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Élie Fréron

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Tout ce qui a été posté par Élie Fréron

  1. Demande à LouiseAragon, une autre prof spécialiste de la distribution de tracts communistes jusqu'à la défense de la Corée du Nord. Vous devriez bien vous entendre.
  2. Il est arrivé quand tu étais élève. Une constante est en revanche la pourriture marxiste qui gangrène toujours l'EN.
  3. Au XVIIIe siècle Rousseau était bien plus "machiste" comme disent les débiles, que moi. Mais ça, il faut avoir une culture pour le savoir.
  4. « Une féministe, c'est une femme qui se bat pour que son fils joue à la poupée pendant qu'un migrant joue au docteur avec sa fille. »
  5. Même un article de jeanmarcmorandini.com, ils ne sont pas foutus de le comprendre en analysant correctement les informations d'un texte. Les débiles dans la classe de 5e ce sont leurs enfants.
  6. Désespéré par le niveau de ses élèves de 5e, auxquels il avait tenté - sans succès - de faire lire «Les Royaumes du Nord» de Philip Pullman, le professeur a décidé de se «venger» en préparant un contrôle de lecture sur l'oeuvre «Oui-Oui à la ferme». Avec beaucoup d'ironie, il propose dans cette nouvelle interrogation des questions appelant à des réponses évidentes. La première partie du contrôle, par exemple, ne contient que des questions dont la réponse est «Oui». «Si les questions sont trop difficiles, écris ton nom sans te tromper pour avoir la moitié des points», précise l'enseignant à un moment, avant demander aux élèves combien de jambes et de bras a le personnage de Oui-Oui. L'énoncé de l'examen s'achève par cette phrase : «Si tu as fini et que tu n’es pas trop fatigué, tu peux lire Les Royaumes du Nord». Publié sur un groupe Facebook fermé, traitant de questions d'éducation, ce «faux contrôle» était pour l'enseignant un moyen de se défouler, de dénoncer avec humour la baisse du niveau des élèves de collège en lecture. La journaliste qui l'a relayé assure ainsi au Figaro qu'il n'a jamais été question de le distribuer réellement aux enfants. «C’était un coup de gueule humoristique d’un prof désespéré, mais il ne voulait pas être méchant envers ses élèves» assure-t-elle. [...] http://www.jeanmarcmorandini.com/article-377158-desespere-par-le-niveau-de-sa-classe-de-5e-un-professeur-imagine-un-questionnaire-debile-et-met-en-colere-twitter-qui-le-trouve-meprisant.html
  7. Et alors ? Ce n'est pas un gros mot. A chacun d'exploiter sa valeur au lieu de s'offenser de celle des autres. Cet esprit français égalitaire est abject.
  8. On en reparlera quand il faudra porter quelque chose de lourd.
  9. Un article démagogique qui oublie de dire que le niveau de vie des pauvres dans le monde s'est considérablement amélioré depuis 40 ans, parallèlement à l’augmentation des "inégalités" qui n'ont donc rien de problématiques, à part pour les envieux. Pour plus de pertinence :
  10. C'est normal. Il est des domaines où les femmes doivent rester supérieures et d'autres où les hommes doivent l'être. L'égalité indifférenciatrice est une ineptie.
  11. Cette comparaison laisse entendre que le féminisme est l'équivalant féminin du machisme. Bravo, tu viens d'enterrer pour toujours le féminisme en croyant le défendre.
  12. Quelle différence entre Jean-Marie Le Pen qui veut que ses enfants voient des vaches plutôt que des arabes, et les gauchistes qui contournent la carte scolaire pour que leurs enfants soient dans des écoles de blancs ? Aucune, sinon la franchise.
  13. La décolonisation a laissé l'Afrique en proie à la famine et le discours bien-pensant est tellement sirupeux qu'il donne le diabète. Donc oui.
  14. S'excuser est la nature du gauchiste, ainsi que ramper ventre à terre.
  15. Etre de gauche implique de donner des leçons de morale à la terre entière mais d'être le premier à fuir la diversité qu'on professe. C'est "faites ce que je dis, pas ce que je fais". Facile d'être pour l'immigration quand on a les moyens de mettre ses gosses à l'abri en école privée.
  16. C'est la première phrase de l’article. Un titre "putaclic" aurait été "Les parents gauchistes trahissent leurs idéaux", quoique c'eût été encore un résumé fidèle. J'ai pourtant laissé le meilleur :
  17. Ce qui se résume par : oui à la mixité mais pas pour mes enfants qui méritent le meilleur. Et on contourne la carte scolaire en aggravant la ségrégation sociale et ethnique qu'on prétend combattre. C'est beau d'être de gauche.
