Aller au contenu

Témoudjine

Membre
  • Compteur de contenus

    1 708
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Témoudjine

  1. Si tu parles d’un VRAI Dieu, c’est qu’il y a au moins un autre Dieu, ou plusieurs autres Dieux, qui sont, eux, tous des FAUX Dieux. Mais comment sais-tu que toi tu reconnais le VRAI Dieu et que tu ne confonds pas avec un autre FAUX Dieu ? Sur quelles bases poses-tu ce postulat ? Qu’est-ce qui te permet d’être certain de reconnaître, toi, le VRAI Dieu au milieu des nombreux FAUX Dieux. Et de croire qu’en conséquence la majorité de la population du globe se trompe et confond le VRAI Dieu avec le FAUX ? Reconnaître le Port Salut, c’est facile, c’est écrit dessus. Tout le monde le sait. Et c’est une marque reconnue par tous comme étant la vraie. La seule vraie. Personne ne se risquerait à le contester. Mais quels éléments te permettent de croire que celui que tu prends pour le VRAI Dieu est réellement le VRAI Dieu ? Qu’il n’y en a pas d’autres d’aussi VRAIS ? Ce qui impliquerait qu’aucun n’est le VRAI. Es-tu en mesure de fournir une réponse étayée à ces questions, mais réponse qui s’appuie sur autre chose que le Mystère de Foi ? Lequel Mystère de Foi ne peut être aux yeux de toute personne sensée qu’une escroquerie intellectuelle.
  2. Si tu nous écrivais cela en langage vernaculaire compréhensible, nous pourrions suivre un peu mieux ta pensée. Si pensée il y a vraiment.
  3. Tu parles là d'un escroc et d'une escroquerie. Cela n'a rien à voir avec le sujet dont il est question ici.
  4. Tu écris : - « Les Romains, des mécréants, païens, idolâtres, il y a mieux comme référence ». Sois un peu logique. L’histoire dont nous parlons de situait chez les romains. C’est donc forcément chez les romains que l’on peut, pour l’essentiel, en retrouver les traces directes. Du moins si ces traces existent, ce qui est une autre histoire. Et bien au contraire de ta remarque, le fait que les romains adoraient tous des Dieux, même si c’étaient des Dieux différents, n’en fait en aucun cas des mécréants. Un mécréant est par définition une personne qui n’a pas de religion. Pratiquement tous les romains en avaient une. Même s’ils adoraient des Dieux différents qu’ils avaient adoptés au fur et à mesure de l’historique de l’Empire.
  5. Il faut parfois se résoudre à considérer les choses sous l’angle de l’Histoire, la vraie, celle dont l’on a expliqué la réalité, et pas sous l’angle de la légende, même s’il s’agit de la légende chrétienne. Nombre d’historiens, de vrais historiens qui dirigent les travaux de toutes les facultés d’Histoire, se sont spécialisés dans l’histoire de la chrétienté et ont publié leurs travaux récents en ce domaine. Tout ce que je vais écrire ci-dessous est de l’Histoire. La seule vraie, celle qui est prouvée et attestée par les spécialistes et que l’on peut retrouver dans tous les manuels destinés aux étudiants en Histoire qui se sont intéressés à l’Histoire des religions. Et plus particulièrement du christianisme. N’importe qui peut retrouver ce qui suit dans ces manuels, qui figurent dans toutes les bonnes bibliothèques municipales des villes importantes. Et dans les bibliothèques de toutes les Facultés d’Histoire. Je rappelle que ces bibliothèques des Facs sont accessibles à tous ceux qui le souhaitent, sans qu’il soit nécessaire d’être inscrit dans ladite Fac. En matière de religion, Rome a toujours été d’une tolérance rare que l’on n’a plus retrouvée que deux mille ans plus tard avec la laïcité dans les pays de l’Europe de l’Ouest l’ayant adoptée. Il y avait durant l’Antiquité des multitudes de Dieux. La majorité des peuples en avaient plusieurs. Et systématiquement, Romme légalisait toutes les religions des pays que ses Légions avaient conquis. Au point d’ouvrir à Rome un Panthéon, un temple destiné à honorer tous les Dieux existants, sans distinctions ni réserves. Entre l’an zéro de l’ère commune et l’an 70, en gros, les romains qui avaient battu les hébreux ont chassé une partie des juifs d’Israël qui sont partis installer des communautés dans nombre d’endroits, dont en Europe. Mais il y avait déjà des communautés juives en Europe, en Afrique du Nord, et jusqu’en Asie centrale. Il y avait une communauté juive attestée en Région Parisienne quelque mille trois cents ans avant que n’apparaisse le premier roi de France. Il y avait également des communautés juives en Italie, dont une à Rome, mais les juifs étaient entrés dans l’époque rabbinique et s’effaçaient complètement devant les religions des pays ou des régions dans lesquelles se trouvaient leurs communautés. Il en est question dans une autre discussion, mais les chrétiens, et le nom de chrétien, n’apparaît sur le plan historique qu’au début du IV° siècle avec Constantin. En 222 de notre ère, Rome a fait réaliser un recensement de tous les lieux de culte, de toutes les religions présentes dans l’Empire romain. Les historiens font remarquer que la moindre mare dotée d’une « aura » religieuse, la