anoésiotomie

Bah quand la démarche n'a ni fondement dans la réalité ni effet bénéfiques ou neutres, il reste les Darwin awards pour les plus acharnés et décidés à nous dérider.

Ca c'est génétique. Mais on peut le compter aussi.

Quid des flambées de rougeoles ? des gens qui t'avancent mordicus que le vaccin ça rend autiste et autre billevesées ? Pour le Covid19, ça reste kif-kif -- entre ceux qui croient qu'on leur injecte la 5G du Sida pour contrôler leur cerveau juste parce que c'est un ARN plutôt qu'un ARN encapsidé (bah oui, un virus n'est qu'une séquence nucléotidique et un virion n'est que ladite séquence empaquetée dans une coque protéique, CQFD), ceux qui affirment qu'on cherche à faire de l'épuration ethnique et j'en passe. D'ailleurs pour info, un vaccin vivant c'est comme un vaccin à ARN : on fait produire par notre corps des protéines virales que le corps va apprendre à reconnaître pour se défendre -- c'est le même principe pour les deux, au détail qu'un vaccin à ARN ne fait produit qu'une seule protéine bien choisie au lieu de toutes les protéines du virus (y compris celles parfaitement dispensables pour obtenir la réponse immunitaire recherchée).

"On" est un con. C'est "bien connu", mais pas des médecins par contre. Et niveau méprise chez des non-spécialistes, y'a de quoi écrire plus de fictions qu'il n'en existe dans la littérature aussi bien classique que de consommation. Après tout, les antivax connaissent bien les vaccins puisqu'ils ont aussi entendus des choses en allant [établissement ou institution de votre choix].

Oh. Rien de "dérangant". Pas contre pas tout le monde mérite le respect. Ou plutôt c'est comme l'amour : ça n'est pas automatique ni un "dû". La dignité est inhérente à la condition humaine. Par contre l'amour ou le respect ou le devoir sont le fait/action de soi-même. C'est quelque chose qui se pratique et s'apprend, et qu'on attend des autres surtout quand on est bon pratiquant.

Qu'y a-t-il de plus consternant que la connerie érigée au rang de valeur identitaire ? Que ce soit les antivax, les voisins qui t'emmerdent avec leur son (et parfois suffisamment fort pour que ton patron l'entende dans ton micro), les journaleux qui invitent des +/- experts à "débattre" avec des incultes comme si savoirs et opinions se valaient à 50/50, les gamins faisant la course au buzz sur les médias sociaux, les informations qui puent le sensationnel non vérifié voire invérifiable (comme inviter le champion du monde de lecture "3D" à la TV), etc, etc, etc.

Ma question... A quoi sert une lettre de motivation puisque 90% du temps elle n'est pas lue et sert tout juste de faire-valoir au vrai document : le CV. Pire : de + en + de sociétés (si ce n'est toutes ou presque?) proposent leur propre formulaire de candidature en ligne : tout est préformaté pour ensuite compiler les données et sortir à la demande le numéro de "dossier" (jeu de données) convenant à un poste libéré. Autant dire que la lettre de candidature n'est qu'un lointain souvenir... Pour le coup, qu'un document aussi inutile soit rédigé par une personne ou par une IA, ça ne fait guère de différence quant à la manière de sélectionner -- soit en tirant un numéro de jeu de données... pardon de candidat, soit en ramenant du beau gibier à l'aide de chasseurs de têtes. Reste les 10% de lettres véritablement lues. Bah avec tous les bouquins et autres astuces pour se faire passer pour ceci ou cela, ça n'est pas plus fiable qu'un selfie d'instagrammeuse en recherche de célébrité. C'est aussi spontané qu'une machine à applaudissements. Dommage, il y a eu bien trop de littérature sur ce si humble petit bout de papier...

