Neopilina

Désolé, comme indiqué, j'ai pris le premier résultat venu, mais il y a plus récent sur l'alcool. Statistiquement, le russe consomme 14 litres d'alcool pur par an. A ce niveau, ça serait intéressant de voir s'ils ne sont pas champions du monde. Mesure soutenue par le grand Kirill, les violences conjugales ont été dépénalisées. Ça doit être chouette les " chaumières " russes.

" vodka Russie gouvernement " : le premier résultat filé par le moteur de recherche : https://www.bfmtv.com/international/asie/russie/russie-le-prix-de-la-vodka-abaisse-par-un-decret-de-poutine_AN-201502040072.html

Il y a quelques années, j'ai appris qu'un groupuscule nazi allemand s'appelait, de lui-même donc : " Citoyens du Reich ". Il se trouve qu'historiquement, de la façon la plus académique qui soit, livres, thèses, etc., on sait ce que c'est un " citoyen " du III° Reich, sous le III° Reich, selon le III° Reich (même eux, jusqu'à la fin, ne réussiront jamais à résoudre les problèmes générés par les lois raciales, etc., si ça n'était pas tragique, ça serait surréaliste, kafkaïen, etc.), pour commencer, lisons les lois du III° Reich qui définissent le " citoyen " allemand. Ceci précisé, je pose la question : l'allemand du III° Reich, le russe de la Poutinie, est-il un " citoyen " ? La question est-elle philosophique et/ou métaphysique ? Moi-même, présentement, je ne sais pas. Mais je vais essayer d'arranger ça. C'est à dire, encore une fois : comment faire de la métaphysique philosophiquement ? Et me voilà hors-sujet ! J'y reviendrais sur un fil idoine.

L'affaire Alain Delon est terminée. Le citoyen français Alain Delon, fragilisé par un A.V.C. et un cancer, a été placé, comme tant d'autres, sous la protection de la justice française. Alain Delon, qui a toujours dit qu'il voulait mourir dans sa propriété, a largement les moyens d'avoir des soins, etc., au moins aussi bons que ceux proposés par les meilleures cliniques suisses.

Pour l'esprit colon, je n'ai pas compris. Ces beurettes (le terme renvoie bien à une époque révolue), bien françaises, je te garantis que c'était leur choix, et absolument rien d'autre.

Mais je n'ai pas parler de ceux-là, j'ai parlé d'individus solitaires qui s'installent dans un port, une marina, etc. Le plus souvent se sont des mâles, et leur érections quasi-permanentes sont aussi manifestes que possible, souvent filmées.

Je ne pense pas. Je peux moi-même faire ce genre d'observations. Quand vient l'heure de rentrer " à la maison ", elles s'assombrissent et deviennent muettes. J'ai 54 ans. Et alors ? Et alors j'ai très très bien connues, parfois bibliquement, beaucoup de beurettes, qui ont tout fait pour échapper à cet " environnement ".

A propos de " l'enfer " ou du " paradis ". Depuis 1991, rapporté à l'habitant, la diaspora russe est l'une des plus importantes du monde. Qu'il lance une mobilisation générale, juste pour voir, et on verra l'attachement des russes à leur paradis poutinien. Le gouvernement russe vient de garantir l'accès au bon peuple à des " vodkas " très bon marché, etc. Une telle mesure pour le bien être de son peuple, ça m'émeut. Bien avant cette guerre, la démographie de la Russie est l'une des plus catastrophiques du monde. Grace à cette guerre, après celle-ci, le grand plongeon est garanti. C'est bien son " bouquet final ". Sinon, la Géorgie, l'Ukraine, la Moldavie, les pays baltes, etc., ne sont pas de ton avis, c'est aussi leur affaire, me semble t-il. Les attaques cyber, etc. ad libitum et ad nauseam de la Poutinie en France, etc., c'est notre affaire. Être poutinophile va devenir de plus en plus compliqué et révélateur. Pourquoi ? " Grâce " à Poutine. C'est aussi simple que cela. Depuis l'an 2 000, ce n'est plus des vautours occidentaux qui vampirisent la Russie, mais bien des russes à la tête desquels le Vlad. Cynisme pour cynisme. Tout ce qu'on demande à Vlad, c'est de rester chez lui, de martyriser uniquement les russes, et tu verras, on refera des affaires avec lui.

J'entends, j'entends, j'ai collectionné les fossiles de 7 à 50 ans (je lourde ma collection cet été). Par exemple, chez moi, les couches géologiques accessibles c'est du jurassique inférieur, du Lias (de l’Hettangien, du Sinémurien, du Pliensbachien, pour les intimes), c'était une mer tropicale, mais le sujet du fil, me semble t-il, c'est le réchauffement climatique d'origine anthropique.

