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Elisa*

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Tout ce qui a été posté par Elisa*

  1. Alors moi euh… j’ai eu bcp bcp de mal à choisir ! Mais finalement, je suis Calendrier des « Dieux de Stade », 2016.
  2. Elisa*

    Un jour, un tableau!

    Quand je regarde ce tableau, je pense pas que le monsieur veut « speaker ! speaker ! »… Je ne connais pas l’histoire de cette toile, je parle de mon ressenti hein.
  3. Ah ben oui je comprends, ça c’est insupportable ! Je n’ai pas pu non plus aller au bout… je m’endormais systématiquement !
  4. Ça été déjà dit mais il semblerait que cela ne soit pas entendu…
  5. Elisa*

    Un jour, un tableau!

    Hellisson Hoover Dessins 1888 -1955
  6. Je suis pas fan mais quand c’est vraiment vraiment bien écrit, je peux apprécier ! Je trouve l’exercice très difficile…
  7. Ô merci pour cette leçon ! Mon interprétation « poétique » de ton acrostiche…
  8. Ô merci pour cette « contrepèterie » poétique ! N’ayant aucun talent de poétesse, néanmoins voici ma pensée exprimée par une femme talentueuse : La prétention traverse l'impolitesse pour aboutir au ridicule ; quand elle est lancée dans cette voie, la vanité ne se laisse pas même arrêter l'invraisemblance ; elle se livrera aux assertions les plus grotesques, aux fanfaronnades les plus risibles. Diane de Beausacq - Œuvre : Les lettres d'une marraine à sa filleule (1863)
  9. « La poésie est cette musique que tout homme porte en soi » – Shakespeare Comme le dit Shakespeare, tout homme porte en soi cette musique que l’on nomme poésie, cependant si certains choisissent d’en faire la pierre angulaire de leur vie, d’autres au contraire préfèrent l’oublier et la font taire. Pourtant, née dans notre monde imaginé dès l’enfance, la poésie vient compléter le langage des mots parlés en instaurant un langage imagé. On dit souvent qu’il y a une claire séparation entre l’hémisphère droit et gauche de notre cerveau : le premier pour le non-verbal avec l’émotionnel, l’imagination et l’intuition, et le second pour la parole avec la pensée logique et rationnelle. Ces deux aspects de nous-même communiquent grâce à la poésie, celle-ci permettant à l’hémisphère verbal de mettre en mots ce qui se passe dans la partie non-verbale afin d’obtenir une communion extrêmement personnelle de nous-même. « On ne lit pas, ni écrit de la poésie, parce que c’est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l’humanité. Et l’humanité est faite de passion. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l’amour, c’est pour ça qu’on vit. » John Keating dans Le Cercle des Poètes Disparus. […] La poésie, vous l’avez compris, c’est la langue de l’imagination, des intentions mais surtout de l’expression de nos émotions. Un message délivré à travers cet art permet de transmettre le ressenti de l’auteur, tout en communiquant avec le for intérieur de chaque individualité. Être à l’aise avec son ressenti permet de mieux échanger avec les autres nos pensées, idées et impressions ! La poésie permet également de se construire une personnalité distincte avec une vision personnelle. En offrant cette possibilité, des qualités telles que l’altruisme, la créativité, l’intelligence sensible et l’intuition pourront émerger. ICI Bonjour à tous.tes Un peu de douceur dans ce monde de brutes ! Nos émotions passent par différents vecteurs comme la poésie qui nous offre la possibilité de nous laisser aller parfois à quelques confidences puisqu’elle touche au personnel. Avez-vous l’âme d’un poète, d’une poétesse ? En lisez-vous ? Je vous invite, si l’envie vous prend, à venir ici et y déposer vos impressions et vos créations. J’ai hâte de vous lire !
  10. Si c’est toi mais non c’est pas moi mais si c’est toi, mais euh… Je ne suis absolument pas agacée. Je t’ai juste montré ce que pouvait vivre au quotidien certaines femmes dont je fais partie, rien de plus. Que nous étions tout à fait, moi et bcp d’autres, en capacité de faire le distinguo entre le « frotteur » et le mec respectueux qui n’a pas du tout fait exprès à cause de la promiscuité. Cela semblait te préoccuper précédemment… En te précisant que ces vicelards n’étaient absolument pas représentatifs de la majorité des hommes. Bien au contraire, que je n’avais aucun à priori sur la gente masculine malgré mes déconvenues comme bcp d’entre nous. Qu’il ne fallait pas créer un clivage homme-femme à cause de quelques abrutis. Tandis que tu soutenais que bientôt il faudrait créer des métros pour les femmes et d’autres pour les hommes car on ne pourrait pas faire le tri entre les frotteurs et ceux qui ne le faisaient pas exprès quand le métro est bondé, qu’on est serrés. Que bientôt, les hommes se retrouveraient comme aux States, accusés à tort et à travers par des femmes de mauve foi. Je n’ai donc fait que poursuivre la discussion démarrée ac @Out of Paprika
