Elisa*

Selon quelles sources tu avances ces chiffres ?

Avoue… tu as 12 ans en fait !

Le passage à l’acte est gravissime. Ce type de pensée est évidemment moins terrible que l’acte puisque sans conséquence sur celui/celle qui en est l’objet mais bon… Ah je viens de le dire ac mes mots…

Cela va de soi, bien évidemment !

Quel rapport ac ton sujet ? Je n’ai émis aucune objection : chacun.ne est totalement libre de poster ce qu’iel veut ! A quel moment, m’y suis-je opposée ? Je m’y suis simplement exprimée dessus. Ah ben déjà je ne disserte absolument pas. J’essaie juste d’éclaircir en précisant qui est l’auteur du pamphlet, et de quoi il parle. Alors déjà il n’y aucun groupe, simplement des personnes qui interviennent sur ton sujet qui, à toute fin utile, est, je le rappelle : public. Donc censément, non élitiste en fonction de réponses qui pourraient te convenir uniquement ! Le niveau mais quelle blague… Le texte est particulièrement long et complexe ac un vocabulaire spécifique, donc à la portée de peu de monde ici ou ailleurs. Rien de plus. Je m’y suis justement intéressée et apparemment ça te dérange car cela ne va pas dans le sens que tu souhaiterais. C’est pourtant exactement ce tu as fait tout le long de ton post. Mauvaise foi quand tu nous tiens… il en ressort systématiquement de ta part, une intransigeance absolue, une incommunicabilité flagrante envers toute personne n’étant pas en adéquation ac toi. J’aurais essayé d’échanger…

Je pense qu’il existe des personnes qui y arrivent et d’autres pas… c’est l’une des injustices de la vie qui fait que l’on tombe ou pas dans certains méandres. J’ai pas fait gaffe, pas grave.

Ce serait plus que triste car si tu arrivais à tous les réaliser : tu ne serais plus un être désirant. Or l’envie de, le désir est selon moi, le moteur de notre existence. Sans cela, l’existence n’aurait plus de saveur, de sens, en découleraient certaines dérives pour en retrouver le sel.

Je sais pas trop mais si je prends cette définition : Force à la limite de l'organique et du psychique qui pousse le sujet à accomplir une action dans le but de résoudre une tension venant de l'organisme. ICI Du coup, je vais dire non, on n’est pas responsable… et par ailleurs, mon point de vue étant que fort heureusement, nous sommes censés à quelques exceptions près, être des individus responsables de nos actes. J’en déduis donc que nous devrions être en mesure d’évaluer si ces pulsions sont positives pour soi et/ou pour l’autre et donc de les contrôler lorsqu’elles sont éventuellement malsaines, néfastes. Sinon cela deviendrait vite une sacrée débandade…

Eh bien non non, pas forcément pas forcément… je te le dis en puissance2 pour que tu en saisisses la nuance.

Je sais pas pourquoi tu poursuis ainsi… j’ai juste émis une impression, un ressenti : je ne suis pas spécialiste de sécurité en matière de véhicule deux ou quatre roues.

Il me semble que Soan a fait le distinctif : « c’est délictueux » mais pas criminel. En clair : s’il n’y a pas de passage à l’acte, ce n’est pas un crime.

Les jeunes ne sont pas sur ce forum… tu as dû rêver !

Mais justement, on vient d’expliquer à plusieurs reprises que non, ce n’est pas automatique tant que le pédophile garde ses pensées et ne les concrétise pas, ce n’est pas un pédocriminel.

Le « roi du sophisme » doit être grandement intéressé par le sujet puisqu’il y est fait référence à un moment. Ne me demande pas où précisément, je ne souhaite pas me replonger dans le texte, trop long à chercher.

