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Arahan

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Tout ce qui a été posté par Arahan

  1. Bonsoir, J'ai pas lu les 5 pages de réponses mais simplement quelques premières réponses. EDIT : Finalement si, et je ne vais pas participer au lynchage sur 3 hypothèses à moitié rationnelles.. Bonne continuation Juste une petite définition : rencontrer : faire la connaissance de quelqu'un, entrer en relation avec lui. (Oh.. ça parle pas de couple, ni de sexe.. )
  2. En théorie de la relativité restreinte, on peut tracer des graphes comme celui-ci, qu'on appelle cônes de lumière. X désigne l'espace (ici bidimensionnel pour pouvoir dessiner^^) et l'axe t désigne le temps. En regardant avec un télescope dans l'univers, on peut voir ce qui se trouve sur le cône dessiné ici. L'inclinaison du cône est donné par la vitesse de la lumière. Ce qui se trouve à l'intérieur du cône est ce que peut nous pouvons influencer (futur) ou qui peut nous influencer (passé). Ce que nous observons, est ce qui se trouve précisément sur le cône. Ce qui en sort l'"ailleurs", on ne peut le voir au moment présent, et il ne peut y avoir d'interaction entre l'ailleurs et l'observateur. Pour pouvoir voir un objet, il faut qu'il soit sur le cône, et donc que la distance de cet objet à l'observateur corresponde au temps auquel on l'observe. Cela rend impossible (si je ne me trompe) l'observation du bigbang, sachant que nous ne nous en éloignons pas à la vitesse de la lumière.
  3. N'étant pas du coin, je ne peux pas dire.. Personnellement, je choisirais un endroit qui me ressemble.. Un endroit où je voudrais revenir. Ça peut être un restaurant, un bar, voire même une promenade au bord du lac. J'ai une préférence pour cette dernière, parce qu'il n'y a aucun artifice, rien d'autre à faire que de discuter, et la possibilité d'aller ou l'on souhaite après.
  4. D'un premier point de vue, elle me ressemble sur certains points. Je ne sais pas pour qu'elles raisons exactement on est comme ça.. Et tu ressembles à mon ex. Si je peux te donner un conseil : n'abandonne jamais, et essaie régulièrement. Des petites questions, peut-être très générales qui pourront au bon moment mener à une discussion sincère et profonde. L'humilité peut être une piste de réponse oui. La deuxième selon moi, est le don de soi. On se met en retrait pour le bonheur des autres, une fois, deux fois,.. puis ça peut devenir une habitude, une façon d'être.
  5. J'ai exactement le même ressenti que toi avec les gens cadrés. Pas de place pour l'imprévu, la surprise --> ennui très rapide. Je pense qu'être intro- ou intraverti est trop général pour s'appliquer à une personne. Je pense clairement être les deux, suivant le moment, et le contexte. Ça s'applique peut-être mieux à des enfants, débarquant à l'école. Là, oui, je pouvais clairement me définir comme intraverti à cette époque là. Mais en tant qu'adulte, on regarde, on apprend, on change.. On sait s'adapter aux autres, vivre en société. On sait fait rire, attirer l'attention, se mettre en avant, tout en n'oubliant pas qui l'on est intérieurement. On a toujours des réflexions profondes. On a parfois besoin de solitude. J'ai beaucoup de peine avec les théories en psychologie, car elles me semblent trop générales ou non exhaustives. En à peine 10 secondes de réflexion, on trouve une personne qui contre-exemple parfaitement la théorie que l'on découvre/étudie. Je pense que tu tires des conclusions trop vite. Que penses-tu de "J'attire facilement les inconnus dès la première impression". Le physique a son rôle à jouer, mais il y a beaucoup plus que ça. J'ai tendance à passer trop de temps dans les bars, je l'avoue et à force, on voit beaucoup de gens défiler... J'ai fini par être capable de dire d'une femme qui rentre dans un bat si elle est ouverte à une approche ou non. (Etant en couple, je me contentais de transmettre l'info à un ami, et je restais à observer.) Et je peux le dire, c'est quelque-chose qui se voit au premier regard et qui peut attirer. Il y a donc toute ton attitude qui peut être attirante ou non, en plus de ton physique. Je peux te coacher.. Je suis exactement ce type d'homme. Mais je t'avertis d'avance que ça a un coût énorme : C'est exactement ça. J'ai vécu 4 ans avec une femme curieuse et très intelligente. Après 4 ans, elle ne sait absolument rien de moi, et ce n'est pas une volonté de ma part.. C'est la triste réalité des choses. En outre, je ne sais plus ce qu'est le bonheur. Je n'y aspire plus. Je n'attends rien de la vie, et erre sans réel but. La seule chose qu'il me reste pour avancer, c'est quelques convictions, une sorte de ligne de conduite : l'honnêteté, la bonté, l'altruisme.. Merci !!! Merci ! Un peu de sagesse et quelqu'un qui relève le fait qu'on ne peut pas généraliser et extrapoler une personnalité sur le simple fait qu'une personne soit extra- ou intravertie. Je pense que non. Ce sont les mêmes processus, oui. Mais nous n'avons pas tous les mêmes outils à disposition. Certaines personnes sont émotives, d'autres calculatrices, d'autres encore agissent au "feeling".. Chacun possède une panoplie d'outils pour affronter ses problèmes. Donne une balance à un homme et une mesure à un autre et demande leur de te donner la quantité d'eau dans un seau ... Comprendront-ils ce que ce l'autre fait ?
