

Témoudjine
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Tout ce qui a été posté par Témoudjine
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Absolument ! Mais pas seulement pour ce qui concerne l’Islam, mais toutes les religions révélées. Et non seulement pour ce qui concerne leurs « textes sacrés », Évangiles et Coran, mais également l’Histoire de leur religion, la vraie, celle des historiens. De la naissance de ces religionsà leur fin, évidemment programmée. Heureusement pour l’esprit humain. La preuve du phénomène est simple à constater. Nos religions révélées, de fait l’Islam et le Christianisme, ne survivent plus actuellement que dans des pays du Tiers Monde et dans des classes sociales particulièrement défavorisées. Principalement grâce aux innombrables sectes qui se disent relever d’une sorte de protestantisme dévoyé, pour l’Amérique du Sud, et de l’Islam radical pour l’Afrique. Il n’y a plus que dans ces pays que les religions révélées se portent bien. Pour le moment, mais cela va disparaître en mesure directement proportionnelle à l’évolution, scientifique et matérielle, de leurs sociétés.
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Excellent développement ! Bravo.
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Ta remarque est un modèle de bon sens et d’humour. Mais je dois absolument m’opposer à cette éventuelle manifestation pissatoire. Comme tous les parachutistes que les circonstances amenaient à s’intéresser à cet aspect du système, il m’est arrivé fréquemment de passer à travers un nuage. Mais cette action deviendrait très ennuyeuse si des crétins sont allés auparavant pisser sur ce nuage. Il est impératif que tu fasses en sorte que personne ne pisse sur un nuage. Pitié pour les parachutistes.
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Les recettes du patronat pour détricoter la Sécurité sociale
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Je n’ai aucun avis à donner quant à la nature et au contenu des interventions sur le site. Je m’en garderais bien. Encore que … Juste une remarque. Copier-coller un article de l’Humanité c’est bien pour l’édification de ses petits camarades. Mais ce qui serait intéressant pour tes lecteurs c’est que donnes ton avis sur la question et que tu expliques pourquoi le contenu de l’article est bon ou pas bon. À commencer pourquoi le système en place est une arnaque, parfaitement organisée et maintenue par nos députés, et pourquoi la Sécurité Sociale ne peut pas, stricto sensu, se retrouver en déficit. Ou alors c’est que le sens des mots figurant dans les dictionnaires a changé en douce, sans que nous en soyons informés. -
Un peu paradoxale, ta remarque. Tu dis que certains d’entre nous sont beaucoup plus qu’à droite. C’est-à-dire qu’ils sont d’extrême droite. Au-delà il n’y a que le nazisme. Et encore. Et tu rajoutes que les extrémistes sont imaginaires. C’est-à-dire que beaucoup d’entre nous sont imaginaires. N’y a-t-il pas une certaine contradiction quelque part ?
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Il ne faut pas oublier que nous ne sommes que des primates tropicaux qui ont eu la chance d’évoluer un peu. Les chimpanzés sont nos cousins germains. Et, c’est bien connu, nous conservons toujours un pied dans la biologie des mammifères qui nous ont précédés, et l’autre seulement dans ce qu’est devenu l’homme « culturel » d’aujourd’hui. Tu dis : - « les hommes préfèrent les femmes plus jeunes et les femmes des hommes plus vieux ». La raison profonde en est simple. Les hominidés dont nous descendons avaient pour première préoccupation inconsciente le fait de se reproduire. La finalité de la vie, sa seule finalité, est de reproduire. Depuis les premiers hominidés, nos lointains ancêtres avaient évidemment remarqué que les femelles jeunes avaient plus de chance d’être fertilisées que les plus vieilles. Nous avons génétiquement gardé cette propension. Qui d’ailleurs est toujours vraie. Et si les femmes d’aujourd’hui aiment mieux des hommes un plus vieux qu’elles, c’est parce qu’il est dans les gènes des femelles, puis maintenant des femmes, la nécessité de trouver la sécurité matérielle pour leurs enfants à naître et à élever. Et qu’un homme de trente ans a généralement acquis plus de « biens » qu’un homme ayant dix ans de moins. Ce qui est une sécurité plus grande pour la femme. Dans quelques communautés et groupes humains, il est normal que la femme épouse un homme ayant dix ans de plus qu’elle. Pour une sécurité des enfants à venir. De même le patriarcat date du temps de nos très lointains ancêtres. Comme tous les mammifères ils vivaient en groupes. Et il n’y a que de rares espèces de singes qui vivent en mêlant les mâles et les femelles. La majorité d’entre eux vivaient « en famille », comme le