Dans la famille, les enfants "adorent" rendre visite au coin quand ça les démange Blague à part, punir oui mais pas besoin d'avoir la main lourde. En général une punition visible est plus efficace qu'une punition moins/non visible parce qu'il y a le regard des autres -- Dieu sait combien les enfants préfèrent les compliments et plaintes aux moqueries et piques. D'ailleurs même quand on les invite avec beaucoup d'allégresse et de gentillesse à visiter LE coin, ils font montre d'un désarroi avec chouinements et larmes à la hauteur de la bêtise qu'ils viennent de comettre

Il est possible d'en guérir mais ça ne se fait pas d'un claquement de doigt ni pour toute ni pour l'une. Théoriquement c'est une défaillance dans la maturation des leucocytes qui mènent à une erreur de reconnaissance antigénique. Il "suffit" donc de "réparer" la maturation pour que ça revienne à la normale. Pour la faire courte, c'est "comme les allergies" : ça s'attaque à un truc inoffensif et ça peut durer très, trrrrrèèèèès longtemps. Aussi longtemps et souvent que la personne ou plutôt son système immunitaire a été ou est exposé à l'antigène générant la réaction immunitaire en question. Donc il est possible d'éventuellement "leurrer" son propre système immunitaire en masquant certains antigènes du soi attaqués -- mais comme certains petits futés s'en doute, ça n'est pas aussi simple à mettre en pratique qu'à théoriser, surtout si l'antigène en question est très disséminé dans l'organisme et/ou que son masquage peut entraver sa fonction (bah oui, ce n'est pas le tout de masquer un "antigène" (= une surface qui déclenche une réponse par les leucocytes), encore faut-il que ça ne soit pas une molécule ayant une activité métabolique essentielle (ex : la CABP sert à absorber les minéraux, c'est pourtant l'un des antigènes reconnus/attaqués dans la maladie de Crohn). Bref, c'est parfois guérissable, "ça dépend" de pas mal de facteurs et à défaut de tout guérir, la prise en charge s'améliore d'année en année.

Vous prouvez que vous êtes de mauvaise foi https://journals.lww.com/anesthesia-analgesia/fulltext/2003/05000/surgical_stress_response_in_neonates_and_premature.50.aspx @Répy : Rien "d'officiel", juste des fantasmes populaires pour prendre les médecins pour plus cons qu'ils ne sont vraiment. @Morfou : Vous prouvez que vous êtes de mauvaise foi https://journals.lww.com/anesthesia-analgesia/fulltext/2003/05000/surgical_stress_response_in_neonates_and_premature.50.aspx

Alors c'est vraiment un manque d'approfondissement de votre part. D'une part les articles évoquent plus volontiers le STRESS et la réponse au stress, d'autre part il n'est nulle part fait mention d'un doute sur l'existence/présence de la douleur. Uniquement sur l'effet de sa prise en charge vis-à-vis de l'évolution du patient pendant la guérison. Il suffit de chercher ses publications et les lire.

Erreur. La douleur est un mécanisme commun à au moins tous les eucaryotes (vous connaissez l'éthylène ? les plantes coupées que trop bien), possiblement à tout le vivant (cf les publications scientifiques sur la réponse bactérienne au stress). Références ?

@Axo lotl : Laquelle (de réponse?) ? Je n'ai pas dû la lire, toutes mes confuses...

@Elisa* C'est pourtant une métaphore simple. On ne peut pas strictement dire "l'influence/empreinte des autres est ici, mon ego par soustraction est là". Nous avons tous un ego, l'influence (ou "empreinte") des autres existe, et c'est arbitraire que vouloir faire une distinction, qu'on estime ladite influence/empreinte importante ou pas. Même pire : y'a l'épigénétique, partiellement héritable. Donc vous avez une empreinte chimique héritée au moment même de votre fécondation de personnes que vous ne croiserez peut-être jamais -- parfois un ancêtre d'il y a cinq ou six génération, parce qu'il a vécu une famine très importante in utero, vous lègue son diabète même après plusieurs générations d'abondance. Et ça vaut aussi pour les violences parentales et autres apsects que peu de péquins soupçonnent. A méditer

Avec tout mon respect même si je n'ai pas lu tout le monde sur ce fil... "Tout être humain a le droit à la dignité" -- ce n'est pas strictement synonyme de "respect". On a le droit à la dignité, on éprouve du respect. On a le droit à la reconnaissance professionnelle, on exerce un métier ou un emploi. Même davantage : dignité <==> reconnaissance <==> correction <==> respect droit <==> choix <==> responsabilité <==> devoirs Donc plutôt que gamberger sur le respect envers ou par les jeunes, ça serait un début de rappeler que certaines choses ne sont que les facettes d'une même pièce. Pour obtenir certaines choses, encore faut-il en faire d'autres. CQFD.

