Aller au contenu

Arahan

Membre
  • Compteur de contenus

    17 226
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Points

    6 [ Donate ]

2 abonnés

À propos de Arahan

  • Date de naissance 12/07/1989

Informations Personnelles

  • Titre
    Poursuivi par la vie
  • Sexe
    Homme
  • Intérêts
    Rencontres, Musique, sport (natation), science,

Visiteurs récents du profil

36 161 visualisations du profil

Arahan's Achievements

Baby Forumeur

Baby Forumeur (1/14)

93

Réputation sur la communauté

  1. Bonsoir, J'ai pas lu les 5 pages de réponses mais simplement quelques premières réponses. EDIT : Finalement si, et je ne vais pas participer au lynchage sur 3 hypothèses à moitié rationnelles.. Bonne continuation Juste une petite définition : rencontrer : faire la connaissance de quelqu'un, entrer en relation avec lui. (Oh.. ça parle pas de couple, ni de sexe.. )
  2. bonjour et merci de ton passage et de ton commentaire :D

    (même si honnêtement, je ne passe jamais sur mon profil !) J'espère que tu vas bien ! bises

  3. En théorie de la relativité restreinte, on peut tracer des graphes comme celui-ci, qu'on appelle cônes de lumière. X désigne l'espace (ici bidimensionnel pour pouvoir dessiner^^) et l'axe t désigne le temps. En regardant avec un télescope dans l'univers, on peut voir ce qui se trouve sur le cône dessiné ici. L'inclinaison du cône est donné par la vitesse de la lumière. Ce qui se trouve à l'intérieur du cône est ce que peut nous pouvons influencer (futur) ou qui peut nous influencer (passé). Ce que nous observons, est ce qui se trouve précisément sur le cône. Ce qui en sort l'"ailleurs", on ne peut le voir au moment présent, et il ne peut y avoir d'interaction entre l'ailleurs et l'observateur. Pour pouvoir voir un objet, il faut qu'il soit sur le cône, et donc que la distance de cet objet à l'observateur corresponde au temps auquel on l'observe. Cela rend impossible (si je ne me trompe) l'observation du bigbang, sachant que nous ne nous en éloignons pas à la vitesse de la lumière.
  4. N'étant pas du coin, je ne peux pas dire.. Personnellement, je choisirais un endroit qui me ressemble.. Un endroit où je voudrais revenir. Ça peut être un restaurant, un bar, voire même une promenade au bord du lac. J'ai une préférence pour cette dernière, parce qu'il n'y a aucun artifice, rien d'autre à faire que de discuter, et la possibilité d'aller ou l'on souhaite après.
  5. D'un premier point de vue, elle me ressemble sur certains points. Je ne sais pas pour qu'elles raisons exactement on est comme ça.. Et tu ressembles à mon ex. Si je peux te donner un conseil : n'abandonne jamais, et essaie régulièrement. Des petites questions, peut-être très générales qui pourront au bon moment mener à une discussion sincère et profonde. L'humilité peut être une piste de réponse oui. La deuxième selon moi, est le don de soi. On se met en retrait pour le bonheur des autres, une fois, deux fois,.. puis ça peut devenir une habitude, une façon d'être.
  6. J'ai exactement le même ressenti que toi avec les gens cadrés. Pas de place pour l'imprévu, la surprise --> ennui très rapide. Je pense qu'être intro- ou intraverti est trop général pour s'appliquer à une personne. Je pense clairement être les deux, suivant le moment, et le contexte. Ça s'applique peut-être mieux à des enfants, débarquant à l'école. Là, oui, je pouvais clairement me définir comme intraverti à cette époque là. Mais en tant qu'adulte, on regarde, on apprend, on change.. On sait s'adapter aux autres, vivre en société. On sait fait rire, attirer l'attention, se mettre en avant, tout en n'oubliant pas qui l'on est intérieurement. On a toujours des réflexions profondes. On a parfois besoin de solitude. J'ai beaucoup de peine avec les théories en psychologie, car elles me semblent trop générales ou non exhaustives. En à peine 10 secondes de réflexion, on trouve une personne qui contre-exemple parfaitement la théorie que l'on découvre/étudie. Je pense que tu tires des conclusions trop vite. Que penses-tu de "J'attire facilement les inconnus dès la première impression". Le physique a son rôle à jouer, mais il y a beaucoup plus que ça. J'ai tendance à passer trop de temps dans les bars, je l'avoue et à force, on voit beaucoup de gens défiler... J'ai fini par être capable de dire d'une femme qui rentre dans un bat si elle est ouverte à une approche ou non. (Etant en couple, je me contentais de transmettre l'info à un ami, et je restais à observer.) Et je peux le dire, c'est quelque-chose qui se voit au premier regard et qui peut attirer. Il y a donc toute ton attitude qui peut être attirante ou non, en plus de ton physique. Je peux te coacher.. Je suis