Crève

Oui vous avez raison, quand je pense au fantastique de Balzac, je pense par exemple à La Peau de chagrin, mais aussi à une nouvelle moins connue qui s’appelle L’elixir de longue vie.

Je continue sur ma lancée Divergent de Veronica Roth, avec le tome 2 : Insurgent.

Je ne sais si le Live action aura autant de succès que le manga papier, mais j'ai assez peur que ça tourne en rond : bon en gros, l'équipage voyage, tombe sur des gros méchants, et les tatane. bon j'exagère, les personnages sont travaillés, mais je ne sais pas si je rempilerai pour les autres saisons. je préfère relire le papier.

on m'a prêté un livre de fantastique : le labyrinthe de Pan, je n'ai plus trop de souvenirs du film, si ce n'est la créature étrange à table qu'il ne fallait pas déranger :

(hommages à Hubert Reeves)

Derniers films vus : mon cinéma repasse de vieux classiques, cette semaine : Citizen Kane Considéré comme l'un des meilleurs films, il fallait que je comble cette lacune. C'est vrai que c'est original. Ensuite, j'ai vu un court métrage de Wes Anderson : La merveilleuse histoire de Henry Sugar On retrouve tout à fait l'esprit de Roal Dahl, dans une narration cinématographique somme toute très littéraire avec la voix off.

Je ne connais que Amin Maalouf.

on m'a prêté une anthologie, 12 textes de science-fiction, sur le thème de l'écologie, collection dirigée par Gérard Klein :

Netflix a changé la donne, mais des noms du grand écran sont passés sur Netflix, comme Jean-Pierre Jeunet qui a fait un film pour Netflix (Big Bug), ou David Fincher qui a donné pour Mindhunter ; J'aime me retrouver au cinéma de temps en temps, même si je consomme plus de vidéos à la demande (Netflix).

Je lis Mr Mercedes, de Stephen King :

Je crois que là, ma bête fait bien son 01 cm de longueur. ils disent que les punaises c'est 7mm max. J'en ai marre, je vis dans la terreur de ramener des punaises chez moi, quand je vais au cinéma, je pense à changer de place en cours de séance pour que je sois un peu en mouvement, pour pas qu'elles s'installent sur moi. Merci de vos avis

je suis un peu stressé : pouvez-vous me dire, j'ai trouvé ça chez moi, si c'est une punaise de lit ?

J'abonde dans votre sens, et j'ajoute que si l'on veut commencer Balzac et qu'on a un petit appétit, on peut essayer cette histoire courte : Une passion dans le désert : C'est une très belle histoire, et qui montre tout le génie de Balzac, que je considère comme le père spirituel des romanciers français. De plus, Balzac est un auteur original et il a aussi donné dans le fantastique, j'en veux pour preuves : La peau de chagrin, et L'élixir de longue vie. Nul doute que si un Balzac naissait maintenant, il aurait les pieds dans les littératures de l'imaginaire.

Vu hier soir, pour ma part, je ne regrette pas d'être allé le voir, j'ai retrouvé le Luc Besson de Léon, alors que j'avais été moyennement satisfait de Lucy et Valerian et la Cité des 1000 planètes.

Des fois, j'aime bien sortir de mes prédilections habituelles.

COMPOST : mon expérience avec LES RATS Vous avez de la chance ; nous, on a un petit carré de jardin, enclos, je dirais de 37 m² ; on a installé un compost, en plastique, à même le sol, sur l'herbe. Pendant plusieurs années, tout s'est bien passé, mais un jour, on a constaté que notre chien était assez agité dans ce petit carré de jardin, il cherchait avec sa truffe quelque chose. Puis, on a découvert à côté du compost, un trou. Ce trou fait sur la pelouse, de la taille d'un rat, mène sous le compost. Un rat avait élu ici son garde-manger. Notre voisine, dont on est séparé par une haie, donnait des graines à manger pour les oiseaux, et en avait parsemé son carré de jardin à elle. Apparemment, le rat faisait des allez-retours entre chez elle et chez nous, il passait par la haie, puis par le tunnel creusé sous le compost, et se servait. * * * Le temps qu'on se pose la question : qu'est-ce qu'on fait ? Le rat, ou plutôt devrais-je dire : la rate, avait fait des petits. Une portée de 10 petits rats, qui se régalaient à la vue du compost. ça grouillait de partout, le chien ne savait plus où donner de la tête. * * * Suite des aventures : on a pris le problème à bras le corps, et fait appel à un spécialiste des nuisibles. Il nous a proposé de poser deux tubes, avec dedans de quoi attirer les rats, pour qu'ils ingèrent un aliment qui les tuerait. Il y en avait de trois sortes, parce que maintenant les rats sont résistants à ça, et ne meurent pas avec un seul, donc avec trois, on a plus de chance de le crever. Chaque tube coûte 70 €uros. Il en faut deux. On a décidé de faire sans ; et on est allé acheté de la mort aux rat à Brico Marché. On a mis ça dans une cage. (Sauf que, attention, il ne fallait plus que le chien aille dans le jardin, de risque de mordre dans un rat contaminé, et de faire crever le chien.) Résultat de l'opération: tous les petits sont entrés dans la cage, qui s'est refermée sur eux. Ils étaient donc pris au piège. Ils sont morts de leur ingestion. Mais pas la mère. Qui n'est jamais entrée dans la cage. Trop méfiante. * * * Suite au prochain épisode. Il n'y a pas de compost bien fait ou mal fait. Les rats trouveront toujours un passage. Voyez mon exemple ci-dessus, mon compost était dans un endroit CLOS.