  18. Les parents déchirés par l’école «Je ne veux pas sacrifier mon enfant à mes idéaux !» L’entrée en sixième sonne souvent comme un défi pour les familles installées dans les quartiers mélangés. Entre convictions solidaires et souci de protéger sa fille ou son fils, le choix prend des allures de dilemme intime. C’est un iceberg que personne ne voit venir. Qui met à l’épreuve, parfois violemment, dans les familles de gauche, des valeurs qui semblaient ancrées pour la vie. Une déchirure intime, un rite de passage citoyen et politique, la première occasion majeure, souvent, de confronter ses actes à son discours politique. L’aîné entre en sixième. Ceux qui y sont confrontés étaient partis gentrifier les quartiers populaires, ils s’étaient éloignés du centre-ville parce que l’immobilier n’y était plus accessible, ils aimaient croiser leurs voisins d’origine et de classe sociale diverses le dimanche matin au marché. Ils comprennent désormais que vivre dans le quartier, dans cette banlieue, c’est aussi faire grandir les enfants ensemble. [...] Comment articuler, au plus profond de soi, cette décision de ne pas scolariser son enfant dans le quartier, quand on se réclamait en primaire de l’esprit laïque de l’école de la République, et qu’on se faisait élire représentants FCPE aux conseils d’école ? Comment justifier quotidiennement ce grand écart entre le dire («je pense qu’il est important que chacun s’engage pour lutter contre les inégalités») et le faire («je préfère garantir à mon enfant un entre-soi rassurant») ? Certains parents, lucides, assument d’avoir fait le deuil de certaines convictions et expliquent, sans fierté mais sans faux-semblants, avoir établi, la mort dans l’âme, une priorité : mon enfant vaut plus que mes principes. D’autres tentent la quadrature du cercle et plaident le cas particulier. Le petit dernier est trop «fragile». Le grand s’est pris d’une soudaine passion pour le tuba… ça tombe bien, le collège réputé d’à côté propose justement une option instruments à vent. Ou, version plus politique : «Tant que le privé ne sera pas contraint à jouer le jeu de la mixité, pas de raison que je le fasse (et en attendant, je mets mon enfant dans ledit privé)». Entre les mots, il s’agit de se persuader qu’on est toujours de gauche. Qu’on pense toujours «bien». [...] http://www.liberation.fr/debats/2018/01/17/les-parents-dechires-par-l-ecole_1623163
  19. Le site de l’Académie propose une liste questions fréquentes plaisantes à parcourir Questions de langue ainsi qu’un service de questions réponses pour les questions épineuses (cliquer sur le lien Service du dictionnaire à droite sur cette même page). On peut également y consulter une page consacrée à la féminisation des métiers. Le Dictionnaire culturel en langue française (dir. Alain Rey). Robert, 2005 consacre un paragraphe à cette question dans l’article auteur : féminin de auteur. A propos de femmes, on emploi surtout auteur (Elles [les femmes d’à présent] veulent écrire et devenir auteur [Molière – Les femmes savantes]), parfois femme auteur. « Une de mes chances était d’avoir toujours dans mes liaisons des femmes auteurs » (Rousseau – les Confessions). Le féminin morphologique autrice est rare. Au Québec, la langue officielle utilise la forme anormale auteure n.f. ============================= http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/auteur/6555 Auteur est neutre . On est déjà passé avant toi. Merci quand même pour ton inutile pavé qui n'apprend rien à personne.
  20. En effet. Les féministes ayant des cerveaux idéologisés, ils s'imaginent que les patrons aussi, qu'ils sont donc "masculinistes". Or, la seule doctrine du patron est la rentabilité de son entreprise. Si un employé lui est précieux pour ses compétences il le paiera davantage quel que soit son sexe. Et chose pour laquelle les statistiques offrent des conclusions faussées, on ne prend pas en compte les différences d'aspiration : les femmes se sacrifient moins pour leur carrière quand elles décident d'avoir des enfants, elles atteignent donc en moyenne des salaires moins élevés.
  21. Et en l'occurrence notre crustacé est un extrémiste qui défend l'écriture inclusive. Il adhère donc aussi, logiquement, à la féminisation des noms de métier.
  22. On parle parfois de néo-féminisme pour distinguer les deux mais la frontière n'est plus très nette. Pour moi, certaines idéologies sont mignonnes quand elles sont petites et deviennent monstrueuses arrivées à maturité. Aussi, ce qu'on appelle dérive n'est souvent qu'aboutissement logique.
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