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Ed.

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Tout ce qui a été posté par Ed.

  1. Une condamnation, une peine purgée n'excuse pas pour autant le coupable, elle n'est pas là pour lui permettre de se racheter une conscience ; il s'agit d'un simple mécanisme visant à dissuader d'autres individus de commettre les mêmes infractions, délits ou crimes. Les actes d'un individu forgent sa réputation, la considération que les autres peuvent avoir à son égard, qu'il ait ou non purgé une peine pour des faits répréhensibles. Même si personne ne peut légalement l'empêcher d'exercer une activité publique et artistique, chacun est en droit de détester Bertrand Cantat et d'espérer de ne plus le voir sous le feu des projecteurs, c'est une réaction normale et saine pour toute personne douée d'un minimum d'empathie pour ses semblables.
  2. C'est quand même bizarre qu'un homme "se batte" avec toutes ses compagnes. C'est marrant comme le verbe "se battre" donne une impression de tort réciproque ; se battre peut également signifier que l'un(e) tente de se défendre, de se parer des coups assénés par l'autre. https://www.lexpress.fr/styles/vip/un-membre-de-noir-desir-denonce-la-violence-de-bertrand-cantat-envers-les-femmes_1965149.html
  3. Ce n'est peut-être pas la violence la plus barbare mais c'est tout de même l'une des plus lâches, celle qui ne sort pas des murs, qui ne porte pas à conséquence pour son auteur... du moins jusqu'à l'issue fatale.
  4. Il a certes payé "sa dette" envers la société car c'est la société qui fait la justice mais son acte reste irréparable (et pour cause !) vis à vis de sa victime. Est-ce que le fait d'avoir purgé sa peine a fait de lui un homme meilleur, un homme recommandable, un homme admirable ? Que penser d'un homme qui a prouvé être capable du pire ? Ce potentiel malfaisant ne fait-il pas partie de son être profond ? Libre à ceux qui font appel à lui, qui l'écoutent, qui l'admirent (ou pas) d'en juger. Quoi qu'il en soit, il a malgré tout aujourd'hui le droit de vivre et de travailler et j'avoue que, conformément à mon esprit humaniste, je serais prêt à l'embaucher pour porter des moellons.
  5. On parle de pollution de l'air, de pollution sonore, de pollution lumineuse mais il faudrait également prendre en considération la pollution visuelle qui s'installe sur le domaine public. De quel droit nous impose-t-on la vue de toutes ces abominations dénuées de sens ? La liberté de l'art sans queue ni tête devrait s'arrêter là où commence le confort visuel des citoyens autres que les amateurs du genre. Mesdames et messieurs les artistes du pas beau et de l'inutile, faites vos trucs dans des lieux dédiés, louez des salles ou des halls d'exposition, invitez qui vous voulez mais arrêtez de nous gâcher le paysage avec votre bric à brac ! https://www.leprogres.fr/tour-de-france/2020/09/12/une-sculpture-de-107-velos-pour-celebrer-le-tour-de-france
  6. Aujourd'hui, l'art n'est plus une simple escroquerie financière, c'est également devenu une escroquerie intellectuelle. Il suffit d'aller faire un tour à la déchèterie, de ramener une vieille brouette, un pédalier de bicyclette et quelques autres objets disparates, de les ficeler ensemble et de laisser le public trouver un symbole caché d'une quelconque décadence... Mais bon, peut-on vraiment blâmer ces « artistes » de profiter du fait que l'excès de pognon rend bien souvent très con ? Et on a encore rien vu... Voila qu'arrivent les NFT !
  7. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 50/100 Mon temps 121 secondes  
