konvicted

Oui, c'est possible aussi. Dans ce cas, la question serait plutôt : ses "commanditaires" sont-ils profondément stupides ou soutiennent-ils Dieudonné ? (C'est bien évidemment un "ou" inclusif.) Pas si sûr. Les censures et autres agressions que Dieudonné subit et dont il joue à merveille pour accréditer ses petites théories ne lui permettent-elles pas de rallier de nouvelles têtes [ndlr: comprendre "têtes" comme une simple métonymie, à l'instar du terme "têtes de bétail", et non comme une éloge à l'intellect desdits individus] à sa cause ?

De la pub gratuite pour Dieudonné, et en le plaçant de nouveau en position de victime... ce pseudo cyber-justicier de mes deux ne soutiendrait-il pas plus Dieudonné que ses cibles ? J'aimerais penser qu'il est simplement très con, mais j'ai peur qu'il soit plutôt très faux-cul et égomaniaque.

Ah ! je ne connaissais pas cette règle. D'ailleurs, j'aurais naturellement tendance à dire que le doublement de consonne est plutôt la norme en matière de suffixes. M'enfin, en tout cas, c'est certain qu'il y a des règles qui comptent tellement d'exceptions qu'elles en sont inutiles.

C'est décidé, j'ajoute les moines copistes à ma liste d'ennemis.

Par "tomber", je pense plutôt qu'il faut comprendre ici "être supprimé". On se tient tout sage pendant un mois après avoir chopé un avertissement et l'averto est effacé.

Ça va, les chevilles ? Je te rappelle que se raser les jambes avec Gillette Venus ne fait pas de toi une déesse grecque. Par ailleurs, il y a comme une incohérence à se prétendre à la fois le diable et une déesse grecque.

J'aurais préféré un compliment qui ne donne pas raison à Jedino, par principe, mais ça ira pour cette fois. Si ça peut te rassurer, j'ai beau harceler les dieux grecs et les couver de Ferrero Rocher, pas un seul bougre ne m'a encore répondu. ♫ Il est des jours où Cupidon s'en fout, il est des jours où Cupidon s'en fout. ♫ C'est peut-être à force d'écouter du Renaud, mais ça me paraît naturel. J'espère que t'es patiente. :p

Ton enthousiasme me gêne un peu, mais merci.

Supplique polie mais ferme pour que le temps s'arrête d'ici peu et pour toujours, sans quoi je me verrai dans l'obligation de recourir à des moyens extrêmes pour parvenir à mes fins, allant jusqu'à la réitération de cette demande Mais tu crois qu'il existe, ou c'est qu'une imposture ? - Mes dabs ont un ami qui l'aurait rencontré, Mais l'gus est un poivrot, fermenteur concentré, Et vaut mieux pas se fier aux rumeurs d'un' biture. - Y a des rumeurs qu'j'suis prêt à avaler d'travers, J'ai entendu des trucs de fou, parait qu'le mieux Dans le bonheur, je cit' : "c'est qu't'es pas malheureux" ! - Eh, pourquoi on s'est mis à discuter en vers ? Vos gueules ! le bonheur c'est rien que de l'éther, Pour te faire planer, il faut qu'il s'évapore Et dès que ton air est de nouveau inodore, Tu peux être certain que la liesse prend cher. À l'heure où j'écris ça, tout ce dont j'ai rêvé Avant d'être un peu plus que l'ombre d'une loque, Putains de job, bagnole, appart et femme en cloque, Risque bien de glisser de mon poing entravé Par la peur lancinante au murmure perçant Clamant que la proba que la drôle de bulle N'éclate pas bientôt est pratiquement nulle, Captive de mes doigts la serrant, l'enlaçant Toujours, sans un arrêt pour la laisser souffler Car après une vie aigre, triste, oisive Comme un con à attendre abattu qu'elle arrive, Ça me déglinguerait de la voir s'envoler. Chronos, je t'en conjure, trompe ton sablier, Fige à jamais l'instant parfait mais éphémère, Lui qui encore hier n'était qu'une chimère Et qui risque demain de se faire oublier. Pour répondre au comment, je te laisse le choix, Mais si tu es sujet à la fainéantise, Mon conseil pour rester dans ton champ d'expertise : Troque ton sable fin pour des gouttes de poix. Mon sort entre tes mains, vieux, je compte sur toi, Je n'veux pas même voir défiler les secondes, J'ai déjà fracassé mes montre et micro-ondes Par anticipation pour te prouver ma foi.

Kasteel rouge, Kasteel blonde, Tripel Karmeliet, Delirium Tremens, gueuzes ; bref, les bières belges. J'avoue que je serais curieux de voir quel goût ça a, mais ça m'a l'air de coûter la peau du cul.

Fut-ce vraiment un jour sa croyance ? Le mécréant n'a-t-il pas plutôt remis la croyance de ses parents en question pour se faire sa propre opinion ? En outre, je ne vois pas ce qu'il y a de paradoxal à avoir remis en doute un système de croyance pour le remplacer progressivement par d'autres certitudes. Il y a forcément eu une réflexion à un moment, une période de doute, mais après ça, soit le mécréant demeure dans le doute, soit il se forge de nouvelles convictions, qui seront probablement bien plus difficiles à déranger que celles que ses parents lui avaient inculquées. Je veux bien te croire mais malheureusement, j'ai l'impression que le plus souvent, c'est à celui qui pissera le plus longtemps dans le violon. :p

Est-ce que le mécréant sait pour autant se remettre en question, se dire qu'il peut lui-même se tromper ? Je dirais plutôt que les débats sur la religion ressemblent davantage à des parties de squash que de ping-pong ; athées et croyants se renvoient la balle, mais les uns et les autres n'échangent qu'avec des murs.

C'est tout le principe d'une antiphrase, de dire le contraire de ce qu'on pense en forçant le trait de manière évidente pour que tout le monde, ou presque apparemment, comprenne que c'est ironique. Le post incriminé n'est pas excusable tout bonnement parce qu'il n'a pas à être excusé. Au bout d'un moment, faudrait peut-être que tu remettes ton indignation en question. Je ne dis pas que la majorité a toujours raison, mais si tout le monde semble vouloir "excuser" PDP - même si cela n'a pas lieu d'être -, c'est peut-être que tu es la seule à ne pas avoir compris l'ironie dans son post.

Chez moi, oui. Édition : Je ne vois pas l'image de ma signature, ni celle de la tienne, ni ton avatar.

Tu ne crois pas au concept ou tu refuses d'y croire ?

Je n'en doutais pas, mon "moi ?" n'était pas une interrogation mais plutôt une question rhétorique. J'imagine qu'on peut dire ça. Le bonheur finalement, c'est peut-être de ne pas le chercher, d'évacuer ainsi et la frustration de ne pas le trouver et tout espoir vain.

C'est une façon de voir les choses. Pour ma part, je vois plutôt la vie comme un tunnel entre la noirceur des entrailles maternelles et la mort dont la luminosité est conditionnée par sa propre appréciation de l'obscurité du tunnel, sa propre sensibilité à la lumière.

Moi ? je suis la recommandation de Desproges dans Vivons heureux en attendant la mort, la première partie du titre en moins. Bref, j'attends la mort.