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Justement, je n'essaye pas de prouver que Dieu n'existe pas et je n'ai pas prétendu que c'était un fait : j'ai seulement insinué que les athées s'en remettaient(humblement) à leurs sens, leur raison et à la science. Alors quel est le lien solide que tu fais entre mes propos et se prétendre être le centre du monde avec un trop d'orgueil ?

Le sujet prend un mauvais départ : "le principal argument des athées c'est Dieu existe pas ... c'est improuvable donc c'est sans intérêt" parce qu'il n'est pas prouvable qu'il n'existe pas justement, et comme le signifie Fidel Castor, parce qu'il n'est pas prouvable qu'il existe (avec un développement sur la conscience qui n'est pas très convaincant parce que s'il était très difficile de bien conceptualiser la conscience, les neurosciences y parviennent actuellement en "l'objectivant"; reste cependant à la définir encore plus précisément). Donc athée et croyants sont renvoyés dos à dos. Mais je tiens à signaler en présence de ce dos à dos que, dans l'histoire, si une catégorie a plus harcelé l'autre pour imposer ce qui reste impossible à prouver ce sont plutôt les croyants (parfois via tortures, massacres, génocides...). Alors je reste sensible à cette promotion de l'amour, du vivre ensemble que diffuse la foi, la croyance. Mais il est une partie de l'humanité qui préfère se fier à ses sens, sa raison, à ce que formalise la science pour vivre le mieux possible avec autrui. Et l'athée que je suis trouve plus beau la religion en ne prenant pas au sérieux l'aspect métaphysique mais en pensant qu'elle a entièrement été conçue par l'Homme.

Tu parles d'os à ronger, de meutes : quand tu parles des races de ton espèce tu parles des homos sapiens ou tu es en fait un clébard surdoué capable d'utiliser un clavier? Renseigne toi auprès de tes ascendants.

Ce n'est pas de la "moraline" (tu me connaissais avant de te permettre ce genre de jugement?) mais l'anthropologie et la paléontologie qui voient dans les différences ethniques actuelles chez homo sapiens des différences de surface ne permettant pas de distinguer des races. J'attends ce train de la génétique mais tant que rien n'est défini je m'abstiens de tous commentaires. Si tu ne fais pas de différences entre la prudence que nous impose la science et la morale, ne fais aucune références à la science.

Tu parlais de quels mammifères? Non parce que pour les homos sapiens la science ne définit toujours pas de races (il est 21h30 le 27 janvier 2019).

Il y a dans cette réponse une incompréhension manifeste à ce que je disais : je n'appelais pas à rester figé sur l'histoire, je souhaitais seulement qu'on retisse des liens avec l'histoire. Le problème de la mondialisation est justement l'uniformisation des cultures, pas du tout la diversité. Parce que la vraie diversité de ces cultures est aseptisée, schématisée, vendue en kits.

Le problème est d'avoir perdu la mémoire, d'avoir coupé beaucoup de liens avec l'histoire et notamment avec l'histoire de France. Cette perte de liens nous a transformés en consommateurs et parfois en consommateurs des cultures. Le problème est que ce statut aseptise tout et perd surtout le sens que donne chaque culture à la relation entre une société humaine et au monde qui l'entoure. Les cultures ne sont pas comme des marchandises qu'il suffirait de mettre sous-vide pour les conserver.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 16/100 Mon temps 122 secondes   Très nul : une confirmation.

Pourtant ton image de profil est un signe de ponctuation, non? Ou peut-être une expression de la langue des signes.

Tu es si sage!

Bien sûr elle est un moyen et j'ai indiqué ce qui pour moi pourrait être l'origine de ce qu'on appelle l'intelligence. Il y a une dimension pratique dans l'intelligence mais ce qu'elle recouvre exactement change en fonction de l'évolution culturelle. C'est pourquoi il me semble que la science ne pourra jamais la définir précisément. Et évidemment même si des peuples primitifs n'ont pas dans leur culture le concept d'intelligence, ils peuvent en faire preuve mais la définition de ce dont ils font preuve varie. Pour ce qui est des surdoués, je me réfère plutôt aux études récentes en neuroscience qui distinguent le fonctionnement cérébral des surdoués par la durée des différentes étapes de maturation du cerveau et par la connexion de zones cérébrales spécifiques. C'est une piste que commence à emprunter les neurosciences mais rien n'est défini.

