Easle

En fait le 'racisme' est devenu un fourre-tout idéologique, au point ou un homophobe sera traité également de raciste par la plupart des militants de gauche radicale. Mais se poser des questions sur l'immigration est raciste (même s'il s'agit de migrants blancs, ca seules compte les majorités de minorité ()), en fait dorénavant ne pas être de gauche radicale, c'est être raciste, tout simplement. Ca résout tout et ca criminalise totue autre option politique, pratique, confortable, et très fonctionnel pour imposer aux jeunes une absence d'esprit critique, puisqu'un mot résume tout.

Avec le soutiens de musulmans surtout arabes (dont palestiniens, grand mufti de jérusalem). Et l'aide du vatican à la fuite des nazis après guerre. Mais aussi des églises souvent pour sauver des juifs.............

A part dans ta lecture des intentions, derrière les intentions, car TOI, "tu sais bien ce qu'il y a derrière" ! On te la fait pas à TOI ! Ou l'islamo gauchisme est-il cité par l'auteur ? Un migrant est par nature musulman ? Tout migrant est sacré et saint ? Aucune question n'est permise sur les migrations ? Mais alors pourquoi ne pas supprimer simplement les visas et les frontières d'ailleurs ? Mais il faut être calir et oser l'assumer plutôt que de caricaturer les critiques sans avoir RIEN à répondre de construit. A côté de cela, l'art peut-il tout justifier ? Tous les propos, les haines, les calomnies, les appels aux meurtres ? Et si l'art politique doit devenir une des normes de celui-ci, est-il ininterrogeable ? Sanctuarisé ? Lorsque le cinéma était raciste il était analysable et criticable mais plus s'il appelle aux meurtres de masse de flics (poulets, blancs ?) ? Ou plus simplement il préparera et enverra à de nouvelles journées des guillotines, et dans de nouveaux camps de ré-éducation.

Ou l'absence de réponse pour esquiver Toute une logique et une stratégie de forum, bien huilée ! Et si peu marquée politiquement :D Disons plutôt que c'est une réflexion qui doit être traitée par le mépris voir la criminalisation, puisqu'elle aborde des sujets qui sont vu comme d'extrême droite, donc sans réflexion, par nature. Plutôt que d'aborder des points et de se poser la question de la pertinence de certains et la fausseté d'autres, mieux vaut tout jeter et avec le plus de détestation suggérée. C'est cela le nouveau débat, la nouvelle domination cuturelle

Il n'a AUCUN moyen de mieux connaître les faits que les autres médias. D'ailleurs il ne donne AUCUN faits de nature à éclairer son propos purement idéologique et politique propagandiste. Tu aimes à ce point toi sucer les journaleux d'extrême gauche ? Bah, si c'est ton truc ! Et si tu ne peux pas avoir de recul critique sur les pratiques basses de tes potes, dommage ! C'est vrai toute critique doit être facho, capitalo etc. Ce type d'anti-réflexion est l'apanage de tous les mouvements sectaires et totalitaires.

Oh oui, il est plus que possible d'avoir une société de type antique ou médiévale, ou même classique (et encore, il y avait des règles). Mais c'est un sacré bordel pour beaucoup de gens lorsque tu peux pisser où tu veux, acheter n'importe quelle arme où tu veux, te balader avec partout, entrer en moto ou trotinette dans des batiments publics, etc. Car nous vivons avec beaucoup d'interdits déjà et heureusement car sinon, tu te serais peut-être déjà fait braquer de nombreuses fois et ce ne serait que les ennuis les plus bénins et occasionnels ! Le tout permissif, c'est la loi de la jungle ! Si ton voisin a envie de foutre de la musique à 3 h du mat à donf, et qu'il est aviné et pas raisonnable, soit tu lui casses la gueule, soit il te descend ! Puisqu'il n'y a aucun besoin de flic lorsqu'ils n'ont aucune règles à faire appliquer ! C'est un fantasme puéril fondé sur l'ignorance de l'être humain, sur une fiction rousseauiste sans fondement scientifique.

Ah, la sérénité, la confiance, la bienveillance, le petit nécessaire de la novlangue. Mais franchement, c'est vrai ! Qui pourrait bien êytre CONTRE la bienveillance (ca ne mange donc pas de pain pour faire un beau discours politique). Rénover l'école ! Tout un programme, sans programme, sans liste 'à faire' concrète, au mieux, - mettre des tonnes de budget en plus, ca fera l'affaire ! Et oui, bien sûr, si un psychologue est là, tout élève qui se pose la moindre question va immédiatement le voir (mais où as-tu fait de la psycho ?) Et tu ne connais pas les politiques de sensibilisation aux risques multiples, y compris psychologique en milieux scolaire ? Cela fait des années que les personnels recoivent des formations à la santé mentale en milieux scolaire. Depuis plusieurs années tous les établissements doivent se doter de protocoles de repérage et d'accompagnement (ca ne coûte pas grand chose si ce n'est quelques heures de réunions, de réflexion, et de copie des protocoles fonctionnels ailleurs). Des campagnes sur le harcèlements, les drogues, etc. sont menées. Des psychologues existent sur le terrain, pas suffisament, peut-être, mais pourquoi "un" ? Pourquoi pas "un" / n d'élèves ? Et en ce cas combien ? Et ce seul point réglerait tout (puisque basé sur l'argent) ? Mais encore une fois, ces problèmes selon toi existaient dans les mêmes proportions toutes époques, toutes cultures confondues ? Une absence "totale" est totalement fausse et donc purement idéologique et politicienne.

