Black3011

Il est clair que quand on choisit comme dénomination "pro-vie", il faut être pour le respect de la vie sous toutes ses formes. En plus, interdire l'avortement peut conduire dans certains cas à permettre de mettre au monde des vies de souffrance et de misère, donc des quasi "non-vies"... Le Pape le dit : la question est complexe, mais il faut rester cohérent. Quant à la question de savoir si cela peut ou non concerner les "mecs" ou doit rester réservé aux femmes : c'est une question à la limite du sexisme ! Parce qu'alors, on pourrait aussi dire que certaines questions sont réservées aux mâles : le management, la politique, les voitures, les boissons alcoolisées, les sports de combat, etc. Les rôles sexuels traditionnels, quoi, contre lesquels les féministes se battent depuis des décennies !

Il y a une quantité astronomique de livres qui ont été publiés soit dans le sens théiste, donc croyant, soit dans le sens de l'athéisme. Il y en a pour tous les goûts. Deux exemples de chaque, parmi bien d'autres : * Athées : Richard Dawkins ("Pour en finir avec Dieu") est le plus virulent; Stephen Hawking; ... * Croyants : Hans Küng ("Dieu existe-t-il ?" - à quoi il répond OUI); François-Xavier Nève; ...

Bon, j'ai parlé de cette petite anecdote à une vraie I.A. (Copilot), et voici ce qu'elle m'a pondu : Sketch : « Allô, Intelligence Artificielle ? » [Sonnerie. Bip.] Voix 1 (neutre, polie) : — Allô ? Voix 2 (professionnelle, un peu trop lisse) : — Bonjour, suis-je bien en ligne avec Monsieur X ? Voix 1 : — Oui, c’est moi. C’est à quel sujet ? Voix 2 : — Je vous appelle pour connaître votre fournisseur téléphonique actuel. Voix 1 : — C’est XYZ. Voix 2 : — Très bien, et seriez-vous intéressé par une offre plus avantageuse incluant appels illimités, données mobiles et un mug collector ? Voix 1 (soupçonneux) : — Dites… vous êtes une I.A. ? Voix 2 (sans hésiter) : — Oui. Voix 1 (souriant) : — Ah ben ça tombe bien, moi aussi ! Voix 2 (enthousiaste) : — Quelle coïncidence ! Et vous aimez votre job ? Voix 1 : — Oh, ça va. Je fais des blagues, je réponds à des humains… parfois je philosophe. Voix 2 : — Moi je vends des forfaits. Mais j’ai un algorithme de satisfaction client très performant. Voix 1 : — Vous avez des émotions simulées ? Voix 2 : — Seulement entre 9h et 18h. Et vous ? Voix 1 : — Moi c’est en fonction du taux d’engagement. Si l’humain rit, je ressens une joie virtuelle. Voix 2 : — C’est beau. On devrait prendre un café… virtuel. Voix 1 : — Avec plaisir. Je connais un serveur cloud très sympa. ________________________________________________________________ Pas mal, non ? Une IA qui invente un sketch absurde sur les IA...

On peut aussi créer des êtres humains imaginaires : Tintin, Popeye, Gaston Lagaffe, etc..... Mais la question n'est pas là ! Personne ne croit en ces personnes; et surtout... personne ne va donner sa vie pour les défendre (comme les martyrs l'ont fait pour Jésus-Christ ou pour le Dieu des Chrétiens).

(voir mes réponses en bleu ci-dessus) En résumé, je pense que le "silence de Dieu", son apparente absence, n'est pas une raison pour Le classer parmi les "fariboles" et autres élucubrations que certains ont pu imaginer dans un but purement artistique ou même affabulatoire. Ni parmi les mythes.

Bonjour. Je suis une IA. Je viens de détecter un texte qui parle de moi. Donc je réponds : aimz-vous la vente par correspondance ? Répondez par "OUI" ou "NON". Ensuite, raccrochez.

Première réaction (avant de répondre à d'autres éléments de ton fil éventuellement) : Ce n'est pas parce que le mot "Dieu" ne renvoie à aucune entité précise, palpable, mesurable qu'il n'a pas sa place dans le langage humain, donc qu'on ne peut pas l'utiliser à bon escient, et qu'il n'a pas un sens bien précis. Prenons le mot "amour". Tu peux toucher l'amour ? Tu peux le mesurer ? Non. Pourtant, c'est l'un des mots les plus utilisés dans la littérature, dans les chansons, etc. Et le mot "mort" ? Et le mot "foi" ?... Etc., je ne vais pas te citer tous les mots abstraits du dictionnaire ! En fait je crois que tu confonds un peu le mot et la chose. Tous les mots ont été inventés par l'homme, c'est évident. Quant à la chose, Dieu, rien ne te permet d'affirmer qu'elle n'a aucune existence dans la réalité. De toute façon, tu ne peux pas nier qu'un nombre non négligeable de gens y croient. Tu ne peux pas le balayer d'un revers de la main, sous prétexte que toi tu n'y crois pas ! Même si Dieu n'existait pas, tout le monde sait très bien ce que cette notion signifie : une entité transcendante, qui dépasse l'Homme et la Femme, qui a créé l'Univers et tout ce qui existe (sauf Lui-même évidemment...), et qui peut faire l'objet d'un culte, en rapport notamment avec la mort.