  8. Autant je peux comprendre pour Hergé qui semblait se délecter de représenter tous ses personnages non-blancs dans des positions ridicules voire humiliantes, autant j'ai un peu plus de mal pour les autres. En effet, selon le camp dans lequel se trouve le personnage principal, l'auteur va forcément communiquer le point de vue du héros au lecteur pour une meilleure immersion dans l'histoire ; pas étonnant donc que dans Lucky Luke les autochtones soient présentés comme les "méchants". Devrait-on également interdire les films de guerre dans lesquels le héros est un allemand de l'Allemagne nazie et où l'ennemi est français ou allié ?
  9. Tout à fait, j'ai pu le constater par moi-même. Il s'agissait d'une mère qui élevait seule un garçon pas encore majeur ainsi que ses deux sœurs cadettes. Le fils était un véritable tyran envers sa famille , caractériel, violent, déscolarisé, petit revendeur de cannabis et attirant toute sorte de problèmes. Sa mère a tout fait pour lutter contre ça, pas physiquement bien-sûr, car elle n'avait pas l'avantage... Elle a tenté d'obtenir de l'aide auprès des assistantes sociales, des éducateurs, a demandé à ce que son fils soit placé dans un foyer... en vain. Parfois, je voyais les gendarmes débarquer pour calmer le fils qui cassait tout dans l'appartement ou pour venir chercher les barrettes qu'elle avait trouvé dans sa chambre. Le cauchemar de cette famille a cessé le jour des 18 ans du fils, lorsque la mère a fait appel à des amis pour le mettre dehors avec toutes ses affaires. Ça a fait du bien à tout le monde : à sa mère, à ses sœurs, aux voisins et même à lui ! Aujourd'hui, c'est un autre homme. Mais accuser et culpabiliser les victimes collatérales ça permet de ne pas avoir à s'occuper des problèmes de fond. Un bel os à ronger pour RN / LR.
  10. J'aurais bien aimé connaître les arguments qui te permettent de réfuter chacune de mes affirmations. En attendant, tu peux remercier tous les vaccinés qui t'ont permis de retrouver aujourd'hui une vie presque normale, c'est-à-dire sans retour nécessaire à des épisodes de confinement. Le drame de notre société actuelle, c'est que bon nombre d'individus ont pris l'habitude de compter sur les autres pour que le boulot soit fait, c'est valable pour le travail, pour le vote électoral, le don de sang, etc.
  11. Au niveau individuel, à chacun d'apprécier son intérêt personnel. Sur les centaines de milliers de kilomètres que j'ai parcouru, je n'ai jamais eu d'accident, il y a très peu de "chances" pour que j'en aie un lundi en allant au boulot ; pour autant, même si son port n'était pas obligatoire, je n'envisagerais pas un seul instant de conduire sans ceinture de sécurité. Quant à l'intérêt collectif, il est indéniable. Même si chaque individu de moins de 75 ans, non vacciné, encoure un risque limité de mourir et même d'être hospitalisé (en réanimation ou non), rapporté à la population entière, cela suffit à saturer le système de santé avec les conséquences désastreuses que cela implique. D'autre part, laisser le virus se multiplier sans tenter de le freiner augmente la rapidité à laquelle se produisent de nouvelles mutations et le risque de voir apparaître de nouveaux variants, potentiellement plus virulents et/ou plus délétères contre lesquels il pourrait devenir plus difficile voire impossible de lutter. Même s'il n'est pas du tout certain que la vaccination pratiquée aujourd'hui permette l'éradication du virus — notamment à cause des réfractaires au vaccin qui constituent le principal réservoir du virus — elle permet néanmoins de gagner du temps et d'éviter le chaos économique, social, humanitaire.
  12. Oui bien mieux, merci. Ça me donne toujours un peu l'impression d'éléments grisés plutôt que d'éléments sélectionnés mais c'est sans doute très subjectif.
  13. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 70/100 Mon temps 199 secondes  
  14. Bonjour, Cela vient-il des réglages de mon écran ou de mes yeux ? J'ai beaucoup de mal à lire le texte blanc sur le fond vert pastel des éléments sélectionnés, suis-je le seul ?
  15. Ed.

