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Tout ce qui a été posté par Kégéruniku 8
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Si... Mais ce n'est pas le cas, ils n'ont donc servi à rien? Je n'ai pas peur du noir, mais j'aime les contrastes, les paradoxes et les eprits contradicteurs. Nombreux sont ceux qui brillent non pas là où c'est nécessaire mais là où ils peuvent être vus, généralement là où la lumière est déjà présente. Ceux qui brillent dans le noir, seulement pour eux-même et pour le plaisir que ça leur apporte, ceux-là, quand j'ai l'occasion de les voir, ne peuvent que me toucher. ^^
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Un Lord anglais démissionne pour 1 minute de retard
Kégéruniku 8 a commenté un(e) a video de Petit ours dans Cinéma
Fichtre, ça pue la classe quand même. J'adore ce genre de comportements et de personnages. -
Il y a ces phrases et ces tournures qui sont le fruit d'une réflexion, que l'on travaille pour aboutir à un résultat ciblé. Et il y a ces phrases, ces tounures, ces images qui semblent venir d'elles-même. ^^ On m'a dit un jour que l'intuition c'est l'intelligence qui court. Je trouve la phrase tout particulièrement juste. Et ces phrases qui nous semblent venir de nulle part, je crois que c'est justement ça. Je crois que c'est justement ça l'inspiration. Lorsque l'esprit travaille de lui même et fournit des résultats, alors que lorsqu'on essayait de le remuer il se contentait de nous chier à la gueule. Ce que vous dites m'apparait d'avantages comme familier qu'étrange. ^^ J'aime bien les illuminés, ils brillent dans le noir.
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Ce qui serait le plus surprenant, pourtant, c'est qu'on ne ressente rien. ^^ Ce n'est pas comme si vous parliez de la météo. (Et encore, avec la forme qui conviendrait, je suis sûr qu'il doit être possible de faire ressentir des choses même en parlant de météo. ) Pour moi, c'est le contraire, c'est peut être quand j'écris que je ressens le plus les choses, comme si je ne les vivais vraiment qu'une fois transcrites.
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Ah bah ça fait plaisir, je ne suis même pas dans la liste de pseudos sur ta page, je vais me plaindre à mon syndicat de ce pas!
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C'est drôle, pour moi qui n'ait pas d'oreille, que d'être titillé à ce niveau quand je vous lis. ^^ La dissonance s'entend, quand le rythme se brise en cours de texte. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est agréable, parce que ça m'a perturbé, mais j'apprécie l'idée.
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J'ai 4 ans et demi et je déteste me coucher. Je dors dans une mezzanine alors que je souffre du vertige. De fait, chaque soir, lorsque je regarde l'échelle que je vais devoir escalader pour me coucher, et bien forcément j'appréhende. Et j'ai beau le faire tous les soirs, ça n'empêche que j'ai horreur de ça. J'essaie de trouver comment faire pour repousser le plus possible l'heure du coucher. En parler? Je n'ai rien à dire si ce n'est que je ne veux pas me coucher, et la formule n'est pas des plus efficaces. Dire que je veux rester avec les tontons? Trop incertain, ça ne fonctionne que rarement et jamais bien longtemps. Regarder un film avec papa? Il parait que je ne devrais même pas regarder ces films, je pourrais faire des cauchemars. Je suis plus inquieté par le fait de me coucher que par le fait de continuer à regarder, mais bon. Non, ce qui me permet vraiment de gagner du temps, ce sont les histoires que l'on me lit. Ma mère est persuadée que le fait de me lire des histoires me rendra plus intelligent, alors elle le fait relativement régulièrement et chaque fois qu'elle le fait, cela retarde le temps du coucher de façon conséquente. Le problème, c'est qu'elle n'a pas toujours envie de lire, d'autant moins lorsqu'il y a du monde à la maison, ce qui arrive assez souvent quand même. J'ai beau sortir les livres et les garder ouverts devant moi, pour signifier qu'il faudrait me nourrir l'intelligence, ça ne fonctionne pas vraiment. Au diable la dépendance, on n'est jamais mieux servi que par soit même. Cela me prend du temps, c'est parfois compliqué, mais je lis. Et plus je lis, plus je découvre que j'aime le faire par moi même, les mots s'inscrivent mieux sur ma rétine et les images dans mon esprit. Quand elle se rend compte que je lis, ma mère n'ose même plus me déranger, pour ne pas prendre le risque que tout s'écroule, comme s'il s'agissait plus d'un heureux accident que d'une succession d'efforts. Pourquoi sur-articulait elle chaque syllabe si ce n'était pas pour que je comprenne? Enfin bref, trop heureux ou trop peureux, personne n'osait m'interrompre pour me dire