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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Titsta

    Philosophie et vérité

    C'est Socrate qui a associé la philosophie et la "rationalité mathématique" qu'il cherchait à promouvoir (avec raison à son époque, je pense. ) Les mathématiques sont une recherche de la vérité. Enfin, une méthode pour effectuer des raisonnements afin de propager la vérité, d'hypothèse de départ, pour obtenir l'état de vérité de propriétés finales. ( Celles qu'on cherche à démontrer ) Mais la philosophie, ça n'est pas que des maths, pas que de la "rationalité" (dans le sens raisonnement logique rigoureux mathématiquement parlant) Elles sont d'ailleurs trop influentes et importantes à notre époque. Même si on commence petit à petit à revenir et redorer le blasons des philosophies "non-socratiques". Pour ma part, la philosophie est par essence l'art de réfléchir. De manier des entités abstraites de nos esprit, qu'on pourrait appeler "idées". Et de voir comment elles s'assemblent, se composent, s'excluent, s'opposent, se différencient, se nuancent. La "rationalité" n'est qu'une façon de le faire. Pas la seule. La Vérité n'est qu'une de ces idées. Qui a prit une prédominance particulière à notre époque. Mais pour ma part, la rationalité (mathématique) n'est pas forcément nécessaire à la philosophie. La Vérité pourrait céder la place en importance dans nos raisonnement à la "réalité", ou au monde "sensible". (qui sont aussi des abstractions, si on y réfléchie) L'invention d'autres façons d'associer les idées entre elles fait partit de la philosophie. Tant que son objectif reste d'associer les idées entres elles, et d'analyser leurs rapports et leurs interactions. C'est en ce sens que la philosophie est une des sources de la créativité humaine. ( la créativité n'ayant rien de rationnelle. Une simple déduction n'étant pas une "création" par définition. )
  2. Le marxisme est la seule critique scientifique et rationnelle du capitalisme existante aujourd'hui. La prendre en compte est simplement faire preuve de rationalité. Mais la prendre en compte ne signifie pas forcément y adhérer. J'émettrai plusieurs critiques sur l'analyse de Marx. Il a révélé la notion de classes sociale et de rapport de force entre ces classes. Et mis l'accent sur la lutte. Comme d'autres dans d'autres modèles scientifique à priori non-économique (je pense à la théorie de l'évolution) ont mit l'accent sur la compétition. Cette idéologie évolutionniste a formaté la plupart des modélisations de nos sociétés. Marxisme comprise. Premièrement : Des critiques scientifiques de la théorie de l'évolution on mit en avant qu'il existait d'autres mécanismes que ceux de la compétition. La collaboration, l'entraide, ou l'ignorance réciproque. L'importance de ces interactions l'emportant très largement dans la nature sur les interaction réellement "compétitives". C'est une première critique qu'on peut émettre sur le marxisme. Les classes, si tant est qu'elles existent, n'obéissent pas nécessairement une logique égocentriques. Ni nécessairement à une logique de lutte. Elles peuvent collaborer, ou obéir à des logiques qui dépassent leur seule existence. (survie de la nation toute entière par exemple, idéologie commune transversale aux classes. exemple : altruïsme, lutte contre la pauvreté, la famine dans le monde, l'écologie etc... ) Deuxièmement : L'analyse scientifique montre aussi qu'il existe dans la nature force comportement ne visant pas nécessairement à la survie. Les espèces les pratiquant ne survient pas, certes. Mais si on reste objectif, elles n'en existent pas moins. Et n'en jouent pas moins un rôle déterminant dans l'histoire de la vie, voir sur les autres espèces. Une autre critique pourrait être de considérer que dans le marxisme les "classes" visent nécessairement à leur propre survie. Or, qu'un individu vise à sa survie... soit. Mais assimiler une classe à un individu est une extrapolation, qui peut être source d'erreur. Une classe qui disparaît n'implique pas nécessairement la disparition des individus qui la compose. Ce qui change beaucoup la donne. Des mécanismes de non-survie, voir de "suicide" de classe peuvent exister. En particulier si cette "mort de classe" signifie la "promotion" de chacun de ses individus. Par exemple, les esclaves était une classe qui œuvrait à sa propre disparition, par l'émancipation. Troisièmement : La logique marxiste repose sur l'existence même des classes. Ce qui implique l'existence réelle des sous-cultures, donc une certaine forme d'imperméabilité culturelle entre les classes. Autrefois, chaque classe possédait sa propre façon de s'habiller, de parler, ses propres règles de bienséances. Les magasins n'étaient pas les mêmes, les lieux fréquentés n'étaient pas les mêmes. Aujourd'hui, même les ouvriers peuvent s'acheter une belle voiture de riche, ou une superbe télé écran plat géante (si c'est leur priorité). Ils sortiront moins, prendront sur autre chose. Les niveaux de vies restent différent globalement, un riche pourra toujours s'acheter plus de choses. Mais les classes se sont "floutés" culturellement parlant. Pire, les groupes deviennent multi-dimentionnels. On peut être de droite, écologiste, végétarien, musulman en même temps, et une autre personne appartenir à deux de ces groupes et pas aux autres. Il n'y a plus nécessairement deux camps en présence. Mais appartenance de chaque individus à de multiples groupes sociaux, ne se recoupant pas du tout. La logique marxiste présuppose l'appartenance d'un individu à un seul groupe. Et la démarcation claire de ces groupes entre eux. C'est quelques exemples des critiques qu'on peut poser sur le modèle marxiste de la lutte des classes. On peut en trouver d'autre. ( j'en ai d'autres, mais ça fait déjà assez pavé, donc je vais m'arrêter là. ^^ ) Si les descriptions marxistes restent précieuses pour comprendre le monde aujourd'hui, et malgré tout très pertinentes (beaucoup plus qu'on ne l'imagine) pour en comprendre les grandes lignes. Je pense qu'il est nécessaire d'en voir les limites de son application sur notre monde moderne, sous peine de tomber rapidement dans une caricature.