    Cosmos 1999

    Je me souviens que j'avais bricolé un truc qui ressemblait vaguement à un aigle à l'aide de tubes de rouleau de PQ . C'est vrai qu'à part Cosmos 1999... Peut-être l'Incroyable Hulk !
  16. Le danger du RIC, c'est le nombre non négligeable d'individualistes et de benêts qui composent le peuple français. Parfois, il faut savoir faire des efforts voire des sacrifices pour l'intérêt général ou pour les générations futures ; pas sûr que les défenseurs du RIC eux-mêmes soient capables d'un tel discernement. Le RIC, c'est un peu comme laisser aux enfants le soin de choisir le menu des repas : steak-frites tous les jours !
  17. Ed.

    pass sanitaire étendu !

    Le mouvement des GJ s'étant décanté, dans le fond on retrouve les anti pass sanitaire qui n'ont trouvé plus que ça pour vomir leur haine de Macron et des contraintes de la vie en société. Sur les images, on voit de belles têtes d'ahuris qui ont enfin retrouvé un sens à leur misérable existence.
  18. Ed.

    pass sanitaire étendu !

    J'ai l'impression d'entendre le discours d'un « Insoumis » qui milite pour un SMIC à 2 500 Euros et un RSA à 1 500 et, par voie de conséquence, une baguette à 5 Euros et la mise en autarcie du pays (comme si c'était possible...). On ne peut pas maintenir 60 000 000 de lits et le nombre de soignants qui va avec pendant 50 ans en prévision d'une future pandémie, il faut être réaliste. Les euros ne tombent pas du ciel, ils viennent du contribuable mais surtout ils naissent du travail, quoi qu'en pensent ceux qui militent pour être payés plus en en faisant le moins possible ! « L'exponemachintruc... » D'accord... Maintenant, je comprends mieux ta façon de penser...
  19. Ed.

    pass sanitaire étendu !

    Si par exemple le nombre d'hospitalisations double chaque semaine (pour simplifier les calculs), combien faudrait-il d'hôpitaux pour contenir la vague ? On commence le calcul à 1 000 hospitalisations par semaine : Semaine 1 :..... 1 000 Semaine 2 :..... 2 000 Semaine 3 :..... 4 000 Semaine 4 :..... 8 000 Semaine 5 :.... 16 000 Semaine 6 :.... 32 000 Semaine 7 :.... 64 000 Semaine 8 :... 128 000 Semaine 9 :... 256 000 Semaine 10 :.. 512 000 Semaine 11 : 1 024 000 Semaine 12 : 2 048 000 On a aujourd'hui, en France, un taux de 98 % de réussite au bac mais personne ne semble connaître ce qu'est une fonction exponentielle...
  20. Ed.

    pass sanitaire étendu !

    Plus d'un an après, certains n'arrivent toujours pas à comprendre... Même si les cas graves voire mortels représentent une partie relativement faible, un accroissement important du nombre de contaminations provoque mathématiquement une augmentation des hospitalisations. Si par exemple 1 % de 25 000 contaminés quotidiens doivent être hospitalisés, cela « ne » représente « que » 250 personnes supplémentaires par jour. Mais... La contamination évoluant de manière exponentielle, lorsque le nombre de nouveaux cas positifs quotidiens atteindrait 250 000, ce seraient 2 500 nouvelles hospitalisations par jour qui s'ajouteraient aux précédentes pour une durée de deux à trois semaines. Même en doublant voire triplant le nombre de lits, en ne prenant aucune mesure pour limiter les contaminations, on arriverait inexorablement à la saturation. Et lorsque les hôpitaux sont saturés, c'est comme si on n'en avait plus d'hôpital du tout pour tous les autres cas pathologiques ou accidentels quotidiens. Comment faire enfin entrer cela dans le crâne des COVIDO-sceptiques ? Comme ça peut-être ?
  21. Avec ce genre de vote « pour montrer que... », on va finir par avoir à choisir au second tour entre la peste et le choléra. Il faut arrêter de jouer comme ça avec l'avenir du pays, il faut voter dès le premier tour pour le candidat qui nous semble être le plus capable sous peine de le voir un jour disparaître au profit de deux guignols qui auront simplement été choisis « pour montrer que » ou parce que des votes auront été inutilement gaspillés pour des petits « candidats du cœur » (mais pas de la raison).
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