Lorsque les réglementations sont aussi bafouées qu'elle le sont, et que les vérifications te semblent liberticides en quoi cela n'a-t-il rien à voir ? Ton discours est extrêmement théorique ! venteux, idéologique et utopique. "Metttons 100 milliards dans une police à bac + 5 minimum, payé entre 50 et 100 kf / an, des moyens respectueux, non létaux, doux mais fermes et tout sera réglé, car l'être humain respecté est respectueux, fiable, sage et bienveillant" C'est bien ça ?

Et pourquoi, concrètement (soit didactique) plus que sur une arme à feu ? Quelle différence si tu interdis toute vérification possible ? Soit précis s'il te plait, pas théorique.

Ou on les relâche, car le laxisme judiciaire colle inconsciemment au manque de place également en prison. Et donc de même pour les armes à feu, non ? Mais une interdiction qui ne s'applique pas sert à quoi ? à ton sens, il y avait strictement le même nombre de crime scolaire il y a 50 ans ? 100 ans ? Aucun changement ?

Tiens, tiens, tiens, les patronymes maintenant !!! Tu te zemourises bien on dirait ! C'est donc environ 1 sur 10 qui sont donnés... Mais alors pourquoi ? Parcequ'on va trouver trop de patronymes différents dans ta logique racialiste ? Tu oserais nous faire la même liste avec les patronymes qui 'sonnent' étrangers, 'non-blancs' ? Et que, comme par hasard, tu vas avoir du mal à trouver ?

Et oui, justement... C'est bien là tout le problème de ces petites phrases lachées..... mine de rien Sans aucun support ! Et quand le Monde fait ça, on sait où en est le nôtre, de Monde

C'est une chaîne de fake news. Une 'arme' de guerre aussi employée par les russes, les allemands, les français, les usa, les chinois, etc. Après, tu peux aussi étudier des chaînes qui t'expliquent comment les extra-terrestres ont construit les pyramides ! si c'est ton truc !

Avec ....... aucune indication ethnique........ Donc, ton idéologie mise à part, d'où vient ton invention de blanchité quasi exclusive ?

Il ne faut donc voir aucune motivation particulière, ni aucune indication idéologique dans le choix des dernières phrases de l'article, de la part du Monde !

Risible chaine youtube de propagande / fake news ukrainiennes pilotée par IA.

Juste de constater ? sur quel base ? Le physique ? La France publie des photos lorsqu'un tueur ou une tueuse est d'origine étrangère ? (déjà que les médias ne publient pas les noms de "peur d'alimenter le racisme"), j'ai un doute. Sur les pays que tu cites, quelle preuve en as-tu ? (pas avec un ou deux exemples bien sûr, mais avec la totalité des cas sur les 20 dernières années). On sait qu'il y ait une très forte majorité masculine (puisque le mâle est par essence toxique), mais sur l'origine il n'existe aucune statistique. C'est intéressant cette symétrie aux dénonciations opposées de droite. Est-ce préventif ? Pour y faire pendant ? Ahhh, c'est donc ça, on interdit tout ou rien ! quelle nuance ! Et quel bordel surtout !

Alors, les deux peuvent être questionné. L'un n'empêche pas l'autre. Venir en classe avec un couteau te semble sans soucis à notre époque ? En fait peut-on contraindre en quelque manière que ce soit les individus modernes ? Fait-on quelque chose concernant les armes à feu (car que peut-on faire concrètement contre le fait d'en apporter en classe ?) Ou contre la cocaïne ? Et puis la santé mentale, tu proposes, dans ce cas là, précis quoi ? Il aurait été suivi depuis longtemps, repéré ? Par quelle méthode ? Un examen mental semestriel pour chaque élève ? Mais pourquoi pas d'ailleurs pour chaque individu tout au long de sa vie ? Quel coût ? Des psychologues ? Des psychiatres ? Avec quel responsabilité en cas malgré tout de passage à l'acte ?

Le problème de cette forme de récupération est la même que celle de l'extrême droite : l'opportunisme et la faible connaissance des faits. on y trouve qui plus est une litanie "raciste, inégalitaire, patriarcale, etc.", c'est à dire un placement de mot-produits pour activer le biais de synthèse simplificatrice du lecteur de gauche visiblement aussi primaire et conditionné que le lecteur de droite. Et donc tout aussi affligeant !