  3. En fait, on a tendance à l'oublier car ils ne font pas partie de notre culture, mais la quasi totalité des indiens sont végétariens. Une très grande partie des chinois et des habitants des autres pays asiatiques aussi. À eux seuls ils représentent 70% de l'humanité (les asiatiques, pas les végétariens) Ce chiffre "d'un milliard" n'est pas, et n'avait pas vocation à être "exact", il est très certainement sous évalué en réalité. Il ne servait surtout qu'à rappeler que le régime végétarien n'amène pas de séquelles sur notre organisme, et n'a rien d'une "exception". Ceux qui considèrent que c'est notre "nature" de manger de la viande se trompent, ça n'est pas une question de nature. Seulement de choix et de culture.
  4. Mmm pour être plus exact, je dirais que tu cotises pour obtenir des droits sur la productivité à venir de la nation, si tu te retrouve dans le besoin. Je n'aime pas beaucoup la notion de "pot commun". Qui fait trop confondre la solidarité avec une "capitalisation" (une constitution d'un "fond" stoqué) Alors que c'est une répartition instantanée des risques de l'ensemble du groupe, sur l'ensemble de ceux qui peuvent les porter dans le groupe, dans l'instant. La seule capitalisation qui est effectuée est une capitalisation en "droit" à cette solidarité instantanée. On cotise pour obtenir le droits d'être soutenu par l'ensemble des travailleurs de la nation. :) Compte tenu du fait que même si tout l'argent sort de France, il y aura de toute façon toujours des travailleurs, des usines, des outils, des savoir faire... et donc une certaine productivité en France. ça a l'air de rien, mais c'est exactement ce qui fait que ce genre de système solidaire est insensible aux crises financières, et extrêmement stable même dans les cas de crises économique plus sévères. :) Seul les crises de "droits" pourraient y porter atteinte. (donc les crises "politiques") C'est très exactement grâce à cette insensibilité de notre système social aux crises purement financières qu'on est parmi les pays à s'en être, de très loin, le mieux tiré. Un système par capitalisation nous auraient tous ruiné dans une crise financière et des situations d'instabilité bancaire. :)
  5. Énormément de choses sont très simples en réalité. Désolé d'expliquer simplement et clairement les choses. :D Tu sais, faire croire que c'est complexe, c'est seulement de la démago. Très utile pour éviter que les personnes concernées s'imaginent trop "capable" de donner leur avis sur la question. :) Un imbécile qui t'explique quelque chose de "compliqué" en économie, il essaye surtout de t'enfumer. :) Il faut arrêter le réflexe de leur donner la moindre crédibilité. ^^ La plus grosse difficulté à appréhender les fonctionnements économiques, c'est vraiment d'arriver à accepter le fait que tout est très simple en réalité. ( affreux de cynisme souvent, mais très simple. ) Si les choses ne se font pas, ça n'est pas parce qu'elles sont compliquées. Mais parce que ceux qui ont le pouvoir de le faire ne le veulent pas. Quand tu aura compris ça, tu aura compris les neufs dixièmes des raisons des blocages économiques ou politiques. Les vrais blocages sont toujours très simple. (pas forcément solubles, mais simples). Question très pertinente. Je tente une réponse... Parce qu'elles sont rentables à la population, à la nation, et à l'ensemble des entreprises qui sont utiles à la société. Mais pas du tout aux "entreprises" qui vivent aux dépend de la société. (les entreprises puissantes donc. ) Or c'est ces dernières qui détiennent le pouvoir politique. En particulier depuis que la population se désinvestie de plus en plus de ce genre de questions, et de réflexions. Et que l'idéologie dominante est que nous devons nous "sacrifier" pour les "soutenir". Parce qu'ils seraient "important" de les laisser puissant pour notre propre bien... ^^ ( Et surtout de ne pas trop réfléchir à la réalité... de rester dans la démago idéologique : si c'est une entreprise puissante, c'est forcément bon pour la société : les clients, les employés, l'état... :) ^^ En oubliant qu'une entreprise puissante est justement une entreprise qui arrive à pomper le plus possible aux clients, et payer le moins possible employés ou l'état... ) Es-tu au courant qu'il n'y a aucun déficit de la sécu surtout ? Il y a une participation volontaire de l'état dans les caisses de solidarité maladie, parce que l'état (démocratique) considère (très sagement, toutes les études scientifique le prouvent) qu'une bonne santé publique est quelque chose qui rapporte à la nation tout entière. Comparée au coût qu'aurait des épidémies, entraînant un trop haut niveau de maladie parmi les employés. (et ça, ça coûte