Easle

Frunobulax, que tu as parfaitement compris et c'est assez clair, que les deux sont justement associés. C'est clairement ce que veut dire Boucheron. Et donc quel est le problème à reconnaître ce désir de provocation, dont même le personnage queer qui s'exprime dessus explicite l'objectif ! A quoi se ramène ce refus de prendre en compte ce que même les acteurs en disent ?

Raciste, maintenant ? ah la belle insulte sans rapport aucun avec ce qui précède ! Tu es à ce point rouge et éructant, incapable de calme ? Et où précisément mon discours est-il mainenant raciste ? Et con... ce n'est qu'un jugement de valeur sur ma personne, car un discours con n'existe pas en soi. C'est simplement un aveu d'insulte de ta part car tu es sans la moindre capacité argumentative raisonnable. Uniquement une idéologie qui ne sait même pas à quoi elle tend. C'est triste mais si banal.

Intéressant retour. En fait, cela dépends donc des fonctions et des tâches. Toutes les organisations du travail ne sont pas applicables trop simplement. Ca suit donc une analyse en temps réel, moyen, des conséquences concrètes. C'est plutôt normal. Tente-t-on assez d'expériences dans toutes les activités sociales, dans les politiques également ? Ca me semble intéressant de ce point de vue.

Oui, à cause d'une politique à courte vue, fruit d'une démocratie qui n'en est pas une mais une république, avec cette conséquence toujorus occultée par cette confusion entre les deux principes de ces régimes : l'électoralisme, qui impose cette dynamique du temps court contre le temps long, nécessaire à une meilleure organisation et réactivité du politique.

J'en ai bien conscience mais est-ce un principe pour autant tenable en toute circonstance ? Le droit actuel est-il gravé dans le marbre pour l'éternité ? La jurisprudence a une fonction en droit. Mais lorsque celle-ci n'est pas suffisante, que faire ? Vous n'avez pas répondu à ma demande : que proposez-vous ? Vous réfugirez-vous derrière des experts ? Ou pourrez-vous tenir un point de vue. La démocratie, réel, impliquerait qu'un citoyen sache avoir un avis, étayé autant qu'il se peut. La morale n'est pas une compétence.

Et donc tu défends une dérive du travail vers l'emploi vide de contenu, voire contre-productif lorsqu'il y a des doublons avec conflit de compétences pour faire illusion quant à la distribution de revenu ? Tu ne perçois pas que c'est une façon de soutenir un libéralisme qui zombifie le travail, qui approfondie la perte de sens, d'humanité ? Cela rejoint par ailleurs la très faible réaction des états sur "l'emploi" dans l'arnaque et la fraude, dans les trafics, mais aussi les fake job (à différencier des bullshit job, mais qu'il faut aussi intégrer). Et cela ne va faire que s'accélérer. Soutenir la folie plutôt que de proposer des vrais changements ? Me poseras-tu alors une question ?

Laisser les institutions religieuses financer les monuments à ses limites. Serais-tu pour l'abandon de la cathédrale de Notre-Dame, par exemple ? Ton agressivité militante va jusque où ? Où ais-je dit que les français étaient vides puisque justement ta proposition n'est pas en vigueur ? Ta raison est-elle si faible que tu as un tel besoin d'inventer les propos de ceux à qui tu t'opposes ?

Je suis tout à fait d'accord avec ça. Et il y a aussi des gens qui ne savent rien et qui donc se contentent d'insulter qui il ne connaissent pas

Enfin un rattrapage cohérent. Entre 97 et 2008, la FPT avait vu son nombre de fonctionnaire exploser (plus de 300.000 en plus sur environ 1 millions, soit 30 % de plus en 10 ans). Et ce sans aucune autre raison que le clientelisme, avec, donc, une baisse artificielle du chômage à la clé, et l'excuse des conséquences de la régionalisation.

