans la course vers les places, et les voitures de fonction à cocardes conduites par un chauffeur en livrée.

C’est donc fraternellement qu’ils travaillent prioritairement à se faire choisir, dans leur propre parti ou dans les cercles de pensée ou politiques, à la place d’un autre ? Tu parles ! Il faut que je te bouffe avant que ce soit toi qui me bouffe.  

Fraternité ?

Quant aux scientifiques, c’est exactement la même chose, même si cela se passe dans un milieu plus restreint, presque clos. Mais la course est la même. C’est au nombre de ses tirés-à-part qu’un scientifique a, dans ses labos ou dans les revues scientifiques, la place que son ingéniosité professionnelle lui permet d’occuper. Mais d’occuper sa place, ou celle qu’il convoite, à la place d’un autre scientifique. Que l’on espère bien battre au poteau vers un but qui leur est commun. Mais dont un seul gagnera la course d’obstacles, en passant devant l’autre.

Fraternité ?

Il y a 23 heures, Talon 1 a dit :

La politique peut évoluer, pas la religion qui sait tout et craint la recherche.

Tu écris :

-         « La politique peut évoluer, pas la religion qui sait tout et craint la recherche ».

Que la politique puisse évoluer n’est qu’une constatation d’usage. Tu as raison.

Mais la religion peut évoluer tout autant. Prend simplement l’exemple de la religion la plus proche pour les français. Le catholicisme. En réalité il n’a pas cessé de changer, d’évoluer.  Il change en permanence. Qu’il y a-t-il de commun entre le christianisme des origines, celui de l’inquisition, celui des femmes conduites au bûcher sous prétexte d’être des sorcières, les papes interdisant la contraception, et les évêques d’aujourd’hui contraints de créer des commissions chargées d’indemniser les enfants victimes de pédocriminalité dans les établissements catholiques ?

Par contre, tu soulèves un point capital. Pourquoi la religion craint la recherche ? Surtout la religion catholique ?

La politique, c'est à dire la Religion est un ensemble de dispositifs de pouvoir. Ces dispositifs articulent des discours qui se présentent comme savoirs et qui légitiment et/ou rendent techniquement possible l'exercice de leur pouvoir. Comme deux choses qui s'auto-entretiennent, le pouvoir construit du savoir et le savoir génère du pouvoir. Le savoir y est diffus, dans tous les domaines du pouvoir.