qu'il était temps d'aller dormir. Alors, chaque soir, sans exception, je lisais. Le problème, c'est qu'à lire chaque soir, rapidement, je n'eu plus assez de livres. Il me faudrait donc lire les livres de papa, même s'ils contiennent beaucoup moins d'images. Cela m'a demandé un temps d'adaptation, mais entre l'angoisse de l'échelle et le regard admiratif de mes parents, je ne pouvais que continuer mes efforts. En plus, les livres de papa étaient tellement plus intéressant! Je savais désormais comment il faisait pour savoir tant de choses, en fait, c'était caché là, dans ses livres. Il y en avait beaucoup sur les animaux. Non seulement ils me faisaient découvrir des animaux incroyables aux noms parfois tellement improbables et drôles, comme le aye-aye ou le cagou, mais en plus ils parlaient aussi de tous les pays du monde. D'autres encore parlaient du corps humain, ils avaient des dessins rigolos qui montraient ce qui est en nous et qu'on ne peut pas voir. Et encore une fois, il y avait des mots amusant, surtout les noms des os. L'occiput, l'humérus, le péronnée... Je me demandais toujours comment ces mots avaient été choisis. Il y avait aussi des livres fantastiques qui parlaient de légendes du monde entier, de mythologie. Ceux là étaient mes préférés et je connaissais mieux les périples d'Héracles et les facéties de Loki que les personnages de dessins animés qui passaient à la télé. Maman avait raison, ces livres me rendaient plus intelligent, je commençais seulement à les lire que déjà je répondais mieux aux questions de mon robot 2XL. Et durant tout le temps où j'ai pu lire les livres de mon père, je ne m'inquiétait que moins du coucher. Souvent, je finissais par m'endormir dans les bouquins et je n'avais donc pas à monter à l'échelle. Tout était parfait. Jusqu'à ce que je termine le dernier livre disponible. Je n'avais plus d'excuse pour ne pas me coucher, plus de prétexte pour rester sur le canapé. Et les angoisses revinrent d'autant plus féroces que je n'y étais plus habitué. Même si parfois mon père achetait de nouveaux livres, ça ne me protégeait que d'une poignée de nuits, dans le meilleur des cas. Il fallait que je trouve quelque chose, une méthode qui me permettrait de tenir une éternité. C'est là que je réalisai qu'il y avait bien un livre que je n'avais pas encore lu. Je l'avais déjà arpenté, pour m'aider dans mes lectures, mais je ne l'avais jamais lu, en lui-même. Et je compris rapidement pourquoi. Lire le dictionnaire s'avérait absolument fastidieux. Des enjeux pour ainsi dire nuls, une répétitivité effroyable et bien trop peu de découverte. Imposant comme il était, l'ouvrage semblait être parfaitement idéal, mais sa lecture était en fait parfaitement insupportable. Mon dernier rempart était intenable. A force de réflexions, j'eu une idée extraordinaire, qui non seulement me rendrait la lecture du dictionnaire possible mais qui en plus démultiplierait le temps qu'il me faudrait pour l'achever. Désormais, chaque soir, je me contenterai de la lecture d'une poignée de mots seulement, par contre, ces mots me serviraient. Il me faudrait les utiliser pour raconter mes propres histoires, mes propres légendes, mes propres explications du monde. Dès lors, la lune devint ma plus fidèle confidente, et aujourd'hui encore, même si je ne dors plus dans une mezzanine et que je ne souffre, de toutes façons, plus du vertige, même si les méthodes se sont succédées et ont changé, il n'est pas une nuit qui ne serve de support aux élucubrations de mon esprit.
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Ahah, je vais écouter ça de suite!
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Je l'ai fini la semaine dernière. Un peu étrange au début, parfois ça se laisse aller à quelques facilités, mais dans l'ensemble, plutôt emballé. La façon d'aborder les choses est plutôt originale et ça raconte des trucs intéressants.
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Ui mais bon, j'ai l'habitude d'essayer d'être le plus précis possible quand je m'exprime. Fuck la justice, love la justesse, toussa toussa... Bon, et bien si la réponse te convient, ça me convient. Merci à toi. ^^
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Et bien, de manière générale, j'aime pleins d'instrus différentes. Mais je sais pas trop quoi dire, j'ai ni les connaissances ni le vocabulaire. ^^' En ce moment, je suis sur des trucs plutôt planant, un peu cloud (j'écoute pas mal de PNL ces derniers jours, et je mes des sons de Disiz en boucle du genre Perdu ou On s'comprend pas) ou à l'inverse des instrus qui donnent l'impression d'une certaine tension (genre à la Rap God ou Killshot d'Eminem.) J'aime bien les trucs chelou aussi et limite saturés. (genre Antenne 2 de TTC) En espérant avoir aidé.
