Auger

Je ne sais pas : honte, douleur trop forte pour être exprimée, sentiment d'être le seul à éprouver cela, désintérêt pour sa vie intérieure comme si ça ne servait à rien et renvoyait à des tourments adolescents...

Ah, le sujet tabou par excellence : plutôt crever qu'admettre éprouver un sentiment de solitude...

Peut-être que cette solitude provient du sentiment de ne pas être compris, donc pas accepté... Pour dire la vérité, je n'en sais rien et préfère presque, Dieu sait pourquoi, ne pas le savoir...

On peut être très entouré et se sentir - intérieurement - seul. Cette "maladie", cette solitude intérieure permanente et incompréhensible, je ne la souhaite vraiment à personne.

Les voitures sifflent près de ma fenêtre The cars hiss by my window Comme les vagues sur la plage Like the waves down on the beach Les voitures sifflent près de ma fenêtre The cars hiss by my window Comme les vagues sur la plage Like the waves down on the beach J'ai cette fille à côté de moi, mais elle est I got this girl beside me, but she's Hors de portée Out of reach Phare à travers ma fenêtre Headlight through my window Brillant sur le mur Shinin' on the wall Phare à travers ma fenêtre Headlight through my window Brillant sur le mur Shinin' on the wall Je n'entends pas mon bébé Can't hear my baby Même si j'ai appelé et appelé Though I called and called Windows a commencé à trembler Windows started tremblin' Avec un boom sonore With a sonic boom Windows a commencé à trembler Windows started tremblin' Avec un boum sonique, boum With a sonic boom, boom Une fille froide va te tuer A cold girl'll kill you Dans une pièce sombre In a darkened room Monter Ride Continuez à rouler Ride on

Pour une fois que je fais preuve de cohérence... Du coup, je le prends comme un compliment !

Je suis assez d'accord avec ce "quelqu'un"... Même si on ne peut pas en faire une généralité, on déteste souvent voir ses propres défauts chez les autres (je n'irais pas dire que c'est "soi" que l'on déteste, mais la partie de soi que l'on refoule) C'est pourquoi, on reproche souvent aux autres ses propres travers : ceux qui nous traitent de lâches, ne sont souvent eux-mêmes pas très courageux, sans parler de ceux qui nous taxent "d'intolérants"... C'est une façon de dire : "je ne suis pas comme ça, puisque je t'en fais le reproche" et aussi de détourner l'attention en braquant le projecteur sur autrui... ...Enfin, je crois...

La Durée Poignardée - René Magritte

"Ac le temps, Ac le temps, va, tout s'en va" ............... et tout revient ! Salut , toi !

J'espère que vous allez bien, Chère Madame !

Bonjour toi ! Content de te lire également, j'espère que tu (et ton mari, et ta fille) vas bien ! Je te dis à très bientôt

écrit sous forme de dialogues entre un "jeune homme" et un "philosophe". Basé sur les théories et idées d'Alfred Adler. Excellent.

Imaginons, imaginons, imaginons... Lors de soirées festives ou d'ennui, il est bien connu que tout un chacun regarde des images, des vidéos pédopornographiques... C'est fou ce que l'ennui peut nous entrainer à faire...

@January

Si, c'en est un. C'est juste que je ne me sentais pas "hypocrite" pour ma première réaction sur ce topic.

Qualifier "d'hypocrisie" un avis qui est juste différent, je trouve ça, en bon français, "too much"...

Une parole "creuse", je ne sais pas ; mais une parole dérangeante, voire dangereuse, sûrement. Société et liberté ne vont pas forcément de pair, cela explique peut-être la pensée anarchiste (que je n'approuve pas).

Dès lors que l'on vit en société, et si on en accepte les règles (sinon, on vit à l'écart), il me semble nécessaire, voire indispensable, de s'autocensurer à un moment ou à un autre. Les raisons sont incluses naturellement dans le postulat de départ (la vie en société).

La tenue des gens (où que ce soit, à l'assemblée ou ailleurs), c'est comme leur couleur, leur poids, leur taille, leurs revenus ou leur sexualité : je m'en fous ! Ce qui m'intéresse, c'est ce qu'ils pensent, leurs idées.

Pour aller plus loin que le cas de ce pauvre type (dans le sens "sale type", je ne veux pas plaindre ce mec), est-ce que l'addiction au sexe (chemsex, partouze, etc.) implique qu'on en veut et qu'on a besoin de plus en plus de stimulations ? Grâce au ciel, je n'en sais rien !

Non. Sociologiquement, "le gros Roger" qui prend son 38 tonnes bourré, ça n'a rien à voir avec l'affaire dont il est question. "le gros Roger" ne s'est pas épanché médiatiquement sur ses problèmes, dont il jure s'être affranchi, "le gros Roger" ne bénéficie pas des mêmes appuis, "le gros Roger" ne nous fait pas la morale lors d'émissions caritatives, style "les enfoirés", "le gros Roger" se contente d'avoir une vie professionnelle de merde, et au fond, tout le "beau monde" s'en fout. Je répète : sociologiquement. Car, du point de vue des morts et des blessés, c'est, évidemment, exactement la même chose.