moindre source dont l’eau se voyait attribuer une vertu quelconque, est nommée et identifiée dans ce recensement qui a couvert tout l’Empire romain. Et l’Administration romaine était particulièrement efficace et attentive aux ordres de Rome. Or en 222, nulle part dans ce recensement qui a couvert tous les pays de l’Empire, n’apparaît le mot « christianisme ». Pour les historiens, la preuve est faite qu’il n’existait dans l’Empire romain en 222 aucun lieu de culte consacré au Christianisme. Le nom même de Christianisme y était inconnu. Ni ce qui aurait pu être ce mot traduit en une autre langue que le latin. Il n’existe strictement aucun document authentique, que ce soit un écrit, une gravure sur un monument, une tombe ou un linteau de Temple antique, qui porte le mot « Christ » et qui date des trois premiers siècles de notre ère. Sur le plan historique, sur le plan de l’Histoire réelle et attestée, le premier établissement chrétien est apparu avec Constantin au début du IV° siècle. Pour les historiens, le Christianisme est apparu au IV° siècle. L’Histoire des nouveaux chrétiens qui au début du IV° siècle se sont prévalus der la qualité de succession des hébreux et de continuateurs de la Bible, date de la même époque. Le sujet soulevé par Cochise est celui des martyrs chrétiens. Mais Cochise s’en tient à la légende chrétienne qui reprend le catéchisme tel que le christianisme l’a enseigné aux enfants depuis le XII° siècle. Mais Rome n’a jamais dans son Histoire pourchassé une religion. La seule chose qui était, vers la fin de l’Empire, demandée aux tenants des religions « exotiques » était de venir une fois par an rendre hommage à l’empereur, en venant s’incliner devant sa statue érigée dans chaque ville. Mais les citoyens de Rome, seuls astreints à cette obligation, pouvaient s’y faire représente par une tierce personne ou par un esclave. Seules les femmes ne pouvaient pas représenter un citoyen romain à cette cérémonie. Mais les femmes n’existaient pas sur le plan civil en droit romain. Et aucune religion n’acceptait les femmes. Et ceux qui manquaient de venir s’incliner devant le portrait ou la statue de l’empereur, se voyaient frapper d’une simple amende. C’est même sur cette particularité que toutes les religions à Rome refusaient les femmes, que les premiers chrétiens ont démarré leurs activités. Les chrétiens ont accepté les femmes dans leur nouvelle religion. Particularité qui a séduit Hélène, la mère de l’Empereur Constantin et ancienne prostituée. Hélène qui est devenue l’intermédiaire entre Constantin à la recherche d’argent pour financer la nouvelle capitale qu’il voulait construire à Constantinople, et les chrétiens. Et auxquels les chrétiens ont proposé un deal que Constantin s’est empressé d’accepter. Constantin décidait qu’il n’y avait plus qu’une seule religion officielle, le Christianisme. Ce qui n’interdisait pas les autres religions, contrairement à la légende chrétienne, mais faisait que ces religions pouvaient être spoliées de leurs biens et de leurs grandes fortunes. Lesquelles mises à la disposition de Constantin lui ont permis de financer la construction de sa nouvelle capitale, Constantinople. Grâce aux chrétiens. Le principe étant basé sur le fait que la grande richesse des religions était due au fait que chaque religion pouvant se targuer d’ancienneté et de leur existence du temps de l’Antiquité, pouvait bénéficier de la nomination d’un pontife et de ce fait d’être exemptés de tous impôts et taxes. Ce qui a permis à ces religions de devenir très riches au fil des siècles. Et justifie le phantasme accepté par Constantin de l’ancienneté du christianisme et de la succession par ses Évangiles de la Bible juive. Ce qui réglait la question de l’ancienneté bidon du Christianisme. Pour en revenir aux martyrs. Les romains n’avaient jamais poursuivi les membres d’une religion au nom de leur participation aux rites de cette religion. Dans toute l’histoire de Rome, jamais personne n’a été poursuivis pour n’être pas de telle ou telle religion. Et pas davantage parce qu’ils n’étaient pas chrétiens. C’était d’ailleurs contre ce qu’étaient les principes religieux romains, et ce qu’ils ont été jusqu’à la fin de l’empire. D’où vient alors cette histoire totalement fantasmée des martyrs chrétiens ? Les Historiens ont trouvé la réponse. Il convient de savoir et de considérer deux choses importantes en cette matière. La première est que la Loi applicable par l’Administration romaine était rendue par un système de rescrits. Le gouverneur de Rome, ou l’Administrateur auquel se posait un problème écrivait à l’Empereur en lui exposant le cas et en lui demandant : que dois-je faire ? Et le cabinet de l’Empire lui répondait au nom de l’empereur : tu dois répondre de telle manière. Et cette réponse devenait la Loi applicable dans tous les cas semblables. Et la seconde chose à prendre en compte est, comme il en est de l’existence du Christ durant les trois premiers siècles de l’ère