Il a les mêmes chirurgiens que son vieil ami Berlusconi. Ces deux là s'entendaient comme larrons en foire.

Résumons l'histoire de la Russie : tsarisme, bolchevisme, stalinisme, communisme, poutinisme. Alors forcément " ça imprime ", et profondément. Je suis français, et lorrain, et en allant voir ailleurs (forcément), je sais en quoi je suis français et même en quoi je suis lorrain. De tout temps, le russe (je n'ose pas dire le Citoyen) est habitué à ne pas faire de politique. Révélateur, me semble t-il, quand Prigogine marche sur Moscou, les russes (i.e. de base) ne bougent pas : ils " payent " pour voir, et surtout rien d'autre. Petite anecdote : énormément de prisonniers de guerre russes en Ukraine s'étonnent de ne pas avoir vu des soldats de l'O.T.A.N. Malheureusement, la propagande, ça marche. Mais la minorité qui " s'intéresse " n'est pas dupe. Mais que la minorité qui s'intéresse devienne agissante, il y a loin, surtout donc en Russie. A contrario. Un sibérien engagé dans l'armée régulière ukrainienne (il n'y a pas de mercenaires en Ukraine, il faut que les poutinistes arrêtent de prendre leur cas pour une généralité) s'est étonné : il n'a pas vu de nazis en Ukraine. Et puis ce colosse ajoute : " Les nazis sont en Russie ".

C'est le printemps ! Et alors ? Les reptiles vont sortir d'hibernation ! Et moi aussi ! Les grenouilles ont déjà commencé à chanter. Seuls les mâles le peuvent. Alors, je traduis : " Hé !!! Je suis là !!! "

Mais même chez les dauphins, il ne faut pas exagérer : l'ensemble du groupe peut décider la mise à mort d'un individu trop " problématique " (violeur compulsif par exemple) ou son bannissement définitif. Les cétacés sont des animaux extrêmement sociaux, il n'est donc pas rare, que par défaut, ces individus bannis recherchent la présence humaine, s'installent dans un port, une marina, etc. En fait le " gentil flipper " est un obsédé sexuel expulsé !

Je réagis sur l'estime de soi dans le cadre de la médisance. Il est bien avéré qu'une faible estime de soi entre en ligne de compte dans le cas de la médisance, façon de compenser, c'est une forme (parmi d'autres) de jalousie. Je le tiens d'une amie qui a été caissière, elle-même d'origine étrangère, dans une grande surface. Les femmes musulmanes les plus entravées par leurs maris, le rigorisme religieux, sont d'impitoyables commères. Elles trainent des heures dans le magasin, qui est devenu de fait une sorte d'espace de liberté.

Le Zimbabwe vient de se déclarer en état de catastrophe nationale à cause d'une terrible sécheresse. Pour mémoire. En 1980, le Zimbabwe est un des joyaux de l'Afrique à cause de sa production agricole, largement auto-suffisante et exportatrice.

Je ne fais que passer, le titre du fil me rappelle une formule de Nietzsche : " Quand les hommes sont cinq, il y en a toujours un sixième pour mourir ".

Le titre de ce fil, " Philosophons ", me paraît idéal pour la petite bafouille du jour. La conscience de Soi, de ma propre subjectivité, ce qui inclut ma métaphysique, est une conquête philosophique. C'est la prise en compte par le discours philosophique, par celui qui le pratique, de sa propre subjectivité. Cette prise en compte par le discours philosophique, par le Sujet philosophant, de sa propre subjectivité invite, et c'est donc un euphémisme, philosophiquement tout Sujet philosophant à une extrême prudence, vigilance, quant à Soi, ses propres inclinations, ses valeurs, sa métaphysique, etc., le tout tel a priori, constitutif, efficient, qui doivent tout à sa psychogenèse et rien à la philosophie. La mesure est indubitablement philosophique. Mais n'est-elle pas de fait, aussi, métaphysique ? Dans le sens où c'est bien ma métaphysique qui est concernée par la mesure ? Ce qui touche ma métaphysique n'est-il pas, forcément, aussi, métaphysique, n'a t-il pas des implications, des conséquences, métaphysiques ? J'ai déjà relevé, par exemples, que l'existentialisme sartrien, la démocratie, etc., sont de faits des humanismes a minima, ce qui est bien une qualification métaphysique. Quand Sartre, en 1946, titre une conférence " L'existentialisme est un humanisme ", très rapidement, il a conscience du problème épistémologique, qui le mènera à la rupture radicale avec le marxisme qui est à la fois une philosophie et une métaphysique. Rupture entérinée par son deuxième grand oeuvre, " La Critique de la raison dialectique ". En 1968, Sartre n'est pas plus communiste que moi. Sartre est extrêmement attaché à la rigueur philosophique quand il philosophe, et donc, mécaniquement, c'est de l'honnêteté intellectuelle, il sera conduit à renier ce texte. En l'état et aujourd'hui, même cogito repris, corrigé, aucune philosophie n'est en mesure de faire de la métaphysique. La question qui se pose est donc celle-ci : comment pouvoir faire, faire, de la métaphysique philosophiquement ? Mine de rien, ce n'est pas le casse du siècle, ni celui du millénaire, ça serait historique.