Le religieux est le stade primaire de l'appréhension du monde. Son utilisation à des stades ultérieurs est une régression. Mais un être humain ne vit que sa vie, pas l'Histoire humaine, il réitère plus que souvent, toujours, les mêmes erreurs, les mêmes errances. Il réapprend tout, tous les 70 ans, d'où cette réitération chez celles et ceux incapable d'assimiler le passé (pour des raisons nombreuses de leur petit, tout petit bonhomme de chemin court, étroit, et aussi vite éteint qu'allumé.

"Ne l'évoque explicitement". Un professeur au collège de France connaît a valeur de chaque mot. la négation de l'explicitement est inutile s'il ne signifie pas de l''implicitement. Donc le fait d'y avoir bien pensé, mais en le couvrant d'un autre système, de défense par anticipation vu ce qui est manifestement recherché dans le discours du personnage queer qui s'exprime un peu plus haut en explicitant qu'un objectif est atteint si un personnage politique réagit (et avec une catégorie de gens ciblé pour réagir). C'est adroit mais donc volontaire. Une stratégie, un calcul, de provocation. Implicitement explicite

Les causes sont ignorées ? Ou passée sous silence, ou par pertes et profits par peur de faire le jeu de.., par peur tout court peut-être d'ailleurs. Et surtout par démission et compromission d'une gauche qui a combattu l'église et la religion, pas toléré, pas accompagné, pas protégé dans le cadre de la laïcité, mais combattu, cherché à la faire reculer, à lui faire perdre du terrain, et qui maintenant, accompagne l'expansion d'une religion. Et c'est simplement cela qui est nommé, à juste titre de l'islamogauchisme (gauchisme faisant référence à la maladie infantile de la gauche). Ou donc, par peur du rejet de l'occident, se taire, être passif.

Vous exprimez de façon répétée, presque à l'envie votre détestation d'une solution radicale, soit ! pourquoi pas, mais donc : Face à quelqu'un de déséquilibré qui a juré de se "venger", si vous deviez prendre la responsabilité de l'action judiciaire, que feriez vous ? simplement contrôler de temps à autres ? Attendre que l'acte annoncé, une récidive qui plus est, soit commis ?

Donc, le principe est d'attendre tranquillement qu'il n'aille pas à son rdv de contrôle judiciaire et se "venge" (de la prison ?) sur la famille en tuant un autre membre ? Car si vous n'avez pas de solution, il y a un effet, à tout, solution, comme absence de solution.

Un pays sans patrimoine est un aeroport, une galerie marchande, un vide culturel.

Ridicule, lamentable, triste ! On pénalise le fait qu'elle ait perdu du temps et risqué sa médaille pour aider son guide, hallucinant de légalisme buté.

Sur la malbouffe, je vote pour ! Et sur les chiens aussi ! Sur le départ du pays aussi ! Excellent ! Mais d'ailleurs le tourisme devrait être plus taxé, en particulier pour les déplacements, les transports. On pourrait remettre en vigueur l'impôt sur les portes et fenêtres ! Et sur les pianos !

