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Témoudjine

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Tout ce qui a été posté par Témoudjine

  1. Tu as totalement raison sur tout. Mais est-ce que parce que les principales valeurs qui ont faîtes ce que nous appelons notre civilisation partent en capilotade, que l’on se doit de rajouter impunément une bouffonnerie supplémentaire dont le seul résultat fera que tous les spectateurs de la planète qui verront cela nous prendrons encore plus pour des crétins dégénérés ? Y verront-ils une preuve de tolérance de la part de la France et des français ? Nenni ! Ils y verront selon toute logique une preuve supplémentaire de dégénérescence de ce que l’on appelait jadis l’esprit français. Beaucoup le pensent déjà dans les contrées qui ont conservé un minimum d’intelligence collective. Avec ces pitreries nous ne ferons que les confirmer dans cette appréciation.
  2. Que l’on aime ou pas Zemmour, et il est loin d’être ma tasse de thé, il faut commencer par regarder ce qui s’est passé, avant de vouloir jouer les redresseurs de torts. La scène a été filmée par différents vidéastes avec leurs téléphones, et cinéastes de télé. L’on peut la voir sous plusieurs angles sur nombre de sites. Et sur les reprises des télés. La femme concernée, tout est parfaitement net, a commencé par lui lancer un œuf, alors qu’elle se trouvait à quelques deux mètres de lui. Puis elle s’est approchée de Zemmour, et parvenue à portée de main, elle a voulu lui aplatir un œuf sur la tête. Mais durant le mouvement qu’elle effectuait, Zemmour a tourné la tête et devant le geste amorcé de la femme qui avait le bras brandi vers son crâne, il a sans doute eu peur. D’où un réflexe logique de protection. Il a levé le bras pour protéger son crâne. Non pas en position de coup en préparation, ce qui par ailleurs n’aurait été qu’un geste réflexe de protection, mais en position de défense. C’est d’ailleurs semble-t-il la dernière version de la police après décorticage des différents films.
  3. Pour une raison élémentaire. Dans un pays où même les flics de police criminelle ne disposaient pas d’armes à feu jusqu’à il n’y a guère, il y a un pourcentage de flingues par habitant qui est très bas. De la même manière, si les anglais avaient été très majoritairement végétariens, et n’avaient donc pas eu de viande à couper, c’est avec des manches de pioche que leurs règlements de compte entre voyous s’effectueraient.
  4. Qu’une femme manifestement connue comme homo, ou un homme dans les mêmes conditions, ait été choisi-e pour accomplir cet acte, n’aurait généré strictement aucune critique de la part des gens raisonnablement intelligents. Mais qu’une caricature de ce que notre société peut produire de plus dégénéré, pas à cause de ses mœurs qui ne regardent que lui, ou qu’elle, mais à cause du portait qu’il-qu’elle- présente, est hélas une preuve, s’il en était besoin, du stade de délitement, pas encore de décomposition mais cela en prend le chemin, de tout ce qui a fait au long de l’Histoire le renom, l’esprit et l’intellect, de la France. Les spécialistes estiment que depuis 15 ans la moyenne du QI de la communauté française a perdu 10 points. L’on en a là une éclatante démonstration. Sans doute la Maire de Paris n’a-t-elle pas encore fini de payer à Delanoë le prix du siège de Maire qu’il lui a donné. Mais après le maillot rose des footeux de la capitale, plus rien ne pouvait étonner. Autant l’homosexualité est-elle normale, et ne doit supporter aucune critique, autant ces guignols qui se baptisent Drag Queen, et dont c’est le droit le plus strict de se déguiser en chauve souris d’opérette si cela leur chante, ne sauraient en aucun cas représenter les habitants de la capitale aux yeux du monde. Paris va être la risée du monde si les télés retransmettent cette bouffonnerie.