font aujourd’hui les gorilles, autres cousins des humains. Mais les femelles vivaient pendant trois ans, après chaque gestation, a l’écart de la « famille ». Comme le font par exemple les éléphants pour la même raison. Et chaque « famille » avaient un mâle « protecteur » de la famille et premier reproducteur « autorisé » par les femelles. Simplement parce que comme dit plus haut, la femelle avait plus de chances de survie pour ses enfants si le mâle le plus fort la protégeait. En outre un élément différent mais majeur est à prendre en compte. La nature et l’évolution ont fait que la mortalité « infantile » était grande, que les femelles n’avaient qu’un enfant à la fois. Et que chaque femelle devait s’éloigner du clan durant au moins trois ans après chaque naissance. Pour la simple raison que chaque bébé devait vivre au moins trois ans avant d’être sevré, sinon il mourrait. Et jusqu’à l’âge du sevrage, il ne vivait que du lait de sa mère. En demeurant dans le clan durant ces trois ans, la femelle se serait retrouvée forcément enceinte de nouveau. Les hormones sexuelles avaient à l’époque la même efficacité qu’aujourd’hui. Probablement davantage. Et une femme, ou une femelle, enceinte ne donne généralement plus de lait durant la gestation. Ce qui l’aurait empêchée de parvenir à l’âge auquel son bébé aurait pu être sevré. Et survivre. C’est dans cette optique que les Lois de l’Évolution ont fait que le mâle se devait « d’inséminer » le plus de femelles possibles. Question de simple survie du clan. Il en reste inconsciemment la trace chez tous les mammifères. Dont nous. En outre, tu dis : - « … le fait de DIRE que quelque chose est logique ne prouve pas qu'il l'est mais qu'on veut le faire accroire ». L’on ne trouve que quelque chose est logique que si nôtre réflexion nous a amené à ce résultat de nos cogitations. Comment un tiers pourrait-il amener autrui qui est parvenu à la conclusion qu’une chose est logique, ou ne l’est pas, à penser le contraire de ses conclusions ? Ou c’est qu’en réalité il change d’avis en permanence, et que pour lui le dernier qui parle a raison. Qu’il est prêt à croire n’importe quoi ou le contraire.
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Tu as tout à fait raison. L’individu est parfaitement libre ce qu’il veut croire ou ne pas croire. Et que beaucoup ait déjà été dit à ce sujet est une évidence. Il y a même 17 siècles que cela occupe la pensée d’innombrables individus. Mais cela ne change rein à ce que je disais dans mon intervention.
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Est-ce que le maternalisme provoque une régression de l'ensemble de la société ?
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Société
Je suis désolé de critiquer ton texte. Mais je crois que c’est le principe d’un forum. Pourquoi voudrais-tu que le maternalisme provoque une régression de la société ? Le maternalisme, pour ce que j’en sais mais je pense que les dictionnaires le confirmeraient, évoque la protection excessive et quasi intrusive d’une mère dans les actes ou la conduite de son enfant. Avec une notion spécifique à l’emploi de ce mot en français convenable, c’est qu’il doit être utilisé dans un contexte péjoratif, débilitant, et plutôt ironique. En quoi une mère bétifiant avec son bébé peut-il générer une régression de la société ? Ce pourrait être le cas si ce langage bétifiant était systématiquement imposé à l’ensemble de la société. Mais ce n’est pas le cas. Le maternalisme stricto sensu est un acte individuel. Il disparaît dès qu’accompli. Tu écris : - « Les mères aiment souvent être mères ». Cela va bien au-delà. C’est un euphémisme de dire que les femmes aiment souvent être mères. La maternité est un appel biologique irréversible de leur être et de leurs entrailles auquel les femmes, mères ou pas, ne peuvent échapper. Et le maternalisme n’a rien à y voir. Tu dis ensuite : - « Quand est-ce trop ? Quand n'est-ce pas assez ? ». Cela ne peut pas être trop car les femmes ne maîtrisent pas ce fait. Et lorsque cela n’est pas assez, alors cela traduit un trouble psychique de la femme. Mais c’est une autre question. Et tu rajoutes : - « … et les enfants aiment souvent être enfants ». Lorsque tu étais enfant t’es-tu interrogé une fois, ne serait-ce qu’une seule fois, sur le fait qu’être enfant était un statut particulier qui faisait de toi un individu plus heureux ? Non, évidemment. Un enfant se contente d’être un enfant et s’interroge quant à ce qu’il est en train de faire, à ce qu’il espère pour la suite, et à ce qui va se passer dans l’heure suivante. Et à quelle heure on mange, suivant l’adage classique. La question des inégalités hommes / femmes n’a rien à voir avec le maternalisme. À la rigueur cette question peut amener les hommes à constater un fait, et les femmes, ou