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Tout ce qui a été posté par Beebee
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Re-vu. Toujours excellent C'est clair et net. J'aime les avis tranchés!
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Mais mille fois oui. Tu fais un travail que je me sais incapable de faire d'abord par méconnaissances techniques.Cependant tu montres autre chose dans tes billets... Je peux écouter (lire, apprendre, me documenter) sur le traumatisme. Mais apporter une réponse valable à la souffrance nécessite plus que la compassion ou l'empathie ou la bienveillance (je ne sais pas quel mot utiliser) du non professionnel.
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Ça me dirait bien mais je n'ai ni les capacités et ni le temps pour le faire
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Défi 38 - Titre avec un nom de femme : Betty de Tiffany Mc Daniel C'est à 17 ans que Tiffany Mc Daniel entreprend la rédaction de son histoire familiale, en racontant Betty, la petite indienne, sa mère, issue d'une mère blanche et d'un père Cherokee. Il y avait déjà beaucoup à dire sur la pauvreté, le racisme ordinaire, un père enchanteur qui n'a cessé de rêver pour ses enfants et sa femme une vie hors du temps. Sauf que les racines familiales sont pourries. Le secret surgit brutalement dans la vie de Betty le jour de son 8ème anniversaire, ce qui lui permettra de comprendre la maltraitance maternelle et de survivre à ses soeurs qui n'ont pas su mettre des mots sur ce qu'elles enduraient. Le livre est énorme. @noisette : Le principe de Pauline est pour Exo7
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Seulement 10/20.... Une image est plus difficile qu'un plan mais les films sont nettement plus abordables en effet!
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J'ai trouvé Nikita mis par @Tequila Moor Voilà, voilà
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Rachida Dati et Aurore Bergé se sont bien battus pour être les prems à se lever , on le voit parfaitement à la caméra. Je crois que c'est Juliette Binoche (en blanc au premier plan) qui a gagné. Tout est tristement politique à ce niveau, en effet. Heureusement qu'il reste l'incroyable discours de Judith Godrèche : "Pour se croire, faut-il encore être cru" "Il faut se méfier des petites filles; elles touchent le fond de la piscine, elles se cognent, elles se blessent mais elles rebondissent." Pour avoir vu Icon of French Cinéma, elle parle d'elle... Je me moque totalement de qui applaudit le plus ou pas en gros plan. Au passage, me suis totalement plantée dans mes pronostics : je suis très mauvaise à ce jeu de toute façon
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Mais que tu dis???? Bien sûr qu'elle a été saluée Rachida! En principe, dans ce genre de cérémonie, les Ministres de la Culture en prennent plein la poire. Valérie Lemercier l'a fait de manière plutôt subtil. Et J'ai l'impression que Mme Dati a ri de bon coeur
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Catégorie 9 littérature asiatique : Les Délices de Tokyo de Durian Sukegawa "Écoutez la voix des haricots" : tel est le secret de Tokue, une vieille dame aux doigts mystérieusement déformés, pour réussir le an, la pâte de haricots rouges qui accompagne les dorayaki, des pâtisseries japonaises. Sentarô, qui a accepté d'embaucher Tokue dans son échoppe, voit sa clientèle doubler du jour au lendemain, conquise par ses talents de pâtissière. Mais la vieille dame cache un secret moins avouable et disparaît comme elle était apparue, laissant Sentarô interpréter à sa façon la leçon qu'elle lui a fait partager. Le roman est court, contemplatif, pas aussi simple que la jolie carte postale des cerisiers en fleurs. Le thème principal est l'exclusion et, au détour d'une page, on se retrouve soudainement très loin de l'overdose de sucre : Devenir ainsi des sortes de poètes était sûrement pour nous la seule façon de vivre....Regarder uniquement la réalité donnait envie de mourir.
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Mais tu réponds à quel commentaire?