très cher.) L'état décide donc de ne pas laisser tout supporter sur les seuls travailleurs, indépendant du reste de la nation. (la solidarité pourrait se passer totalement d'un financement de l'état. La solidarité est issu du libéralisme à la base.) L'état décide donc de contribuer lui aussi, pour une petite part, en attribuant dans son budget un financement. Financement comparable à celui qu'il peut faire pour financer l'armée, l'éducation nationale, la construction d'infrastructure... etc... Qui plus est, se servir du système solidaire existant (qui n'a rien à voir avec l'état), en ne faisant que le "subventionner", lui permet aussi de ne pas avoir financer sa propre organisation en matière de santé. C'est de grosses économies. C'est là que ne pas se laisser aveugler par le vocabulaire est important. On s'est mit à appeler ses participations des "trous" dans son budget... c'est très facile d'appeler toute forme de dépenses des "trous". Très démago, très efficace pour faire passer une idéologie sans le dire :D On peut faire ça pour tout, vous savez ? :) << L'éducation nationale ? haaa m'en parlez pas !! C'est un trou de plusieurs dizaines de milliards !! et ça chaque année !! Vous vous rendez compte ma bonne dame ?? >> << La police ? c'est un trou de plusieurs milliards !! et ça chaque année !! Vous vous rendez compte ??? C'est fou non ? >> Je pourrais aussi le faire sur le "trou" provoqué par le financement du système bancaire mais ça serait mal reçu Arrêtons l'hypocrisie. L'état n'a pas besoin d'investir le moindre centime dans le système de solidarité de santé. Il est stable par lui même. Comme la santé publique est quelque chose de très rentable, (beaucoup moins coûteux que les maladies) il investit dedans. Il s'agit d'un choix politique, ça n'a rien à voir avec un besoin, ou un "déséquilibre budgétaire". ça c'était pour le vocabulaire. Parce que le mensonge du "trou" commence sérieusement à me gonfler. >_< Ensuite pour ce qui est des chiffres, il y a aussi un gros mensonge. :) La participation de l'état à la santé publique (et non le "trou") est compté en oubliant complètement de retirer taxes et impôts qu'il perçoit à titre temporaire et qui doivent être reversée à la sécu. Comme par exemple la TVA sur les cigarettes, ce genre de choses. Si tu enlèves ces sommes, (dans les 7 milliards chaque années je crois...) tu te rends compte qu'en réalité la participation réelle de l'état à la santé publique est considérablement moindre qu'il ne l'affiche régulièrement. Non, ça, ça n'est pas un trou... c'est une décision politique. :D Il y a un problème de surmédication en France, donc la solution a été d'empêcher les pauvres de se soigner. ça ne change en rien la consommation de médicaments dans les faits. (ça embèterai l'industrie pharmaceutique de vrais mesures qui diminuerai la médication ) Mais ça fait surtout plaisir aux "capitalistes", de se dire que notre système de santé (ou de retraite) serait "défaillant"… ça permet de nous entretenir dans l'idée qu'il n'y aurait que le système purement "capitaliste anti-libéral", d'immenses entreprises multinationales écrasant le marché, qui pourrait fonctionner. Et plus ce genre d'idée se répand dans la population, plus on les laissera piller nos richesses et notre force de travail, et plus on leur donnera d'importance dans nos décisions politiques, contre nos propres intérêts et ceux de la nation. :)
  6. Ha c'est pas mal comme technique !! J'ai mis du temps à comprendre de quoi il parlait. Je vois deux problème potentiel. Déjà la santé. Est-ce qu'il est dangeureux pour la santée, et combien de temps met t'il à se dégrader. Ensuite écologique. Vu qu'il s'agit de conserver l'eau en surface, j'imagine que ça signifie un assèchement des rivières. Un champ complet recouvert de cette substance ne fournira plus sa part d'eau aux rivières. C'est pire que l'imperméabilité, c'est du stockage. En réalité, si ça se répend sur une région entière, il n'y aura tout simplement plus une seule rivière dans la région, si ce n'est celles qui y entrent (et qui ressortirons sans avoir gagné une goutte d'eau) Pour régler des problèmes d'alimentation en eau en amont, ça risque de poser des problèmes d'approvisionnement en eau en aval. Par contre, je perçois un avantage important. Si l'eau ne s'infiltre plus, la majorité des engrais seront consommé par la plante, alors qu'aujourd'hui la plus grande part des engrais s'infiltre avec l'eau qui "lave" les sols. Cette pratique devrait donc diminuer fortement la quantité d'engrais nécessaire, ET diminuer la pollution qu'ils entrainent à l'extérieur des champs. Je pense cette substance vraiment intéressante. Et j'espère vraiment qu'elle n'est pas dangereuse pour la santé, et j'espère qu'elle est relativement bio-dégradable ( en 10 ans, apparemment... )