  6. Je nage très bien, et j'ai effectivement suivi des formations de secouriste et de maître nageur. Je savais ce que je faisais, et je connaissais les risques que je prenais. Je suis conscient de ma propre vie et je fais en sorte de la préserver. Je me pose juste la question : "si de nous deux, une seule personne devait survivre, qui serait-ce et pourquoi?". Alors en face de beaucoup de personnes, ce serait moi, mais pour quelques unes, je choisirais cette autre personne.
  7. Ces relations ne m'amènent pas à me sacrifier. Elles me rendent prêt à le faire en cas de besoin. Alors des petits trucs, oui, il y en a souvent, c'est pas forcément des sacrifices, c'est simplement faire passer l'autre et ses intérêts avant soit même. (Se lever à 2-4-5h du mat pour aller chercher quelqu'un en soirée, annuler un plan pour laisser l'autre partir, etc.. etc.. ) Ensuite, prendre des risques pour une personne oui. Celle qui me vient à l'esprit, c'est d'avoir sauté dans un lac froid (lac de montagne en mars/avril) en connaissant les risques encourus (hypothermie, choc thermique, grande fatigue) pour aller aider une personne qui nageait moins bien que moi et qui commençait à perdre pied à cause du froid. Dans cette situation, j'ai eu un temps de réflexion, pas long, mais un temps de réflexion quand même. Je ne sais pas du tout quels seraient mes réflexes sans ce temps de réflexion. Peut-être bien que ce serait de sauver ma peau et c'est tout.
  8. Me mettre en retrait de manière générale. Me faire passer après ces personnes là. Dans la vie de tous les jours, c'est ce qui ressort de cela. Après dans l'extrême, prendre des risques pour eux. Et dans l'absolu, mourir à leur place si ça devait se faire.
  9. Alors là, stop ! Réfléchir sur la société actuelle, oui. Se dire qu'elle a beaucoup de défauts, oui. Remarquer que pas mal de gens vivent sans vraiment se préoccuper de ce qui ne touche pas directement leur quotidien, ok. Mais généraliser à ce point, non ! Je le dis, j'ai rencontré des personnes, hommes comme femmes, pour qui je suis prêt à me battre. Non pas par intérêt, par amour, par désir, mais simplement parce que ces personnes sont meilleures que moi et peuvent apporter plus à notre monde que moi. Je suis prêt à me sacrifier pour ces personnes sans hésiter, pour cette simple raison, le monde, la société et l'humanité s'en portera mieux. L'humanité n'a pas changé. Ce qui a changé, c'est nos modes de vies et la société dans laquelle on vit.
  10. Je ne pense pas parler comme un scientifique. Aurais-tu la même impression si tu ne savais pas qui je suis ? Je te rejoins tout à fait, les théories ne servent à rien si ce n'est à éclaircir ses idées et à nous guider. Je ne cherche pas non plus à prouver quoique ce soit à quiconque. J'expose simplement comment la science et les théories scientifiques fonctionnent car je connais le domaine, bien que je le l'apprécie pas plus que tant. Il y a effectivement trop de paramètres qui nous échappent. L'analyse et les informations ont leurs limites oui, mais l'analyse ne sert qu'à une seule chose : tirer d'autres vérités d'un ensemble qu'on considère comme vrai. Si je te dis "J'aime les pizzas" et "j'ai en vie de sortir ce soir", tu peux analyser "il y a de grandes chances que l'emmener dans une pizzeria ce soir lui fasse plaisir". Si tu n'as aucune information que tu considères vraie, tu ne peux rien analyser.