les deux, à se lamenter de cet état. Mais ce n’est pas du maternalisme. Et tu dis : - « Est-ce que ce doit être purement subjectif ? » Cela ne peut pas être subjectif, puisque le maternalisme s’appuie sur des faits bien réels. Par exemple sur la conduite de la mère envers son enfant. Cela s’appuie sur des faits concrets, su la constatation de faits matériels. Et tu termines par : - « Les relations sociétales suffisent-elles à résoudre la problématique de l'absence de progression psychologique conséquente au maternalisme ? » Quelle progression psychologique ? Qui concernerait qui ? L’auteur de l’acte maternaliste, ou la « victime » de ce maternalisme ? Il est évident que si tu avais choisi le mot « matérialisme » au lieu de « maternalisme » les choses se présenteraient d’une tout autre manière. -
Toutes ces discussions, pour ou contre, sont totalement vaines. Il faut examiner le problème avec logique, en commençant par exclure d’emblée de la réflexion les questions de foi. Ce qui a rapport à la foi est par nature de l’ordre de l’irrationnel. Quelques questions suffisent à bien circonscrire la question. La plus importante et la première à se poser est : - « « quand et pourquoi est née chez l’homme l’idée d’un Dieu ? Puis : - Quelles interrogations cela peut-il avoir déclenché chez nos lointains ancêtres de l’époque concernée ? - L’idée d’un Dieu et de la foi a précédé de beaucoup les connaissances « scientifiques » de nos lointains ancêtres. Pourquoi - Pourquoi l’avancement des sciences amène-t-il les sociétés évoluées actuelles à remettre en question et à délaisser les questions de foi, qui sont de moins en moins présentes et prégnantes dans les préoccupations sociétales de nos contemporains. - Serait-ce simplement parce que, fruit de la Science, nos contemporains rejettent de plus en plus la notion d’irationnalité ? La simple réponse à ces questions devrait suffire à un esprit clair pour répondre à la question initiale : - « Quid de Dieu et quid de la foi ? »
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Emmanuel Macron est un président progressiste
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans France
Je présume que tu es allé chercher les éléments de ce texte auprès du service de communication de l’Élysée. Il n’y a pas une seule affirmation de ce message qui soit vraie et conforme à la réalité. Tous les points évoqués sont exactement, pour ce qui concerne ce que fait ou ce qu'a fait Macron, le contraire du progressisme. -
Si tu me permets une remarque. Terminer par : - « "Elle sent comme un magnifique bouqet de fleurs", et comme tu le fais remarquer toi-même, fait un peu trop cliché. En outre, tu mélanges dans l’esprit du lecteur deux notions différentes. La qualité de ton bouquet qui est magnifique. Et l’odeur qui s’en dégage. Tu fais naître inconsciemment et instantanément dans l’esprit de ton lecteur, une première image qui est la splendeur du bouquet. Facilement assimilable par l’esprit du lecteur. Mais également et dans la même seconde, une autre notion qui est relative à l’odeur. Qu’entre la perception par l’esprit du lecteur des deux éléments soit une question de millisecondes, son inconscient a instantanément et inconsciemment perçu les deux éléments différents. Et son esprit doit impérativement et instantanément choisir celui qu’il va retenir en priorité. Parce que ces deux éléments sont antagonistes. D’une part, l’image est relative à la beauté, d’autre part parce que le deuxième élément est relatif à une perception d’odeurs. Et que cela crée dans son cerveau un choix à accomplir. Pour le cerveau, qu’est-ce qui passe en premier ? La qualité de l’image ou une notion différente relative à l’odeur ? C’est de ce choix que va directement dépendre la façon dont le lecteur va inconsciemment et instinctivement réagir à la lecture de la phrase. L’écriture est un art difficile, et c’est ce qui explique qu’un écrivain puisse passer des heures, voire des jours, à trouver la version définitive, sinon de chaque phrase de son texte, du moins de chaque formule qu’il utilise. Surtout si cette expression a une importance particulière, comme ce serait le cas de cette phrase destinée à clore ton texte. Il y a une notion que l’auteur de roman ne doit jamais oublier. C’est que son lecteur est intelligent, mais que son cerveau va automatiquement assimiler la phrase qu’il lit avec la facilité que son cerveau aura à la conscientiser. Et hors du registre de la poésie, c’est cette facilité qui amène le lecteur à apprécier, ou non, la phrase qu’il vient de lire. Surtout si c’est la dernière phrase du texte, qui a toujours une importance spéciale. C’est celle qui dans l’esprit du lecteur, et dans son appréciation de la qualité du texte qu’il vient de lire, restera inconsciemment dans son souvenir.