  5. L’intérêt était , et est, de montrer que tu te contentes de répéter des slogans dont tu ignores en réalité s’ils correspondent ou non à la vérité. Créer deux états viables sur le territoire d’Israël est une plaisanterie. L’ensemble du pays est à peine plus qu’un grand département français. Et l’historique de cette région fait qu’en outre le territoire est partagé de façon telle que si deux pays existaient là, la seule surface des routes mangerait le quart de la surface du pays. Mais en réalité la véritable raison pour laquelle il est de toute façon impossible de créer deux états, est que les politiciens qui « dirigent » les conscience des palestiniens, et ce depuis 1947, n’en veulent pas. Ils veulent la destruction d’Israël et la totalité du territoire. Le fameux du fleuve à la mer. Pas que l’on leur en donne la moitié. À plusieurs reprises dans l’Histoire relativement récente, les palestiniens et Arafat ont eu l’occasion d’accepter la proposition d’Israël d’instaurer la paix et de création de ce second état. Et, Arafat en tête, la proposition a toujours été refusée par les palestiniens. Ne mets pas cette affirmation en doute, ou vérifie d’abord. Sinon tu prouverais que tu ne connais pas la véritable histoire de ce conflit. En outre, les territoires de Cisjordanie ne sont pas des territoires « colonisés ». Le français est une langue relativement précise. Le document fondateur de l’ONU qui concluait le conflit de 1947, repris ensuite à différentes reprises, a toujours parlé de territoires « contestés ». C’est le mot employé en anglais dans le premier document y relatif, l’officiel, mot repris systématiquement dans les documents de l’ONU lorsqu’ils reprennent « officiellement » le document d’origine. Mais mot qui a immédiatement était travesti en « occupés » par les documents traduit d’abord en arabe. Mot « occupé » repris dans tous les documents de pays musulmans, puis de la plupart de autres pays dont les journalistes ne se sont jamais préoccupés de l’exactitude des traductions. Ce qui a évolué dans le langage des seides des Frères Musulmans, en « colonisés ». La Cisjordanie est un territoire « disputé ». Ce qui juridiquement signifie que pour le moment, sur le plan onusien et international, il n’est à personne en attendant un règlement et un accord général. Un territoire qui juridiquement n’est encore à personne, ne saurait être « « colonisé ». Le français, dit-on, est la langue des poètes et des amoureux. Mais c’est d’abord historiquement la langue officielle de la diplomatie internationale. Les mots ont un sens. Tous les documents juridiquement officiels parlent des territoires « disputés » ; Pas « occupés ». Il s’agit là d’Histoire. Pas de militantisme de la part de qui que ce soit.
  6. Et tu attends quoi ? Une absolution ? C'est au curé de ta paroisse, ou à ton pasteur, ou à ton rabbin, qu'il faut en référer.
  7. Jimmy 45, tu écris : - « Tout le monde s'accorde à dire qu'il faut partir des frontières décidées en 1967 ». Tu réécris l’Histoire comme il te plairait qu’elle se soit passée. Il n’y a jamais eu de « frontières décidées en 1967 ». Après la dérouillée infligée par Tsahal aux armées égyptiennes et à ses alliés arabes, qui a permis à des unités de Tsahal de prendre pied sur le continent africain, Israël a occupé le Sinaï, Gaza, et la vieille ville de Jérusalem conquise sur la légion arabo-jordano-anglaise de Glubb-Pasha. Ainsi qu’une partie du plateau du Golan pris à la Syrie. Israël a accepté de rendre le Sinaï et Gaza à l’Égypte. Mais strictement aucune frontière n’a été définie. La résolution 242 de l’Onu demandait aux parties concernées de rendre les territoires conquis. Ce qu’a fait Israël pour l’essentiel. Ne conservant en les annexant que la vieille ville de Jérusalem, gagnée sur la Jordanie, et une partie du plateau du Golan, gagné sur la Syrie. Mais des lignes de cessez le feu ne sont pas des frontières. Seul un pays réel, constitué, peut avoir des frontières. De quel pays s’agirait-il ici ? Les frontières de 1967, cela n’existe pas.
  8. C’est bien possible. Mais tous les goûts sont dans la nature, même les plus farfelus. Par contre, il me semble avoir remarqué que c’est également le cas de la majorité des femmes.