  7. vi ça va mieux, ta réponse m'a vraiment apporté beaucoup. ^^ ca va prendre un peu de temps pour faire pleinement son effet, mais c'est la bonne voie je le sais ^^ :)

  8. C'est très facile et ça ne coûterai pas un seul centime à l'état, qui n'a même pas à s'en mêler financièrement en réalité, si ce n'est pour règlementer cet échange. ça fonctionnerai exactement comme pour le chômage, ou les retraites, pour lesquels l'état ne verse pas un seul centime. Je parlais du RSA pour le montant, mais pas pour la forme (le RSA est payé par les impôts, donc effectivement par l'état.) ha... c'est vrai... beaucoup s'imaginent encore que l'état participe au chômage ou aux retraites. ça fait partit des mensonges démago de ceux qui voudraient casser notre système de retraite, de chômage, ou de santé, pour réduire nos salaires du montant des cotisons qui nous sont attribuée. En faisant croire qu'il y a un lien quelconque avec le budget de l'état et sa dette considérable. C'est juste un mensonge hein. Basé sur une confusion entre générosité et solidarité. La solidarité ne coûte absolument rien, c'est son principe même. Apprenez que le coût du chômage et des retraites pour l'état est nul. C'est le principe de la répartition solidaire. Les sous sont directement versé des cotisations des salariés aux caisses de retraites/chômage, qui les redistribuent immédiatement à ceux qui y ont droit, directement d'un compte à l'autre. Le chômage ou les retraites, c'est quelque chose que nous nous payons à nous-même, par nos cotisation. Ce système est réglementé par la loi, mais l'état n'a rien à y voir. Ne confondons pas la loi et l'état. L'allocation universelle peut très bien être accordée par une solidarité de ce genre, sans que l'état ai à verser un seul centime dans l'histoire. Je connais beaucoup de personnes qui ne travaillent pas sur des projets communs, (création d'entreprise par exemple) seulement parce qu'elles ont besoin d'un salaire pour vivre, oui. Je connais encore plus de monde qui travaillent à la création de leur entreprise, en vivant sur leurs réserve, alors que ça leur coûte beaucoup plus d'argent que ça ne leur en apporte. Et leur but n'est pas de "gagner beaucoup d'argent", mais de faire ce qu'ils veulent faire pour la société. Ils essayent seulement d'arriver à un équilibre suffisant pour pouvoir "en vivre". Oui. Oui, je pense qu'à l'exceptions de ceux qui sont en "mode survie". Tous ceux qui travaillent savent qu'ils font quelque chose d'utile à la société... Ou sinon justement ils perdent leur motivation à le faire, et ne tarderons pas à changer de travail. La motivation c'est sois la survie, soit la reconnaissance. Elle n'est pas forcément donnée directement par les "clients", ou par ceux qu'on aide. Cette reconnaissance nous pouvons nous l'accorder à nous même, à condition de pouvoir voir l'utilité réelle et la qualité de ce qu'on a fait, ou de ce à quoi on a contribué. Je ne sais pas dans quoi tu travaille, mais je pense que ce qui te motive vraiment, c'est que tu te sens que tu fais un travail utile. Même en étant payé le même salaire, si on jetait immédiatement tout ce que tu faisais à la poubelle, devant toi, tu le prendrai très mal, et tu aurais beaucoup de mal à continuer ton travail, je t'assure. ça fait partit des techniques de torture mentale utilisées par le management pour que les gens démissionnent. C'est extrêmement destructeur d'en faire l'objet... même pour ceux qui "résistent". Je crois que tu n'as pas compris le principe de l'allocation universelle. Puisqu'elle est versé à tout le monde, ceux qui bossent à mi-temps, ou qui "vont au charbon" touchent AUSSI cette allocation. En plus de leur salaire. Tu n'aurais pas besoin de te "mettre au black", tu pourrais aussi prendre un vrai travail à mi-temps à côté si tu veux. Naaaan t'es sérieux là ? Ceux qui dealent le font bénévolement ? :D pour le bienfait de l'humanité ? On me l'avait jamais sortit encore, celle là :D :D :D Ceux qui volent des sacs à main, c'est seulement pour le plaisir ? C'est pas pour pouvoir se payer à manger ou leur loyer ? Ceux qui scouatent, c'est parce qu'ils aiment ce mode de vie... c'est pas parce qu'ils ont pas les moyens de payer leur loyer ? Et bande organisé ou pas, ça reste pour survivre, je vois pas le rapport, que ça soit organisé ou non... l'organisation, c'est seulement pour être plus efficace, et mieux survivre. Qu'est-ce que tu crois ? Que les délinquants, c'est seulement des gens "méchants" ? Qui font ça seulement parce qu'ils sont méchant ? Oo wouhaou... et c'est moi qui suit aveuglé ?
