Neopilina

Qui t'as dit que c'était le cas ? Quand les soucis se précisent, il suffit de tout jeter à l'eau, bien lester, en eaux profondes. Pour les cadavres, s'il y a lieu, ne pas oublier de bien perforer les poumons, ça évite qu'ils remontent.

Si Sarkozy était condamnable, il l'a été, et le sera encore. Ce n'est pas le sujet. Le sujet, me semble t-il, c'est le coller en prison. Et pour motiver cela, on voit que les juges rament. Il ne présente aucun risque à l'ordre public, ne va pas fuir la France, etc., perso, je taperais au porte-monnaie en mettant le max prévu par les textes. De toute façon, il n'y restera pas longtemps. Ces juges veulent le mettre en prison.

Dmitri Medvedev, chien enragé de son maître, fait partie de mes abrutis préférés de la Poutinie. Il peut très bien y avoir des soldats français en Ukraine, et c'est déjà le cas (et ils sont loin d'être les seuls, en ce moment, ça " grouille " en Ukraine), à titre bilatéral. Et à ce titre, ce ne sont pas des soldats de l'O.T.A.N.

J'ai la flemme : le sujet m'intéresse plus que modérément. Sarkozy est condamné pour " association de malfaiteurs ". Faudrait demander à un greffier si un jugement de 400 pages est peu ou prou la norme pour ce type de condamnation.

Je dis juste que 400 pages pour ne rien dire, on a déjà vu. Quand t'as du dur comme fer, pas besoin de 400 pages.

Le grand exploit en la matière c'est la conquête du Pacifique par les Polynésiens. C'est en observant le ciel la nuit qu'ils choisissaient un cap pour le jour. On sait de façon certaine aujourd'hui qu'ils sont allés jusqu'en Amérique du Sud : dans certains légumes (patate douce, etc.) et certains animaux (volailles), on retrouve des apports génétiques d'Asie du Sud-Est (Papouasie, Micronésie, ...). On suppose que s'ils ne se sont pas implantés, c'est parce qu'il y avait déjà des peuples bien installés.

C'est beaucoup, beaucoup, mieux : rien ne dit que ce bateau est quoi ce soit. Et c'est fait pour. Si, y'en quand même un petit truc, trois fois rien : sa cargaison, c'est du pétrole russe (de l'Oural).

Commettre tous les crimes possibles possibles et imaginables depuis 25 ans est une violation délibérée du droit international. Ce bâtiment changeait de pavillon comme de chemise, et il n'est pas assuré, et ça c'est contraire au droit de la mer.

De façon générale, même pour populations paléolithiques (avant sédentarisation), le ciel a été le premier calendrier (le découpage du ciel en zodiaque est d'abord une mesure calendaire) et le premier instrument pour tous les déplacements. Donc, très importants. A partir de là, tous les anciens étaient d'excellents observateurs du ciel, et on a vu l'astronomie apparaître partout (succès variables selon les civilisations).

Je me souviens de ce refus. Mais pas du motif.

Pas compris. Plus de quoi ?, de prison pour Sarko, ou de policiers !?

Ontologiquement, dialectiquement et philosophiquement dit, j'ai bien conscience qu'il y a un ensemble ainsi défini : " L'ensemble de tout ce qui est, existe, vaut, fait sens et/ou Sens ". A tort ou à raison, ce n'est pas le sujet présentement. On peut relever avec fruit que cet ensemble s'auto-constitue, se comprend.

C'est vrai. Allez fricoter avec des gens comme ça, déjà, y'a un " souci ". J'étais à l'armée lors de cet attentat. Si la France avait disposée de preuves plus tôt, Kadhafi serait mort depuis très très longtemps. Les militaires attendaient l'ordre de Tonton, qui n'est pas venu. Tout était fin prêt. Sans parler de la " petite branlée " de 1987 (opération Manta), etc. Kadhafi et la France c'est une vieille et longue histoire. Le karcher a très bien fonctionné, sur les effectifs de policiers et de gendarmes.

Il y a aujourd'hui en Algérie, deux otages : Boualem Sansal (atteint d'un cancer) et Christophe Gleizes (journaliste sportif). La junte algérienne est une plaie pour l'Algérie et pour nous.

