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Auger

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Tout ce qui a été posté par Auger

  1. Je te renvoie le compliment, compte tenu de la richesse de ton argumentation. Gros bisous et bonne journée
  2. Non, pas d'attaques perso. : ça ne fait jamais avancer un échange. Bonne journée
  3. Non, la haine de l'autre (qui n'est rien d'autre que de la peur, au fond) se sert de n'importe quoi pour se nourrir : couleur de peau, religion, taille, poids, accent, aisance financière, marque de la bagnole, façon de s'exprimer,... Pour moi, tout ça ce sont les mêmes ressorts de rejet de la différence. C'est pourquoi je refuse que l'on traite les Français (c'est mon pays d'adoption, mes grand-parents étant originaires d'un pays francophone) de racistes. Encore plus, quand cela provient de gens qui ne connaissent rien à la France, aux Français, qui n'ont peut-être jamais mis les pieds dans notre pays (j'y vis depuis 40 ans) et qui fantasment notre tempérament à l'aune de leur jalousie ou de leur oisiveté.
  4. Il suffit de voter MLP ou Zemmour pour être raciste ? Sérieux ? Le pourcentage de racistes, c'est comme le pourcentages de cons : je pense qu'il est à peu près constant partout sur cette planète. Les blancs n'aiment pas les noirs, les noirs n'aiment pas les blancs. Les grands méprisent les petits, les maigres haïssent les gros (et inversement) Les muslims n'aiment pas les juifs qui n'aiment pas les chrétiens qui n'aiment pas les muslims... Les Picards (ma région) n'aiment pas les gens du nord (et inversement) Les Marseillais n'aiment pas les parisiens...(et inversement) Les Bordelais n'aiment pas les Basques (et vice versa) Dans tel village les gens de tel côté du bourg n'aiment pas ceux de l'autre côté .../... Moralité : Arrêtez vos conneries avec les français racistes !! (P.S. : Attali n'est qu'un connard, il suffit d'avoir lu un seul de ses livres pour s'en rendre compte, je n'ai jamais compris par quel miracle on a voulu nous faire passer ce mec pour un génie...)
  5. T'es pas en manque toi ? (entre ça et le fessier de cet après-midi)
  6. C'est impressionnant cette mansuétude envers les Balkany (Levalloisienne ?) En même temps, c'est beau quand Saint-Just se transmute en Nelson Mandela...
  7. Merci @Plouj: par rapport à tes topics de ces derniers temps, c'est plutôt soft et presque relaxant
  8. Nazimour ? Purée, les mots ont encore un sens, la haine est décidément de tous les bords.
  9. C'est marrant, elle ne les voyait pas ces nazis quand ils étaient chez elles. Je crois que MLP est en train de se noyer, ça va finir en naufrage pathétique qui va "presque" la rendre sympa.
  10. Auger

    L'amour et si ...

    Oh oui ! le jeu "cherchez l'intrus" !
  11. La comparaison est pour le "mauvais exemple" qui peut parfois être anecdotique (les homards) ou plus grave (les Balkany), mais qui peut provoquer des effets retentissants sur la société : pourquoi eux ?, pourquoi pas moi ?, pourquoi je paierais mon ticket de métro ?, pourquoi puisque c'est gratos pour lui ?... On ne peut pas empêcher une société de se construire "aussi" par l'exemple venant d'en haut, et ça, en France on en crève.
  12. Auger

    L'amour et si ...

    Veinard ! (encore que je crois me souvenir que le boute-en-train ne "finit pas le travail")
  13. Auger

    L'amour et si ...

    C'est pour ça qu'il pratique l'amour... vache ! @Tequila Moor
  14. Auger

    L'amour et si ...

    Milieu agricole alors ? (OK !!! je sors)
  15. Suis d'accord. Mais donner un tel exemple de foutage de gueule, c'est "dangereux" indirectement pour la société. Quand un ministre se fait piquer en bouffant du homard ou en sifflant des bonnes bouteilles, c'est pas ce que ça coûte le problème - ça ne coûte presque rien - c'est l'exemple désastreux. Enfin, je crois...
  16. Bien sûr qu'ils sont dangereux pour la société : pour l'exemple désastreux d'impunité et de mépris des lois. S'ils font ce qu'ils veulent, pourquoi pas les autres ?
  17. Auger

    L'amour et si ...