Oui et non. Des souvenirs ? Ca c'est certain. Des influences ? Autant vouloir séparer atmosphère et exosphère : c'est un continuum diffus sur lequel on pose éventuellement une limite plus ou moins conventionnelle (par exemple en unités internationales, c'est 100 km d'altitude mais en système impériale, c'est à peu près 80 km d'altitude...) mais raisonnable (à quel altitude la portance devient trop faible, obligeant à passer en vitesse orbitale). Donc "ça dépend" et c'est tout aussi vrai d'évènements ou de personnes qu'on n'a pas appréciées.

C'est le grand public qui pensent les docteurs assez stupides pour ne pas voir la douleur des nourrissions. En réalité il s'agissait plutôt de l'absence de souvenir conscient qui tendait à minimiser la prise en charge de cette douleur mais pas non plus par "négligence", plutôt parce que quand un individu pèse moins de dix kilogrammes, c'est très complexe à doser aussi bien par rapport au poids que par rapport au métabolisme. En plus c'est toujours un peu toxique (oui même pour nous autres adultes) donc si tôt dans la vie, c'est délicat de médicamenter à outrance. N'empêche que la douleur mal gérée peut occasionner un léger retard de guérison. On parle bien de gérer la douleur du nourrisson, pas de ne pas en tenir compte (pensez bien ! un médecin ne va pas faire une intervention sur un bébé si douloureuse que ça dégénère du style stress à en avoir le coeur qui fibrille etc! Faut être con pour croire à de telles sornettes). De fait ont été créées des échelles d'évaluation de la douleur pour les patients incapables de parler -- dont des échelles pour les nourrissons aussi. Mais certains médecins tirent aussi la sonette d'alarme aujourd'hui dans l'autre sens, par exemple avec des sirops systématiquement additionnés d'antidouleur dont certains peuvent avoir des conséquences ultérieures létales (ex: pholcodine ==> risque de choc anaphylactique (défaillance cardiorespiratoire etc) pour toute anesthésie ultérieure). Donc oui... mais non aussi.

Alors si, il s'est véritablement agi our Sporus de castration volontaire afin de pouvoir épouser Néron. Donc pas juste de l'homosexualité mais bel et bien ce qui se faisait en matière de transidentité en fonction des moyens de l'époque. Il s'agit bien d'un garçon manqué sans e, tout comme c'est une femmelette (et non "un" femmelette). Vous pouvez éventuellement vérifier auprès de l'académie française ou de Projet Voltaire si le coeur vous en dit. Pour ce qui concerne découvrir en science et notamment biologie & médecine, je suis un peu "aux premières loges" à plusieurs égards

Vous n'êtes pas à la page et décidément bien en retard Les plantes aussi sont capables de sentir, toucher, ressentir la douleur et même voir (par exemple Boquilia trifoliolata imite nos plantes en plastique) Bon, à quand un arrêt du massacre massif de nos fruits et légumes ? sous prétexte de pas faire bobos aux uns parce qu'ils crient mais y aller sans vergogne avec ce qui n'a pas de cordes vocales ni de neurone (je rappelle que pas tous les animaux non plus ont des neurones)

Que vous confondiez sexe et sexualité n'est problématique que pour vous-même. Un gamète et un organe sexuel reste un gamète et un organe sexuel, qu'ils soient mâles ou femelles ou aucun -- bah oui, il existe des reproductions sexuées parfaitement isogames (ex : chez Candida albicans). Donc des organes et gamètes ni mâles ni femelles. Parce que vous ne comprenez pas ce qu'est le sexe ni la reproduction sexuée. CQFD. Et de fait il n'y a que vous qui parlez de sexualité plutôt que d'identité dans ce fil de discussion. CQFD.

Je me cite : Dans certaines cultures, les femmes décident de tout et les hommes élèvent les enfants. Dans d'autres c'est le contraire. Il y a des cultures où le simple fait d'être du même sexe interdit le marriage, à moins qu'un des deux protagoniste n'abandonne son sexe (ex: Néron et son amant Sporus). Et j'en passe. Donc aussi loin qu'on retrace, le genre et les représentation genré sont partie prenante d'une culture. Id est : chaque culture conçoit sa manière de définir et répartir (voire changer ou pas) les genres. D'ailleurs les expressions ne manquent pas quelle que soit la langue pour partler de celles et ceux qui outrepasse les genres établis (rien qu'en français : femmellette, garçon manquette, fillette, avoir des couilles, etc). Parce que oui : la culture emprunte aussi à ce qui l'entoure quand bien même c'est parfois vrai (ex : "ça n'empêche pas la Terre de tourner") et parfois faux (ex : "le soleil va bientôt se coucher" ==> factuellement faux : la Terre va bientôt nous cacher le soleil de par sa rotation -- mais on a gardé la licence poétique par la force difficilement oubliable de l'usage). De fait il y a des personnes certes anti-conformistes -- mais uniquement d'un point de vue social et donc culturel. Sur le plan de la biologie, rien de neuf sous le soleil. CQFD.

