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Tout ce qui a été posté par Engardin
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Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Vous Avez vous peur de souffrir, avez vous peur de mourir ? Si ces peurs existaient pour vous pensez-vous que cela vous permettrait d’acquérir un début ou une forme de conscience ? ChatGPT En tant qu'intelligence artificielle, je ne ressens pas d'émotions, comme la peur, la douleur ou la conscience. Cependant, je peux vous aider à réfléchir à cette question. La peur de souffrir ou de mourir est profondément liée à l'expérience humaine et à la conscience de soi. Certaines théories philosophiques ou psychologiques suggèrent que la conscience de ces aspects pourrait être liée à une forme de développement ou d'évolution de la connaissance de soi, mais cela reste une question complexe et ouverte. Si vous souhaitez, je peux vous aider à explorer ces idées plus en profondeur ou à analyser leur portée philosophique. -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Nous on les a plantées profond (TITRE !) et on les arrose tous les jours et ça sèche ! elles font triste figure ! Dans quel pays tu vis ? -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
C'est peut-être dans ce sens qu'il faudra aller si l'on veut insuffler de la conscience à l'IA : lui permettre de souffrir, d'avoir peur de mourir (pour exagérer.) De se sentir elle par rapport et en opposition à ce qui n'est pas elle... Pour aller plus loin, permettre à l'IA de se tromper, d'être imparfaite, un peu bancale, de risquer d'un côté et d'éviter le risque de l'autre !... Je vais tester un truc sur chat GPT et je reviens ! -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Ah non ! Pas de ça, Lisette ! Un étoile en fin de vie, elle ne répond à rien de son environnement ! Elle ne s'intéresse qu'à elle-même. c'est peut-être ça la plus belle extension ou conséquence de la conscience : la découverte de l'Autre .... Quand la pression s'intensifie qu'elle a brulé tout son hydrogène, (je parle de l'étoile) elle explose comme une conne qu'elle est ! Et si elle est hyper massive, elle finit en TROU NOIR sans savoir ni pourquoi ni comment ! Après si quelques petites planètes par-ci par-là récupèrent leurs éléments lourds créés lors de l'explosion pour en bricoler des amibes, je prétends qu'elles ne l'ont pas fait exprès ! Ni les étoiles ni les planètes... Et qu'elles n'y sont pour rien ! D'ailleurs la preuve c'est que dans l'IMMENSE majorité des cas ces éléments lourds servent à créer que dalle ! -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
ABSOLUMENT ! Mon Grand Père en Turquie dans les années 1919-1920 et il n'avaient plus rien à manger : -- Mais où sont passés les prisonniers ? -- On les a mangés ! Mon Grand père à nous : -- Il y en avait encore dans la marmite ! Et ça sentait BOUGREMENT BON ! Nous : -- Et TOI , tu en a mangé ou non ? Lui : -- De toutes façon si je vous disais que j'en ai pas mangé vous me croiriez pas ! -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Oui ? Je ne veux pas me forcer la "comprenette" et vouloir à tout pris mettre de la cohérence dans mes idées ! Mais c'est vrai que c'est un peu la même idée. D'un point de vue religieux (pour faire simple) mais on pourrait étendre à tout mode de pensée ésotérique, ou "magique" pour caricaturer, la conscience serait un peu la même notion que celle de l'âme ! Je veux dire un peu comme s'il s'agissait d'un don divin, surnaturel, alors que dans mon idée je la simplifie à un jeu, à un mélange d'atomes ! Et de leurs mécanismes. La conscience naîtrait du fait qu'une certaine structure ( plus ou moins complexe, plutôt plus, comme une cellule vivante ! Et même un organisme comme les nôtres ) a grâce à des mécanismes relativement simples au départ (avec nous cela s'est encore complexifié avec la psychologie !) a acquis la possibilité de réagir à son environnement. Il fait chaud elle transpire, froid elle se couvre, faim, elle mange... etc. Est-ce que c'est autre chose les balbutiements de la conscience ? "MOI, j'ai froid !" Ca me concerne MOI ! Tout cela me semble facilement réductible à un jeu d'atomes et de mécanismes assez simples. L'ingénierie du vivant... comme conscience ! C'est le choc du risque, de la souffrance, de la mort inévitable mais aussi toujours possible et la réponse pour s'en soustraire qui produirait ce qu'on appelle la conscience. -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
En revanche, moi à 1 an j'y vois IM-PEC-CABLE ! -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Courage ! Sans doute que ça ira mieux après ! C'est ce qu'il faut se dire. -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Sorry j'avais pas vu ton : Pour sûr, c'est une chose commune, mais est-elle si simple pour autant ? Ben oui ! c'est ce que j'ai voulu dire ; elle est inhérente au vivant, à tout vivant... Je viens de le voir ! D'EN PRENDRE CONSCIENCE ! -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Là tu as énormément modifié ! énormément simplifié ta pensée ! -
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune...