  9. En réalité, c'est une pure évidence que l'allocation universelle est possible. Le seul problème ne peut porter que son montant. Un RSA (450€) donné d'office à tous est très facile à mettre en place. Les mécanismes de la société et les conséquences sur le monde du travail, comme sur les réels apports économiques de la société (qui ne proviennent pas tous du monde du travail), serait moins évident à connaître. Si on s'en réfère uniquement à la psychologie, au delà de la survie, ce qui pousse un individu à travailler n'a rien à voir avec le salaire. Ce qu'il recherche, c'est la reconnaissance sociale. Reconnaissance apportée pour certain (minoritaire) par un "gros salaire". Pour d'autres par le fait de sauver des vies, d'enseigner à des enfants, de faire une œuvre "sublime et immortelle", de faire un travail utile à la société... Elles sont là les réelles motivations à travailler. Et ces motivations ne se chiffrent pas en rétribution monétaire. Financer un niveau de vie acceptable à tous n'éliminerai pas le travail "utile" à la société. Il diminuerai grandement l'importance et la nécessité du travail rémunéré. Une autre conséquence très importante d'une allocation universelle, c'est que si le travail ne devient plus "nécessaire pour la survie", alors l'exploitation devient de fait impossible. Personne n'acceptera de travailler dans des conditions indécente si sa survie est assurée sans avoir à travailler. Ce qui amène naturellement à une très forte diminution du besoin de protection légal des employés vis à vis des entreprises et un apaisement important des conflits. Les conflits ne touchant plus à des questions "vitales" de survie, les "tentions" seront considérablement diminuée, et il sera beaucoup plus facile de discuter intelligemment pour trouver des solutions. Ce qui peut entrainer une forte diminution de la complexité légale, tant celle cadrant les entreprises que celles concernant les différentes aides et allocations pour pleins de différentes raisons, et les vérifications qu'elles obligent. Cette complexité légale est une friction importante dans notre économie. Une charge très coûteuse. Il y a donc à la base un gain de valeur et de productivité réelle considérable à apporter, par la simplification légale et la disparition des besoins de survie du discours social entre les employés et leur entreprise. Sans oublier que la simple diminution du stress lié au risque de se retrouver sans emplois diminuera considérablement les charges sur la sécu, le taux de suicide, les pressions scolaires sur les enfants et la violence engendrée dans les écoles. Sans oublier très certainement une grande diminution des coûts sociaux comme la délinquance, les vols (pour survivre) etc... C'est à dire une grande disparition du "faux pib", celui qui est contre-productif à la société.
  10. Voué t'inquiète pas pour ça :D Plus ça se rapproche, plus ça se précise ^^ Mais bon, y a plus grand chose à en dire de base, chacun bosse à sa réalisation. :) ça va être géant !! ^^ :p :p :p /me super impatient :)
  11. D'un autre côté, c'est un saumon pour un plat que je ramène, c'est pas forcément la même chose que du saumon fumé pour les entrées des autres jours. ( je suppose que le saumon marqué dans la liste, c'était du saumon fumé ? ) PS => perso, j'aime bien la truite fumée aussi c'est moins cher (ou on en a plus) et c'est tout aussi bon. :)
  12. ha zut, je suis placé le 28 midi... C'est possible de me placer le 30 midi ? ^^ Y a au moins 5 personnes que j'aime bien qui arrivent que le 28 aprèm :/ J'ai envie de pouvoir les empoisonner avec mon poisson :D
  13. Bisou Amazones !! :)

    Pas tant des "questionnements", surtout quelques digestions et réalisations qui ont fini par se faire.

    Et je ne retrouve plus le lien qui me semblait si évident avant, entre ce que je voulais faire et la réalité.

  14. Angeeeel tu viens :sleep: Je vais avoir besoin de toi pour éplucher les patates !
  15. Non, je n'ai que de vraies sources directes, les chercheurs eux-même. Pas des propos rapporté de journaliste en tête. Il y en a, beaucoup, mais je ne retiens jamais les sources, aucun intérêt. Je m'intéresse à la vérité des choses, pas à "prouver" qu'elles ont bonnes réputation dans les "milieux autorisé" journalistiques. Mais si tu t'intéresse un tant sois peu au domaine scientifique, si tu lisais quelques interview de chercheur, tu en croiserai très souvent. La plupart du temps, quand une expérience n'arrive pas à invalider une théorie, les scientifiques sont déçu, ils auraient préféré trouver une faille.