La logique migratoire contemporaine est majoritairement à l'abolition des frontières, mais pas tout à fait des nations, et des états qui sont, pour les ultra-libéraux, tout à fait en phase avec l'extrême gauche, favorable à une libre circulation des biens et des hommes, sans aucune limite ni contrainte pour les second, avec toutefois ces limites et contraintes pour les premiers qui fait que l'état et la nation est une vache à lait dont les institutions sont réorganisées pour concentrer les richesses produites par les classes populaires supérieures et moyennes vers le haut, vers les classes bourgeoises, avec une redistribution également vers les plus pauvres pour acheter une paix sociale dont la limite de relativité est constament testée par ces élites. L'extrême gauche, elle entendrait plutôt laisser faire, sans aucune autre politique que de taxation des riches et des redistributions totales à la moitié moins riches ou pauvre de la population, et sans aucune politique d'immigration, une simple ouverture totale des frontières et la fourniture gratuite de logement et de subside à tout être humain (sur quels fonds illimité on ne sait pas, et on ne saura jamais). Il y a un mystère anarchique en tout cela. La main invisible du marché se joint à la main invisible de la mane divine pour aller dans ce sens sans aucune réflexion, avec, uniquement, du jugement moral et une idéologie eschatologique renouvelée. La démocratie implique une éducation et du temps citoyen. Il n'existe qu'une fantasme de démocratie, un mot valise utile à rendre impossible de penser à un avenir alternatif. Si démocratie il y a et fin de l'histoire dans ce régime, alors, il n'y a plus aucune alternative. La fin de l'histoire politique est advenu ! Cette illusion est globalement acceptée, vaguement, sans autre réflexion acceptable en tout cas. Il y a d'un côté la démocratie, de l'autre le fascisme, point. Il est relativement interdit d'aller plus loin, sauf à vouloir se faire brûler sur un bucher. Une réelle démocratie n'existerait qu'à la condition d'une participation des citoyens en permanence à la réflexion, à des votes, à des tirages au sort, à leur possible nomination, n'importe quand et n'importe où selon le besoin. C'est un régime exigeant. La plupart n'aspire malheureusement, en réalité qu'à être gouverné et à exprimer leur mécontentement face à la non perfection, c'est à dire la satisfaction intégrale de LEURS intérêts personnels et / OU idéologique.

C'est vrai, mais ca n'empêche pas d'essayer..

Mais, Enchantant, encore une fois vous inventez ! Où lisez vous une condamnation ? Est-ce à force de lire ce que je critique que vous ne savez plus faire la différence entre critique, jugement, négatif, et condamnation ? Cette dérive d'un vocabulaire de plus en plus confus, visiblement, est, au-delà de la mauvaise foi, aussi un résultat de cette médiocrité "littéraire", et éducative. Le condamner, non, mais le critiquer, en fustiger les errements... Et pourquoi serait-ce interdit ? Car si je prends vos lunettes, c'est bien ce que vous voulez faire en ce cas non ? Interdire, faire taire les critiques ?

Vous appréciez peut-être les procès d'intention, mais je préfère considérer réellement ce qui est dit, ou ce qui est compréhensible sans aveuglement idéologique, voire pire a priori personnel, ad hominem. Et en l'occurence, je critique une dérive, et une structure, mais non, je préfererais une auto limitation, non pas une interdiction qui ne servirait d'ailleurs à rien et serait inapplicable. Et puis c'est une médiocrité que je critique, pas une littérature, pas un genre.

Certes, on pourrait se dire que plus il y a des livres, ou d'oeuvres, plus il y aura de chef d'oeuvre parmi la foison de livraison. Et que plus un auteur écrit, mieux il écrit ? Est-ce réellement ce que vous observez ? Mon propos est plutôt d'observer (et non d'interdire, ce que beaucoup de gens qui me lisent ici interprète en l'absence de capacité à répondre sur le fond réel), le nombre infinis de parasites qui profitent, qui font cette profusion.

Ah, il ne s'agissait que d'insultes ?

Hum, les cultures Dogon, Peuls, Nambikwara, Hmong, etc. sont donc des cultures pauvres... Et c'est moi qui dit des conneries ! N'est-ce pas un suprémacisme de la civilisation technique ? Et aucun de vos exemples ne part de la diversité. La diversité n'est pas inutile, dans des lieux d'échanges, des marchés, mais si vous semez un millier de variétés de graine très différentes sur un champs, vous ne récolterez rien de valable. De même si vous mélangez 100 épices vous aurez moins de goût qu'avec deux ou trois, voire une seule. Le démocratisme essaie de croire que tout se vaut et que la quantité fait la qualité mais c'est une fiction bien pensante, rien d'autre. Et oui, c'est une mode, une dilution marchande de la singularité.

Qui a parlé d'interdire à part vous ? Vous ne jugez de rien, jamais ? Sauf en jugeant dictatoriaux des propos non tenus, inventés par vous ?