  9. Ton plaidoyer serait plus convaincant s’il relatait des faits exacts, attestés, et pas des slogans de l’extrême gauche dénaturée actuelle. Tu dis : « … combien de milliers d'enfants palestiniens ont été tués en juste quelques mois ? ». C’est exact. Ils sont bien morts. Les bombardements ne font pas le détail. Mais présenté comme tu le fais, c’est plus que tendancieux. Ces enfants ne sont pas morts parce que Tsahal a décidé de les tuer. Mais parce que les parents de ces enfants ont volontairement pour la plupart, commis un pogrom comme l’on n’en avait pas connu depuis la dernière Guerre Mondiale. Et avec des actes que seuls les meilleurs SS avaient jusqu’ici commis. Comme tous les philologues de la planète le reconnaissent, il ne s’agit aucunement de génocide. Ces enfants ne sont, malheureusement, que « des dommages collatéraux ». Mais, à part les demeurés incultes de Mélanchon, et les petits connards qui sur les campus de Sciences Po croient rejouer mai 68, qui pourrait reprocher à Tsahal d’être intervenu contre les auteurs des atrocités du 7 octobre ? Les imbéciles qui hélas sont trop nombreux autour de nous, (les cons nous cernent, disait avec raison Raymond Queneau), attendent quoi ? Que les israéliens, parlons franc les juifs, se laissent assassiner sans répondre ? Ensuite tu écris : « … des soldats qui tuent même des gens qui se rendent, les mains en l'air, drapeau blanc et torses nus ? ». D’une part, mais c’est accessoire, même si les gens en question étaient nombreux, ici l’expression « torse nu », ne doit pas s’écrire au pluriel. Tu n’as rien compris à ce que tu as vu. Ou sans doute te contentes-tu des idioties répétées par les séides de la Méluche. Mais sans aucune réflexion. La file de palestiniens assis torse nu venait de sortir préventivement de bâtiments que Tsahal allait attaquer, pour se rendre. Comme l’auraient fait toutes les armées du monde, Tsahal les a fait assoir l’un derrière l’autre, torse dénudé. Évidemment pour éviter les armes et les explosifs cachés. Lesquels d’entre eux ont été tués ? Si une seule vidéo l’avait montré, elle tournerait encore en boucle sur les réseaux sociaux. Et parmi les cas où les vidéos montrent d’autres palestiniens, debout, se rendant avec un drapeau blanc, essaye de trouver une image, une seule, montrant un soldat de Tsahal tirant sur un palestinien se rendant torse nu et avec un drapeau blanc. Les accidents arrivent dans chaque guerre. D’autant plus que les gens du Hamas ne sortent dans les rues qu’en civil. Durant cette guerre, ils n’auront pas usé beaucoup leurs uniformes. Avant de raconter n’importe quoi, renseigne-toi. Tu n’as aucune idée de ce qu’est l’éthique de Tsahal. Donc en réalité de ce qu’est Israël.
  10. Il convient de se reporter aux fondamentaux. Chacun de nos actes, chacune de nos pensées, chacune de nos envies ou de nos tentations, plonge ses racines dans deux sources. D’une part la biologie et la génétique, et d’autre part la culture du milieu dont nous sommes issus. En fait nous agissons dans l’ignorance des causes qui nous motivent. Notre inconscient a, dans nos désirs et nos décisions, une importance que souvent nous ne mesurons pas. La nature et l’évolution ont donné aux mammifères, dont les singes tropicaux dot nous faisons partie, mais tout autant aux vaches, aux cochons, aux loups ou aux lions, une caractéristique commune. Dans chaque espèce des individus naissent avec des spécificités innées qui lui sont propres. Dont le niveau d’intelligence, la volonté ou non de s’affirmer, de soumettre les autres, ou au contraire de s’effacer et de ne pas chercher à se mettre en évidence. Sachant que génétiquement ce sont ceux qui surpasseront les autres, qui auront les premiers le choix des femelles. Femelles qui, c’est une tautologie, sont le sommet des souhaits de tout ce qui vit. La seule finalité de la vie, c’est de se reproduire. Et tout est prévu biologiquement dans ce but. C’est ce qui donne le mâle Alpha chez les loups, la reine des vaches en suisse, ou le dictateur chez les humains. Ou un Sarkozy chez nous. C’est une conséquence atténuée cette caractéristique, ancrée dans la génétique, qui incite certains, d’une manière biologiquement inconsciente, vers le rôle d’individu soucieux de briller, de faire triompher leurs thèses, de se montrer plus convaincant que leurs congénères. D’être le premier à Rome. Ou à la rigueur dans son village. C’est un petit brin de ce qui, dans une configuration biologique plus forte, donnerait un chromosome amenant l’individu concerné à tenter de devenir le mâle Alpha de sa harde. Redite, nous vivons dans l’ignorance inconsciente des causes qui nous motivent.
  11. Patriot 34, tu écris : - « L'important n'est pas de croire en Dieu. L'important, c'est que Dieu croit en toi ». - Jolie et classique formule. Mais au-delà des mots pour les mots, et de l’esthétique éventuelle de la formule, pourrais-tu expliquer ce qu’elle veut dire ? Qu’est-ce qui peut permettre de dire ou de penser que Dieu croit en un individu ou en un autre, ou qu’il n’y croit pas ?. Ou te contentes-tu de reprendre une formule toute faite, qui te plait, mais qui ne veut strictement rien dire ?.