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D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Herver, tu persistes et signes. Je tente simplement de t’expliquer quels éléments justifient mes dires. Je ne cherche aucunement à vexer qui que soit. Mais lorsque tu écris : - « prenez cela fais exprès pour vous pour voir si vous étiez aussi nul et dénué de synapses fonctionnel que je le pensais bon vous insistez encore... » juste deux remarques : Indépendamment de la syntaxe et de la forme, je ne cherche pas à jouer à l’instituteur. Et d’ordinaire je ne m’arrête pas aux fautes d’orthographes d’autrui. J’ai assez des miennes potentielles à surveiller. Mais étant nul comme tu me le fais remarquer, et c’est probablement exact, je m’arroge le droit d’y réagir. Je suis nul puisque tu le penses, je te le concède parfaitement. Mais si cela était totalement exact, je n’aurais probablement pas fait deux ou trois fautes élémentaires d’orthographe par ligne, en te répondant. En outre, une synapse ne peut qu’être fonctionnelle. Qu’il s’agisse de celles joignant les neurones, ou de celles d’autres organes, par exemple des cellules nerveuses. Sinon cela signifierait qu’elle est morte et l’organisme gérant l’activité cérébrale, s’il s’agit du cerveau, ou d’un autre organe, l’aurait aussitôt dissoute. Elle e n’existerait plus. Ce qui se traduirait sur les radios du cerveau par un minuscule « trou » blanc. Comme pour l’absence de neurones qui viennent de mourir. Et ont disparus. Tu rajoutes, ce qui est ton droit le plus strict : - « vous etes en nombre a vouloir me faire perdre mon temps décidément et un autre en ignoré suivant » Indépendamment de la syntaxe, cela signifie, c’est toi qui le dis, que nous sommes nombreux à vouloir te faire perdre ton temps lorsque tu viens sur ce forum. Que tu es victime d’une cabale. Ne penses-tu pas qu’il s’agit là d’un début de complexe de persécution ? Et si tu sais qu’en venant sur ce forum tu y perds ton temps, pourquoi perds-tu volontairement ton temps en y venant ? -
Portrait peu flatteur de la compagnie dans laquelle Mark Carney a été un des administrateurs. Brookfield.
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Vippoui dans Economie
En fonction de quoi peux-tu juger que ce portait est peu flatteur ? Parce que la société énorme en question est propriétaire d’une maison qu’elle fait louer à des particuliers, et que ces maisons sont mal entretenues par leur propriétaire ? Lorsque l’on voit la taille et l’importance économique de l’entreprise en cause, cette histoire n’est que de la poudre d’épiphénomène. Ne vaut-il pas mieux avoir à la tête d’un pays une personne parfaitement rompue aux problèmes de ce monde, de ses réalités et qui a quelques solutions potentielles à proposer à leurs administrés, qu’un Hollande ou un Sarkozy ? -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Mon cher Herver, si j’étais cruel je te demanderais ce que signifie exactement ta première phrase : - « vous me reprocheriez de m'insérer dans une conversation en vous insérant dans celle ou je me suis insérer déjà … / … et que votre reproche était donc assez bidon sans quoi échange pas prolongé et que vous faisiez aussi exactement ce que vous me reprochiez en venant dessus et en me le reprochant alors que vous n'en étiez pas ». Syntaxe et sémantique montrant que la suite de ton message n’est pas elaboré par toi, mais copié / collé. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose en soi. Mais dépend de la façon dont cela est réalisé. Tu continues par : je n'avais pas mentionné Benalla comme ancien ministre mais comme un parmi tant d'autres de la macronie » Mais le sujet était l’aller-retour des ministres entre le public et le privé. Sujet majeur s’il en est. Ce n’est pas moi qui ai donné comme exemple les pérégrinations de Benalla. En outre ce que tu prêtes à Benalla, toi ou plus exactement celui dont tu reprends le discours, est faux. Tu en dis, ou plutôt tu reprends d’un autre : - « il est plus important qu'un ministre... conseiller du président de la République sur les questions stratégiques de défense et de sécurité], jusqu'en octobre 2022 ». Tu rêves, camarade. Banalla était d’abord garde du corps de Macron. Puis Macron a justifié sa présence auprès de lui, après les conneries de Benalla lorsqu’il a voulu jouer au CRS, et pour justifier le salaire qui était donné à Benalla, en le déclarant chargé de mission. Ce qui ne signifie rien. Chaque ministre ou chaque conseiller de l’Élysée peut en avoir deux douzaines. Il y a