commune, qu’aucun document, aucune inscription, aucun auteur vivant à cette époque, c’est-à-dire durant les premiers siècles de notre ère, n’a cité nulle part de faits qui accréditeraient l’histoire des martyrs chrétiens. Tous les documents authentiques en parlant datent de bien plus tard, au mieux entre les VII° et IX° siècles. Tous les documents prétendant être plus anciens et dater de l’époque des faits, sont des faux ou des épisodes « améliorées » d’histoires datant de plus tard. Pour l’essentiel, comme il en est de la majorité de la geste chrétienne en matière de persécution des chrétiens, ils datent du XII° siècle est des arguments destinés au peuple que l’église voulait recruter pour partir aux croisades. Dans le cadre de l’imagerie destinée aux foules sans culture qu’il fallait convaincre. Comme les instruments de la Passion qui n’existaient pas avant le XII° siècle et les prêches des Croisades. Aucun document authentique qui daterait de l’époque de ces prétendues persécutions de martyrs chrétiens n’existe. Mais alors d’où vient l’histoire ? Les historiens ont fini par trouver. Les exégètes stipendiés du christianisme cherchent depuis des siècles une manière de détourner ce manque total de documents authentiques parlant des martyrs chrétiens. Et un jour, l’un d’eux qui après dix mille autres étudiait les rescrits dont je parle plus haut, tombe sur une réponse de l’Empereur Trajan à la question que lui posait un gouverneur : -« Dois-je prendre en compte les déclarations anonymes ?». Et l’empereur a fait répondre ; - « oui, après les avoir faites vérifier ». Là le prêtre chrétien qui avait trouvé la réponse dans les archives romaines s’est demandé : -« Quelle pouvait être la raison des dénonciations anonymes ? ». Et il a eu une illumination ? : C’est quelqu’un qui a dénoncé son voisin d’être un chrétien. Ce sont les dénonciations de chrétiens qui étaient anonymes, j’en suis sûr ! Donc si ils étaient dénoncés, c’est qu’il était interdit d’être chrétiens. Et que forcément ces chrétiens dénoncés étaient voués à être tués dans le Cirque. Comme les condamnés de Droit Commun. Et c’est de là, et exclusivement de cette histoire venant des archives et des rescrits de l’empereur Trajan, qu’est née la légende des martyrs chrétiens livrés aux lions. Il n’existe aucun document authentique datant de l’époque concernée qui parle des martyrs chrétiens. Ni documents romains, ni documents chrétiens, ni documents juifs, ni documents de n’importe quelle source, et datant de l’époque concertée, pas repris et copiés plus tard, qui citent cette histoire de martyrs chrétiens livrés au Cirque. Des chrétiens ont pu être tués dans le cirque, mais en qualité de condamnés de Droit Commun. Pas en qualité de chrétiens. Aucun chrétien n’a été condamné au Cirque parce qu’il était chrétien. Sinon il est évident que sur au moins deux ou trois siècles où se seraient passés ces faits, il se serait bien trouvé en Europe quelqu’un pour l’écrire quelque part. Pour le raconter à quelqu’un d’autre. Et ce n’est pas le cas. Les chrétiens martyrs livrés au Cirque sont une partie de la légende chrétienne, au même titre que l’existence du Christ. Mais les chercheurs « objectifs », les vrais historiens, ont continué leurs recherches. Et il n’y a d’ailleurs pas très longtemps, un historien a trouvé. La traduction du rescrit de Trajan n’avait été rendu publique par le prêtre qui l’avait trouvée, que pour une partie du texte. Et si l’on prenait en compte la totalité de la traduction du document, l’on comprenait de quoi il retournait. Les revenus imposables aux propriétaires terriens dans l’empire romain, comme d’ailleurs c’est toujours le cas en France, étaient déclaratifs. Mais si un propriétaire était dénoncé par un tiers pour n’avoir pas déclaré la totalité de sa récolte, le percepteur, d’office et sans vérification, imposait une amende et un impôt supplémentaire. Et ces dénonciations, pour des raisons de voisinage qu’il fallait bien continuer à supporter après, étaient généralement anonymes. Et le gouverneur ne savait pas s’il devait continuer à imposer d’office le propriétaire dénoncé. Jusqu’à la réponse à son rescrit envoyé à l’empereur. C’est sur cet élément, et exclusivement sur cette histoire et pour ces raisons qu’a été inventé cette histoire e martyrs chrétiens jetés aux lions. Tous les manuels d’Histoire romaine récents consacrés aux religions, rapportent cela mieux que je ne sais le faire. Tous ceux voulant des détails peuvent les y trouver. Quant à ceux qui préfèreraient mourir que mettre en doute les vieilles leçons de leur caté, c’est leur problème, pas le mien.
  6. Tu as raison. D’ailleurs tous les spécialistes du cerveau enregistrent depuis ces dernières décennies une recrudescence permanente des cas de troubles de la personnalité. Non seulement le nombre de victimes est en augmentation régulière, mais le niveau d’intensité de la pathologie chez les victimes augmente régulièrement. Cela augure mal du proche avenir.