Pas compris. Ironie ? Cette fois, c'est l'ontologie qui a disparu. Et moi, j'ai commencé à réagir quand tu lies les deux. Avec la science, la thèse philosophique de l'être (et autres Substances, etc.) a été définitivement invalidée, est devenue caduque, obsolète. Et on aurait pu s'en rendre compte bien avant. Entre Parménide et Zénon d'Élée, à cause de, grâce à, celui-ci, on est contraint de passer de l'étant (la chose au sens le plus exhaustif qui soit) à l'Étant (intelligible). T'avais pas vu ? Tu peux allégrement te consoler en te disant que tu n'es pas le seul. Ensuite, le cogito, la prise en compte philosophique de la subjectivité, de chaque Sujet, en tant que singularité absolue. Tout Sujet génère a priori des Étants (ontologiquement dit), et c'est bien les Siens (philosophiquement dit, qu'il soit humaniste ou pas) et ceux de personne d'autre. Ça vaut pour tous les Sujets, ça vaut pour toutes les philosophies, humanistes ou pas. L'ontologie, c'est l'aspect technique. On ne considère pas ce que dit un discours (humaniste ou autre), on considère de quoi est fait le discours, n'importe lequel, tous.

Et au Kremlin y'a un moine bouddhiste ?

Fallait pas en donner un seul. Y'a trop de consulats algériens, faut en fermer. Et réduire le nombre de vols réguliers. Et s'attaquer au patrimoine des parvenus d'Alger se trouvant sur le territoire français, etc., plus de visas pour leurs familles, etc.

Peu importe, c'est pas le sujet. On en a déjà parlé. J'ai aucune envie de repartir là dessus. Outil ou pas, c'est pas ma référence. L'ontologie, il n'y a pas que les éléates. Lis les Catégories d'Aristote (la substance, etc) et on en reparle de ton positionnement particulier parmi d'autres sur l'ontologie. C'est le plus couramment accepté, que tu le comprennes ou non c'est ton problème. Ça aussi c'est ton problème, et ceux qui s'y intéressent sous ce prisme. Mais c'est pareil, c'est couramment admis. https://www.cnrtl.fr/definition/academie9/ontologie#:~:text=Emprunté du latin scientifique ontologia,propriétés générales de l'être. T'as perdu un truc en route, trois fois rien : J'ai de très beaux restes sur la Substance d'Aristote, et de quoi me débrouiller avec celle de Spinoza, etc. Le vraiment mieux étant de le faire quand tu en auras un, de positionnement ontologique.

C'est effectivement très dur de l'oublier : elle est partout dans ses ouvrages. Le, Son, Dasein, est l'élément central de sa philosophie. Relis-le début de " Être et Temps ". C'est Heidegger qui remet l'ontologie à la mode, et quand il le fait, tout le monde se demande ce qu'il lui prend. L'ontologie était dans les poubelles de la philosophie depuis quelques siècles (pas loin du gros mot). Mais donc, bis repetita, il va très vite nous dire, au début de son maître ouvrage, que cette question n'a d'intérêt que pour le Dasein (le Sujet). Et c'est faux. L'ontologie est une fonctionnalité. C'est bien le Sujet qui en fait ce qu'il veut (l'outil, pas ce qu'on en fait). Moi, je fais de l'ontologie une fois que j'ai lu Parménide et Zénon d'Élée. Et il faudra quelques années avant que je lise Heidegger. A priori, un auteur moderne qui relance, fait de l'ontologie (et je n'ai pas encore entendu parler des casseroles nazies), ça m'a fait frétiller. Le fait, avec Heidegger, c'est que jamais de ma vie avec un philosophe je ne me suis pris autant d'enclumes sur la tête. Je le hais : c'est l'autre " Moustachu ", la version philosophique. Métaphysiquement, c'est un étron völkisch, romantique. Il y a deux grands philosophes romantiques, pas un de plus, Nietzsche, qui a surmonté le romantisme, et Heidegger, qui plonge la tête la première dans la fosse septique, qui conduit aux fosses communes. Voir ci-dessus, bis repetita : qui ? Je souligne : Affirmation gratuite. Je connais très très bien le matérialisme français du XVIII°, je n'ai jamais vu le mot ontologie. Idem dans le " matérialisme historique ". Je souligne : Non. La question ontologique, c'est l'être et/ou l'Être, en soi (l'outil, pas ce qu'on en fait). Pas le Sujet (et autres Dasein).