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Émission La grande Librairie : topic hebdomadaire
Beebee a répondu à un(e) sujet de Crève dans Littérature
J'ai été très très mais très intéressée par le travail de François Garde à la recherche de son grand oncle effacé de sa généalogie et par l'incroyable histoire des déportées de Louisiane. -
https://www.cairn.info/revue-chronique-internationale-de-l-ires-2020-1-page-30.htm Royaume-Uni Quels enseignements de la privatisation du rail ? Conclusions Par sa radicalité, la privatisation des chemins de fer [au Royaume Unis] constitue un cas d’école. L’objectif prioritaire du gouvernement conservateur était clair : à un monopole public centralisé, bureaucratique et inefficace se substituerait une régulation par le marché. Des entreprises privées, mises en concurrence sur chacun des segments d’activité du réseau, garantiraient l’efficience puisque celle-ci constituerait pour elles la condition d’une rémunération maximale de leurs actionnaires. Le jeu des appels d’offre permettrait de sélectionner les plus performantes avec une remise en cause périodique au vu des résultats. Partout le contrat remplacerait la hiérarchie. Ainsi le contribuable serait libéré du coût massif d’un déficit permanent tandis que l’État encaisserait des redevances. Le constat qui vient d’être dressé s’écarte quelque peu de ce tableau. Les défaillances ont été et demeurent importantes. Le mécontentement des usagers est devenu massif. La subvention globale de l’État a presque doublé, même si elle a pris un chemin détourné. 61Un second objectif était de réduire la capacité de nuisance qu’offrait aux syndicats la possibilité de paralyser le pays par des grèves nationales. La fragmentation d’un système national intégré confrontait les syndicats, d’abord à la nécessité de lutter pour obtenir la reconnaissance de leur représentativité dans une centaine de sociétés privées, ensuite à la quasi-impossibilité d’organiser des mouvements nationaux. L’échec de cette stratégie est évident. Le fractionnement des opérateurs n’élimine pas les inter-dépendances de réseau. La multiplication des conflits locaux donne aux syndicats une capacité perturbatrice qui échappe aux tentatives de contrôle du gouvernement et des multiples employeurs. Après tu peux toujours citer l'expérience de la belle-soeur du boucher de ta femme. Pour se que ça coûte.
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Moi, je remercie cette époque. Pendant des années, ce sont les agresseurs qui avaient médiatiquement la parole, le paroxysme étant Matzneff chez Pivot par exemple. Et puis il y a #MeToo, les victimes commencent à parler publiquement sous les belles expressions scandalisées : lynchage médiatique, présomption d'innocence, bla bla bla.... Ils étaient où, les scandalisés, quand Jacquot déclarait face caméra que le cinéma lui permettait de se taper des mineures sous l'oeil envieux de ses condisciples? Merde quoi.... D'autres expliqueront beaucoup mieux ce qui fait que les victimes parlent ou pas, rapidement ou pas. Mais la volonté de les écouter (et de les lire, de les regarder) est primordiale. Donc vraiment merci à cette époque.
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Normalement, la procédure est la suivante avec ton bon d'achat téléchargeable : https://www.ouigo.com/faq?question=ai-recu-bon-achat-comment-recrediter-mon-compte-bancaire Maintenant, c'est la théorie... Bon courage pour la pratique, j'espère que ça va fonctionner.
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Désinformation pure et simple (je parle de ce que je connais) : il faut vraiment ne pas savoir ce qu'est le concours du CAPES ou de l'Agrégation. De plus, le taux de syndicalisation est proche de 30% dans l'Education Nationale : soit plus de 70% des fonctionnaires à l'EN ne sont pas syndiqués. L'histoire de la co-gestion via les syndicats n'est qu'un fantasme. « Les syndicats ont pu avancer des propositions mais n’ont jamais réussi à imposer leur agenda. Ils constituent plutôt une force de réaction », analyse Laurent Frajerman, chercheur associé à l’université de Paris 1, spécialiste de l’engagement enseignant. . « Cela a été d’autant plus vrai sous l’actuel quinquennat que Jean-Michel Blanquer, à l’image d’Emmanuel Macron, n’a pas toujours reconnu comme partenaires les syndicats ni les autres corps intermédiaires », déplore le sénateur LR des Pyrénées-Atlantiques Max Brisson. https://www.la-croix.com/Famille/Greve-leducation-pesent-vraiment-syndicats-enseignants-2022-01-27-1201197064 Alors je me permets de mettre en doute que ce sont les syndicats qui gèrent la SNCF sachant que le taux de syndicalisation y ait de moins de 20%. Je pense que certains devraient changer de logiciels.
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C'est quoi, une grève "normale", un mouvement social "normal"? Bloquer les autoroutes, est-ce "normal"? Détruire des portiques autoroutiers, des devantures de préfectures, des contenus de camions ou de magasins, est-ce normal? Je ne parle pas des black block qui sont dans l'illégalité la plus totale et une violence insupportable mais bien de mouvements de grognes "classiques" de routiers ou d'agriculteurs, plus ou moins cornaqués par des syndicats. La normalité des grèves, ainsi que son "injure à l'égalité" ( @pluc89 ) est quelque chose qui me questionne.
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J'ai bien compris!