Dernières lectures : La science-fiction que j'aime. 1377 pages. Je pense que Maxime Chattam est dérangé, dans sa tête ! Dans ce roman de 2003, il pressentait le Dark Net. Ici, la Cour des Miracles. Pas déçu par cette histoire conçue pour les ados, malgré une historiette d'amour un peu gnan-gnan, mais des concepts intéressants, et un final réussi qui surprend. Ma prochaine lecture :

L'analyse que je propose est sensiblement différente ; en gros elle se résume à cette phrase : le smartphone ne fait pas grève, lui. La RATP, souvent en grève : on cherche à les remplacer, comme le poinçonneur des Lilas. Plus de guichetier, plus d'emmerdes. On habitue les voyageurs à utiliser leur smartphone, jusqu'au jour où le guichetier (de tickets de métro) n'aura plus d'emploi, plus de travail. Pour moi, c'est ça la raison première et principale. De même que les billets de trains sont moins chers sur Internet qu'au guichetier de la gare, pour inciter à acheter sur le Net. Pour faire disparaître le personnel de la SNCF. Souvent en grève. Ce qui me sidère, c'est de mettre en avant : "le ticket n'est pas écologique". Alors que du papier, on en utilise bien pour des tracts électoraux. La vraie raison, c'est qu'on veut virer du personnel. Mais on se cache derrière une excuse qui passe bien en ce moment (La France Verte). Enfin, j'ajoute en dernière analyse, que l'achat sur son téléphone de tickets de transport, permettra aussi de tracer intégralement : qui va où.

Il est annoncé dans la presse, que, dans un premier temps, on pourra/on peut acheter son titre de transport par voie de téléphone portable (donc, smartphone). Puis, dans un second temps, que les tickets disparaîtront. (à Paris probablement) Le petit ticket cartonné a été jugé non-écologique ; d'où sa mise au rebut, sa disparition. Je souhaite votre avis, car j'ai ma petite analyse sur cette situation, que je vais vous donner, mais j'aimerais d'abord recueillir la vôtre. Comment analysez-vous cette politique ? Article ici : https://www.frandroid.com/android/applications/595546_paris-annonce-la-fin-du-ticket-de-metro-remplace-par-le-smartphone

Si l'on ne sait pas pourquoi il a chuté, l'Empire romain, cela me fait dire que l'Empire Occidental, dans lequel nous nous trouvons, et sa société capitaliste, peut tout aussi bien chuter sans qu'on comprenne pourquoi. (Donc oui, j'y pense tous les jours.)

Je viens de terminer "Le bal des folles" : J'hésite à donner mon avis, car ça va être polémique : je n'ai pas aimé le début de ce roman. En fait, je crois que je suis masculiniste, à mesure que le féminisme ambiant gagne du terrain. Dans son roman, elle ne cesse de marteler que le problème, c'est le "patriarcat", le "patriarche", or ces termes-là sont dans la bouche des féministes, mais pas de l'époque qu'elle décrit. Je doute fort que les femmes de cette époque-là, celle de Charcot, avaient constamment en tête le "patriarcat" comme ennemi. Quand elle décrit les aspirations d'une femme de ce temps-là, à savoir, qu'elle ne veut pas de sa condition que la société lui réserve, élever des enfants, être la femme de son mari, etc. elle fait un énorme anachronisme : elle transpose la mentalité d'une féministe d'aujourd'hui, dans une femme d'époque. J'ai trouvé ça mal fait. La suite du roman m'a mieux plu, le côté un peu fantastique de celle qui voit et entend les morts. @January, tu peux le mettre dans "livre que je voulais pas lire" (je l'ai lu quand même, parce qu'il est au programme de mon cercle de lecture mensuel) ; et si tu l'as lu, je suis tout ouïe de ton avis

En effet c'est bien fait : surtout cette scène incroyable, où sa compagne de 98, demande au lui futur, celui de 2023 donc, qu'est-ce qui s'est passé depuis, comment est le futur ? lui, de répondre : - eh bien, on a eu une pandémie ; puis le climat s'est déréglé. Notons bien que, si la série était crédible, elle n'aurait pas fait l'impasse sur un événement : le 9/11, qui a occupé les médias H24 pendant six mois, sur toute la planète. Et que quelqu'un de 2023, qui causerait avec quelqu'un de 98, en vue de changer le passé, sa première chose aurait été d'empêcher les attentats du 11 septembre 2001 ; pas de s'occuper d'un petit meurtre sans importance, autour duquel tourne la série. Mais bon, la série tomberait à l'eau. Donc dans cette scène, où Tomer Sisley dit à sa compagne ce qu'il s'est passé depuis 98, les scénaristes, pour bien faire et pas qu'on se pose des questions qui créeraient des trous béants dans le scénario, passe sous silence le 11/9. Qu'est-ce qui s'est passé ? Oh, juste une pandémie, et le climat. C'est bien fait, en effet, si on ne regarde pas de trop près le scénario, cousu de grosses ficelles.

J'ai lu le roman sulfureux de Salman Rushdie, Les Versets sataniques, et rien ne m'a choqué. J'ai beaucoup plus aimé son roman pour la jeunesse Haroun et la mer des Histoires.

pourquoi l'action créatrice se doit d'être subversive ?

Oui, comme « ramener la couverture à soi. » il y a des exceptions, qui n’invalident pas la règle, mais dans mon exemple il y avait bien une faute non pas de sens, mais de vocabulaire.