  12. Tu dis que jamais tu ne tuerais un enfant de Dieu. Mais s’il s’agit de l’enfant d’un autre Dieu que le tien ?. De l’un des Dieux des autres religions dites « révélées » ?. Ou au-delà, de l’une des multiples religions qui existent sur la planète avec leurs fidèles convaincus, eux, que c’est leur propre Dieu qui est le vrai, et pas le tien ?. Comment les tries-tu, si tu les tries ?. Et si tu ne les tries pas, les classifies-tu, et selon quels critères ?
  13. Excellente remarque de ta part au sujet de Paulo Coelho. Mais tu es trop tolérant. Il n’est pas à la limite de l’escroquerie intellectuelle, il est très au-delà, à l’intérieur. Malheureusement il n’est pas le seul. Mais bast ! Il faut bien que les employés des imprimeries aient du travail. Mais la littérature n’en sort pas grandie.
  14. Soit je me suis mal expliqué, soit tu n’as pas compris ce que je voulais dire. Il est moins question dans mon propos de qualité de la littérature produite que des conditions et des circonstances qui ont fait de cette personne une célébrité. Paul Auster est incontestablement un bon écrivain. Mais s’il était resté en Amérique, où il ne parvenait pas à se faire éditer, et s’il n’était pas tombé sur le cénacle mondain dans lequel papillonnait la fille de Nyssen, laquelle avait à ce moment là besoin de tenter de s’imposer dans le groupe éditorial de son père, nous n’en parlerions pas ce soir.
  15. Et vas-y donc, c’est pas ta sœur ! disait-on jadis devant les dithyrambes plus qu’excessif. La mort de Paul Auster a déclenché ici des hyperboles parfois délirantes. - - Un géant des lettres américaines, - un immense écrivain, - dans la lignée de John Irving et James Ellroy. Dommage d’avoir omis de le comparer à Hemingway, Faulkner ou Steinbeck. Mes camarades, changez de fournisseur d’herbes. La vôtre actuelle vous fait déparler. Paul Auster était un bon écrivain, voir un grand écrivain à la rigueur, nul n’en disconvient. Mais pas au point, très loin de là, d’être placé sur la même ligne que ceux auxquels vous le comparez. Auster n’a d’ailleurs eu un relativement grand succès qu’en France, et pas en Amérique. Et grâce à un concours de circonstances qui n’était en rien de nature littéraire. Françoise Nyssen à laquelle son père son père venait de donner un poste important dans le groupe de sa maison d’édition avait besoin de trouver des auteurs à éditer. Et Paul Auster à été l’un de ceux qui ont fait l’affaire. Mais sans la camarilla germanopratino-belgo-jetseto-privilégiée dans laquelle nageait la fille d’Hubert Nyssen, Paul Auster qui n’était jusqu’alors pas parvenu à se faire éditer en Amérique, n’y serait probablement pas parvenu davantage en France. C’est auréolé d’un succès littéraire en France, qu’il a pu se faire éditer ensuite en Amérique. Où il est beaucoup moins connu et apprécié qu’en France. C’est un bon écrivain, c’est certain. Mais « un géant des lettres américaines », (je ne sais plus qui à écrit cela), mon cher ami, au lieu de tremper tes croissants du petit déjeuner dans un bol de Muscadet, essaye le café au lait. Et si c’est un grouillot de la revue Le Point qui a écrit cette baliverne, cela ne change rien à mon propos.
  16. Ton interprétation de la chose est trop sévère. Il n’a pas comme tu le dis : « puisé dans la caisse » au sens où cette expression est généralement employée. Avec le sens sous-entendu de « piqué » dans la caisse. La psychologie du personnage est que les différentes sociétés que son père lui a laissées, lui appartenaient en propre. Ce qui était vrai. Et en conséquence, pour lui les caisses de ces entreprises étaient à lui. Pas à des personnalités morales. Mais son père ne lui a jamais expliqué que sa vie ne devait pas se limiter à jeter les sommes les plus folles par les fenêtres, en les dépensant avec des mannequins de haute volée, pendant que les autres industriels, chacals de leur état, dépeçaient son empire industriel et que cela lui était indifférent. Il est vraisemblable qu’il ne s’en apercevait même pas. S’il a puisé dans la caisse comme cela a été le cas, c’est qu’il n’a jamais compris que les caisses de ses sociétés étaient les caisses de personnalités sociales, et pas les siennes propres. Il a manqué de coups de pied au cul quand il était jeune, et avait autour de lui trop de personnels de maison qui le suivait dans les confiseries pour payer ses caprices. Mais tous les autres industriels qui ont dépecé son empire savaient très bien, eux ce qui était en train de se passer. Et l’ont vivement encouragé durant des années pour qu’il persévère. Mais nous vivons dans un système capitaliste libéral dans lequel bouffer l’autre est la règle du jeu. Et qu’importe les moyens d’y parvenir. Les requins aiment bien se bouffer entre eux.