Alors dans un premier temps, je me suis particulièrement intéressée à l’auteur de cet article. Et si j’ai bien suivi, il s’agit de : Emmanuel Diet Agrégé de philosophie, psychologue, docteur en psychopathologie et psychopathologie clinique, psychanalyste (CIPA), analyste de groupe et d'institution, (, Arip,Transition et SFPPG), responsable de formation initiale et continue des enseignants, notamment spécialisés dans le cadre de l'Education Nationale ( ENF de Rouen,CRFMAIS de l'ENF de Paris et IUFM de Paris), j'ai enseigné les sciences humaines cliniques(philosophie, psychopédagogie clinique et psychopathologie scolaire, anthropologie psychanalytique, théorie psychanalytique des groupes et des institutions , psychologie clinique et interculturelle) dans les universités de Rouen, Paris III, Paris V, Paris VII, Caen et Lyon II. Ancien membre du C.A. du Collège de psychanalystes , et ancien président de l'ARIP, je suis aujourd'hui co-secrétaire général du CIPA, chercheur associé au CRPPC de l'université Lyon II,membre du comité de rédaction de la revue "Connexions" et travaille désormais à plein temps à mon cabinet comme analyste et superviseur, tout en poursuivant mes recherches sur l'aliénation, les logiques de la perversion, l'acculturation et les problématiques de la transmission et l'articulation des espaces psychiques dans une perspective complémentariste. ICI Ce monsieur fait des ouvrages, des conférences et des formations. Ce texte serait plus adapté à une rubrique spécifique comme « Psychologie ». J’ai bien lu l’article en question… vraiment long, fastidieux pour n’importe quelle personne lambda comme moi et tant d’autres personnes ici. Ce vaste texte est divisé en sous-chapitre tels que « Le chaudron de la perversion », « Propaganda », « Le grand cirque et les petites phrases », « Déstabilisations », « L’arbre planté pour cacher la forêt », « Mises en scène et processus de défense », « Le cryptôme », « Apocalypse now… », « Épiphanies », et composé d’une bibliographie dense : à mon sens, il demande bcp d’attention et de décryptage de mots peu connus et usités par le commun des mortels. Bref, il faut consulter un dico 2.0 pour arriver à mieux comprendre le sens des phrases. En toute objectivité, il s’adresse à un public confidentiel, d’initiés : il est peu accessible à grand monde sur le forum. Après perso, pour le synthétiser, je trouve que c’est un pamphlet extrêmement critique, à charge, voire fort orienté contre la communication dans notre société.

D’y penser me débecte…

J’ai vécu la même situation, c’est exactement ça !

Je ne dis pas le contraire Mite. Je parle d’empathie parce que la pédophilie est une maladie, or je n’arriverais pas à en avoir ac ce type de malade.

Bien plus encore que du mérite : elles sauvent grand nombre de personnes de trucs dégueulasses, glauques, de souffrances, de maltraitances, d’agressions sexuelles, de crimes perpétrés par des pervers, prédateurs, psychopathes qui viennent se défouler sur elles, bien malheureusement d’un autre côté. Ce sont des femmes extrêmement courageuses qui mériteraient d’être reconnues, traitées dignement, ac le respect qui leur est dû par leur clientèle mais aussi par l’Etat qui prend leur argent ac les impôts mais les méprisent par ailleurs en ne leur accordant pas un statut pro. Elles mériteraient que plus de personnes se mobilisent pour leur venir en aide.

J’arrive pas à être tolérante… bien sûr au regard de la justice, il existe une fichue différence, c’est normal. Mais perso, dans ma tête, dans mon cœur, j’arrive pas à le contrôler : cet individu est coupable d’avoir des pensées malsaines, glauques sur un enfant. J'espère ne jamais avoir connu/connaître une personne atteinte de cette maladie. Je n’ai aucune empathie !

Je m’en fous… enfin non je m’en fiche absolument pas mais je veux dire que les pensées sur des enfants, ç’est déjà trop !

Alors j’entends qu’il existe des paliers dans la gravité, des définitions précises qu’il faut prendre en considération néanmoins c’est l’un des domaines, celui de l’enfance sur lequel je n’arrive pas à transiger. L'idée « seulement », même sans passage à l’acte m’insupporte même si j’ai bien saisi que c’était une maladie. Cela m’est déjà, à ce stade, intolérable !

Alors je sais, c’est mal très mal d’aller sur ces sites mais j’avoue avoir cédé à la tentation ac un autre commençant par « T… » : j’ai donc commandé un joli sac en toile de Jouy très réussi, pour deux fois rien et lorsque je l’ai reçu, il y avait deux petites taches noires qui se voyaient à peine mais bon, ça gâchait. Aussitôt j’en ai fait la remarque et le service-client m’a renvoyé fissa l’article sans même me demander une photo du défaut : donc j’en ai deux pour pas même le prix d’un et en prime, les taches sont parties au lavage .

Tu dis n’importe quoi, c’est une fille !

Par qui sont-elles formulées ces prémisses hein hein ? Cohérence, raisonnement logique, certes néanmoins cela ne signifie pas vérité pour autant car c’est par l’imagination et la main de l’homme que ces prémisses ont été formulées.