Même après plus de 10 lectures, j'ai un mal fou à relier les propositions (degré zéro). Et je n'en vois qu'un qui lie être et/ou Être, donc ontologie, et Sujet, c'est Heidegger via son Dasein. Et le monsieur, l'idéalisme ou l'humanisme, ce n'était pas sa tasse de thé (pour euphémiser). Si tu en vois d'autres, je suis curieux de voir. De la Renaissance à à la fin des Lumières, les humanistes s'en foutent de l'ontologie, et, en tant qu'humanistes, ils ont parfaitement raison. L'ontologie c'est de la philosophie aussi austère, technique (il n'y a aucune considération éthique, morale, etc.), que possible, rien à voir avec ce genre de considérations (sauf chez Heidegger, encore une fois). Comme je vois que tu rames bien avec l'ontologie (rien de personnel, un monde fou rame avec l'ontologie), je vais faire appel à la métaphore, mais je t'assures que c'est très très exactement ça : l'ontologie, c'est un instrument, un outil, d'une part, d'autre part, il y a l'usage qu'on en fait, et l'outil n'y est pour rien, même s'il est indispensable pour faire. L'ontologie, c'est comme la mécanique, ce qu'on fait avec le moteur, c'est autre chose. Et je ne vois pas comment l'humanisme, qui s'appuie sur la raison, pourrait être une religion, qui s'appuie sur une foule de trucs qui s'assoient allégrement sur la raison.

Désolé de me citer. A part faire (dire) des conneries (1), je n'ai pas compris la finalité de l'exercice. (1) Vladimir + Donald. Je suis optimiste au dernier degré : la fin du monde, sur un " malentendu ", ça peut le faire.

J'ai dit ce que je pensais de Sarkozy. Ça ne m'empêche pas de " saluer " ce genre d'acrobaties, in fine préjudiciable à la justice. Le législateur reverra sa copie, n'en doutons pas, ce que moi j'espère, c'est qu'il n'oubliera pas de faire en sorte que les gens dangereux aillent en prison.

Tu peux nous en dire un peu plus sur cette " ontologie du Sujet particulière ". Je ne savais pas que l'humaniste, en tant que tel, s'adonnait à l'ontologie, etc. Et cette " conscience universelle " ? Parce moi qui suis humaniste (en tous cas, j'essaye), " conscience universelle ", ça ne me dit rien (ha si, je pense à Teilhard de Chardin). Du temps que j'y suis. Dans l'humanisme, qui apparaît en Europe à la Renaissance, ce qui est transcendant c'est l'usage de la raison, la science, la connaissance. Par exemple, quand paraît le premier volume de l'Encyclopédie, avec son discours préliminaire, tous les évêques, et quelques autres, ont parfaitement compris la menace. Je ne reviens pas sur le parcours mouvementé de cet ouvrage, très instructif, qui illustre très bien les forces en présence, les rivalités, les enjeux, etc. Quand à l'objectif du bouddhisme originel, il a toujours été bien clair : mettre un terme à la souffrance. A titre personnel, j'ajoute bien volontiers " interne ", d'origine interne, constitutive.

- A la tribune de l'O.N.U., à propos du changement climatique, Trump dit : " Arnaque du siècle ". En ce moment, c'est la mousson au Pakistan et en Inde. Depuis des millénaires, elle a toujours été attendue comme une délivrance, une bénédiction (à la fin de l'été ces régions sont écrasées par la chaleur et la sécheresse). Aujourd'hui, beaucoup moins. - Pas plus tard qu'hier, je le réentends dire que son élection perdue l'a été à cause de fraudes. " En même temps ", réécouter sa conversation téléphonique avec le gouverneur de Géorgie : " Trouvez-moi 11 000 voix ". La réalité plus forte que la fiction. Je trouve plus les mots.

J'ai même pas essayé. On me dit parfois que je suis un " littéraire ", je comprends ce que dit la personne, je ne dis rien, mais c'est faux, complétement.