  7. J'ai posté il y a un moment cette réponse sur une autre discussion. Mais elle répond exactement à la question posée ici. Je prends donc la liberté de la réutiliser ici en partie. C’est même encore beaucoup plus beau que tu ne le dis ici. À l’époque de la vie présumée du Christ, des représentants de toutes les cultures du monde occidental et du monde moyen-oriental de l’époque fréquentaient Israël. Israël a de tous temps été un carrefour de toutes les civilisations. Israël était loin, pour l’époque, d’être un pays « du Tiers Monde ». Sur ce territoire, le pourcentage de lettrés était probablement le plus élevé des pays de cette époque. Au carrefour de l’Occident, du Proche-Orient, de la Perse, en liens permanents avec les Indes et l’Europe Centrale. À cette époque l’on pratiquait couramment en Israël plus d’une demi-douzaine de langues différentes. Il y avait en Israël les hébreux du monde populaire qui parlaient l’araméen. Les lettrés et les milieux commerciaux ou d’encadrement qui parlaient tous grec, la langue la plus couramment employée avec l’araméen. Et les milieux religieux qui parlaient l’hébreu. D’importantes communautés perses et égyptiennes qui parlaient perse et égyptien. Les nombreuses implantations romaines permanentes, militaires ou commerciales, qui parlaient le latin. Et en outre, et c’était probablement la communauté la plus influente en dehors de l’hébreu pour ce qui était de la vie intellectuelle, les grecs étaient les journalistes du monde connu. Implantés partout dans le monde civilisé, et particulièrement autour de la Méditerranée, et rapportant toutes les nouvelles à tous les pays. Grâce à eux, l’on connaît même des détails étonnants de la vie quotidienne. Comme par exemple, reprenant les habitudes mésopotamiennes, les menus servis chaque jour en 30 avant l’ère commune au roi Hérode durant ses séjours ponctuels dans son palais de Massada. Quant aux juifs, aux hébreux, ce n’est pas pour rien que l’on les appelle « le Peuple du Livre ». Ils notaient tout, comme les grecs, jusqu’aux détails de leurs transactions commerciales ou de la vie civile. Ce qui a permis de retrouver les plus anciens documents authentiques, d’époque, citant la Bible, et écrits cinq ou six siècles avant la naissance présumée du Christ. Chaque fait saillant ou anormal qui a pu se passer à cette époque, même les plus anodins dans les pays de la région, sont consignés dans plusieurs documents, en des langues différentes. Il faut y rajouter une notion supplémentaire. Il n’y avait pas de télé, pas de radio, pas de réseaux sociaux, pas d’agences de presse. Les nouvelles étaient rares et étaient toutes immédiatement enregistrées et transmisses aux autres. Rien ne pouvait passer inaperçu. Et dans ce contexte, un type arrive et se livre à des faits extraordinaires. Il marche sur l’eau, il guérit les aveugles, il multiplie les pains et les poissons, il réalise des miracles à foison, il en arrive à faire peur aux romains occupants du territoire, au point qu’ils s’en émeuvent. Mais aucun des membres des peuples présents, et ils sont nombreux, aucun des lettrés de plusieurs communautés différentes, de langues et de culture différentes, aucun de ces gens qui d’ordinaire notent tout et transmettent tout, qui pour certains sont Le Peuple du Livre, nous en avons leurs archives, aucun n’en parle une seule fois à qui que ce soit. Comme si ces miracles et ces faits étaient normaux et indignes d’être mentionnés. Alors que ces faits, chronologiquement, ont dus se poursuivre sur plus d’une quinzaine d’années, si l’on devait se fier aux Évangiles. Cela n’aurait pas été un phénomène court dans le temps. Il a duré. Et personne n’a évoqué ces miracles plus qu’exceptionnels ? Personne ne les a rapportés en échangeant des nouvelles avec ses coreligionnaires, ou ses parents, ou l’Administration dont ils dépendaient, qu’elle soit juive, romaine, perse, égyptienne, arabe, ou d’autres auxquelles je ne pense pas. En outre, depuis nos ancêtres du paléolithique, tous les grands évènements de l’humanité se sont retrouvés mentionnés dans la pierre. Dans les inscriptions sur les monuments, sur les tombes, sur les temples, partout où il était possible de graver quelque chose. Et les faits les plus étranges, les plus inattendus, les plus miraculeux qui se sont déroulés sur le territoire d’Israël durant plus d’une décennie et demie, n’ont jamais été évoqués par personne. Par aucun graveur. Par aucun rédacteur, quel que soit sa langue, alors que tout le monde écrivait tout sur tout ce qui se passait. Si l’on sait qu’un individu a existé à une date précise, que son existence a été réelle, c’est parce que l’on en a des preuves authentiques de son passage sur terre. Des citations d’auteurs de la même époque qui le citent. Des inscriptions gravées sur les tombes, sur les monuments, sur les linteaux des palais, sur les documents écrits et retrouvés, des descriptions de contemporains de cette personne, des témoins de son existence. Mais le simple nom de « Christ », en hébreu, en latin, en grec, en perse, en araméen, ou dans sa traduction de l’araméen langue populaire en langage plus sophistiqué, dans aucune langage de la planète des trois premiers siècles de notre ère, l’on n’est parvenu à trouver la simple mention du mot « Christ ». Sur le plan historique, le seul qui compte, le Christ n’a pas existé. Le Christianisme est né, au mieux, à la fin du III° siècle à Rome, et plus probablement au commencement du IV° siècle, grâce à la mère de l’Empereur Constantin et à l’occasion de circonstances particulières.