  17. Tu as raison, évidement sur ce point. Mais c’est enfoncer une porte ouverte. L’‘enfant marque la fin du processus de gestation. Si ce processus ne s’accomplit pas dans de bonnes conditions, il est évident que le résultat de l’opération, l’enfant qui nait, risque de présenter quelques défauts de fabrication. Mais de la même manière, c’est vrai pour tout et pour n’importe quoi. Si tu mets en terre des plans de laitue et que tu laisses des limaces gambader dans ton jardin, tes feuilles de laitue risquent de présenter quelques trous. Si l’ouvrière de Moulinex chargée sur la ligne de production de poser la soupape de sécurité sur la cocotte-minute laisse une particule métallique de quelques millimètres s’intercaler entre la soupape et la gamelle, la cocotte-minute fera comme la 2 chevaux de Bourvil après sa rencontre avec la grosse voiture british de Louis de Funès. Elle marchera moins bien. C’est vrai pour toute production humaine. Si le processus de création n’est pas strictement respecté, le résultat a de forts risques de présenter un ou plusieurs problèmes. C’est vrai pour un gâteau au chocolat. Et c’est tout aussi vrai pour un bébé.
  18. Zenalpha, je sors abasourdi de ta dernière intervention. Félicitations ! L’ensemble est tellement riche de possibilité de discussions, qu’il me faudrait trois jours pour y répondre pleinement. Aujourd’hui, pris par le temps, je vais m’arrêter dans ce post sur quelques points majeurs. Je reviens sur le reste dès que je le peux. ⁂ Tu as raison, se penser à l’image de Dieu est un péché d’orgueil évident. Sous la réserve préalable que l’on croie en Dieu. Et la question est là. ⁂ Ta réflexion : « les histoires saintes de la Torah, du Coran ou de la Bible si humaines et si naïves que ça en est presque une preuve que le Dieu tel qu'il est présenté dans les religions révélées n'existe pas… », est extrêmement intéressante. Et ouvre un gouffre de réflexions potentielles. ⁂ Mais il conviendrait de mettre à part des deux autres la Torah, qui est tout autre chose qu’un ouvrage traitant de matière religieuse. L’essentiel des études et recherches y relatives sont encore au niveau des chercheurs et des archéologues. Mais s’avèrent d’une grande importance pour la connaissance de notre espèce. Comme je l’ai déjà évoqué précédemment, La Torah est le recolement de ce que la mémoire humaine a conservé du passage de notre espèce du Paléolithique au Néolithique. Chaque évènement majeur décrit par la Torah, est la description sous une forme imagée et interprétée pour être accessible à la compréhension simple, de ce qui fut l’une des grandes étapes de la vie sociale de notre espèce. Mais avant d’en aborder la substance, il conviendrait de se souvenir de la manière dont l’Histoire, et les histoires, se sont transmises oralement à travers les siècles et surtout à travers les millénaires durant les la période s’étalant en gros du 10° au 3° millénaire avant l’ère commune. ⁂ La science d’aujourd’hui n’est plus du tout ce qu’elle était du temps d’Einstein. Aujourd’hui, considérant ce qui s’est passé au niveau des découvertes scientifiques, et conscient de la tournure d’esprit talmudique du mathématicien, il est évident aux yeux des familier de ses développements, qu’aujourd’hui il ne tiendrait plus les mêmes propos au sujet de Dieu. ⁂ Tu dis : « Je crois qu'il faudrait déjà...définir Dieu... ». Excellente remarque. Mais je crois qu’il serait simple de remarquer que ce souhait est la négation même de l’idée de Dieu. Le simple fait de se poser la question de l’existence de Dieu est une négation de l’existence de ce Dieu. S’il existait, son existence, son imprégnation des cerveaux des hommes, (pour ceux des femmes, faut voir !) serait de nature forcément génétique ou biologique. Ce qui évidemment n’est pas le cas. D’autant que l’histoire de la création de Dieu par l’homme est facile à retrouver et à établir. ⁂ Tu as raison sur le point qu’il est évident qu’aucun Dieu, oubliant d’office que l’on aurait du mal à le trouver, a pu élire un peuple déterminé. Pourtant l’élection d’un peuple parmi d’autres, en l’occurrence le peuple juif, est une autre question. Parce que d’une certaine manière, cela pourrait être facile à démontrer. Les peuples ont des caractéristiques différentes. Le grand nordique blond n’a pas des qualités et des capacités qui sont les mêmes que celles d’un descendant de Maya des Andes. Et les circonstances et la nature ont fait que le peuple juif a effectivement des caractéristiques qui lui sont propres. Lorsque je parle de peuple juif, je parle des ashkénazim. Les séphardim, c’est encore une autre histoire. Question de caractéristique de peuple sur laquelle si tu le désires, je serai ravi De revenir. Mais sur ce