  16. Heuuu je te fais remarquer qu'aimer la douleur, c'est le sujet. On parle forcément de psychologie, et du masochisme. J'ai seulement fais remarquer que la plupart des organisations humaines sont bâtis sur cette "recherche de souffrance". La science notamment, est très emprunte de cette notion. Oui, son but est constructeur, mais son fonctionnement est une abstraction d'un comportement masochiste humain. Celui de chercher par tous les moyens à détruire ce en quoi on croit. Certes cadré pour pas que ça se fasse n'importe comme, et glorifié, mais du masochisme quand même à la base. Les vrais scientifiques prennent effectivement plaisir à essayer de trouver et à mettre en œuvre tous les moyens qui pourraient détruire leur théorie. Ils sont même souvent déçu quand leur théorie a résisté, quand rien n'a pu la mettre en brèche. Et c'est extrêmement utile à la société. J'ai parlé de tentative de destruction de ce en quoi ils croyaient. C'est toi qui fait du systématisme en t'imaginant que la destruction ne pourrait qu'être totale si jamais on l'acceptait un tout petit peu. Oui, exactement, sinon ça n'est pas un scientifique. Et il ne les a pas "assimilé", il les testes. C'est seulement les techniciens (ingénieurs on dit, maintenant) qui sont tout content d'avoir "assimilé" des connaissances, et de les ressortir quand on en a besoin. Mais un ingénieur n'a rien de scientifique dans son comportement. Je pense que peut être la confusion vient de là. La science a tellement été glorifié que maintenant, 99% des métiers sont dit "scientifiques" même s'ils ne pratiquent jamais la science, et ne font qu'appliquer les techniques qu'elle n'a pas réussi à détruire. Il ne faut pas se laisser aveugler par la langue de bois des politiques hein ça n'est pas parce qu'on essaye de glorifier les ingénieurs en leur attribuant l'étiquette de "scientifiques" que c'en est. ^^ Autrefois, les scientifiques étaient aussi des ingénieurs. Depuis qu'on a séparé ces métier et fait des écoles d'ingénieur, ils n'ont plus rien de scientifique. Non, d'avoir contribué à renforcer une théorie en échouant à la détruire. Si tu réduit le plaisir au seul acte créateur d'avoir inventé une nouvelle théorie, tu es entrain de dire que 99% des scientifiques et 99% du temps de ceux qui reste ne provoque aucun plaisir. Et je te ferai remarquer que ça serait profondément masochiste comme comportement de toute façon. J'ose espérer que la plupart des scientifiques aiment pratiquer leur métier. Mais tu fais bien de le faire remarquer. Les deux doivent exister. Il y a les masochistes qui prennent plaisir à détruire leur théorie. Et ceux qui passent leur temps à échouer et à continuer quand même. Qui souffrent en permanence dans l'espoir qu'un jour ils trouveront quelque chose. C'est aussi un profond masochisme. Non, simplement parce qu'ils sont humains. Et aussi que c'est une activité très valorisée et encouragée par la société. ^^ Le masochisme est encouragé dans ces cadres là. C'est seulement lorsqu'il se retrouve dans d'autre cadres qu'il est dévalorisé.
  17. Tout espoir non. Mais ne pas le faire pour ça. Ce que je trouverai intéressant, c'est si un se suicide par culpabilité. Est-ce que les gens ici vont continuer de cracher dessus ? Est-ce qu'ils vont accuser celle qui s'est suicidé en premier de ce suicide ? Est-ce qu'ils vont accuser les gens comme eux qui ont commencer à lui cracher dessus sans s'en occuper ? Ou est-ce qu'ils vont commencer par comprendre que si ce monde des enfants est si dur, et s'ils sont si mal armé pour y résister, c'est la faute à ceux qui l'organisent, c'est à dire nous les adultes ? Et de nos erreurs à croire le monde de l'enfance si "beau", "innocent", et donc à ne pas les préparer à affronter ces difficultés. Je commence à croire qu'ils vont simplement suivre ce que le journaliste qui couvrira l'évènement dira :/
  18. Ils ont pas autre chose à faire que de s'occuper de nos gestes >_< Qu'est-ce qu'on en a a foutre des gestes des gens. Y a pas des sujets politiques plus important ?
  19. Le masochisme n'est pas forcément destructeur. Et justement, il ne consiste pas "à se faire mal", mais précisément à se faire plaisir. Je n'ai pas parlé de faire table rase de tout ce qui était fait, seulement de chercher à détruire par tout les moyens ce en quoi on croit. Si tu crois en une théorie, tu va chercher par tout les moyens ses faiblesses pour la saborder le plus violemment possible. C'est comme ça que fonctionne la science. Après, il y a la technique, qui ne fait qu'utiliser l'existant sans le remettre en cause, mais ça n'a rien de scientifique ça. Les techniques magiques, ça existe aussi. Au fil de son Histoire, la société humaine a organisé l'ensemble de ses comportements de façon à ce qu'ils servent la société. Masochisme compris. ^^ C'est seulement certaines formes qui sont "jugés" négativement. Quelqu'un qui va se tuer à la tâche pour la réalisation d'un grand projet, ou quelqu'un qui va se "sacrifier" pour sauver la vie des autres (ou élever ses enfants...) C'est très valorisé comme comportement masochiste. Le masochisme humain est utilisé par la société, et est encouragé. C'est seulement le masochisme "inutile" à la société, à simple but de plaisir individuel, qui est dévalorisé.