des milliers de « chargés de missions » dépendants de l’Élysée, et ce dans tous les domaines. Mais jamais Benalla n’a été : - « … conseiller du président de la République sur les questions stratégiques de défense et de sécurité ». Et tout ce qu’a pu faire Benalla à titre privé dans ton copié/collé reprenant la tournée de Benalla en Afrique où il tentait de se faire embaucher par des responsables africains, jamais cela ne l’a été pour le compte de Macron. Macron est tout ce que l’on voudra, mais il n’est pas idiot. Après le scandale causé par Benalla dans ses activités de bastonneur de manifestants, Macron n’allait pas s’offrir une nouvelle verge pour se faire battre, en recourant aux services de Benalla dans des questions de sécurité internationales. Alors que Macron savait très bien qu’après le cirque généré par Benalla sur les trottoirs des la capitale, le personnel diplomatique du monde entier, après en avoir rigolé, suivait attentivement la suite du spectacle. Macron n’est pas suicidaire. Sauf évidemment dans les histoires de dissolution de l’Assemblée Nationale. -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Je crains que tu ne mélanges deux choses totalement différentes. Les représentants du peuple sont les députés. Ils ne sont pas élus par tirage au sort. Mais à la suite des élections législatives. Ce sont les membres de commissions croupions décidées par Macron soucieux de relever sa côte de popularité, qui sont tirés au sort. Mais qui n’ont strictement aucun pouvoir, et en outre sont encadrées par des « guides » choisis par Macron. Leurs conclusions ne servent à rien, n’ont aucun pouvoir, et se réduisent à l’équivalent d’un rapport supplémentaires remis à Macron. Mais cela permet à Macron de dire au peuple : « voyez, je tiens compte de vos avis ». Mais ces rapports ne vont nulle part et ne sont même pas lus par ceux qui seraient censés en tenir compter. En outre, tu dis que : - « "Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ». C’est exactement le contraire. La démocratie est le suffrage universel. Tout le monde vote dans les mêmes conditions. Le tirage au sort n’y a aucune place. Et il serait stupide. Il rendrait possible, pas exemple, que les plus débiles de nos concitoyens se trouvent investis de pouvoirs dont ils ne sauraient rien faire. Et amenés à prendre des décisions aberrantes. -
Dieu décide de ce que l'on fait
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Mak Marceau dans Religion et Culte
La normalité est une notion qui peut apparaître comme très relative selon de multiples critères, perceptions et éléments. Mais la seule chose qui compte vraiment est ce qui est constatable, logique, prouvé par les historiens et les archéologues Et surtout qui met de côté, au moins pour le temps de l’examen du sujet, tout élément relevant de la foi. Elle, c’est une autre question. Commence par te poser la question : qu’est-ce qu’une vérité historique, prouvée par les historiens et les archéologues de toutes natures. Fais-moi part de la réponse que tu apportes à cette question. Après quoi, nous pourrons parler de « normalité ». -
Contrairement à ce que certains s’imaginent, écrire est un art difficile. L’on ne peut donc que te féliciter de ta production littéraire. Mais permet-moi de te faire quelques remarques, en vrac. Si l’indicatif présent du verbe avoir est bien « j’ai », sur le plan des conventions littéraires, « j’ai » est réservé au langage vernaculaire parlé. Pas à une nouvelle censée éventuellement trouver un éditeur. Tout au long de ton texte tu emploies moult fois cette forme, souvent dans un sens positif, parfois négatif, mais c’est la même chose. Si l’on pouvait te donner un conseil, ce serait de remplacer partout ou le sens est négatif, « j’ai » par « je n’ai ». Sinon cela suffirait à amener instantanément un potentiel comité de lecture à arrêter son examen à la première ligne de ton texte. Dans ton cas il ne s’agit pas d’une écriture au style particulier, mais simplement incorrect. Si le but est de donner un sens « parlé » à tes propos, alors il faut utiliser réellement ce style pour la totalité du texte. - « … Je leur trouve toutes un charme particulier … ». Il est vraisemblable que tu voulais dire « je trouve à chacune d’elle un charme particulier », et ta phrase serait correcte, ce qu’elle n’est pas en l’état. Tu continues par : - « … toutes avec un parfum indescriptible et envoûtant selon la personne ». Ce qui veut dire quoi ? Que selon la personne qui sent la fleur, « elle a un parfum envoutant et