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J'ai déjà des idées de flows pour les deux premières parties. (un flow différent pour chacune des partie) Par contre, je galère pour la fin, je me suis trop concentré sur l’acrostiche qui me faisait marrer. J'aime plein de genre d'instrus différentes, mais je dois bien avouer que je n'ai aucune idée de comment faire pour choisir un son qui marche avec un texte, j'arrive pas à comprendre comment les gens font ça. ^^' J'arrive à voir quand ça marche, pas comment. (merci pour la découverte, je connaissais pas du tout, ça a refait ma matinée. )
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Pleurer c'est mâle sauf pour leurrer le mal. Plaisir lesbien, ça fait gémir c'est bien. J’ai les couilles en vadrouille, mes baloches se font la malle. Impuissance d’un puissant qui s’épuise pour un rien. Et ça n’a pas de sens comme dans un film de uc. Rien à branler comme si j’étais eunuque. Fais pas les gros yeux comme si t’étais grand-duc, Cette meuf est chaude, j’ai sa mouille sur ma nuque. Et je suis fin prêt pour son grand bassin, J’ai pas pris de bonnet mais elle m’en passe un. Je lui reluque le maillot comme un mec pas sain, Puis j’envoie la mayo, non attends, pas ça ! C’est pas comme si je pouvais lui dire Que c’est pas commencé et j’ai déjà fini ! Je sais pas comment faire, je veux être Houdini Et mettre les voiles comme burkini. Pose sa main sur ma verge, nique la mer, elle force ! Faut que je prenne le large, j’aimerai être la Corse. « C’est ma mère qui m’héberge, faut qu’elle soit d’accord. - Putain mec t’es barge, c’est toi qui m’accoste… » Pleurer c'est mâle sauf pour leurrer le mal. Plaisir lesbien, ça fait gémir c'est bien. J’ai les couilles en vadrouille, mes baloches se font la malle. Impuissance d’un puissant qui s’épuise pour un rien. Et ça parle de tass’, ça parle de casse, Ça parle de tape et de cap ou pas cap, De poukis, d’équipes, d’esquiver les stups, De sape, de schlass et de cannabis cup. Ça parle beaucoup, mais ça fait rien. Y a moins de fours que de galériens. Ça veut niquer les tours comme désordre aérien Mais fait le mort tous les jours, président algérien. Ça veut jouer les bandits, comme Montana T’es moins Tony, qu’Hanna Montana. Si t’es de Bundy , qu’on te condamna T’es comme Al Bundy avec sa nana. Coincé dans prison mais t’as rien d’un taulard, T’es ton propre maton comme Pablo Escobar. Privé d’horizon quand tu t’enchaine au bar C’est que tu l’appelles chaton qu’elle rapplique épaulard. Pleurer c'est mâle sauf pour leurrer le mal. Plaisir lesbien, ça fait gémir c'est bien. J’ai les couilles en vadrouille, mes baloches se font la malle. Impuissance d’un puissant qui s’épuise pour un rien. Sans succès, je m’arrête, j’en ai fini de draguer. N’écoute plus ta baleine, ne te laisse plus parquer. Si t’attends qu’elle soit prête, t’as pas fini de tanguer Grimpe à bord de ma charrette, quittons cette vie flinguée. Si t’es derrière moi, plus jamais je bégaie. Wesh, dégage ta nana, il est temps de la larguer. A la traîne isolés, bien plus forts conjugués. Garde- le pour toi, mais je crois bien qu’on est gays.
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Taxi driver. Je n'avais jamais pris le temps de le voir, erreur réparée.
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Bon à la.base, j'écris pour être lu puisque je n'ai pas les qualités recquises pour être entendu. Mais comme je suis curieux, j'ai envie d'essayer quand même, et j'avoue que ce texte, dans ce que j'ai pu écrire, me semble être l'un de ceux qui s'y prêtent le mieux, donc autant voir ce qu'il est possible de faire. D'ailleurs j'aime beaucoup les deux idées que tu apportes et auxquelles je n'ai pas pensé une seconde. j'ai beau écrire des choses plutôt courtes, c'est vrai que le trop, c'est quelque chose que je fais treeeees souvent. va falloir que tu me dises quand je te vois, hein, j'ai beaucoup de choses à apprendre et c'est vraiment le genre de truc qui me motive.