  11. Je n'oserais pas me lancer dans ces implications.. Il est vrai que certains aspects de la physique quantique ouvre la porte à beaucoup de théories et de spéculations. J'ai tendance à rester dans le "terre à terre" et me contenter des applications. Après en avoir plusieurs fois discuté avec d'autres personnes dans le domaine, on tombe systématiquement sur une infinité de possibilité, sans autre moyen de décider laquelle est vraie que son ressenti personnel. Effectivement, analyser ne demande pas de tout connaître. Mais l'analyse a ses limites. Je l'ai eu fait quelques fois, rien ne m'a permis de définir une telle théorie comme vraie ou fausse, par manque d'informations.
  12. Un polytechnicien a appris que la métaphysique n'a de point commun avec la physique que le nom Je ne m'aventurerais donc dans aucune visualisation, ni aucune extension des théories scientifiques dans ce sujet. Pour le reste, je te suis parfaitement oui, en y ajoutant des nuances propres à chacun. Notre morale nous aide à garder une ligne de conduite qui nous parait idéale. Je dis nous aide, car forcément, un jour ou l'autre, on se laisse aller à des comportements, envies, ou autres s'éloignant légèrement de notre morale et n'étant d'après nous, pas "justes". C'est exactement ça. La morale que l'on se fixe (je ne parle pas de celle érigée par notre société, nos religions, les autres) nous donne un cadre dans lequel évoluer. Libre à chacun après, d'y inclure une part de spontanéité. Comme exemple, je donnerai ceci : - Etre célibataire, accoster une personne dans la rue pour lui proposer poliment d'aller boire un café. La spontanéité y est, et c'est un comportement qui peut s'insérer dans le cadre d'une morale standard. (La société nous pousse à rester distant des autres, je parle donc d'une morale personnelle) Ils sont cependant représentatifs de beaucoup d'autre choses : la société, le pouvoir, la capacité à modifier la définition de bien et de mal pour un groupe d'individus, etc.. etc.. J'ai testé les deux ! L'idéalisme a ses bons côtés. On ne se pose pas de question, on profite du temps présent, on se projette dans le futur. On est simplement heureux avec l'autre personne. Il a également ses mauvais côtés. La vie n'est pas idéale, et quand la vie et l'image qu'on se fait sont trop éloignées l'une de l'autre, ça fait mal. Je pense que ça peut même détruire quasi-définitivement une personne. Le réalisme a ses bons côtés. On attend beaucoup moins. On se protège plus, et on se prépare à parer plus ou moins n'importe quelle éventualité.. Le problème, c'est qu'on est incapable de s'abandonner, même temporairement, à l'autre. On est content de notre vie, mais jamais réellement heureux. Le plus dur est de trouver le juste milieu entre les deux. Ni trop naïf, ni pessimiste. Honnêtement, je n'ai pas encore trouvé et n'ai aucune certitude d'y arriver un jour. Pour être content oui, c'est vrai. Le bonheur est autre chose selon moi, qui demande un abandon de soi. Avec grand plaisir. La science n'est pas une vérité absolue, certes, mais elle se base sur des axiomes que l'on considère comme vrais. Tu as tous les droits de t'attaquer à ces axiomes, je doute moi-même fortement de certains d'entre eux. mais une fois ceux-là acceptés, tu ne peux construire une théorie que par implications et déductions. Ça limite grandement le champ des possibles.