  8. Ton lien que tu présentes comme étant une preuve des divagations que tu avances, La Dépêche, fait partie de ces quotidiens ou revues qui remplissent leurs colonnes par des « papiers » soit inventés de toutes pièces, soit récupérés au fond de sites, blogs et médias multiples qui ressortent toutes les fabulations que des gens généralement non indentifiés déversent sur les réseaux sociaux les plus pourris. Et dont les véritables identités ne sont jamais indiquées. Cela permettrait des poursuites contre eux pour calomnies en tous genres. La Dépêche fait partie des habitués de ces pratiques. Ses « journalistes », qui pour la plupart n’ont pas le statut de journalistes mais sont payés à la pige et au mot, abondent leurs « articles » par des résidus de blogs fantaisistes et spécialisés dans la nouvelle bidon. Mais même de véritables revues fonctionnent de cette manière. L’énumération complaisante de fabulations de ce genre est stupide et ne rime à rien. En quoi un chef d’état, même s’il est un dictateur, aurait-il un intérêt personnel à posséder 43 jets, 15 hélicoptères et 700 voitures ? Lorsque l’on sait ce que coûte l’entretien d’un seul jet, l’inanité de payer pour 43 jets est tellement grosse que cela ne viendrait à l’idée de personne de sensé. Même l’armée russe elle-même aurait du mal actuellement à les prendre en charge. Et tous les dictateurs de la planète savent que maintenant le jour où ils auraient un vrai problème, tous leurs comptes bancaires, même ouverts sous des noms d’emprunt et dans des paradis fiscaux, seraient gelés et leur échapperaient. Que la totalité de la flotte privée des milliardaires russes soit de 43 jets, est très vraisemblable. Mais ce n’est en rien ce dont il est question ici. La Russie est l’objet depuis des années de sanctions financières telles qu’elle est obligée de tricher sur les marchés bancaires internationaux et de s’acoquiner pour survivre avec l’Iran ou la Chine. Et n’est même plus en mesure de remplacer les blindés que l’Ukraine lui détruit à la chaîne. Et tu voudrais que Poutine, qui est tout ce que l’on veut mais est très loin d’être un con, entretienne 700 voitures, que ce soit à ses frais ou même aux frais de l’état ? Ou Poutine aurait-il l’intention de se réserver la revente en Russie de toutes les bagnoles achetées à l’avenir ? Il semble t’être difficile de faire preuve d’un minimum de logique. Continue à puiser tes connaissances générales dans ce genre de médias. Mon post n’est pas aimable, et j’en suis désolé. Mais faire preuve d’aussi peu de simple logique m’irrite toujours un peu.
  9. En réalité tu as fait vœux un jour d’anticommunisme primaire et épidermique. Et tu n’as jamais dépassé ce stade. En outre, il est manifeste à te lire, que tu ne connais rien du Marxisme Léninisme que tu prétends critiquer. Poutine est un dictateur au petit pied, tous les gens conscients en sont d’accord. Moi aussi, évidemment. Mais il n’en demeure pas moins qu’actuellement Poutine non seulement a été élu par le peuple russe, mais qu’il serait réélu par ce même peuple russe sans voir besoin de bourrer les urnes. Sans tricher. Tous les spécialistes et politologues en conviennent. Et dire comme toi que son régime est gangréné par la corruption est une stupidité. Tu as cinquante ans de retard. Tu ne trouveras pas un spécialiste de la Russie qui soutiendrait aujourd’hui cette thèse. À part évidemment ceux qui comme toi sont prêts à lui imputer tous les maux du ciel, y compris les éruptions volcaniques et les trous noirs des galaxies lointaines. Et dire qu’il a accumulé au fil des ans une immense fortune est une connerie. Simplement parce qu’il n’en a pas besoin. Les chefs d’État qui font cela le font en guise de garantie, d’assurances, au cas où les circonstances les chasseraient de leur poste. Les roitelets africains, arabes ou d’Amérique Centrale par exemple. Mais non seulement tu n’as rien compris au Marxisme Léninisme, mais tu n’as rien compris non plus à Poutine. Il ne craint pas du tout de perdre son poste. Il sait qu’il y restera aussi longtemps qu’il le décidera. Il n’a pas besoin de planquer de l’argent. Il a celui de la Russie à sa disposition et sait parfaitement qu’il continuera à en profiter à sa guise aussi longtemps qu’il le voudra. Dire comme tu le fais que « il a accumulé au fil des ans, par des moyens discutables, une immense fortune », est une stupidité. Sur quels faits, sur quoi, peux-tu appuyer cette bêtise ? En dehors des anticommunistes épidermiques et idiots qui n’ont pas compris que le monde a évolué depuis Staline, aucun spécialiste et politologue sérieux ne dirait cela. Ou il faudrait le prouver, ou au moins présenter des faits susceptibles d’appuyer cela. Tu en es évidemment totalement incapable. Soit tu es en mesure d’expliquer ce que tu veux dire par ton affirmation, tu indiques quels moyens discutables il a utilisé pour accumuler une immense fortune, de combien est cette fortune et où elle est, ou tu reconnais