C'est parfaitement documenté (plans de vol, interceptions d'échanges radios, etc.), en Syrie, l'aviation russe bombardait sciemment des marchés, des écoles, des hôpitaux, etc. Les russes pratiquaient " l'exquise " perversité de la double frappe. Pour ceux qui ne savent pas. On lance une bombe, un missile, etc. Les secours, personnels médicaux, pompiers, bénévoles, se précipitent. Et les russes envoient un deuxième projectile, au même endroit. Cela a été filmé par des opposants, des journalistes, etc. Et donc, de même en Ukraine. Dans un documentaire allemand, diffusé sur Arte, les journalistes allemands tournaient en Syrie. C'est au milieu de nulle part. Quelques maisons et des champs de légumes, ici, pas de combats, que des champs de choux, par exemple. Les corps sont floutés, mais dans un champ, de choux, il y a trois générations d'une famille " bien ventilées ", par des bombardements russes. Les allemands ne comprennent pas. Un syrien explique : les légumes produits par ces pauvres maraichers prennent une " mauvaise " direction, celles de zones échappant au contrôle de Bachar. Pas de quoi empêcher Mariani de boire le thé avec les deux " grands " hommes.

à " deja-utilise ", Voilà qui nous éloigne définitivement du fil, et s'il le faut on en changera. Je vois " Kant " dans ta signature, serais-tu kantien ? Une précision qui peut éclairer quelques lanternes. Avec Kant, je ne dirais pas qu'on ne veut pas, je dirais plutôt qu'on ne peut pas. Un bocal bien hermétique, posé sur la table qui se trouvait dans la pièce où Descartes a eu l'intuition du cogito. On sait que cette pièce était toute petite, il faut pourtant y placer toutes les séquelles du cogito en l'état. Sacré René.

Je complète. Je ne mets pas tout le monde dans le même sac, j'essaye de montrer que c'est le cas, et je dis bien volontiers " galère " ! Même pour que l'erreur soit possible, valable, telle, pour tel ou tel Sujet, il faut bien pour se faire qu'il y ait un Étalon (faute de mieux) en matière de Sens, grâce auquel l'erreur est effectivement telle, une erreur. " Ensuite ", tout un chacun nomme cela comme il peut, veut, d'un Sujet, d'une culture, etc., à l'autre. L'athée ne se pose pas la question ou nous parle de ses Valeurs, sans les questionner, le fidèle, etc., nous parle du ou des Dieux et consorts, etc. Même via l'ignorance, l'erreur, etc., d'aussi bonne foi que possible, il y a bien quelque chose a priori pour que tout cela puisse valoir, faire Sens, pour qu'on puisse avoir une vérité ou une erreur en bonne et due forme, etc. Même pour pouvoir éprouver le vertige héraclitéen (" Tout devient, passe "), pour être fou, pour que l'erreur soit effectivement telle, il faut a priori, un substrat, un Étalon, etc. (je ne sais pas, je cherche). Le nihilisme radical, absolu, est impossible. C'est toujours ça de pris ! Tant qu'il y a de la vie, le Sens est irréductible. Et cette énigme essentielle fort mal dégrossie. Un mot sur la forme de mon discours philosophique. C'est bien sûr de l'éléatisme revisité après et à cause du cogito, lui-même corrigé (je sors du " poêle " et je garde la conscience de Soi, de ma propre Subjectivité).