Il y a peu de risques si tu t'adresses à un psychologue diplômé (donc en général par une université) à BAC+4 minimum (le DESS c'était BAC+5 mais en bifurquant il me semble qu'on pouvait être BAC+4 et psychologue. Actuellement il s'agit de masters). Et un test reste un test : il a ses limites intrinsèques et le comportement pendant ce test n'est pas forcément représentatif du comportement habituel. Passer le test permettra d'avoir un retour sur ton fonctionnement cognitif et te donnera une piste. Des surdoués en discutent abondamment via des sites consacrés à leur statut de "zèbres" : ils témoignent sur l'expérience du test et quant à l'impact qu'il a eu sur leur vie personnelle.

A ce jour seuls les psychologues spécialisés en psychométrie pourraient apporter des réponses à tes questions. Parce qu'ils ont les outils pour définir ton fonctionnement cognitif et faire un lien avec la personne (sociale) que tu es.

Vu la quantité de livres qui traitent le sujet et vu les contradictions incessantes ton vécu ne pourrait pas correspondre à cette jungle. Mais si tu limites la question de l'intelligence aux "hauts potentiels" ou "surdoués" c'est seulement une partie de la question. S'agit-il d'intelligence ou d'un type de fonctionnement cognitif singulier? Le tout est de continuer à affiner les réponses données à ce jour. Mais il semble se profiler une différence plus qualitative que simplement quantitative entre le fonctionnement cognitif des surdoués et le reste de la population. Le tout est de définir ce qui se cache précisément derrière cette différence qualitative.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 90/100 Mon temps 52 secondes   Enfin! Mais j'avais déjà répondu au 4 premières questions.

Le problème est que je ne change même pas d'onglet.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 30/100 Mon temps 102 secondes   Même problème avec un autre navigateur!

L'intelligence étant un concept social, c'est-à-dire qui émerge de notre culture, je ne pense qu'on puisse un jour la définir scientifiquement. Ce que ce terme recouvre varie selon les modes. Contentons nous de penser qu'il s'agit de la capacité à s'adapter à son milieu pour bien survivre. Voire de le transformer à sont profit (c'est un plus).

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 0/100 Mon temps 5 secondes   JE RENONCE.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 10/100 Mon temps 14 secondes   ENCORE UN BUG!

Il vous faudrait vous calmer (s'énerver pour rien, c'est mauvais pour la santé). Donc je vous répète à mon tour que je n'ai pas à commenter votre réponse à ma question. Et je n'attendais pas d'autre commentaire là-dessus, point!

L'école ne saurait enseigner la créativité ou l'innovation. Mais elle permet leur expression en transmettant un socle qui nécessaire pour la maîtrise minimale des codes de nos sociétés, issus de l'intelligence collective. Ensuite il appartient à chacun d'utiliser ce socle pour inventer sa vie. Mais pour la société humaine, l'école est irremplaçable justement parce qu'elle transmet les clés de l'intelligence collective.

L'euthanasie a un petit lien avec la mort, non? Et surtout avec la relation qu'on a intimement avec sa propre mort et surtout avec la vie. Je vous posais juste la question, comme si vous êtiez confrontée à un dilemme, je ne faisais pas de prosélytisme. Si je fais du prosélytisme c'est pour que chacun puisse choisir quand et comment il va mourir : vous exprimez votre choix et je n'ai aucun commentaire à faire, inutile de s'énerver.

Imagine : on te propose dès demain d'être euthanasiée (sans être malade et surtout en sachant que ce sera ta dernière possibilité d'être euthanasiée), que décides-tu? Tu acceptes ou tu refuses en sachant que tu ne pourras plus bénéficier de cette mort sans souffrance?

Non, la corrida et la boucherie n'ont pas de relation avec notre mort : la corrida est une torture à vomir et la boucherie à repenser. Pour affronter notre propre mort, sachons que nous seront plongés dans le même néant qui précède notre naissance. Parfois cela semble vertigineux mais pas besoin de voir le sang qui coule (car c'est celui d'êtres vivants qui n'ont pas demander à souffrir atrocement) ni de peupler l'au-delà comme des enfants très immatures.