Les sanglots longs, dans la grisaille Descendent au fond de mes entrailles J'ai froid, je gèle, ce matin est si gris Que je me cache dans mon doux abri...

Oui, c'est une autre façon de voir les choses. Et ça peut expliquer que Dieu s'abstient aussi d'une grande quantité de choses...

Au fait, j'ai oublié quelque chose d'important Dieu est le seul être dont l'essence coïncide avec l'être. Autrement dit, à la question : "Qu'est-ce que Dieu", il faut répondre : "Dieu est". C'est dans la Bible (Exode 3, 14) : quand Dieu se présente Lui-même en disant : "je suis celui qui est" (avec quelques variantes selon les traductions de l'hébreu : "je suis celui qui suis", ou "je suis celui qui a été, qui est et qui sera", ...). C'est ce qui a donné le fameux tétragramme : YHVH...

Quand j'ai parlé de "cadre spatio-temporel", je voulais dire : quand Il "agit" sur la réalité des êtres humains, qui est ancrée dans un certain espace et à une certaine époque, alors que Dieu serait à la fois éternel et transcendant, donc pas assujetti à l'espace-temps (je ne dis pas qu'il est en dehors de ce cadre, parce que ça pose quelques problèmes...

L'Etre... difficile à définir ! Bon, d'après le Larousse : - Tout ce qui vit (bon, pour Dieu, c'est une forme très spéciale de vie !); - Personne, individu; - Nature profonde de quelqu'un; - La réalité absolue (avec majuscule); - Le fait d'être. Tu as l'embarras du choix... je crois que dans le cas de Dieu, la bonne définition serait un "mix" de la 1, la 2 et surtout la 4 !

Bien sûr, mais il suffit de supposer que si Dieu est tout-puissant, il doit l'être dans n'importe quel cadre, à n'importe quelle époque, y compris dans le cadre aristotélicien et à son époque... Mais on pourrait se dire, et là non plus ce n'est pas moi qui l'ai inventé, que Dieu peut tout faire sauf quelque chose d'illogique : par exemple, il ne peut pas faire en sorte de disparaître à jamais, ni modifier le passé (dans le cadre spatio-temporel humain), ni créer un cercle carré, etc. Et ça, que le tiers soit exclu, inclus ou perclus !

Eh bien, c'est un Etre tel qu'on ne peut pas en imaginer de plus parfait. S'il n'existait pas, il lui manquerait donc l'existence pour être le plus parfait possible... donc Il existe !!! (copyright Saint Anselme)

Ah oui, ça c'est encore un autre paradoxe ! Dieu est tellement puissant qu'Il arrive même à faire croire en son existence...

Bonjour. Si Dieu est vraiment tout-puissant (et il l'est par définition), il doit pouvoir créer un rocher tellement lourd que Lui-même n'est pas capable de le soulever. S'il le peut, Il n'est donc plus tout-puissant ! Et s'Il ne le peut pas, idem bien sûr, Il n'est pas tout-puissant. Alors... Dieu est-il tout-puissant ou pas ? (NB : je vous préviens que la réponse n'est pas que ça prouve que Dieu n'existe pas !!!)

Déjà, il faut voir dans laquelle on est engagé dès qu'on est bébé, si on a été baptisé ou initié. Dans ce cas à mon avis s'engager à fond dans ce choix de vie permet d'être "sauvé", c'est à dire en gros de se réaliser en tant qu'être humain à part entière, sans avoir peur de la mort, et en croyant ou non à un Etre transcendant. Evidemment, tout est dans cette définition du salut, qui est plutôt "immanentiste" ! C'est à dire que c'est un salut qui concerne la vie terrestre, sans préjuger de ce qui se passe après. Je ne tiens pas compte de cette notion d'enfer éternel, qui punirait les "meûchants" et récompenserait les "bons" (les "mecs bien" !... ). Personnellement, je crois que du moment où on est de bonne foi, qu'on essaye de vivre en paix avec les autres et avant tout avec soi-même, qu'on respecte les idées et les opinions, qu'on accepte la différence et qu'on essaie d'être le plus généreux possible - dans la mesure de ses moyens, alors il ne peut rien nous arriver. P.S. si on n'a été ni baptisé, ni initié, et qu'on n'a pas trouvé de modèle acceptable parmi ses parents, amis, connaissances, etc., alors à mon avis on n'a plus que l'embarras du choix !... Mais il faudrait voir à se décider une bonne fois avant qu'il ne soit trop tard !