qu’en réalité tu as dit là n’importe quoi. Mais de la même manière que tu n’as rien compris au Communisme, et au fait qu’il est mort en même temps que Lénine, et que le régime qui lui a survécu a été le Stalinisme et non pas le Communisme, tu n’as rien compris au « poutinisme ». Et rien compris au fait qu’actuellement Poutine convient très bien à la majorité des russes. C’est dur à reconnaître pour certains, mais les élections sont beaucoup moins truquées en Russie que dans la plupart des pays du Tiers Monde. Que les Russes de base aient raison ou qu’ils aient tort est une autre affaire. Mais, redite de ma part, tous les politologues te confirmeront que Poutine n’aurait pas besoin de tricher pour être réélu à son poste. Pour ma part, je suis convaincu que Poutine n’est pas une bonne solution pour les russes. Qu’une démocratie réellement plus libérale, plus ouverte, serait bien meilleure pour eux. Mais ce n’est que mon avis, et moi je ne vote pas en Russie. Quoi que les crétins s’imaginent, pour l’essentiel les Russes votent pour qui ils veulent. À la dernière élection de Poutine, j’ai été membre de la Commission Européenne de surveillance du vote. J’ai visité deux douzaines de bureaux de vote, moitié en ville et moitié en campagnes isolées en compagnie de votants locaux qui pouvaient nous parler tout à fait librement. Personne ne les écoutait. Aucun ne démentirait ce que j’ai écrit là. Mais je comprends bien qu’à la simple pensée d’envisager que Poutine n’est pas tout à fait le monstre que tu décris complaisamment sans rien savoir des faits réels, tu choperais une crise d’urticaire.
  10. Zéno mon cher, tu as raison à peu de choses près. Tu évoques la date de 250 après César pour les premiers écrits chrétiens. En fait ceux que nous possédons, ceux qui sont reconnus comme authentiques, seraient liés à la décennie précédant le Concile de Nicée, au début du IV° siècle de notre ère. Et encore ne s’agit-il pas de documents authentiques mais de déclarations de rédacteurs tiers rapportées plus tard. Après le V° siècle de l’ère commune. En outre le seul fragment datant de cette époque, fin III°, ou prétendu en dater, n’a jamais pu être expertisé, l’association suisse la détenant s’y étant toujours opposé. En outre, le fragment en question mesure deux centimètres. Pour arriver aux documents authentiques, il faut dépasser les V° et VI° siècles pour les premiers. Mais inutile de chipoter à 50 ans près. Ou à deux ou trois siècles près. Tant qu’à faire … Il est bon dans ce domaine de rappeler un fait intéressant. En 222, Rome a fait réaliser un recensement de tous les lieux de cultes existant dans l’Empire. De toutes les religions. Et il y en avait beaucoup, Rome adoptant systématiquement toutes les religions des territoires et des pays que les Légions conquéraient. La moindre marre près de laquelle une ado évaporée en attente de déniaisement a cru voir un être fantomatique y est mentionnée. Mais à cette date, en 222 de notre ère, et sur toute l’étendue de l’Empire romain, il n’est fait aucune mention du mot « chrétien ». Ou d’une autre version de ce mot quel que soit la langue utilisée. Aucun site, aucune maison, aucun lieu de culte chrétien, n'existait dans l'Empire romain en en 222. Cela, c’est de l’Histoire, pas de la légende chrétienne. Comment les tenants de la légende chronologique chrétienne peuvent-ils expliquer cela ?
  11. Parce que manifestement tu penses que le Frexit apporterait des avantages à la France et aux français ? Lesquels ?
  12. Il est évident que tu as totalement raison quant au fond. Le premier de nos ancêtres qui a réalisé et compris que l’eau de la source sortait du sol, n’a pu qu’imaginer qu’un être qui lui ressemblait se trouvait sous la terre et poussait cette eau. C’est de ce type de constations et de réflexions que sont nés les Dieux. Mais le plus important est venu plus tard. Le jour où un individu plus futé que les autres a déclaré à ses congénères que non seulement des Dieux étaient à l’origine du monde visible, mais que c’était lui, membre leur horde, de leur tribu, qui était l'intermédiaire direct entre ces Dieux et les hommes. Qu’il était personnellement le représentant de ces Dieux. Et que sa parole à lui était l’expression directe de la parole du, ou des, Dieux concernés. C’est en cet acte que le Génie, au sens plein du terme, le véritable Génie, s’est révélé pour la première fois à nos semblables. Non seulement dans l’invention des Dieux, mais surtout dans l’invention des intermédiaires entre ces Dieux et les hommes. Il leur a dit : « Non seulement ce sont les Dieux qui ont généré le monde visible, mais surtout c’est moi que ces Dieux ont choisi pour parler en leur nom et vous retransmettre leurs directives. Silence dans les rangs, et garde à vous ! Et surtout écoutez-moi. Par mes paroles, c’est votre D.ieu qui vous parle !» C’est ce jour qu’est née la constatation qu’un membre de l’espèce humaine pouvait se révéler génial. Que le Génie est né.