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Refuser un Lyon Marseille en 2h de TGV à 34 euros relève de l'idéologie. Chacun son truc, moi je prends le train
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Mais des mouvements qui ne gênent personne (les grèves des profs par exemple) ne servent à rien. Les agriculteurs l'ont bien compris : la FNSEA menace de bloquer Paris, elle obtient tout un tas de promesses en deux heures (faut voir ce qui va être réellement appliqué, je n'ai pas beaucoup d'illusion pour le petit paysan bio...). Et c'est insupportable que ça se passe toujours comme ça : en chute libre sans parachute, tant que le sol n'est pas atteint, tout va bien. Je n'ai pas beaucoup de sympathie non plus pour ce mouvement très opportuniste qui, en fait, ne concerne pas le salaire des contrôleurs, mais la retraite de ceux qui vont partir dans quelques années. Les choses ne sont pas aussi simples Etant une grande utilisatrice du train, je vois bien que le service n'est pas toujours au top. Mais est-ce à cause des mouvements de grève qu'il n'y a pas de place matin et soir dans le train Lyon/chez moi sur les horaires de bureau? Je ne crois pas.
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Oui mais il faut aller à Chambéry ou n'importe quelle destination entre Paris et Milan. Et que ces destinations là. Lyon/Rennes ou Lyon/Marseille, tu peux te brosser J'ai regardé un Lyon/Paris pour mercredi prochain : Trenitalia 5 allers de 35 à 139 euros. SNCF une trentaine d'horaires possibles de 19 à 150 euros. Même si j'enlève les 19 euros parce qu'omnibus en 5h40 (toujours plus confortable que le bus), il y en a tout en tas entre 35 et 45 euros, soit exactement le prix de Trentitalia. Donc le "beaucoup moins cher que le train français" est faux sur Lyon/Paris. En revanche, que la concurrence fasse baisser les prix, c'est certainement vrai, puisque c'est le but de la concurrence. Dernière chose : on est bien d'accord que Trenitalia est une compagnie d'Etat italienne, donc financée en partie par le contribuable italien? C'était juste une remarque pour les acharnés de la privatisation....
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Alors tous les vieux anciens-qui-ont-de l-expérience ici qui râlent, vous n'êtes pas directement concernés. Mais vous avez peut-être des enfants ou des petits enfants en recherche d'emploi. Sachez que la SNCF recrute, à tour de bras (il manque beaucoup de conducteurs de trains, d'agents commerciaux, de techniciens de maintenance, jusqu'à des postes d'ingénieurs). Et comme ça a l'air super bien payé, et toujours en grève mais payé, moi je dis faut pas laisser passer.... Allez, je retourne à mes "vacances". @Scrongneugneu
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Documentaire de Gilles Perret sur l'histoire d'une famille qui a su s’adapter aux nouvelles technologies pour survivre. Le film permet de suivre sur 3 époques et 4 saisons, 3 générations qui n'ont eu de cesse de faire évoluer cet élevage de vaches laitières, partant de la 1ere ferme en stabulation libre (étable construite à côté de la maison) en 1972 pour arriver en 2023 à une quasi automatisation de tous les soins aux animaux (de la gestion de la nourriture à la traite). Je retiens deux choses de ce superbe documentaire * un travail de "brute", sans être péjorative : construire à mains nues l'étable en 1972 parce qu'ils n'avaient rien que des cailloux et des masses, relève plus du forçat que du maçon. * l'importance de la transmission : "les anciens ont fait du bon boulot". Je ne vous ai pas dit : cette ferme est en Haute Savoie, pays du Beaufort.
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Défi 8 - Auteur Nord Américain : L'homme qui voulait vivre sa vie de Douglas Kennedy C'est du Douglas Kennedy, autant dire que ça se lit tout seul, les rebondissements sont surprenants, une fin un peu trop hollywoodienne mais qui dit que ça ne va pas à nouveau déraper.... En revanche, j'ai lu quelques critiques à la volée sur Babelio et je ne suis pas forcément d'accord sur le sort de ce "pauvre" Ben Bradford au début du roman. C'est bien lui qui piège sa femme dans un schéma extrêmement classique mariage - enfant - réussite sociale - maison dans le Connecticut, absolument pas l'inverse. C'est bien lui qui la pousse à abandonner ses velléités d'autrice (peu douée), la vie bohème à New York, son travail.... Et en faisant ça, pour la garder, il a perdu à ce jeu de dupes : son métier certes rémunérateur, ne lui apporte que stress et frustration. Le petit dernier a des problèmes de sommeil, les empêchant de dormir plus de 3 heures d'affilée. Et il assouvit sa passion pour la photographie essentiellement en se payant des appareils de plus en plus chers. Alors, évidemment, quand il massacre le voisin, tout bascule. Mais j'ai pas dis pourquoi