  11. Peu importe l’endroit… Tu es focalisé depuis le départ sur quelques femmes, celles que tu nommes « parano » qui ne font pas de différence entre un homme lambda respectueux comme pratiquement tous et un sale mec vicelard. Or, elles ne sont absolument pas représentatives de la majorité des femmes fort heureusement ! Ce sont des cas extrêmes qui ont des aprioris envers les hommes en les mettant tous dans le même panier. Je vois pas pourquoi tu continues à te référer chaque fois à ces cas particuliers comme s’ils allaient prendre le dessus comme aux States. Comme si la majorité des femmes qui savent parfaitement différencier, étaient effacées par ces quelques personnes braquées. Tu as peur qu’on te prenne pour un frotteur ou quoi ?!
  12. Ah mais je comprends parfaitement… il n’est pas question d’amalgame : je et bcp d’autres femmes sont tout à fait en capacité de faire le distinguo entre l’abruti qui le fait exprès et celui qui l’a fait involontairement, cela se sent ! Et je ne considère absolument pas les hommes comme des pervers malgré mes déconvenues. Il existe des abrutis, des pervers parmi la gente masculine et ce n’est évidemment pas la majorité des hommes. Donc je n’ai pas d’apriori mais je reste sur mes gardes, vigilante, prudente. C’est tout. Il n’y a aucunement à cliver hommes et femmes… j’adore la compagnie des hommes que je trouve pour la plupart galants, délicieux. Ce n’est pas à moi de trouver des solutions à des problématiques engendrées par certains hommes ayant une sale attitude. Mais j’ai quelques pistes… Être respectueux me semble la base à condition d’avoir la même définition et ne pas rester impassible quand l’on s’aperçoit qu’il y a un manquement, des attitudes incorrectes en se marrant et se disant que c’est pas grave, anecdotique, rien de bien méchant. Se soutenir, être des alliés…
  13. Ce que je trouve vraiment chiant… c’est qu’il faut tout l’temps être sur ses gardes. Tu peux pas te dire que t’es tranquille, surtout quand il t’est arrivé des trucs chelous quoi. !
  14. Bon ben je vais être crue peut-être réaliseras-tu un peu mieux. C’est du vécu… un métro bondé, je suis debout serrée contre la barre et un mec est à côté de moi. Je le calcule pas. On est tous serrés et voilà que je sens un truc contre moi : je me retourne brusquement et c’est ce mec qui est arrivé à se placer derrière moi. Je le regarde de travers tout en essayant d’avancer pour m’écarter de lui, pour lui montrer que j’avais bien saisi ce qu’il faisait. Et bien cet abruti s’est débrouillé pour se rapprocher à nouveau, me coller et bien se frotter. La colère noire m’est montée, j’avais envie de le claquer franchement mais je sais pas faire ça, ni faire de scandale… Au final et malgré le monde, je me suis faufilée et j’ai changé d’emplacement tandis que lui, à l’aise Blaise est resté imperturbable à l’endroit où je me trouvais au départ. A Paris, toujours dans le métro… j’étais jeune, à peu près la vingtaine, je m’en souviendrai toujours. Je me dirigeais vers les quais et marchais donc dans le long couloir y amenant qui était désert. Je sais pas pourquoi, une sensation très étrange… un frémissement glacé, je me retourne et je vois un Monsieur moustachu d’un certain âge ac un regard fixe, effrayant sur moi. J’accélère le pas pour m’éloigner de lui, me retourne à nouveau et m’aperçois que lui aussi va plus vite. Alors je me suis mise à courir comme une tarée et le mec en a fait de même… la course la plus rapide et la plus longue de ma vie. J’ai eu la chance inouïe de le semer et de ne pas avoir des marches qui m’auraient freinée. Je me suis retrouvée sur le quai haletante et toute tremblante. Ça été une sensation horrible… en en parlant, je revois distinctement son visage alors que c’était, il y a plus de 20 ans. Après j’ai aussi une anecdote pas grave mais que j’ai pas aimé : un mec m’a foncé dessus alors que j’étais attablée ac une amie et m’a fait la bise alors que je ne le connaissais pas. Ça paraît gentillet, mimi et bien pas du tout. Sur le moment, ben j’ai eu peur car j’ai pas compris tant c’est allé vite. Je précise que je n’ai jamais été une bimbo ac des fringues très moulantes et très décolletées. Je n’ai pas à me plaindre : je n’ai pas été sifflée, interpellée et insultée voire violentée car ne répondant pas, etc… Je n’ai pas vécu ces attitudes inadmissibles souvent bien heureusement ! Le quotidien féminin n’est pas toujours simple…
  15. Elisa*

    Un jour, un tableau!