post je suis déjà trop long. ⁂ Par contre, le Dieu de la Bible n’est en aucun cas un Dieu raciste. C’est un Dieu ombrageux, sourcilleux, qui n’aime pas que l’on lui désobéisse. Le fait qu’il préfère un peuple parmi les autres, qu’il se préoccupe davantage de l’un des peuples que des autres, n’est pas une preuve de racisme. C’est tout au plus du favoritisme. Et pas de confusion, ce n'est en aucun cas une preuve de l'existence d'un Dieu. ⁂ Tu écris : « Le silence des descendants du berceau de la civilisation quelque part ont démontré l'échec total de leur principe ». Quel échec ? et de quel principe ? ⁂ « Cette transmission est morte » dis-tu. Quelle transmission ? Si tu parles du message de la Torah, sur le strict plan de la religion, il est bien loin d’être mort. Il y en a bien un en réalité, et se limiterait-il qu’aux Dix Commandements, qu’il serait déjà d’importance majeur. Aucun Tribunal sur la planète, hors des dictatures, ne maintiendrait la paix et un minimum de concorde entre ses citoyens, en dehors de l’application des Dix Commandements, ou de formules équivalentes. ⁂ Mais comme déjà dit plus avant, le message principal de la Torah, si l’on veut employer cette expression de message, n’est pas d’essence religieuse. Il est, je me répète, dans la transmission de la mémoire des hommes qui témoignent du passage du Paléolithique au Néolithique. Mais c’est un sujet différent. L’habileté des rédacteurs de la Torah, est d’avoir su faire de la Torah un ouvrage en deux parties. La première relative à la réelle mémoire des peuples du nouveau Néolithique, celle de l’histoire des progrès successifs de notre espèce du 10° siècle a.j.c. au 3°siècle a.j.c. La seconde partie seulement rapportant l'histoire des hébreux ⁂ Mais le message de la Torah, si l’on souhaite en trouver un de nature sociétale, est simplement les Dix Commandements. Ils sont un message à l’ensemble de l’espèce humaine, et sont la base de la condition de survie de nos populations. Du moins pour la petite part de sagesse que les hommes sont capables de garder en mémoire. Aucun Tribunal sur cette planète ne saurait fonctionner et sauver notre espèce en dehors de règlements de base qui sont de fait, qu’ils le veuillent ou non, ces Dix Commandements.
  19. Ma chère Mite, l’enfant ne saurait être la différence. Il est l’une des productions physiologiques de la femme, mais n’est que l’une d’entre elles. Elle produit d’autres éléments que les hommes, et les femmes, payent et payent parfois cher. Leurs ovules par exemple. Ou les hommes leurs spermatozoïdes. L’on trouvera normal qu’une femme donne, ou vende, le marché en est ouvert, l’un ou plusieurs de ses ovules. Ou, c’est la même chose, qu’un homme donne, ou idem vende, ses spermatozoïdes. Parce que le-la bénéficiaire concerné-e n’est pas en mesure de produire lui-même l’ingrédient. Cela n’empêche personne de dormir. Si au lieu de donner l’ovule ou le spermatozoïde, ingrédients indispensables à la réalisation finale de l’enfant, ce qui n’est que la phase initiale du processus, l’on attend que la confection de l’enfant soit terminée dans son réceptacle logique, un utérus, dont par ailleurs peut parfaitement provenir l’ovule, où est la différence réelle ? Où est la différence entre élever la poule et obtenir l’œuf, et le donner ou le vendre, ou attendre un peu plus et vendre le poulet terminé ? Quel principe est bafoué ? En réalité, il y a deux raisons majeures qui expliquent l’attitude des opposants à la mère porteuse. La première est une raison sous-jacente, généralement inconsciente, d’imprégnation de nature religieuse. Ou pourrait-on retrouver l’œuvre divine dans la GPA ? La seconde, la plus courante, est la nature de la relation que la femme qui émet une opinion négative face à la Gestation Pour Autrui, que cette femme entretien avec son propre corps. Avec ses propres organes génitaux, et sa morale personnelle en la matière. Mais morale qui est très subjective, parce qu’elle dépend de phénomènes liés à son historique d’enfance et aux phénomènes qui ont agité le milieu dans lequel elle a vécu jusqu’à son âge adulte. Deux ingrédients majeurs sont indispensables à la conception et à l’élaboration d’un enfant. Un spermatozoïde et un ovule. La plupart des gens admettent que ces deux éléments puissent se donner ou se vendre. Les marchés très libéraux en existent, et pas seulement dans le Tiers Monde. Mais il serait anormal et immoral de rétribuer, ou de défrayer, une femme dont la seule activité est de permettre aux intéressés de faire accomplir l’intégralité du cycle que les dons, ventes, ou défraiements en question, toutes opérations « normales », leur permettent de réaliser ? N’y aurait-il pas une incohérence dans cette histoire ?