indescriptible ». Donc que ce parfum et cet envoutement varient selon chaque personne ? En fonction de quoi ? Tu termines la phrase suivante par « je trouve ». Dans une traduction d’une autre langue cela passerait si le lecteur était au courant qu’il s’agit d’une traduction. Tu devrais placer « je trouve » au début de ta phrase. Le style serait différent, mais elle serait plus correcte. Plus loin : - « … et y'a toujours du lierre qui vient recouvrir le moindre puits de lumière qui pourrait éclairer la pièce ». Autant pour les crosses ; d’une part, tu devrais remplacer « et y’a » par « il y a ». D’autre part, pour que le lierre puisse venir recouvrir le puits de lumière, il faudrait qu’il cache la fenêtre. Mais le lierre a besoin d’un support pour grimper. Pour qu’il obstrue la lumière de la fenêtre il faudrait qu’il tienne dans le vide à l’emplacement de la fenêtre. Tes lecteurs potentiels se demanderaient qu’elle nouvelle espèce de lierre tu as trouvée. Par contre tu écris, ce qui est très poétique : - « Une fleur, ça a besoin d'attention. Et moi, je vois jamais les petits signes quand elle essaie de m'en donner. … / …Elle regarde par la fenêtre cassée, elle cherche le soleil. Mais à chaque fois, elle préfère s'évanouir. Elle poussera mieux chez quelqu'un qu'a pas peur du soleil ». D’une part, idem que pour est de l’utilisation du verbe avoir. « Quelqu’un qu’a » sonnerait mieux avec « quelqu’un qu’y a ». Et je vois jamais, serait favorablement remplaçable par « je ne voie jamais ». D’autre part, cela qui signifie que ton personnage vit avec une fenêtre cassée. Du temps des poètes maudits du XIX° siècle, cela serait très poétique. Mais le public d’aujourd’hui n’a plus ce type de réactions et risque de prendre cela pour du larmoiement. Utiliser une forme vernaculaire qui imite le langage parlé est une excellente idée, mais alors il faut l’appliquer à l’ensemble du texte, pas seulement à certains mots ou expressions qui détonnent dans le texte. Cela mis à part, et je me répète, l’on ne peut que te féliciter. Comme l‘a dit un autre intervenant, le ton et le style de ton texte sont très prometteurs. Parvenir à écrire plusieurs pages de texte qui tiennent debout n’est pas une tâche simple Continue !
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Dieu décide de ce que l'on fait
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Mak Marceau dans Religion et Culte
Source ? Les capacités cérébrales d’un individu « normal » qui se pose la question. -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Si tu souhaites une société démocratique et libérale, qui laisse la porte ouverte aux personnes qui ont des capacités suffisantes pour diriger et indiquer les grandes directions à prendre, ce qui est inévitable, alors tu ne pourras pas te passer du carriérisme politique. Et du fait qu’une petite minorité d’individus se trouvent à la tête des dirigeants d’un pays. Individus qu’à la limite l’on pourrait brider un peu en limitant dans le temps la durée de leurs mandats potentiels successifs. Ce qui ne changerait rien. Mais les individus en question, dès leurs mandats effectués, se retourneront vers une autre partie de la politique. Direction des partis politiques ou des syndicats, par exemple. Ou des grandes administrations. Ou des plus grandes entreprises. Et un patron de grand syndicat a plus de pouvoirs, et de considération de la part de l’État, qu’un ministre. C’est pour cela que l’on finit par se retrouver avec de véritables dynasties de politiciens. Ces gens-là se reproduisent entre eux. Mais cela a une raison simple. Le carriérisme politique dans un pays comme la France est dû au simple fait que les individus ne naissent pas avec des capacités cérébrales équivalentes. Les neuf dixièmes des individus qui naissent seraient incapables, intellectuellement, d’assurer avec intelligence et réussite de hautes fonctions politiques. Ils seraient incapables de parvenir à une situation dans laquelle ils pourraient parvenir à vivre du carriérisme. Mais même si l’idée peut paraître désagréable à beaucoup, il a toujours été nécessaire, et il sera toujours indispensable, qu’une petite minorité de la population pratique le carriérisme. Ce sont les faits et la réalité du fonctionnement des sociétés humaines telles que la nôtre qui les y conduisent. Et la simple biologie. Ou alors il faudrait changer totalement de type de société. -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Tu mélanges tout. Benalla a voulu jouer au CRS et a tabassé des gens. Parce qu’un chef