  20. t'in mais ça a l'air délicieux votre truc !! /me envieux !! /me et a faim maintenant ^^
  21. Titsta

    Les limites de la science

    tiens, j'avais loupé ce sujet. Je pense que la définition de la science, et donc de ses limites, n'a jamais été aussi nécessaire. À notre époque où elle disparait, après avoir été trop hégémoniques. à l'époque aussi ou re-surgisse beaucoup de fanatisme. (tant pseudo-scientifique que pseudo-religieux) Elle n'est plus qu'un mot qui devient vide de sens. Beaucoup on parlé du matérialisme, et des ses limites restreinte à ce qui est observable, mesurable et réfutable. Je suis assez d'accord avec ces limites. Je pense aussi extrêmement important de différentier la science de la technique. La science c'est un mouvement de recherche et de modélisation du monde. Elle produit de la technique, des "connaissances" et des modélisations. Mais elle n'est pas l'ensemble de ces connaissance et modélisation. Elle est la tentative de remettre en cause ces connaissance et modélisation. Sinon, on aboutis à une autre religion qui consisterai à dire que ce qui a été produit EST la Vérité... et ça n'a plus rien de scientifique tout ça. ça peut paraître absurde au premier abords, mais pour moi, la science cherche précisément à détruire ce qu'elle produit, c'est comme ça. Je pense aussi que la science n'as pas vocation à être "utilisé", à être "utile", contrairement à la technique (ce qu'elle produit) Mais justement à remettre en cause les connaissances et pratiques. à regarder les choses sous différents angles (matérialistes toujours)
  22. Disons que je laisse le soins aux gens de relativiser et d'interpréter ce que je dis. C'est leur taf d'être intelligent, pas le mien ^^ Je ne cherche pas à convaincre sur des phrases littérales, mais à ce que les gens réfléchisse aux idées qu'elles contiennent. Prennent ce qu'ils veulent et rejettent le reste. Ce que je disais c'est qu'il ne faut pas attendre de reconnaissance. Que ça n'est pas "grave" non plus qu'ils ne sachent pas tout ce qu'on a fait pour eux. Et c'est une bonne chose que mes affirmations choquent ceux qui en attendrait trop. ^^
  23. Je ne disais pas que le problème c'était les parents. Je disais que les parents avait la responsabilité d'apprendre à leur enfant à savoir vivre et se protéger dans cet univers difficile. C'est une chose qu'il y ai des harcèlements, c'est est une autre que cet enfant n'ai pas su se protéger. Qu'elle ai "sacrifié" son petit copain "pour son bien", en faisant son "devoir" envers lui, plutôt que de se reposer dessus, et de décompresser. Il y a des mécanisme de sacrifice permanent qui lui ont été inculqué "pour se faire accepter" (très mauvaise idée d'ailleurs), et pas assez de mécanisme "d'équilibrage" de ses différentes fréquentations. De prise de temps pour sois, d'égoïsme, de solitude (réelle et reconstructrice), ou même de demande d'aide. La transmission de ces mécanismes, sans en être coupable, ce sont les parents qui en sont responsables. Mais évidement, dans notre société les parents ne sont jamais formé à être parent. Il n'y a pas de "cour" de parent, il n'y a pas d'aide véritable. Ils ne peuvent bien sûr pas être coupable. Ils ne font que retransmettre tant bien que mal les valeurs dans lesquels ils baignent. Ou dans lesquelles la "sphère politique" nous endoctrine. Travailler plus pour gagner plus... les "bienfait" de la concurrence, ou de la sélection des "meilleurs", de l'obéissance à l'autorité (de l'école). Il ne faut pas croire que ça n'a pas d'influence sur notre éducation. Je ne "lutte" pas (ici en tout cas) contre ces valeurs là, mais il faut prendre conscience qu'il s'agit de valeur professionnelle : soyez "utile", "compétent", "obéissant", "sacrifiez vous", "laissez vous juger sans rien dire". Ces choses là sont importante, mais n'aide pas à se faire des amis. Elle aident à se faire embaucher. C'est pour ces raisons que les "meilleurs élèves" se font souvent lyncher en classe. Ils sont endoctrinés au "professionnel". Les relations sociales (de tous les enfants) sont désastreuses à cause de ça. Ils ne savent tout simplement pas bien vivre ensemble, parce qu'on s'en balance tous qu'ils vivent bien ensemble. Seul compte la "réussite" scolaire. qui serait gage d'une "réussite" professionnelle, et de la vie en général... bin voyons... L'école a aujourd'hui abdiqué son devoir d'apprentissage social, qui était autrefois prioritaire bien devant celui de l'apprentissage professionnel. C'est pour ça que les relations "sociale" se dégradent. Et comme la plupart des parents se reposent exclusivement sur l'école, sensé (elle par contre) être un spécialiste dans l'éducation des enfants.... ça merde. ça n'est pas une question "d'autorité" de l'école, c'est déjà une question de redéfinir les priorités. On peut, tous ensemble, redéfinir les priorités de l'école. Pour qu'elle assiste mieux les parents. Mais il faudrait déjà, dans un premier temps, comprendre nos responsabilités en tant que parent dans ce domaine. Avant de pouvoir demander à l'école (ou à d'autres système) de nous aider à tenir cette responsabilité.