  20. Qui et de quel droit, peut s’arroger le pouvoir d’interdire à une femme de louer son utérus si cela est sa volonté ? Depuis le Néolithique et l’invention de la prostitution, les femmes sont tacitement ou judiciairement autorisés à louer leurs organes génitaux. Il en est pratiquement de même des hommes, s’ils veulent pratiquer des mœurs homos et louer leurs bas morceaux. Louer son vagin et sa bouche pour une femme, ou son oignon et sa bouche pour un homme, dans tous les cas pour une durée plus ou moins variable, où est la différence avec louer son utérus pour une femme ? Le vagin d’une femme ou son utérus, sur le principe de la location, où est la différence ?
  21. Bravo Anatole. Tu as parfaitement résumé l'affaire. Il n'y a rien de plus à en dire.
  22. Tu écris : « Dieu existe bien évidemment, Mais le tout est de ne pas prétendre le définir ni de définir ce qu'il est ni même ce qu'il a fait ou fera pour nous » Mais alors pourquoi s’efforcer de penser qu’un Dieu existe si l’on pense qu’il est inutile et vain de le définir, ni de savoir ce qu’il a fait ou ce qu’il fera ? Il sert à quoi dans ce cas ? ⁂ Tu écris : « Il y a toutes sortes de récits mythologiques au travers des temps et des âges et il est bien évident qu'une énorme majorité de ces récits ne sont pas vrais ». Cette formulation signifie que si la majorité n’est pas vraie, certains par contre sont vrais. Quelle est la différence dans ce cas entre les vrais et les faux. Comment différencies-tu les vrais des faux ? ⁂ Le terme de « faux positifs », pour la même raison, est fort mal venu ici et utilisé dans un contexte qui est une erreur à la fois de sémantique et de syntaxe. ⁂ Parmi les « livres désuets » que tu évoques, il en est un qui est tout autre chose qu’un simple livre de principes religieux. La Bible Hébraïque. Elle est le seul ouvrage que nous possédions qui a réalisé à l’époque où cela était encore possible dans la mémoire des peuples, un récolement de la mémoire qu’à l’Humanité du passage du Paléolithique ou Néolithique. Mais c’est une autre histoire, comme le dirait Kipling.manitéHuH ⁂ Mais grâce à quelles masturbations neuronales peut-on passer de ce que tu racontes à l’affirmation que l’on croit en Dieu ?