    Georges Léon Dufrénoy Peintre postimpressionniste 1870 - 1943 Venise, Palais sur le Grand Canal Vieillard à barbe blanche Façade de le maison occupée par Victor Hugo à Bruxelles vers 1933
  16. Euh… Pour la rigueur linguistique : un « tweet » même si je ne rechigne pas à un bon vieux tweed pour un Blazer hein !
  17. Je ne suis pas en capacité de préjuger du bien fondé ou pas, surtout en matière de médecine, de sciences. Nous avons, pratiquement tous.tes, certaines convictions en fonction de nos expériences, de nos vécus ; en fonction de la réalité propre à chacun.ne, à mon sens cela n’en fait pas LA vérité. D’ailleurs, je me l’applique perso quel que soit le domaine, même de prédilection.. Il nous manque tellement d’éléments, tous les tenants et aboutissants… que je trouve illusoire d’estimer être dans le vrai ou pas et peu réaliste de vouloir absolument trancher. Cela reste uniquement mon opinion rien qu’à moi que je communique hein.
  18. J’entends ton positionnement tant qu’il est respectueux comme dans le cas présent. Cela t’est personnel. Par contre, je reviens sur les soignants et considère comme exprimé par les intervenants précédents : qu’il est antinomique d’exercer une profession dans laquelle on accorde que peu de confiance. Ceci en remettant en cause la science par un refus du vaccin et d’autre part, je trouverais pas très précautionneux, pas responsable d’employer des personnes susceptibles de transmettre plus -12 fois- ce virus à des personnes qu’ils soignent. Cela étant dit, le traitement de ces soignants manque aussi d’humanité dans les conditions actuelles de suspension… on aurait pu prendre peut-être une mesure exceptionnelle de suspension -au vu d’une pandémie exceptionnelle- en leur permettant quand même d’avoir des ressources. Certain.ne.s ont retrouvé un autre emploi mais bon… Je suis partagée aussi dans l’autre sens car il faut assumer ses choix et là, de désobéissance caractérisée. Les lois du travail sont ainsi faites pour toute personne lambda qui se refuserait à observer les règles dans le cadre de son taf : ce serait licenciement pour faute grave sans possibilité d’indemnisation, je crois. C’est compliqué… aujourd’hui, rester dans la même lignée, en refusant de les reprendre m’apparaît une sentence rude mais cohérente puisque la pandémie n’est pas éradiquée.
  19. Et bien tu vois Kai… moi je ne me permettrais certainement pas de te traiter de conne parce que tu as une excellente immunité qui t’a permis, entre autres, d’échapper à cette saleté de virus sans avoir été vaccinée. Au contraire, je suis bien contente pour toi même si on ne se connaît pas mais n’en tirerai aucune conclusion ironique ou sérieuse sur ton cas. C’est dommage d’avoir des idées arrêtées sur un sujet alors que même les professionnels du secteur n’arrivent pas/plus à être aussi tranchés, catégoriques. Je te dirais que perso, j’ai mes doses de vaccin et que j’espère vivement avoir au moins pu éviter à certain.ne.s -fragiles, malades ou anciens- de choper la Covid et d’être gravement atteint.te.s ou d’y succomber.
  20. Au delà de la maltraitance du taureau, cette définition pertinente touche au point crucial : ce sort inexorable réservé à l’animal. Son exécution sans appel pour le bon plaisir d’une foule avide de ce spectacle sanguinolent ne laissant aucune autre alternative au taureau pré-destiné sauf cas exceptionnel… Car il s’agit bien de cela malgré « l’indulto » : Comme beaucoup d’éléments de la tauromachie cet « indulto » est l’aboutissement d’un rituel codifié chargé de parer la barbarie des arènes d’un vernis de justice. Cette grâce est accordée à la demande de la majorité du public, avec l’accord du matador et après que la présidence de la corrida ait accédée à cette demande « populaire » en agitant un mouchoir orange. Il ne s’agît pas d’épargner la vie d’un animal en tentant de rendre la corrida moins cruelle, mais de saluer ainsi l’aboutissement de la dénaturation d’un bovin qui se serait fait remarquer par son comportement particulièrement combatif dans l’arène ! [….] L’homme qui s’est octroyé le droit de faire supplicier un animal innocent, affirme ainsi plus encore sa volonté de domination en jugeant que tel ou tel mérite la mort, et qu’exceptionnellement que tel autre qui l’aura mieux distrait mérite d’échapper (provisoirement) à l’estocade finale ! ICI
  21. Ah ben dis-donc ça a du mal à sortir hein ! Tu veux peut-être dire que tu n’es pas fan de la maltraitance animale et donc de la corrida ?!
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