  13. Personnellement, c'est le genre de comportement que j'apprécie, étant aussi passé par la case polytechnique en physique. Je n'ai aucun problème et même du plaisir à en discuter. Après, malheureusement quand les personnes connaissent ton sujet d'études, personne n'ose t'en parler, personne n'ose remettre en question ce que tu dis .. alors que comme tout le monde je peux me tromper. De plus, discuter d'un sujet avec des personnes ayant un point de vue totalement différent et n'ayant pas traversé les années de moulage de Polytechnique est souvent formateur et digne d'intérêt. (Même si parfois au final, ça se termine parfois par un "non, tu as tort, je peux t'expliquer pourquoi, mais ça peut prendre un moment" )
  14. Je vous propose de rejoindre ce nouveau topic pour discuter d'amour et de sexe, afin de laisser celui-ci pour son réel objectif : la séduction
  15. Merci pour vos nombreux messages arrogants, insultants et traitant de querelles infantiles datant du dernier millénaire. Je pense qu'il est parfaitement possible d'aimer une personne de tout son être, et pour autant d'être attiré par une tierce personne, voire même d'avoir des rapports avec cette dernière. Cela étant dit, je comprends également ton point de vue. L'être humain a tendance à être attiré par ce qui est interdit, ce qui est inatteignable. Ça rend les choses plus belles et leur donne plus d'éclat ! Ainsi, la morale (donc, pour moi, le fait de s'interdire certains agissements pour quelque raison personnelle) permet de faire miroiter nos fantasmes et attirances sous l'inconnu, l'impensable, l'irréalisable. Mais.. un statue dorée cachée dans une cave sombre est-elle réellement moins belle qu'une autre à la vue de tous sur une place pavée sous le soleil de midi ? Quand à parler d'un fait triste. C'est quelque chose qui n'existe pas. La tristesse est une émotion ressentie par un individu, ou un groupe d'individus, au contact d'une situation. Il n'y a pas de choses tristes. L'exprimer comme tu le fais ici démontre une imposition de ton ressenti comme vérité absolue. Certes, l'amour nous blesse et nous fait grandir, mais c'est le cas d'à peu près toutes les expériences de vies qui me viennent en tête. Pourquoi le sexe serait-il à proscrire ?
  16. Lis ses messages, ça donne déjà une bonne idée de la personnalité des gens. Et c'est beaucoup plus facile de décrire une autre personne que soi-même. On sera plus objectif, plus critique.
  17. Je pense pas qu'on arrive à déformer sa vraie nature. Par contre, se convaincre qu'on l'a fait, ça oui, et ça arrive souvent.. le problème, c'est que quand elle revient, le retour à la réalité fait mal .. très mal même Bon.. pas besoin de vous expliquer que je suis bizarre, mais selon moi, le bonheur, la vie de couple et la sexualité sont trois choses distinctes. Elles ne peuvent ni s'englober les unes dans les autres, ni se définir à l'aide des deux autres. C'est beaucoup plus complexe que ça, et nombre de petits détails ont leur importance dans les trois.
  18. C'est la simple vérité.. Ouvre tes yeux La semaine dernière, j'ai croisé une femme sur un site de rencontres. Elle me propose un plan cul chez elle le soir même, je lui ai répondu "On se voit au Starbucks et on verra au feeling après?". Bon.. Elle est pas venue, je m'y attendais, mais c'est une autre histoire Sinon sérieusement, oui. J'ai besoin de me sentir à l'aise avec la personne, de savoir qu'il y a autre chose, sinon mécaniquement, ça marche pas. J'ai mis à sacré moment à comprendre ça en étant plus jeune d'ailleurs ...
  19. Je ne sais pas l'image que tu as de toi-même, mais d'après nos échanges, j'ai de loin pas l'image que tu penses donner de toi sur ce forum.. Tu ne t'es pas plainte une seule fois sur ce topic. Tu te poses des questions, tu as des doutes et des problèmes comme tout le monde. Là où tu n'es pas comme tout le monde, c'est que tu viennes en parler, et que les avis recueillis ici te servent de base de réflexion. Je mets surtout l'accent sur ce dernier point. J'ai rencontré trop de personnes qui soit ne rentrent pas en matière et n'entendent pas les critiques, soit prennent ce que les autres disent comme des vérités presque absolues et tentent de les appliquer. Je sais bien que je ne te connais pas vraiment, et je peux me tromper, mais je pense que tu te sous-estimes sur plusieurs aspects, en particulier l'image que tu donnes de toi à l'écrit : quelqu'un de profond, sincère, honnête.. Tu as bien fait de lui dire que la messe ne t'intéressait pas et que tu n'étais pas croyante.. Faire semblant d'avoir les mêmes intérêts, c'est se tirer une balle dans le pied dès le départ de la course.. Après, peut-être qu'une rencontre dans un lieu public, une promenade, un café, ou un resto à la place d'aller directement chez lui aurait pu changer les choses, on est toujours plus malins après, et encore qui peut prétendre savoir ce qu'il se serait passé avec des choix différents ? L'un dans l'autre, vous vous êtes trouvés et avez vécu ensemble déjà bien quelques temps. Votre relation ne va pas évoluer d'elle même. La relation, c'est ce qu'il existe entre vous deux. Ce qui est vivant, ce qui fait changer les choses et vivre votre relation, c'est vous. C'est toi et c'est lui. J'aime bien imaginer une relation comme un élastique. Il faut d'abord qu'il arrive à s'accrocher aux deux personnes. (Qui a déjà essayé d'attacher un élastique tendu ?) Puis avec le temps, l'un regarde à gauche et l'autre un peu à droite. L'élastique se tend légèrement. On peut résumer plus ou moins tous les types de relations avec cette métaphore. Jusqu'à la relation qui fait vibrer un être..