flic sachant que Benalla était garde du corps de Macron à l’Élysée, l’a laissé participer à une manifestation au côté des poulets. Il a été condamné pour cela à un an de prison ferme. Ensuite, il a décidé de se lancer dans diverses activités privées, pour lesquelles il n’avait de comptes à rendre à personne qu’à ses employeurs. Qui n’étaient plus Macron. Mais il n’y a pas eu de conflits d’intérêt dans cette histoire. Que son ancien poste à l’Élysée ait pu aider à sa reconversion est évident. Mais il n’a jamais été officiellement autre chose que garde du corps du Président. Poste transformé en chargé de mission à l’Élysée, poste laissé à la discrétion du Président et des ministres. Macron ne l’a jamais chargé de relations internationales dans le domaine de la sécurité, domaine dans lequel il s’est lancé. Il ne peut donc pas y avoir en ce qui le concerne de conflits d’intérêts. Que ce ne soit qu’un petit voyou que Macron a laissé jouer dans la cour des grands est une certitude. Mais cela n’a rien à voir avec un conflit d’intérêts. -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Mon cher Herver, je comprends bien l’envie d’intervenir dans une discussion. C’est enrichissant pour celui qui le fait, et peut être, peut-être, profitable pour ceux qui le lisent. Mais quel est le rapport entre les allers-retours public - privé de nos ministres et le statut des mercenaires ? En quoi un ministre ou un haut fonctionnaire qui se fait embaucher par une grosse boîte est une affaire de mercenaires ? erver, je comprends fort bien l’envie de Ou alors tous les individus qui changent d’employeurs sont eux aussi des mercenaires ? Comme tout le monde, tu as déjà, ou tu auras un jour l’occasion de changer d’employeurs. Tu seras donc devenu un mercenaire ? D’autant que l’IA que tu utilises et dont tu reprends le texte, dit surtout des bêtises. Tu devrais changer d’IA. Par exemple : - « Le mot et la fonction de mercenaire ont généralement une connotation très négative car le mercenaire est généralement motivé par l'appât de gains rapides, associé à une absence d'éthique ». L’IA qui a rédigé ce texte, comme dans toutes les IA, s’est contenté de rappeler tous les écrits et ragots publiés et enregistrés dans son Data Center. Mais, par obligation, sans avoir une idée réelle de la réalité dont il s’agissait. Il ne t’est probablement pas venu à l’idée que certains individus aiment le métier des armes ? Que la plupart d’entre eux ont un passé militaire, généralement très bien côté ? Et si le mercenaire est bien payé, c’est d’abord parce qu’il risque sa vie comme tout militaire professionnel. En outre dire qu’il est « associé à une absence d’éthique » est une stupidité. L’absence d’éthique dépend des circonstances. Quiconque n’a pas combattu ne sait pas ce que cela veut dire. Malheureusement la guerre ne se fait pas en chargeant les canons avec des caramels mous. Et la plupart du temps, les mercenaires d’aujourd’hui, comme d’ailleurs ceux d’hier, se retrouvent en face d’individus qui eux n’ont aucune éthique et sont eux aussi des mercenaires. Et dans la plupart des zones ou servent les mercenaires des sociétés militaires privées d’aujourd’hui, celui qui est en face n’a jamais l’intention de recourir à des pratiques édictées par l’ONU. La guerre, quelle que soit la forme qu’elle prend et la région où cela se trouve, n’est pas un parc d’attraction. Ce n’est pas à cause de la conduite supposée des mercenaires qu’il y a des guerres qui leur permettent de pratiquer le métier des armes. C’est parce qu’il y a des guerres que la présence de mercenaires est nécessaire. En outre ce ne sont pas les mercenaires qui déclenchent les guerres. Et ton IA mélange tout. la police, le renseignement, le contrôle des frontières, le gardiennage, les communications entre troupes régulières. Et encore une fois, quel est le rapport entre les mercenaires et les allers-retours de nos ministres entre le public et le privé ? Ou alors sous entends-tu que nos ministres sont des mercenaires ? -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Tout simplement pour leur carnet d’adresses. Si leur employeur a un problème dans un projet quelconque, dans une autorisation à obtenir, dans tout ce qui ressort de l’Administration, un ancien ministre ou un conseiller de haut niveau sait non seulement à qui s’adresser directement, mais sait que son intervention sera probablement couronnée de succès. Tous les anciens ministres qui ont disposé de pouvoirs régaliens ont entre eux des « liens de sang » totalement