  13. Sans blague ! Dans ce cas que fais-tu du Big Bang ? Ou du cancer du poumon généré par une particule de tabac ?
  14. Vampy 2023, la principale erreur, c’est toi qui la commets. Lorsque tu parles de Jésus tu ne parles pas de la Bible, mais des Évangiles. Ce qui n’a strictement rien à voir. Les rédacteurs de la Bible en ont terminé la rédaction plusieurs siècles avant le début de l’Ère Commune. Les versions authentiques les plus anciennes de la Bible en attestent. C’est plus de trois siècles après l’existence supposée du Christ, et cela c’est de l’Histoire et non de la Légende chrétienne, que certains ayant besoin de prouver une ancienneté de la nouvelle religion qu’ils tentaient d’implanter, ont imaginé déclarer que leurs Évangiles étaient la suite de la Bible des Hébreux. L'ancienneté déterminait leur droit à un Pontife et aux avantages fiscaux que cela générait. Et les juifs de l’époque n’étant pas en mesure de protester, cette version reprise avec l’aide de Constantin qui y a trouvé le mode de financement de sa nouvelle capitale Constantinople, a connu le démarrage et le développement que l’on lui connaît. Mais cela, c’est de l’Histoire. La vraie, celle qui est prouvée et attestée par les documents de toutes natures découverts et accumulés depuis 1500 ou 1600 ans. Celle des historiens modernes qui s’interrogent en ne prenant pas systématiquement comme base de leurs phantasmes les assertions chrétiennes pour des vérités. Alors que le texte des Évangiles considéré aujourd’hui comme étant « le bon », n’a été « stabilisé » et établi dans ses versions les plus récentes qu’entre le IX° et le XII° siècle. Exemple magistral, les Instruments de la Passion ne sont entrés dans l’historique chrétien, texte et imagerie, qu’au XII° siècle, dans le cadre et le but du recrutement de soldats-piétaille pour les croisades. Il fallait des « images choc » aux prêcheurs de la Croisade pour convaincre les paysans que leur salut et celui de leur religion, se trouvaient sur les routes de Jérusalem. Avec en bonus la certitude qu’au passage, ils trouveraient des communautés juives à exterminer. Pour la plus grande gloire de leur Dieu. Et ils ne s’en sont pas privé ! Histoire d’agrémenter le voyage. Alors que sur le plan historique, le seul plan qui compte, le Christ n’est qu’une légende que les gouvernants du Moyen-Âge avaient intérêt à répandre et maintenir. Le prêtre et le roi sont au sommet de la pyramide. L’un n’aurait pas réussi à s’y maintenir sans l’aide de l’autre. Heureusement, petit à petit l’intelligence et la logique prennent le dessus. Les églises se vident et les nouveaux lieux de culte qui font florès en en ce moment connaîtront aussi leur dépérissement. L’homme sera enfin libre le jour où Dieu sera mort. Et cela vient. Encore un peu de patience. Et ce sera tant pis pour les décérébrés.
  15. Tu devrais commencer par définir ce que tu appelles « l’esprit des gens de gauche ». Qui sont aujourd’hui les « gens de gauche » ? Tous ces socialistes en peau de lapin qui ont renié depuis longtemps l’esprit du socialisme ? Leur Premier secrétaire en tête, par trouille de perdre des places de conseillers municipaux. Ce qui reste de ces prétendus communistes qui ont renié jusqu’à l’Internationale et à la fois la III° et la IV° Internationale ? La IV°, c’est normal, mais la III° ? Tous ces prétendus écolos qui ne se préoccupent que d’écologie politique et pour lesquels l’écologie n’est qu’un moyen possible de se faire élire à un poste ou à un autre ? Mon royaume pour un poste d’adjoint au maire. Les rigolos du LFI de la Méluche qui ne trouvent pour tenter de conserver les voix de sympathisants qu’ils avaient cru gagner, qu’en se faisant les supplétifs de l’islamo-gauchisme le plus conforme aux thèses des Frères Musulmans et des islamistes de tous poils ? Ou tous ces autres crétins qui en réalité n’ont jamais compris la nature du monde dans lequel ils vivent, et qui se font volontairement, et par bêtise politique, les supplétifs de l’islamo-gauchisme ?
  16. Témoudjine

    Merci pour...

    À qui es-tu censée dire merci pour cela ?
  17. Non, ce que tu dénonces c’est simplement son attitude pro israélienne dans le conflit en cours à Gaza. Alors que tu voudrais que lui aussi manifeste un comportement pro Hamas et pro islamiste.
  18. Cambadélis a été l’un des bons élèves du courant trotskisme lambertiste, comme beaucoup d’autres. Si tu veux comprendre quelque chose à cela demande toi pourquoi d’authentiques trotskistes-léninistes de formation strictement lambertiste, donc parfaitement marxiste-léniniste orthodoxe, ont pu avoir ensuite la destinée politique qui fut la leur. Si tu ne trouves pas la réponse à cette question, tu n'as rien compris au système.
  19. Crétin ! Qui parle de complot dans cette histoire sinon toi ? Fais toi offrir un dictionnaire ou une encyclopédie et cherche le sens du mot complot.
