Elisa*

De mon extérieur, je trouve que tu sûr-réagis pour pas grand chose. @Mite_Railleusen’est pas obligée de tout de suite t’approuver… ce qui ne veut pas dire qu’elle ne t’est pas reconnaissante de ton aide. Faites la paix !

Tu l’as cherché épicétou !! Ça me concerne pas mais je trouve aussi…

Non pas forcément… Une relation de type pansement est une relation destinée à être un pansement sur le cœur pendant un certain temps. En d'autres termes, il s'agit d’une relation occasionnelle qui apporte généralement un certain soulagement aux sentiments de solitude ou de frustration qu'une rupture peut entraîner. Ainsi, cette relation "tampon" peut être un moyen d'essayer de repousser les sentiments douloureux de quitter la personne que vous aimez vraiment. Ce n'est donc pas quelque chose que nous devrions faire, ni pour nous-mêmes ni pour la personne avec laquelle nous essayons de partager notre amour. La relation pansement

Je n’ai pas cette propension. On est totalement différentes néanmoins j’essaie de te comprendre.

C’est pas un peu précipité ? Je sais pas trop si on peut réagir aussi rapidement. Les gens sont parfois surprenants et les raisons de leur attitude, diverses. Peut-être une façon de tirer un trait final sur l’ex-amoureux-se sans passer par la case « deuil », un peu radical mais bon, comme un sparadrap qu’on arracherait d’un coup. Perso, je ne crois pas avoir cette capacité de turn-over… déjà j’ai besoin d’un temps de décantation, je peux pas oublier d’un coup.

Héritage de notre société patriarcale d’en temps peut-être. Je pense que tant que les mentalités n’évolueront pas vers une société plus ouverte, tolérante, bienveillante, équitable, tant que les aprioris, clichés, les jugements à deux balles prédomineront, l’inversement des rôles me semble compromis. Ça avance quand même, lentement certes… des femmes prenant des initiatives au niveau séduction et plus, c’est de plus en plus fréquent.

Ah je savais pas mais c’est nul !

Oui… espérons ! Il y a environ une soixantaine d’années encore, certains parents, beaucoup avaient des méthodes violentes sans même en avoir conscience. L’enfant était considéré par ces anciens comme un bien leur appartenant, pas un sujet, ayant la parole uniquement selon leur bon vouloir, devant obéir sans rechigner. Si ça ne filait pas droit, entre autres réjouissances, il y avait le martinet, la raclée avec ceinture et boucle en option, la menace de pensionnat ou de « camp de redressement ». La com’, l’échange, l’écoute, la prise en compte n’étaient pas dans leurs modes de fonctionnement et souvent eux-mêmes avait subi la même éducation qu’ils transmettaient, pensant faire bien.

Un tirage d’oreille mémorable qui me l’a laissée écarlate et bouillante sans compter la honte devant les clients . C’était dans une épicerie au ski, en colo, j’avais chourré un Malabar… je devais avoir 10/12 ans. Sinon mes parents désarmés devant ma tête de pioche m’ont infligé de sacrées roustes !

Je viens juste de l’expliquer à ma façon à Danoketian.

Ben disons que dans le feu de l’action, la personne submergée d’émotions, en fonction de l’échange doit perdre pied, et finit par croire le blabla, elle devient donc vulnérable. Je pense que le rapport amoureux perturbe la rationalité, rend donc crédule. C’est ainsi que je l’imagine.

Je pense que c’est en lien avec le rapport amoureux qui fait perdre la tête même à des personnes sensées et une forme de dépendance affective. Je suppose que ces brouteurs savent jouer sur la corde sensible. C’est la sensibilité qui rend vulnérable.

J’ai vu plusieurs reportages sur ce phénomène, les brouteurs ratissent femme comme homme. Ils harponnent (en se faisant passer pour une femme, jusqu’à grimer leur voix) par ex. un mec en mal d’amour en le séduisant, en lui faisant espérer monts et merveilles érotiques et sentimentales, puis lui demande de l’argent sous des prétextes fallacieux, touchant sa sensibilité jusqu’à qu’il cède. Enfin, il les déplument sans aucun scrupule, même avec gloire puisqu’ils s’en vantent et font la teuf en claquant cet argent facile. Souvent ce n’est même pas pour améliorer leur conditions de vie.

Ben voilà ! C’est pour ça que j’adhère pas.

A quel moment ai-je dit qu’elle ne bossait pas ? J’ai dit qu’elle était là pour bosser et que son attitude n’allait pas avec son statut. Oui, j’ai vu mais quand même…

Je dois être Old School mais perso, je ne comprends pas trop son attitude. Quand tu bosses dans une société, je ne crois pas que ce soit autorisé. Imagine à l’accueil d’une entreprise, une personne qui te renseignerait la vapoteuse à la main. Elle est là dans l’hémicycle pour taffer, c’est la première ministre de la France, elle se doit de donner l’exemple sinon où on va comme ça. En plus, elle sait qu’elle est filmée. Si elle est trop en manque, elle peut faire une pause et sortir. Bref… c’est pas bien grave mais ça manque de contrôle et de prestance. On est pas dans le dernier salon où l’on cause quand même !

La peur de faire mal qui m’est restée de quand j’étais petite et qui m’a souvent parasitée.

Carrément et comme je suis vénale, ça me va mais pas en bitcoins STP !

Terriblement ! Je valide totalement tes propos…

C’est de l’ordre du possible car l’imaginaire exacerbe les émotions. Cela reste de la séduction qui chamboule mais validée ou infirmée par la rencontre. Non justement, être sensée ne garantit pas l’objectivité quand les émotions se développent. Ne dit-on pas que l’on perd la tête lorsqu’on tombe amoureux ? Cela devient souvent incontrôlable, tout au moins les premiers temps… c’est là que notre vulnérabilité prend le dessus, à mon sens.

Je n’apprécie plus non plus cette série avec laquelle j’avais pourtant rendez-vous chaque soir… c’était sympa et moi aussi, j’ai décroché avec Jacob et Camille qui m’insupportent carrément. Néanmoins je ne me réjouis de cet arrêt car je pense à toutes les personnes qui bossaient dessus. J’imagine la déception, même le choc pour certains.

Déjà je comprends pas ce que veut dire « assigner… par inadvertance » ?? Logiquement quand le prestataire vient t’installer le fameux Linky, il a des papiers à te remettre à la fin, avec le numéro de contrat, le nom, l’adresse, etc… bref, il ne peut pas y avoir de confusion.