indépendants de leurs partis politiques, et des tendances politiques. Tous les ministres en place savent qu’ils deviendront des anciens ministres. Et que ce jour là ce sont eux qui seront devenus des quémandeurs. Et il ne faut jamais insulter l’avenir. L’on ne sait jamais ce qu’il nous réserve, et tous les gens qui ont été ministres ou ont eu une activité de haut niveau dans les rouages de l’État, ont des possibilités d’interventions privilégiées par rapport à n’importe quel spécialiste, fût-il diplômé de toutes les grandes écoles de la planète. C’est pour cela que les grandes entreprises se disputent les anciens ministres surtout ceux venant des secteurs régaliens. -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Marcuse tu t’indignes des allers-retours public-privé, en les imputant à la Macronie. Peut-être devrais-tu te pencher un peu sur l’histoire politique de la France depuis qu’elle est une République. Sous toutes les Républiques, sous tous les gouvernements qui se sont succédés en France depuis la Première République, et quelle que soit l’orientation du pouvoir, le trajet public-privé a été l’objet d’un sport pratiqué par tous les ministres et conseillers ministériels, de gauche, de droite ou du milieu. La Macronie est loin d’être ma tasse de thé. Mais reprocher cela seulement à la Macronie est une injustice flagrante. -
Non, les croyants ne sont pas des cons. Si un certain pourcentage d’entre eux le sont réellement, ce n’est pas parce qu’ils sont croyants ou incroyants. C’est parce qu’ils sont nés comme cela. « Les cons nous cernent », écrivait Alexandre Breffort, l’immortel auteur de Zazie, lorsqu’elle attendait le métro en grève. Ce qui souligne qu’il est vraisemblable que le pourcentage de cons dans une population, est le plus souvent plus élevé que le pourcentage de pas cons. Encore faudrait-il se mettre d’accord au préalable sur la définition que l’on donne au mot « con ». Mais c’est un phénomène multi-causal qu’il serait intéressant de disséquer. C’est parce que l’inné dont ils ont hérité de leurs parents et de l’Évolution, joint à un acquis qui ne dépend que des hasards de la naissance et dont l’apport dépendra de la qualité de leur inné, sont des éléments très variables selon les individus. Et donc sur leurs capacités de réflexion. Sur leurs besoins de divin, d’irrationnel, de vérités ou de pseudos vérités, que l’on admet sans s’interroger réellement. Simplement parce que c’est plus confortable, sur le plan du mental et de la réflexion, que de s’en préoccuper. C’est ce qui détermine que beaucoup individus se retrouvent à l’âge de la réflexion, vers le début de la prépuberté, (un peu plus tôt pour les meilleurs), avec plus ou moins de besoin de rationnel ou d’irrationnel. Indépendamment de la pression éventuelle du milieu, si ce milieu est croyant ou pas, qui aura une influence au moins provisoire sur ses capacités de réflexion. Mais influence qui généralement disparaîtra à la puberté. Les préoccupations hormonales des jeunes à ce stade, ne vont pas vraiment vers l’existence ou l’inexistence d’un Dieu. Dans les jeunes générations, du moins en Occident où le christianisme était largement dominant il y a encore cinq ou six décennies, les églises sont vides, les enfants ne sont plus baptisés et les adultes ne se marient plus à l’église. Qui peut assurer que ces gens croient encore en un Dieu ? Et qu’ils puissent s’interroger réellement sur ce sujet ? Tout simplement, ils s’en foutent. Comme ils se foutent royalement de savoir s’il y a, ou non, un Dieu. C’est le sexe de leur petite voisine qui les passionne. Pas le sexe des anges. Les choses sont différentes, du moins pour l’instant, pour ce qui concerne l’Islam. Mais lorsque ce sera son tour, il suivra le même chemin que les autres. Les mêmes causes génèrent les mêmes effets.
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"toi, t'es de gauche ? Nous, les mecs de gauche, on leur casse la gueule. Faites le salut nazi ou je vous bute"
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Totof44 dans France
Je m’incline devant ta profonde connaissance du sujet dont tu parles. C’est réconfortant de trouver des gens qui « savent » de quoi ils parlent. Bravo. Lis le livre que j’ai évoqué et qui vient de sortir « La Meute ». Malheureusement il n’a pas beaucoup d’images, mais si tu n’as pas peur d’apprendre quelque chose et de comprendre ces histoires d’extrême, gauche, dont manifestement tu ne sais rien (mais Internet peut aider, non ?) tu ne peux qu’y apprendre des choses intéressantes.