Je voudrais comprendre, même si je 'pourrais' être d'accord avec certains éléments, mais : Tu penses qu'une société où chacun-e travaille allègrement avec bonheur à une tâche qu'il aime est moins violente, n'organise aucun système de domination, évacue les animosités, les jalousies, etc. ? Mais le jeune va vieillir, et bis repetitas ! De fait, est-ce : 1 - Réellement "normal" ? Dans la "Nature" du vivant ? 2 - Intelligent (sapiens) ?

Donc, tu veux dire qu'un phénomène minoritaire (comme la misandrie, le racisme anti-blanc, mais donc également l'homosexualité ou le trangenrisme) ne mérite pas qu'on s'y intéresse, du fait de leur minoritarité ? "Tellement" minoritaire........ A partir de quand un sujet acquiert-il le mérite qu'on en parle ? Ou est-ce un tabou ? Faut-il en interdire l'expression ? Et en parler une fois de temps en temps revient donc à se FOCALISER dessus ! Hum, intéressant choix de vocabulaire, très calculé Et très exemplaire d'un véritable travail idéologique.

De nouveaux éveils ? 500 services ? 1 G de produit en classes ?

Très agacant, certes, mais...... Quid des salariés qui vivent de la surproduction, surconsommation, dans un monde où le chômage ne cesse malgré tout de s'étendre. Que faire ?!

Mais tu sais que c'est aussi à connotation négative. Est-ce aussi pour les accuser / critiquer de coûter que tu l'emploies ?

Tu vis à mon sens (très personnel probablement) un des aspects de la poursuite inéluctable de l'individualisme. Je m'explique : Au début, cela va te paraître sans rapport direct. C'est tout le contraire. et je ne réponds pas que pour toi ca ouvre le débat. Tu n'es pas la seule, loin de là, mais comme dans toute pathologie fortement sociale (obésité / anorexie, addictions, anxieté / dépression, etc.), c'est un excès qui produit le phénomène de souffrance. Depuis internet, et plus encore les mobiles, s'accélèrent le phénomène de désocialisation, de désaffiliation (Castel, 1995, 2003) ou de socialisation liquide (Bauman, 1998, 2000), qui est la conséquence du désenchantement du monde et de l'anomie des sociétés occidentales de plus en plus individualiste. On peut citer le fameux principe de ghostage qui s'est développé mais aussi le consummérisme sexuel des 'applis' de rencontre (ou des sites qui propose aux femmes de mettre un homme dans leur caddie de supermarché quand besoin). Ce phénomène implique quoi ? une perte de valeur de soi dans une masse indistincte immense, une baisse de l'estime de soi, de la formation même de l'estime de soi dans nos sociétés. Une insécurité sociale pour le dire comme Castel, mais pas seulement dans travail, mais surtout dans les relations sociales, dans l'amour ! Pour beaucoup, cela va être plus ou moins gérable ! Avec tout de même de plus en plus d'états voisinnant la dépression, les crises anxieuse, de petits troubles alimentaires, une augmentation de la consommation d'alcool sans véritable alcoolisme, etc. Mais pour certain-e-s les difficultés excèdent leurs capacités d'adaptation. Et je ne te culpabilise pas en disant cela, car pour celles et ceux qui s'adaptent facilement, être mentalement bien portant dans une société psychiquement malade n'est pas un signe certain de santé mentale Alors, pour ton cas précis. Survaloriser des attachements est une manière de s'accrocher à des boués de sauvetage, surtout si elles paraissent fiables dans un premier temps, et surtout si les socialisation sont difficiles, en partie car on concède à l'ambiance sociale, à l'éducation qui porte ce type de comportements et qu'on les pratique nous-même, en état par exemple excessivement sélectif, susceptible, etc. De plus en plus de gens jettent de plus en plus vite les autres, écartent qui ne semble pas être un clone de soi sur certains plans et un complément "utile" sur d'autres. De la consommation. Alors, oui, ensuite la perte de ces personnes est vécue comme une chute abyssale. Il faut diversifier ses 'ami-e-s', et avoir plusieurs cercles, possiblement étanches car il y a aussi des effets de domino à prévoir dans les défections / ghostages / évaporations. Ou en tout cas, il faut faiblement les relier. Il faut aussi avoir des attentes extrêment modérées, le plus modérées possibles. La plupart des individus ne veulent plus s'engager, quoiqu'ils aimeraient (dans leur idéalisation du monde), des autres imaginaires avec qui s'engager puisqu'ils/elles seraient parfait-e-s (). Mais toi, n'es-tu pas aussi comme ça (en vertu de l'intégration individualiste dont je parlais) ? Il faut aussi être conformiste et adopter le vocabulaire commun nécessaire ou consensuel (sauf à avoir des ami-e-s intelligents et aptes à la complexité, espèce en voie de disparition). En gros, et au vu de tout ça, commence par t'analyser et te remettre en question quant à ta 'sensibilité' ou 'sélectivité'. Puis fait des choix, ouverts, avec des investissements relationnels modérés et diversifiés.