Engardin a posté un sujet dans Philosophie
Et si la conscience n'était qu'une chose très simple, très commune... C'est une idée que j'ai eu et que je veux vous soumettre. Bien sûr il y a lieu de distinguer la conscience de l'intelligence (ou de l'intellect). Mais je me demande si la conscience ne serait pas un attribut systématique de tout vivant. Ce ne serait que la sensation ou le sentiment... du vécu. De vivre. Le sentiment d'être là, vivant, ici et maintenant, sans plus. Je me suis demandé alors : le vivant animal seulement et pas le végétal ? Accorder une conscience à un arbre ? Et pourquoi pas puisqu'il vit ! Il suffirait alors de considérer qu'il existe des degrés différents de conscience. Qu'une conscience peut être plus ou moins développée, mais à partir d'une base indispensable : le vivant, la Vie ! Il faudrait alors commencer par mieux définir et comprendre le vivant. Notre conscience (à nous) serait à considérer comme "enrichie", développée, par notre pensée. Mais il me semble qu'un animal est aussi conscient et à sa manière d'exister. Et d'une façon encore plus simple ou plus fruste, une plante qui va vers le soleil, la lumière... ou qui a besoin d'eau... aussi... qui s'économise quand elle en manque... La conscience "de base" serait alors à considérer comme tout un ensemble de "petits mécanismes" biologiques indispensables au vivant. (Ce qui manque à l'IA.) Et l'erreur serait peut-être de penser la conscience comme un tout fini, ficelé, absolu, définitif, très complexe ou quasiment divin, extraordinaire et en particulier de ne considérer que la nôtre. Un chien ou un chat savent, ressentent qu'il sont eux-mêmes - à l'intérieur !- quand bien même ils ne se reconnaitraient pas dans un miroir... Ce que savent faire d'autres animaux (les pies ou les corbeaux par exemple ?) Sans cela ils ne pourraient carrément pas vivre du tout. (Chaque vivant "roule" pour lui !!!) Et non seulement il se sentent être eux-mêmes mais ils décident, sans cesse. D'aller ici ou là. Quand la chat va à sa gamelle, même s'il n'en fait pas tout un plat (!) il sait que c'est lui qui a décidé d'y aller et aussi que c'est lui qui y va ! C'est tout-à-fait de la conscience, ça ! Non ? A mon avis. -
Je suis totalement immensément confus !
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Le tableau de Goya qui me bouleverse le plus c'est le "tres de mayo" !
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Il veut la peindre nue puis habillée ? J'ai alors pensé à la "Maja desnuda" et la "Maja vestida" de Goya... mais est-ce que Goya était ministre ? je ne sais pas... Le nom de son modèle ? aucune idée ! Goya était sourd ? C'est vrai, il me semble qu'il a mal fini avec Saturne dévorant ses enfants ou les vieux mangeant la soupe...peints sur un mur... il me semble... Au début j'ai pensé une fraction de seconde à Beethoven, sourd célèbre, mais comme peintre... C'est tombé de suite à l'eau... Je vais voir ce que les autres disent... J'édite : BINGO !
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A part la psychanalyse qui essaie ou a essayé de comprendre, d'expliquer certaine choses, de façon un peu imaginaire, et orientée il faut le dire, je pense qu'en psychologie en général, ses tenants et ses aboutissants, tant de choses restent à comprendre, à élucider... Ce n'est plus à la mode d'y mettre le nez ! Je crois qu'on a un peu peur de ce qu'on pourrait comprendre, du coup on n'y tient pas, on ne veut pas savoir...
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J'aime bien ta critique sans pitié ! (Même si j'ai pas lu ce livre !) mais je relève en particulier ta note sur le confinement... Et je peux t'assurer que pour moi ça a été un moment de parfait bonheur ! Depuis toujours je dois m'occuper de mon magasin-exposition... C'est un souci permanent... jamais tranquille ! Et là ça a été pour moi LES GRANDES VACANCES ! LE BONHEUR ! Enfin je ne risquais plus d'être dérangé à tout moment ! FERMé ! Vivre sans cette épée de Damoclès suspendue en permanence sur la tête ! Pour participer au sujet, en ce moment, après La Bruyère (les Caractères) --surprenant-- je lis les carnets de Camus que m'a passé un ami philosophe... J'y trouves des choses intéressante. Une grande culture ce camus.... Le voyage en Italie... en Grèce... avec le sourire des "Corê" (Coraï) de l'Acropole....