exactement ce type d'homme. Mais je t'avertis d'avance que ça a un coût énorme : C'est exactement ça. J'ai vécu 4 ans avec une femme curieuse et très intelligente. Après 4 ans, elle ne sait absolument rien de moi, et ce n'est pas une volonté de ma part.. C'est la triste réalité des choses. En outre, je ne sais plus ce qu'est le bonheur. Je n'y aspire plus. Je n'attends rien de la vie, et erre sans réel but. La seule chose qu'il me reste pour avancer, c'est quelques convictions, une sorte de ligne de conduite : l'honnêteté, la bonté, l'altruisme.. Merci !!! Merci ! Un peu de sagesse et quelqu'un qui relève le fait qu'on ne peut pas généraliser et extrapoler une personnalité sur le simple fait qu'une personne soit extra- ou intravertie. Je pense que non. Ce sont les mêmes processus, oui. Mais nous n'avons pas tous les mêmes outils à disposition. Certaines personnes sont émotives, d'autres calculatrices, d'autres encore agissent au "feeling".. Chacun possède une panoplie d'outils pour affronter ses problèmes. Donne une balance à un homme et une mesure à un autre et demande leur de te donner la quantité d'eau dans un seau ... Comprendront-ils ce que ce l'autre fait ?
  7. Je nage très bien, et j'ai effectivement suivi des formations de secouriste et de maître nageur. Je savais ce que je faisais, et je connaissais les risques que je prenais. Je suis conscient de ma propre vie et je fais en sorte de la préserver. Je me pose juste la question : "si de nous deux, une seule personne devait survivre, qui serait-ce et pourquoi?". Alors en face de beaucoup de personnes, ce serait moi, mais pour quelques unes, je choisirais cette autre personne.
  8. Ces relations ne m'amènent pas à me sacrifier. Elles me rendent prêt à le faire en cas de besoin. Alors des petits trucs, oui, il y en a souvent, c'est pas forcément des sacrifices, c'est simplement faire passer l'autre et ses intérêts avant soit même. (Se lever à 2-4-5h du mat pour aller chercher quelqu'un en soirée, annuler un plan pour laisser l'autre partir, etc.. etc.. ) Ensuite, prendre des risques pour une personne oui. Celle qui me vient à l'esprit, c'est d'avoir sauté dans un lac froid (lac de montagne en mars/avril) en connaissant les risques encourus (hypothermie, choc thermique, grande fatigue) pour aller aider une personne qui nageait moins bien que moi et qui commençait à perdre pied à cause du froid. Dans cette situation, j'ai eu un temps de réflexion, pas long, mais un temps de réflexion quand même. Je ne sais pas du tout quels seraient mes réflexes sans ce temps de réflexion. Peut-être bien que ce serait de sauver ma peau et c'est tout.
  9. Me mettre en retrait de manière générale. Me faire passer après ces personnes là. Dans la vie de tous les jours, c'est ce qui ressort de cela. Après dans l'extrême, prendre des risques pour eux. Et dans l'absolu, mourir à leur place si ça devait se faire.
  10. Alors là, stop ! Réfléchir sur la société actuelle, oui. Se dire qu'elle a beaucoup de défauts, oui. Remarquer que pas mal de gens vivent sans vraiment se préoccuper de ce qui ne touche pas directement leur quotidien, ok. Mais généraliser à ce point, non ! Je le dis, j'ai rencontré des personnes, hommes comme femmes, pour qui je suis prêt à me battre. Non pas par intérêt, par amour, par désir, mais simplement parce que ces personnes sont meilleures que moi et peuvent apporter plus à notre monde que moi. Je suis prêt à me sacrifier pour ces personnes sans hésiter, pour cette simple raison, le monde, la société et l'humanité s'en portera mieux. L'humanité n'a pas changé. Ce qui a changé, c'est nos modes de vies et la société dans laquelle on vit.
  11. Je ne pense pas parler comme un scientifique. Aurais-tu la même impression si tu ne savais pas qui je suis ? Je te rejoins tout à fait, les théories ne servent à rien si ce n'est à éclaircir ses idées et à nous guider. Je ne cherche pas non plus à prouver quoique ce soit à quiconque. J'expose simplement comment la science et les théories scientifiques fonctionnent car je connais le domaine, bien que je le l'apprécie pas plus que tant. Il y a effectivement trop de paramètres qui nous échappent. L'analyse et les informations ont leurs limites oui, mais l'analyse ne sert qu'à une seule chose : tirer d'autres vérités d'un ensemble qu'on considère comme vrai. Si je te dis "J'aime les pizzas" et "j'ai en vie de sortir ce soir", tu peux analyser "il y a de grandes chances que l'emmener dans une pizzeria ce soir lui fasse plaisir". Si tu n'as aucune information que tu considères vraie, tu ne peux rien analyser.