    Il a fallu que je m'accroche, chiche ! me suis-je dis ! (OK, c'est nul ! parfois il faut en sortir 50 pour qu'il y en ait une de bonne )
  18. Auger

    L'amour et si ...

    Affection (forcément) Miracle (sans commentaire) Orgasmes (bah quoi ?) Unis (pour la vie ?) Réciprocité (voir la lettre O)
  19. Ne m'engueule pas, mais relis le livre ? Je suis toujours le premier à dénoncer la pédophilie, mais quand la réalité d'une situation est plus compliquée, pourquoi être dogmatique, refuser toute lucidité et voir les choses en blanc/noir ? Quand on est adepte du "tout juridisme" (ce n'est pourtant pas mon cas), les mots ont un sens : à 19 ans le cas de Joyce Maynard ne relevait pas de la pédophilie, au sens strict et juridique, mais de la fascination dangereuse d'un côté et de la perversité mentale de l'autre. Couple Macron, pédophilie ? Bien sûr que non ! Etre fascinée par une ordure, être incapable de l'admettre 20 ans après ! Oui, cette femme m'a prodigieusement énervé ! Elle dessert la cause des femmes !
  20. Je comprends, mais j'ai préféré y aller avec des "pincettes" sur ce sujet. Elle était majeure, pas 12, 13 ans comme le faisait Matzneff et tous ces pourris d'intello. gauchistes des années 70. Salinger (oui, une ordure !) a répété ce processus avec des jeunes femmes de 18, 19, 20 ans : s'agit-il réellement de pédophilie ? d'emprise oui, de pédophilie je suis moins sûr : je ne pense pas qu'il faille "galvauder" ce terme en l'appliquant à toutes les situations. Si tu te souviens du livre elle ne se plains pas d'ailleurs de ça, mais plutôt d'avoir été jetée par Salinger alors qu'elle se voyait avoir des enfants avec lui ! Au final, je ne suis pas d'accord avec toi : je n' ai pas vu de "libération de la parole", mais au contraire une vision ambiguë de la fascination de ces jeunes femmes pour des vieux bonhommes (vieux mais célèbres ?).
  21. Joyce Maynard - Et devant moi, le monde Bon, je vais encore faire mon grincheux... Pour paraphraser le texte d'un dessin de Charlie Hebdo (c'est dur d'être aimé par des cons), je dirais "C'est dur d'être amoureuse d'un sale con". En effet, le principal intérêt du bouquin (et ce qui a fait son succès médiatique retentissant à l'époque, il y a une vingtaine d'années), c'est l'histoire d'amour de l'auteur (19 ans) avec J. D. Salinger (53 ans) et le portrait (peu flatteur) qui est fait de ce dernier. On retombe sur l'énième histoire d'écrivain qui, s'il n'est pas pédophile juridiquement, a quand même une très forte attirance pour les très jeunes femmes (tout juste majeures donc). La façon dont il l'a attirée dans ses filets est particulièrement écœurante (à mes yeux en tout cas) Le portrait de Salinger est effroyable : une espèce de gourou (limite pervers narcissique, comme on dit aujourd'hui) qui cherche à imposer son mode de vie extrême à Joyce Maynard, puis la jettera finalement comme un vieux mouchoir au bout de quelques mois. Pour ce qui est de l'auteur, elle n'est pas davantage sympathique : autocentrée sur son talent et sur son corps (anorexie, boulimie), pas très propre (c'est un truc qui m'a choqué), plutôt "chiante" et envahissante, elle mélange la pudibonderie et l'impudeur : ses problèmes de vaginite dont elle n'arrive pas à tirer quelque chose de plus... profond...(désolé). Au final, je ne la plains qu'à moitié. Reste une peinture intéressante de la vie américaine, du statut de la femme, de son émancipation et de la vie estudiantine des années 70.
  22. Comment elle pétait ? elle a pas de fesses...
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