  24. Avec un ado ? :D Nan je crois pas ^^ Ou si tu comptes dessus tu va t'en prendre pleins la gueule... :/ Ou si tu comptes l'avoir de l'extérieur, ( des autres parents ou du monde extérieur ), tu va t'en prendre encore plus. Mais je disais surtout qu'on ne doit pas déterminer nos comportements à l'aune de la reconnaissance que nous renverra notre enfant. Tant pis s'il nous considère comme de vieux croutons qui le "brimons" et qui passons notre temps à l'emmerder parfois. Tant pis si on y va avec de "gros sabot" pour lui parler de sujet sensible, et qu'il nous raille en disant qu'on est vieux jeu, et qu'il est beaucoup plus expérimenté qu'on ne le crois... ça les marques quand même, et ça donne quand même des reperds, même s'ils les dépassent. L'important c'est pas tant d'arriver à leur faire respecter les limites, c'est déjà de les leur donner clairement. Ceci dit, je pense surtout qu'il est très important de prendre du recul sur les valeurs et la culture à laquelle on est nous même soumis. Qui font qu'on presse sur certaines choses qu'on juge importantes. Sans forcément ouvrir des espaces de décompressions. Au delà des notes ou de l'école, il est extrêmement important aussi d'apprendre à notre enfant à avoir plusieurs "sphères sociales", et à ne pas (trop) les croiser. En particulier ne pas confondre sa "sphère professionnelle", la classe, et ses sphères sociales d'amis ou de "clan". Car le huit clos des classes est réellement destructeur. Les pressions du monde sur "l'importance de réussir ses études", les angoisses des parents ou de tout le monde de ne pas trouver un boulot, dont la réussite scolaire serait le seul remède etc... font que leur "sphère professionnelle" (la classe) est bourrée de pression, de frustration, de "relâchement" sur les autres de ces pressions, de violence, de sadisme... C'est encore plus important maintenant de bien séparer ces sphères. Et d'en établir une qui ne sera pas "parasité" par ces frustrations "professionnelles". C'est aussi super important de leur apprendre à différentier les amis proches avec qui on peut être sois même sans jugement, des amis/camarades "de surfaces" qui vont montrer un "groupe" dans lequel on pourra se sentir accepté. Les deux étant très important, mais différents. Une des erreur qu'elle a commise, c'est d'avoir mélanger sa sphère intime avec son petit copain, et sa sphère sociale. ça s'apprend de séparer ces deux mondes. ça s'apprend que la sphère intime est basé sur le partage de ce qu'on est et ressent, et que c'est dans la sphère sociale qu'on se "sacrifie" pour le bien de l'autre. Les parents devraient aussi penser à l'exemple qu'ils donnent, s'ils ont tendance à trop se "sacrifier", ils ne montrent pas l'exemple de moments de partage libre de ce qu'ils ressentent (de positif comme de négatif). C'est aussi une invasion des pressions sociales sur la sphère intime. Les enfants ont aussi besoin de voir que parfois, on peut exprimer nos peur, nos déceptions, notre impuissance sur les choses, qu'on peut "tomber le masque" du parent parfait pour exprimer réellement ce qu'on ressent. Sinon, lui, ne saura jamais "tomber le masque" non plus. Le partage, ça s'apprend aussi, et ça se fait dans les deux sens. Opposer à un "partage" un masque de "devoir d'écoute", ça ne marche pas. Dans l'autre sens aussi, il faut faire attention. Si on "partage" trop, il risque d'être lésé sur sa sphère sociale. Il doit apprendre que parfois, pour être accepté, il faut prendre sur soit. ça s'apprend aussi de prendre sur soit. (et de décompresser ailleurs que dans la relation elle même.) On s'interroge très rarement sur ces choses là en réalité. On a tendance à se focaliser sur les notes à l'école et sur le "devoir" des parents, bien plus que sur la différentiation et l'équilibre entre les relations professionnelle, sociales, et les intimes. Ou d'en vivre de réel avec notre enfants. Pour qu'il puisse savoir ce que c'est, et en répercuter l'expérience à l'extérieur.
  25. vi ^^ D'autant plus que je tiens à ramener de la neige en souvenir Mais Anariel & Beli m'ont proposé de l'acheter sur place, quand ils seront là avec leur voiture. Je vais plussoyer la demande d'info en matos de cuisine :) Pour la logistique ^^ As tu des plaques chauffantes ou juste des fours ? Questions plats (qui vont au four), poêle, casseroles, cocotte minute... as tu ce qu'il faut ? :) PS : Je vais être chieur, mais les dimensions "Standard Familial", c'est quoi ? :D Parce que faire de la bouffe pour 16 ou 20 personnes, ça demande de grand plats.
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