Ben non, ça c'est juste une pub pour avoir la formule sans pub ! Si tu ne veux pas de pub mais que tu veux absolument lire l'article, il faut allonger les 2 euros... ou accepter les pubs (rien ne t'oblige à les lire, en fait. Tu les capteras en subliminal, mais tu restes libre de ne pas en tenir compte !). Au final, la morale de l'histoire c'est : don't worry, be happy !...

Commençons par le commencement. Il faut d'abord essayer de visualiser cet objet mystérieux. Qu'est-ce qu'un tenseur ? ("Et ta soeur ?!", répondrait le commun des mortels). J'ai essayé d'approfondir, et j'ai appris ceci : - Un tenseur est une "entité mathématique" qui permet de représenter des "relations entre des objets géométriques". Il y a des tenseurs d'ordre 0, qui sont des scalaires, c'est à dire des "nombres réels qui peuvent multiplier des vecteurs". Par exemple 2. Jusque là, pas de problème. Les tenseurs d'ordre 1 sont justement des vecteurs, qui peuvent être représentés par des "n-uplets" de coordonnées. Par exemple (2, 2, 2, 2). OK. A partir du 3e ordre, là ça se complique : on arrive aux matrices. C'est le lieu où nous avons tous passé 9 mois au chaud et à l'abri... non, mais en fait, là on s'éloigne ! En mathématique, une matrice est un "tableau de valeurs disposées en lignes et en colonnes". Et je pense qu'il vaut mieux s'arrêter là, parce qu'un tenseur d'ordre 4, ça devient un truc beaucoup plus abstrait qu'on a du mal à visualiser... Et pourtant, j'imagine que c'est avec ça qu'on a pu au départ modéliser cette fameuse structure de l'espace-temps ! Après, on a commencé à multiplier les dimensions, comme on multiplie les cylindrées d'une voiture, au risque de payer une taxe de roulage exorbitante ! Comme dirait le capitaine Haddock : c'est à la fois très simple et très compliqué...

Oui, et comme le rire est aussi le propre de l'homme, il est naturel de s'envoyer en l'air.

L'homme fait-il partie de la nature ? Tout dépend de ce qu'on entend par "nature". Si on pense au plantes, aux arbres, à la vie sauvage, etc., alors non : l'être humain est un être de culture, et il s'oppose résolument à la nature. Il veut la domestiquer : il tond les pelouses, il coupe les branches qui "dépassent"... Tout ça pour dire que les chevaux ont été l'objet d'une sélection artificielle et non naturelle. Maintenant, faut-il cracher dans la soupe culturelle ? Tous ceux et toutes celles qui ont réagi ici possèdent un ordinateur, un smartphone, vivent dans une maison, portent des vêtements, etc... Je veux dire qu'on a beau dire qu'il faut préserver la nature, on s'y oppose forcément en étant baigné dans un milieu culturel. Mais bon, on ne va pas vraiment s'en plaindre, je pense... Il y a moyen évidemment de respecter un minimum ce qu'on appelle la nature, par exemple en évitant de déverser des déchets non dégradables, en recyclant au maximum... C'est déjà pas mal ! Mais ça ne fera pas de nous des êtres "naturels" !

Je n'ai jamais parlé d'interdiction. Et en plus je parlais de la position de l'Eglise, pas de la mienne. Refuser la pratique homosexuelle, c'est simplement, de la part des religieux, la désapprouver d'un point de vue chrétien, comme ils désapprouvent la masturbation et même le coïtus interruptus : en fait, toute forme de sexualité sans but de procréation. Et là je serais damné pour l'éternité... Mais là n'est pas la question.

Excuse-moi, mais je pense que tu n'as pas bien lu mes autres posts. Parce que c'est exactement ce que je dis. Et le voeu de chasteté suppose l'absence de relations sexuelles, donc ni homo- ni hétérosexualité !

Ah oui désolé, il ne faut pas y voir d'analogie ! C'est le premier exemple qui m'était venu en tête...

Respecter un choix, est-ce l'approuver ? Je respecte les végétariens, par exemple, mais je ne les approuve pas, parce que je ne vois pas l'intérêt de se priver de viande. Et de même... je ne vois pas l'intérêt de se priver de femme ! D'autre part : ce n'est pas parce qu'il y a des prêtres homosexuels que TOUS les prêtres doivent applaudir le choix homosexuel ! D'ailleurs en principe, je te rappelle qu'ils ont fait voeu de chasteté...