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blak

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Tout ce qui a été posté par blak

  1. blak

    La solitude

    pourquoi donc ? le sentiment de solitude n'a rien de honteux. C'est parfois quelque chose qui s'impose.
  2. blak

    L'orgueil.

    Je répondrais bien, mais quand dans le discours il est question de Jésus, de satan, de tout un tas de délires plus ou moins bibliques et d'accusations stériles... je me dis que ce serait con de ne pas te laisser creuser encore et encore pour trouver la lumière.
  3. Toi tu vas plus beaucoup participer ici si tu cherches un intérêt à la plupart des discussions...
  4. blak

    L'orgueil.

    Ben sincèrement je trouve ton discours assez crétin. Chacun est libre de faire les choix qu'il souhaite en matière religieuse sans avoir à s'entendre dire que ça ne sert a rien, que c'est dangereux pour son mental, que c'est pour faire plaisir à la famille. Bref... je trouvais dangereux un discours prosélyte sur un forum, tu viens de montrer que finalement la connerie aussi est dangereuse. Tu conseilles aux gens d'être athées, mais sur la base de quoi au juste ? Moi la Bible elle m'emmerde, mais je ne m'autorise pas à dire aux Catholique que le choix de leur religion... c'est pour faire plaisir à je ne sais qui ou dangereux. Chacun est libre de faire ses choix et même mieux... de ne pas écouter les prétendus conseils que quelqu'un voudrait leur vendre.
  5. Pour moi ça ça s'appelle plutôt la prétention. Pour l'orgueil c'est plus complexe et pas fatalement un défaut.
  6. blak

    L'orgueil.

    Tant que l'on ne sombre pas dans le prosélytisme tout va bien.
  7. L'orgueil n'est qu'une question de caractère. Certains le sont, d'autres pas.
  8. Orgueil peut être paefois, mais toujours lié aux erreurs, non.
  9. Ah bah non ça frôle pas, on est bien dans l'obsession pathologique.
  10. Ça pourrait être pire.
  11. Discours légitime. Mais discours new âge pour développement personnel avec option encens et collier de fleurs.
  12. Toujours pareil, ça reste un discours qui sonne creux dès qu'il est question d'autre chose que de "Oh je suis tombé de velo"
  13. Impossible de répondre. Erreur ça veut tout dire et ne rien dire.
  14. Et qui te donne le droit à toi de décider que ces gens aiment se plaindre ? Qu'en sais tu de ce qu'ils vivent ?
  15. Et attraper des souris.... ah non merde... c'est moi ça ! Mmmmmhhhh.....
  16. alors BONNE ANNEE, pépé.
  17. bien après toi, pépé.
  18. blak

    Procès de l'affaire Théo

    "il redonne un coup d'estoc une fois à terre" Tout le problème est sans doute là.
  19. mais il est peut-être là le souci. Cette hiérarchisation sans cesse de ce qui devrait être le pire pour les uns et pas pour les autres. ALors évidemment quand on vient chouiner d'avoir traverser un drame absolu parce qu'une gonzesse s'est rendu compte que son conjoint n'était pas le bon, on est à peu près tous d'accord sur le fait que c'est une "épreuve" relative. Mais quant certains se relèvent de certains trucs lourds d'autres s'effondrent pour des drames que nous pourrions considérer comme parfaitement surmontables. Mais cette hiérarchisation elle n'appartient qu'à nous même. C'est un peu comme ces adultes qui viennent expliquer à un gamin que son chagrin est sans intérêt parce qu'il porte sur un truc totalement désuet. Sauf que pour le gamin en question son chagrin à lui porte sans doute sur un truc particulièrement important dans sa vie et sa conception de la vie au moment où il pleure. La résilience puisqu'en réalité il est question de ça depuis plusieurs pages, c'est un peu ça. Une hiérarchisation "en force". Les grandes victimes qui se remettent de gros drames devraient presque obliger que les petites victimes de petits drames se remettent illico presto... parce que quand même : la résilience, quoi ! C'est cette obligation vendue d'aller mieux au prétexte que les courageux, les vaillants, les durs à cuire, ceux qui ont du caractère quand c'est pas de ma volonté, y arrivent. Et ça laisse forcément un goût désagréable aux petites ou grandes victimes qui, même si courageuses, mêms fortes et pleines de bonnes volontés, n'y arrivent pas. Cyrulnik lui même dans ses interventions vient dire que ce "concept" lui a un peu échappé et qu'il a été dévoyé. Pour lui c'était juste de réussir à puiser en soi une force permettant de faire face à un traumatisme. Il n'a jamais été question de guérison, d'oubli ou de force de caractère des victimes qui transcendent un drame. Parce que ça c'est bon pour le cinéma, mais en vrai, un drame il reste toujours là quelque part.
  20. euh... oui.... et même que des fois.... ah non merde, c'est pas le sujet
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