  20. Avec redondance ? Mais un truc du style oui, entrecoupé par d'autres choses par contre. C'est nécessaire d'être clair dans ses propos.
  21. Ah, vu comme ça oui ! Totalement C'est donc la définition d'avances qu'on a pas en commun. Nul besoin de coucher le premier soir, ni la première semaine, ni le premier mois, ni même la première année. (J'ai dit besoin hein ^^ pas envie ) Je mettais simplement les "mots bien choisis" dans les avances, avances dans le sens 'je m'intéresse à toi' et non 'je veux coucher avec toi'. Et c'est bien plus plaisant de profiter de ces moments de séductions, de découvertes lors de la rencontre, d'en profiter un maximum car c'est la seule occasion qu'on aura durant toute notre vie de découvrir la personne en face de nous sans a-priori, sans préjugés.
  22. Je ne suis pas d'accord avec toi sur ce point pep-psy, mais c'est une pente glissante. Lorsqu'une femme me plaît, j'ai autant peur des deux situations suivantes : - l'embarrasser car trop entreprenant - l'ennuyer en lui faisant penser qu'elle ne me plaît pas C'est très difficile de trouver le juste milieu entre les 2, pour ma part en tout cas, et en général, ça donne quelques avances discrètes ou détournées, mais probablement percevables. Du moins, c'est ce que je vois d'un point de vue subjectivo-externe
  23. Je ne pense pas que tu aies à avoir peur de freiner un homme qui te plaît. Après, bien évidemment, en y mettant les formes et en évitant qu'il pense que tu ne veux plus le revoir. En tant qu'homme, c'est un comportement bienvenu en général. On passe un bon moment, on échange, et on se réjouis d'en apprendre plus à la prochaine rencontre. Nul besoin de précipiter les choses. C'est une façon aussi de faire le tri de manière indirecte. Des hommes, t'en rencontreras de toute sortes : de celui qui veut tirer son coup le soir même à celui qui veut simplement échanger, et pour qui ton corps n'a aucune importance, avec toutes les variantes possibles et imaginables entre ces extrêmes. Plus l'homme se situera proche de cette première catégorie, moins il sera intéressé par ce que tu es en dehors de ton physique, par ce que tu penses et par ce que tu peux lui apporter en dehors du sexe. Et de manière associée, plus il aura un état d'esprit proche du deuxième extrême, plus il profitera de tous les moments que vous passerez ensemble à discuter, à échanger. Petite histoire/anecdote personnelle : il y a une femme dans mon entourage que j'ai rencontrée il y a maintenant plus de 5 ans. J'ai directement eu une grande attirance pour elle (dur à décrire de premier abord, mais due à ma première impression, donc directement liée au physique et à sas manière d'être). Elle était en couple à l'époque, donc nous avons simplement passé des moments de partage et de discussions profondes. Puis ce fût mon tour d'être en couple, nous avons continué à nous voir sans qu'il ne se passe jamais rien de physique. Nos différents parcours de vie ont créé notre relation au fil des années, une relation dans laquelle nous nous connaissons intimement mais seulement mentalement. C'est une relation que je n'aurais jamais imaginé avoir et dont je ne peux pas dévoiler le secret, je ne le connais pas. Les points clés que j'en ressort avec du recul sont les suivants : - le hasard d'une rencontre - la moralité qui nous a évité de faire des "bêtises" étant en couple - quelques points communs et une idée de la vie et de la société se rapprochant - se revoir régulièrement, souvent par hasard, parfois pour garder contact Je ne pense pas qu'il y ait de marche à suivre type pour faire tel ou tel genre de rencontre. La vie nous joue parfois des tours, et parfois elle mets des personnes admirables sur notre chemin et en écarte d'autres. Ma philosophie est de profiter de chaque jour parce qu'on ne sait pas de quoi demain sera fait, et c'est souvent les choix insignifiants qui ont de grandes conséquences.
    • Je passais juste faire un tour, pis je me suis dit.. elle va voir que je suis passé, et que j'ai pas laissé de commentaire... J'vais encore me faire engueuler :sleep:
      Coucou Melie ;)
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