Depuis des lustres, chez certains amateurs, et même plus, de philosophie, on peut le plus régulièrement du monde lire, entendre, ce cri du " coeur ", je résume en substance, mais c'est donc très exactement cela : " Mais pourquoi donc faudrait-il que la philosophie soit humaniste !!? " La question est parfaitement pertinente. Mais il faut préciser aussi rapidement que possible. Elle n'est pas pertinente au sens où elle est posée par des personnages qui ne sont pas des humanistes, voire carrément anti-humanistes, mais qui aiment quand même beaucoup la philosophie, chez qui on trouve des philosophes et même l'un des plus grands du XX° siècle, Martin Heidegger : il vomit l'humanisme, etc., et, n'en déplaise, moi le premier, c'est un grand philosophe. Ces gens n'ont pas envie (a priori donc) d'une philosophie humaniste. Mais une philosophie digne de ce nom, robuste, bien conduite, elle s'en fout des " envies ", celles de ces gens, mais aussi des miennes, etc. Cette question est pertinente dans le sens suivant. Et l'objection est épistémologique, une philosophie humaniste, totalitaire, chrétienne, etc., ce n'est plus seulement une philosophie, c'est une métaphysique, celle de tel ou tel Sujet, exprimée philosophiquement. La philosophie, c'est le véhicule, la forme, la façon de dire, un discours, parmi beaucoup d'autres, c'est tout. Il n'y a pas un seul être humain sur Terre qui n'ait pas sa métaphysique, la Sienne, c'est à dire une morale, des valeurs, un Bien et un Mal, etc., qui conduisent sa vie, et la plupart d'entre eux ne connaissent même pas, n'utilisent pas, les mots " philosophie " et " métaphysique ". Encore une fois, si un discours philosophique s'avère ceci ou cela métaphysiquement, a des conséquences métaphysiques (morales, politiques, etc., donc.), ce n'est plus seulement une philosophie. La confusion entre philosophie et métaphysique étant fréquente, la distinction bien verbalisée me paraît utile.

L'occasion fait le larron. C'est une remarque d'ordre général. La Russie de Poutine se montre d'une extrême agressivité dans tous les domaines. Je ne reviens pas sur les bots, les algorithmes, la pollution, les ingérences, les fakes news, etc., ad libitum et ad nauseam, ou encore les gens payés ou en connexion directe avec la Poutinie d'une façon ou d'une autre. On a d'abord des gens, des poutinophiles, par adhésion personnelle, et rien d'autre. Personne ne les a démarché, etc., c'est bien volontiers, par adhésion, conviction, personnelles, qu'ils participent de l'agression. Pour ratisser aussi large que possible, on peut supposer que les deux cas de figure sont présents partout, dans le cas d'un pays démocratique comme le notre. La liberté d'expression est bien encadrée par la Loi, tout à fait. Mais le résident français, " acheté " ou pas, dispose d'un très grand nombre d'opportunités.

à " deja-utilise ", Avant ma naissance, tout le monde a vu que sur ce tableau il n'y a que Narcisse, tout le monde à propos de ce " genou " parle de Phallus, etc. Le peintre se propose de peindre un Narcisse, donc, forcément, il va nous peindre Narcisse selon lui. Effectivement, j'ai donné mon interprétation, et c'est effectivement bien connu, une interprétation parle de celui qui interprète. Et toi, tu en pense quoi de ce Narcisse du Caravage ?

D'abord sur la forme. Merci Elisa. Sur le fond, je cite Zenalpha : " Finalement athées et croyants passent à côté du sujet ". C'est ce que j'essaye de dire. Même l'athée, bien sûr, a ses propres Valeurs, son Bien et son Mal, etc. La question du Sens, des Valeurs (c'est la question métaphysique), se pose à tout le monde, qu'elle passe par Dieu ou consorts, ou pas. Par exemple. Lorsque les premiers athées occidentaux apparaissent, c'est un choc pour tous les autres : un homme sans Dieu était forcément un être sans morale, etc. Et dans certains pays musulmans, c'est encore le cas. Et ça se terminait mal : bûcher. Étymologiquement, le mot libertin renvoie à la fauconnerie (chasser avec un oiseau, un faucon, etc.) et désignait un oiseau capricieux, avant d'être connoté sexuellement le mot libertin désigne un individu qui s'autorise de penser par lui-même, qui s'émancipe des tutelles classiques, politiques, religieuses, etc., que tout le monde acceptait sans discuter, y penser, à la Renaissance.

Merci Elisa. Mais il est apparemment trop tard pour moi pour éditer. Si la modération peut le faire, ça serait cool. Le texte en l'état est pénible à lire. Bizarre : ce n'est pas la police que j'utilise quand je travaille sur mes brouillons. Je suis encore un peu " neuf " sur ce forum.