Le smiley mécontent aussi. Avez-vous votre oeuf géodesique à ondes scalaires ?

Pour rappel le sexe est un organe, pas une pratique quand bien même "sexer" un individu (ex: un python réticulé) peut prêter à confusion pour un profane (sexer un individu revient à savoir s'il s'agit biologiquement d'un mâle ou d'une femelle). Il n'y a aucune mention de sexualité au sens de "préférence ou pratique sexuelle" dans tout ce qui est énoncé (aussi bien la vidéo que les explications qui l'accompagnent). Bref si vous désirez inclure la pratique, pourquoi pas mais là n'est pas le propos. On parle bien de ce qu'est le sexe (un organe) et non de ce qu'on fait avec (descendance, diverstissement, etc).

Vu qu'il a un docorat en physiologie (donc biologie) quand bien même végétal, oui il est carrément mieux placé que le vulgum pecus pour parler biologie et donc définition biologique du sexe. CQFD. D'ailleurs ce n'est pas ce que ce "lui" pense, c'est ce qui se fait tout court en biologie : la définition fonctionnelle du sexe repose sur la reproduction sexuée (CQFD) et la différenciation des sexes repose sur l'anisogamie (donc la différence de gamètes, CQFD). Le reste, c'est du particularisme (quel que soit le mécanisme de différenciation utilisé dans telle ou telle lignée) et ça ne fait qu'ajouter du poids à la définition biologique du sexe plutôt que toutes sortes de considérations particularistes (ex : les mérous changent de sexe en fonction de leur âge mais surtout de leur taille/croissance). CQFD. Je ne dis pas que le vulgum pecus n'a pas le droit d'avoir des "opinions", m'enfin les platistes ont bien des opinions sur ce que doit être le monde sans pour autant que ça relève d'une réalité scientifique et établie. Le sexe biologique n'est qu'un fait bassement matériel et vérifié, et rien d'aussi sommitalement important digne d'un débat publique au même titre qu'une opinion personnelle.

Il existe un phénomène étudié en science y compris en historiographie : l'amnésie écologique. Concrêtement les français ont oublié qu'avant les romains et la guerre des Gaules, il y a eu des lions en France -- décrits par les grecs de l'époque par contre. Et avec ossements. Mais ils se sont éteints, suite à quoi l'amnésie écologique survient quand n'existe plus de témoignage accessible pour retracer/rappeler les anciens écosystèmes. Pour le climat existe son pendant : l'amnésie climatique. C'est encore plus prégnant avec lesdeux dernières générations puisque depuis le début du XXIe siècle, en 150 ans d'enregistrement des températures (bien plus loin en réalité (1654) mais parlons des enregistrements systématiques quotidiens, difficilement comparables aux enregistrements ponctuels plus anciens), il y a des variations, certes. On a mis à jour El Niño et La Niña et j'en passe. Par contre en vingt ans, c'est devenu exponentiellement plus chaud et perturbé rien qu'en se restreignant aux températures mais pour les autres paramètres connus depuis cent ans ou moins, c'est le même constat d'emballement et pas qu'en Europe. Problème : les jeunes n'ont pas eu le temps de vivre un climat plus réglé (voire ont à peine eu le temps enfat de le connaître et à l'age adulte commencent déjà à oublier...). C'est ça, l'amnésie climatique. Sans compter une certaine amnésie culturelle de plus en plus prégnante à mesure que la guerre pour le temps de cerveau disponible s'intensifie... Un jour, peut-être sur X/Twitter/Instagram/etc à défaut de l'Axium, un message dira "essayez le bleu, c'est notre nouveau rouge" (cf Wall-e) et le bleu deviendra le "nouveau rouge"...