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Je rejoins le mouvement des ienclis!!! Contraiment à redpilled, celui-ci a peu été pensé et je l'ai pondu en peu de temps, mais je suis d'accord, je le préfère largement aussi. ah, tu trouves pour le refrain? Moi j'avais l'impression qu'il manquait un truc. (Après j'avais pas pensé à le répéter. ^^' ) Bah, j'ecoutais rien du tout. Je pensais même pas écrire en fait. J'ai commencé avec deux phrases et finalement j'ai complété. ^^
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Je broie du noir dans mes nuits blanches. Je veux pas te voir, je veux juste tes hanches. Moi je vois la vie en néon rose ; Je serai ravi que dans maison close. Billets de sang, l’argent est rouge. Sin citizen comme Mickey Rourke . Pas de gueule de bois pour la fée bleue, Deux verres ou trois rendent spiritueux. J’ai toutes les couleurs sur ma palette, Toutes les douleurs dans ma galette. Tes coups d’humeur, je m’en balek. Si t’es Docteur, moi je suis Dalek. Cerveau s’égare sur la pente douce, Cigarillos dans ton penthouse. Je veux pas revenir, je veux que la drogue dure. Je troque mon avenir contre une piqure. Plus je m’élève plus je manque d’air, J’envoie mes rêves six pieds sous ter. Trois lignes ou quatre, j’aime, je compte pas. Plus rien à battre : Bertrand Cantat. J’ai toutes les couleurs sur ma palette, Toutes les douleurs dans ma galette. Tes coups d’humeur, je m’en balek. Si t’es Docteur, moi je suis Dalek. Maigre lumière dans la nuit noire. Y a que sur civière que je garde espoir. Dites au docteur de prendre son temps Même si je meurs on le paie contant. Sirène de nuit chante sur mon sort, Adieu l’ennuie, vivement la mort. Dans l’ambulance la vie s’écoule, Fin de turbulences, enfin c’est cool. J’ai toutes les couleurs sur ma palette, Toutes les douleurs dans ma galette. Tes coups d’humeur, je m’en balek. Si t’es Docteur, moi je suis Dalek. Plus d’une couleur à mon arc, Plus d’une coulée sur mon art. Plus qu’une corde et sur mon arbre, Plus qu’un corps, y aura mon âme.
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C'est marrant, je viens de relire un bouquin qui cite à plusieurs reprises ce morceau et je me disais qu'il fallait que j'aille chercher ça. ^^
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Il y a une personne qui s'est montrée agressive, envers toi notamment. Pas besoin de généraliser un comportement stupide si celui-ci est singulier. Et aussi stupide que furent ses propos, ça ne justifie pas de jeter l'opprobre sur la personne, a fortiori sur l'ensemble du topic. Je ne connais pas la personne en question et me garderait bien de la juger sur ces interventions ici, aussi douteuses que celles-ci soient.
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Tiens petite réactualisation, vu que depuis la dernière fois, j'ai découvert plein de choses. Berserk, c'est la vie. Dessins superbes, histoire passionnante, chara-design aux petits oignons, toujours aussi parfait. FullMetal Alchemist. Sans aucun doute mon shonen préféré. Complet et original. Rien à redire. Bonne nuit Punpun. Ce truc a été une putain de claque. Banal et pourtant terriblement original. Je me suis fait totalement retourné par ce manga dont je recommande la lecture à tout le monde en ce moment. Homunculus. Un sujet qui me touche particulièrement et un final irrésistible. Monster. Bon, déjà, l'auteur est un putain de génie qui a le don pour sortir des histoires aux synopsis impossibles et pourtant terriblement haletantes. Et les contes tchèques qui parsèment le manga sont à se damner. J'ai grandement apprécié aussi des manga comme Liar Game, Old Boy, 20th Century Boy, Blame!, Coq de combat, Ayesha's secret, One Punch Man, Shingeki no Kyojin ou encore Blessures nocturnes. En ce moment, je lis Billy Bat
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J'ai passé la journée à expliquer un truc simple à une trentaine de personnes qui me posaient toujours la même question sans écouter la réponse... Pour qu'au final, ils finissent par me dire: ah ouais, c'était pas compliqué en fait"... J'avais la pêche ce matin, mais là, je suis déglingué. Je quitte le boulot dans 20 minutes, j'ai hâte.
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D'accord. Bah, l'explication je la comprend, elle fait sens, par contre, j'avoue que j'ai pas pigé pourquoi à moi.
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Je ne serai pas aussi catégorique, parce que ce n'est pas vraiment mon tempérament. Mais je suis plutôt d'accord avec toi. Par contre, j'ai eu une grosse journée, j'ai la tête dans la boîte à Benco, j'ai pas compris le pourquoi du comment.
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J'ai bien ri. Par contre, ça manque un peu de vraisemblance. Un maître n'a pas besoin de signifier qu'il l'est, ce faisant, il laisse, au contraire, planer le doute. S'il faut que ce soit dit, c'est que ça n'est pas constatable ou que la personne qui parle a besoin de se rassurer. Un maître qui dit son nom suscite plus de pitié que de respect, plus de mépris que d'admiration. ^^