  20. Tu t’égares encore davantage. Le corps est par force un élément physiologique. L’ego ne saurait l’être. Tu en déduis qu’il ne reste que le corps, le reste, donc l’ego et le psychisme, n’étant que faux semblants éphémères. N’y aurait-il pas un défaut dans ce raisonnement ?
  21. Puisque tu connais parfaitement la question, il n’y a rien à ajouter. Il y a des gens comme toi qui sont persuadés que si l’on leur dit quelque chose qu’ils ne savaient pas, cette chose est forcément fausse. As-tu suffisamment de sens de la logique pour imaginer comment une banque ferait face aux aléas inhérents à la spécialité, et qui lui arriveront probablement un jour ou l’autre, si elle ne possédait pas une copie de chacune des clés ouvrant ses coffres privés ? Sous réserve que ton imagination et ton sens de la logique soit suffisants pour que tu comprennes le sens de ma question. Tu ignores sans doute que nombre de médias, revues papier jusqu’à ces dernières décennies, et en plus sites Internet depuis la période récente, payent des « journalistes » pigistes, qui d’ailleurs n’ont le plus souvent pas le statut de journaliste, pour fournir tant de lignes par prestation. Et pour respecter leurs contrats et garder leur poste et leur salaire, ils reprennent en boucle tous les sujets que d’autres en publiés avant eux. Ils les présentent différemment, les enjolivent ou pas, et les envoient à leur média employeur. Et c’est de cette manière que des quantités d’erreurs sont reprises en boucles et recopiées par trente pigistes différents. Contrairement à ce que tu dis, je n’ai jamais dit que cette pratique était faite en cachette du client. Au contraire. J’ai précisé que le client avait signé la clause y relative lors de l’ouverture de son coffre. Même si la plupart du temps les clients vont signer dix pages de texte sans même les lire. Ils font confiance à leur banquier. Mais il te suffit de poser la question au directeur de ton agence bancaire. S’il te prend suffisamment au sérieux, il se fera un plaisir de te l’expliquer. Ou trouve un client de coffre et demande-lui de te laisser lire son exemplaire du contrat. Mais il faut maintenant tenir compte d'un élément supplémentaire. L'informatisation de l'ouverture des coffres. Qui est en train de modifier les choses. Mais ne pourra que renforcer le système au bénéfice des banquiers. Mais puisque toi tu sais, il n’y a plus rien à dire.
  22. Il est possible que tu sois virtuose en carnage comme tu le proclames, mais tu ne l’es pas en ce qui concerne l’Histoire des mouvements Trotskistes en France. Pas plus que de celle du marxisme sur un plan plus général. Tu n‘en as manifestement pas la moindre idée. Tout part en réalité de l’erreur initiale que tu fais dans l’estimation des dires des hommes politiques. Sous prétexte que Mélenchon n’a pas fait inscrire dans son programme officiel la collectivisation des moyens de production, pour toi c’est la preuve qu’il n’est plus partisan de cette intention. Mais manifestement, tu ne savais même pas qu'il le fut. Tu n’as pas compris que l’important n’est pas ce qu’il a ou non fait inscrire dans son programme le plus récent, mais ce qu’a été sa « Bible » politique depuis ses débuts en politique. Quelle a été son école de formation politique. Et quelles sont les doctrines que son groupuscule trotskiste prétend rendre majoritaires dans l’histoire des idées politiques françaises. Tu ne sais manifestement pas que Mélenchon est l’actuel grand chef et dirigeant, avec des mœurs inspirées fortement du stalinisme, des héritiers de ce qu’a été le principal et le plus influent des mouvements trotskistes français de l’après-guerre, le Lambertisme. Et c’est au dirigeant de ce mouvement que tu prêtes l’intention d’avoir abandonné ce qui a été l’un, ou le, principal cheval de bataille politique du marxisme-léninisme, à savoir la collectivisation des moyens de production ? Collectivisation qui, même pour les lambertistes, demanderait à être adaptée aux temps modernes. Mais le marxisme aura deux siècles dans deux ou trois décennies, et le monde a vieilli depuis l’édition du Capital. Si ce sujet t’intéresse réellement, commence par chercher l’Histoire du marxisme-léninisme, et celle de sa version française. Ensuite regarde qu’elle est la doctrine que veut diffuser Mélenchon à travers le groupuscule prétendu trotskiste qu’il dirige. Et après seulement, tu comprendras peut-être les fondements de ce dont nous parlons ici.
  23. L’on ne peut que te féliciter pour l’exercice. Très bon pour le maintien des capacités des synapses de continuer à jouer leur rôle d’agents de la circulation. Mais seulement des mots pour les mots. Continue. C’est excellent pour le maintien des capacités mnésiques.
  24. Tu mélanges des notions qui n’ont rien à voir ensemble. C’est amusant, mais l’on se retrouve devant un smoothie dont les ingrédient ne sont plus discernables.
  25. Dire que le libéralisme modéré c’est LFI, il faut oser. Ou alors tu n’as strictement rien compris à ce qu’est Mélenchon, à ce qu’a été sa formation politique et à ce qu’est à l’heure actuelle le groupuscule prétendu trotskiste qu’il anime et dans lequel il puise ses « animateurs ». Je n’ose pas dire ses cadres et ses députés. Ce serait déformer et avilir le sens de ces mots.
×