  12. Je n'oserais pas me lancer dans ces implications.. Il est vrai que certains aspects de la physique quantique ouvre la porte à beaucoup de théories et de spéculations. J'ai tendance à rester dans le "terre à terre" et me contenter des applications. Après en avoir plusieurs fois discuté avec d'autres personnes dans le domaine, on tombe systématiquement sur une infinité de possibilité, sans autre moyen de décider laquelle est vraie que son ressenti personnel. Effectivement, analyser ne demande pas de tout connaître. Mais l'analyse a ses limites. Je l'ai eu fait quelques fois, rien ne m'a permis de définir une telle théorie comme vraie ou fausse, par manque d'informations.
  13. Un polytechnicien a appris que la métaphysique n'a de point commun avec la physique que le nom Je ne m'aventurerais donc dans aucune visualisation, ni aucune extension des théories scientifiques dans ce sujet. Pour le reste, je te suis parfaitement oui, en y ajoutant des nuances propres à chacun. Notre morale nous aide à garder une ligne de conduite qui nous parait idéale. Je dis nous aide, car forcément, un jour ou l'autre, on se laisse aller à des comportements, envies, ou autres s'éloignant légèrement de notre morale et n'étant d'après nous, pas "justes". C'est exactement ça. La morale que l'on se fixe (je ne parle pas de celle érigée par notre société, nos religions, les autres) nous donne un cadre dans lequel évoluer. Libre à chacun après, d'y inclure une part de spontanéité. Comme exemple, je donnerai ceci : - Etre célibataire, accoster une personne dans la rue pour lui proposer poliment d'aller boire un café. La spontanéité y est, et c'est un comportement qui peut s'insérer dans le cadre d'une morale standard. (La société nous pousse à rester distant des autres, je parle donc d'une morale personnelle) Ils sont cependant représentatifs de beaucoup d'autre choses : la société, le pouvoir, la capacité à modifier la définition de bien et de mal pour un groupe d'individus, etc.. etc.. J'ai testé les deux ! L'idéalisme a ses bons côtés. On ne se pose pas de question, on profite du temps présent, on se projette dans le futur. On est simplement heureux avec l'autre personne. Il a également ses mauvais côtés. La vie n'est pas idéale, et quand la vie et l'image qu'on se fait sont trop éloignées l'une de l'autre, ça fait mal. Je pense que ça peut même détruire quasi-définitivement une personne. Le réalisme a ses bons côtés. On attend beaucoup moins. On se protège plus, et on se prépare à parer plus ou moins n'importe quelle éventualité.. Le problème, c'est qu'on est incapable de s'abandonner, même temporairement, à l'autre. On est content de notre vie, mais jamais réellement heureux. Le plus dur est de trouver le juste milieu entre les deux. Ni trop naïf, ni pessimiste. Honnêtement, je n'ai pas encore trouvé et n'ai aucune certitude d'y arriver un jour. Pour être content oui, c'est vrai. Le bonheur est autre chose selon moi, qui demande un abandon de soi. Avec grand plaisir. La science n'est pas une vérité absolue, certes, mais elle se base sur des axiomes que l'on considère comme vrais. Tu as tous les droits de t'attaquer à ces axiomes, je doute moi-même fortement de certains d'entre eux. mais une fois ceux-là acceptés, tu ne peux construire une théorie que par implications et déductions. Ça limite grandement le champ des possibles.
  14. bonjour à vous un coucou sur cette page en mode curieuse! :hello: je ne vous connaissais pas sur le forum mais je découvre que vous êtes finalement un ancien! (2007) ,  et envie de vous dire que vous n'êtes pas le seul à ne pas aimer les insultes et calomnies moi non plus je n'ai pas aimé les recevoir sur un certain topic ...bonne journée à vous:)

    1. Arahan

      Arahan

      Bonjour Cassandre ! 
      Je n'en voit simplement pas l'intérêt. On peut très bien tous se comporter respectueusement et faire en sorte d'avoir une vraie communauté, certes d'avis différents, mais soudée. ;)
      Je suis effectivement un ancien, mais j'ai été absent de nombreuses années. 
      Salutations et bonne journée à vous aussi ! 
       

  15. Personnellement, c'est le genre de comportement que j'apprécie, étant aussi passé par la case polytechnique en physique. Je n'ai aucun problème et même du plaisir à en discuter. Après, malheureusement quand les personnes connaissent ton sujet d'études, personne n'ose t'en parler, personne n'ose remettre en question ce que tu dis .. alors que comme tout le monde je peux me tromper. De plus, discuter d'un sujet avec des personnes ayant un point de vue totalement différent et n'ayant pas traversé les années de moulage de Polytechnique est souvent formateur et digne d'intérêt. (Même si parfois au final, ça se termine parfois par un "non, tu as tort, je peux t'expliquer pourquoi, mais ça peut prendre un moment" )
×