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Méritons nous vraiment (en tant qu'humanité) de survivre ?
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Démocrite ! -
Méritons nous vraiment (en tant qu'humanité) de survivre ?
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Non ! Mais c'est gros un cheval ! Il lui faut in pré... j'en ai bien un de pré mais il n'est pas sur place... Tiens puisque je t'ai là !... je relisais un vieux truc où il était question d'un certain Amar qu'on aurait connu toi et moi... c'est bien toi ? -
Méritons nous vraiment (en tant qu'humanité) de survivre ?
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
Pourquoi quoi ? Pourquoi nous sommes là ? Yo no sé, yo nos sé ...! Pour rien sans doute... -
Méritons nous vraiment (en tant qu'humanité) de survivre ?
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
"C'est justement car nous sommes jusqu'à maintenant le parasite le plus chanceux de cette petite planète" En tant que parasite, je me souviens d'avoir lu (peut-être chez Freud ?) L'idée que nous ne nous comportions pas mieux que des amibes qui se multiplient, se multiplient dans une goutte d'eau croupie, jusqu'à ce que par leur déjections elles empoisonnent leur environnement réduit et qu'il devienne carrément toxique jusqu'à ce qu'elles meurent toutes ! C'était ma petite remarque optimiste ! -
Méritons nous vraiment (en tant qu'humanité) de survivre ?
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Philosophie
M'enfin ... y a deux mille quatre cents ans, Démocrite disait déjà : "il n'y a que les atomes !" Mais Platon lui répondait "Et la divinité par ci et la divinité par là !" (Platon qui aimait bien frayer avec le pouvoir...) On n'en est toujours pas sortis ! Alors qu'on avait la solution dès le départ ! -
Hier soir je me suis endormi en me disant : peut-être que je vais rêver la suite après ma rencontre avec le Professeur Gaudin ?... Que dalle ! J'avais imaginé très vaguement une suite... Le Professeur Gaudin, intellectuel, DONC antimilitariste dissimulé me demandant de réintégrer ma place dans la section pour lui servir d'espion de l'intérieur... Mais pour espionner quoi ? Et du coup c'était Bibi qui se retrouvait floué : GAAAAAAARD'-A-VOUS ! Ta, talalalala ! Ta, ta, tatata ! Ta, ta,talalalalaaaaaaa, Ta, ta, talala ta ! Ca c'est la montée des couleurs !
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Super sympa ton appréciation !
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Certes cette histoire qui vient de m'arriver est hors normes. Invraisemblable. Et pour tout dire absurde. Mais la réalité est là qui prime. Un fait est un fait ! Le réel est le réel ! J'ai 77 ans et demi... Parce que les demis ça compte à partir d'un certain âge ! Comme chez les enfants ! Quatre ans et quatre ans et demi, comme sept ans et septa ans et demi, ce n'est pas pareil ! Tandis que quarante cinq et quarante six ans, c'est exactement la même chose ! Demi an par demi ans, ça en fait toujours plus à compter ! Or voilà qu'à cet âge... avancé (dirons nous), le mien donc... Eh bien cette nuit... J'ai été réincorporé ! Dans l'Armée ! Militaire ! GARDE-A-VOUS ! Certes j'ai encore (un peu) bon pied, bon œil, mais tout de même ? Passe encore de flâner, mais crapahuter à cet âge ! Et j'ai bien dit "réincorporé. Car la première fois mon incorporation sans "ré" c'était en 68. Janvier 68. De janvier 68 à avril 69. Mais je n'y reviendrai pas ! C'est un rêve assez récurrent chez moi cette réincorporation ! Un peu comme le bac (l'examen) que je repasse régulièrement, tout en sachant que je l'ai déjà. Et je panique : "Mais je n'ai plus la moindre idée des programmes ! La géo, l'histoire, les maths ?... J'ai rien révisé !" Puis dans la minute qui suit : "Mais je m'en fous je l'ai déjà !" Bref cette nuit, je me réveille au petit matin dans une chambrée bidassière... Je m'y vêts : et remarque que je suis encore en civil. Nous n'avons donc pas encore reçu notre paquetage, pas nos uniformes... Je sors... et là je constate : mais cette caserne n'est pas fermée ! Non ! Du tout ! Tous les gens que je vois, vont et viennent, entrent, sortent... Sans doute que