  23. « L'athéisme demande-tu, doit-il démontrer l'inexistence de Dieu pour être vraiment justifiable ? » Question sans objet. D’abord l’athéisme n’a pas à être justifiable. Il est justifié d’office par l’intelligence, la réflexion, l’observation du monde et la Science. L’on peut facilement, ou moins facilement selon le cas, démontrer qu’une chose existe. Mais il est évidemment impossible de démontrer qu’une chose n’existe pas. De quelle manière cela serait-il possible ? Que l’on ne le voit pas n’est pas une preuve. L’on peut mal voir. Que l’on ne constate aucune de ses interventions, en dehors des images fantasmées par ses contempteurs, n’est pas une preuve. Il aurait pu intervenir ailleurs, hors de vue ou loin. La personne se questionnant à ce sujet ne peut que prendre en compte son intelligence, ses facultés de réflexion et l’état de la Science. Mais il est vrai que ne pouvoir compter que sur l’intelligence humaine …
  24. Quelle est la seule chose qui importe réellement pour un gros investisseur ? Le niveau de la dette du pays auquel il prête ? Non, camarade, cela il s’en fout royalement. La seule chose qui compte réellement pour lui, c’est l’assurance que le pays en question sera en mesure de lui rembourser son argent le jour où il estimera vouloir le récupérer. C’est même la raison première de l’existence des quelques 150 agences de notation financiaire auxquelles tous les gros investisseurs sont abonnés. Dont les célèbres trois gros, Moody’s, Standard & Poor’s et accessoirement Fitch. Tant que leurs agences préférées leur disent que c’est bon, les investisseurs prêtent. Quitte à liquider tout le jour où ces agences le leur conseillera. Mais cela arrivera toujours avant qu’ils ne courent un risque réel. Avec une astuce qui n’est pas toujours explicité par les grands médias : les investisseurs sont abonnés à ces agences de notation. Mais les organismes et états qui sont notés par ces agences, sont eux aussi abonnés à ces agences. Abonnements payants, évidemment. Et différentes mauvaises langues ont toujours prétendu qu’il pouvait se faire que, parfois, le montant de l’abonnement qu’accepte de payer celui qui va se faire noter, peut avoir un petit rapport avec la qualité de la note que l’Agence va estimer pouvoir lui donner. La chair est faible, c’est une certitude. Et les dirigeants des grandes agences de notation américaines ont des enfants. Or il se trouve que l’enseignement privé de qualité, et surtout les Universités, sont hors de prix aux USA. Et les jets privés, premier symbole de richesse chez l’Oncle Sam, sont hors de prix. Faut comprendre ! Il faut être compréhensif envers les obligations qui s’imposent au petit peuple.
  25. Ces raisons sont élémentaires ma chère Morfou. Il s’agit dans mon propos des pulsions sexuelles face à « l’amour », en fait face à l’acte sexuel chez les humains. Sur le fond, la pulsion sexuelle, au début de la vie sexuelle ou au début de la vie de couple, est la même pour le garçon et la fille, durant l’adolescence et la vie de jeune adulte. La seule considération qui compte réellement pour le arçon comme pour la fille, c’est la découverte du truc et l’expérimentation du phénomène. C’est l’attrait irrésistible, biologique et génétique pour l’acte lui-même, qui fait agir le garçon comme la fille. Avec un contexte psychique très différent selon le sexe. Le vieil adage qui dit que le garçon pressé de faire l’amour est prêt à dire qu’il aime, alors que la fille qui aime est prête à accepter de faire l’amour, est toujours aussi vrai. Et résume tout. Pour de banales raisons génétiques, l’acte sexuel lui-même, et ce que le psychisme peut y associer, est toujours en surimpression sur un « écran de fond » biologique. Lequel est différent selon les sexes. Même si c’est inconscient chez lui, le garçon aura toujours en arrière- plan le fait que sa partenaire a un rôle féminin associé théoriquement à la mère, à la douceur et à la consolation du garçon. Par contre pour la fille l’arrière-plan sera toujours génétiquement associé pour elle, et quel que soit son âge, et sa culture, à la recherche inconsciente du meilleur géniteur pour ses enfants à venir. C’est-à-dire en fait à la recherche du prince charmant. Dans mon propos, il s’agissait de l’appréciation des pulsions sexuelles telles qu’elles pouvaient être ressenties et contrôlées selon le sexe. Et selon la culture du milieu dans lequel évolue l’individu concerné, qu’il s’agisse d’une fille ou d’un garçon. Le ressenti lors de la rencontre, et ensuite, quel que soit l’issue de cette rencontre, sera, est, d’abord fonction des arrières plans évoqués ci-dessus. C’est pour cette raison par exemple, que la pédophilie est ressentie et inconsciemment appréciée différemment selon le sexe de l’observateur. Le mot « apprécié » étant ici employé dans son sens sémantique exact d’à peu près « estimé ». Il y a statistiquement autant d’actes de pédophilie venant de femmes que d’hommes. Mais si les actes de pédophilie pratiqués par des hommes défrayent en permanence les chroniques judiciaires, il en est rarement de même, pratiquement jamais, si le coupable est une femme. Ce qui s'explique par différents facteurs, mais c'est une autre histoire. La société, et la société c’est chacun de nous, apprécie différemment ces actes de pédophilie féminine selon qu’ils sont considérés par des hommes ou par des femmes. Simplement parce que le psychisme des garçons et celui des filles, sont différents. C’est l’une des conséquences de ce qui précède.
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