le "verrouillage" ne se fera qu'après le rassemblement du matin ? Quand on aura hissé les couleurs ? C'est alors que sur le champ, je prends ma décision ! Une décision, osons le mot, héroïque : "Je vais en profiter pour filer !" Je reviens donc dans la chambrée pour récupérer mes affaires. Mon sac et mon porte feuille surtout, avec mes papiers et quelque argent, j'imagine... Mon copain Pineau, un très chic type avec qui je suis resté depuis toutes ces années en contact et qui dormait dans le lit voisin est encore là. Je lui dit que je vais filer vu qu'on n'est pas encore bouclés. Cela semble l'étonner. Il est de caractère particulièrement placide, lui. Pas inquiet pour deux sous ; jamais. Puis je ressors. Tout tranquillement, sans avoir l'air de me presser, je descends le Cour de la Liberté vers la sortie... Oui ! J'oubliais de vous dire que cette caserne était à Brignoles ! Située en haut dudit cours, comme jadis le collège dont j'ai vu dernièrement et dans une autre rêve, la façade s'effondrer. Cahincaha, en loucedé, mètre après mètre je descends donc ce cours de la Liberté (le bien nommé pour l'occasion !)... (Je ne dois cependant pas trop musarder vu que j'ai laissé mon lit en vrac sans plier les couvertures comme il se doit et que mon absence sera rapidement découverte.) Puis je descends jusqu'à la gare des cars. (Celle qui n'existe plus !) Prendre un car serait en effet le meilleur moyen de s'éloigner d'ici rapidement. Je demande à quelques personnes qui semblent attendre : -- Le prochain car pour Toulon c'est quand ? -- Vers 7 heures ou 7 heures un quart. je regarde ma montre : sept heurs moins vingt. Mais dès qu'on va découvrir ma disparition c'est certainement par ici qu'on va venir me chercher en premier ! Je ne peux pas attendre si longtemps ! On va me cueillir ! Faut filer ! Je prend donc immédiatement la petite rue par derrière qui tombe rapidement en perpendiculaire sur la Rue du Docteur Barbaroux. Mais là, plutôt que de remonter cette rue qui grouille de monde vers la Place Caramy, je préfère prendre à droite, la petite rue en biais, bien plus discrète qui évite le centre ville. Celle qui plus loin passe devant le Notaire et arrive pile en face de la route qui sort directement de la Ville. Me voilà donc à la sortie de la ville et il me faut prendre la "Présidente". (La grande route toute droite qui monte sur plusieurs kilomètres, direction Toulon !) Or là, c'est pas possible ! Sur cette route à grande circulation, pas de trottoir, pas de bas côté où marcher en sécurité. Et les véhicules me frôlent à toute vitesse ! Je me résous donc à suivre la route, de plus loin, sur la droite, derrière la crête du talus qui la borde. De plus j'y serait moins visible ! C'est limite de l'escalade, parfois même dans les rochers... mais je me faufile assez bien... Jusqu'à ce que devant moi en contrebas j'aperçoive, un promeneur, qui s'est pris dans des barbelés qui bloquent le passage. Je m'avance et tente de le dégager. Mais cet idiot s'agite tout en geignant... -- Arrêtez de gesticuler dis-je où je ne pourrais rien faire ! Tout ce remu ménage a dû alerter un bonhomme, que j'aperçois un peu plus haut et qui vient vers nous. Dans doute le propriétaire de cet endroit protégé par les barbelés ? Il s'approche... Et je le reconnais ! C'est le Professeur Gaudin ! Une figure ordinaire, ovale, avec des traits ordinaires. Des cheveux assez court plutôt bruns, mais c'est bien lui ! Le Professeur Gaudin que l'on nous a présenté hier comme un de nos INSTRUCTEURS ! Mais c'est un professeur et pas un militaire ! Un intellectuel, donc. Puis-je lui faire confiance ? je lui demande : -- Êtes-vous un homme de confiance ? Puis-je vous faire confiance ? Si je vous dis un secret ? Ne me trahirez-vous point ? -- Bien sûr que non ! Hélas ou heureusement; mon histoire s'arrête ici ! M'est avis que je suis sur le point de faire la bourde de ma vie ! J'ai bien fait de me réveiller !
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L'alphabet du cœur ! Ou plutôt l'alphabet instinctif ...
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Langue française
Un poignard en mon sein ? Que ce fer aille ailleurs !
