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truebypass

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  1. truebypass

    La "clope" au "cinoche"

    Et pourtant si. Car tu peux tout à fait réaliser en 2017, un film qui porte sur une époque où la clope était démocratisée, des plateaux TV aux salons des ménages en passant par les bureaux de l'administration. J'ai un exemple en tête qui n'est certes pas du cinéma mais une série Tv française humoristique, diffusée il y a déjà quelques temps sur arte: Au service de la France. Ca nous plonge dans l'administration française des 60's, plus précisément dans les services secrets français, la décolonisation... et on voit les mecs cloper comme des porcs en réunion, tout le temps. Tu confonds réalité et cinéma, le tout conjugué au présent. Je crois que le cinéma en a un peu rien à secouer de la loi Evin.
  2. truebypass

    La "clope" au "cinoche"

    Du coup, tout le monde voit pas la même chose. Superbe stratégie commerciale. Vivemen tAmélie Poulain, le retour avec l'achat d'une table apple, entourée de tablettes asus, samsung & co.
  3. truebypass

    La "clope" au "cinoche"

    Je considère le cinéma comme un art et pour autant je ne suis pas d'accord avec toi. Pourquoi? Parce que je ne suis pas aussi catégorique. Tout élément visible à l'écran ne sert pas nécessairement à montrer quelque chose de précis, d'intentionnel. Certains réals laissent champ libre quant à la direction d'acteurs qui font comme bon leur semble et composent et joue avec plus ou moins de réflexion leur personnage. Et inversement d'ailleurs, tu peux même réussir à montrer quelque chose à l'écran sans que pour autant cela soit visible. En somme, on peut cloper pour montrer quelque chose comme pour ne rien montrer de spécial, si ce n'est rendre la chose plus authentique à l'écran, par exemple. Ton exemple ne vaut pas pour généralité. Tu es dans le cliché. Le cinéma, ça n'est pas qu'un scénario, un story board et des portraits typés de personnages avec un placard-à-accessoires.
  4. truebypass

    La "clope" au "cinoche"

    On les voit autant que les 4 paquets de Gitanes, juste à droite du buste de Nanti. Du coup, Gauloise fait du placement produit pour une marque concurrente. C'est habile, même si tout ça, c'est la même team: Seita/Imperial tobacco.
  5. truebypass

    La "clope" au "cinoche"

    Cela devrait forcément servir à montrer quelque chose?
  6. truebypass

    La "clope" au "cinoche"

    Selon elle? Mais elle ne se base donc que sur son intime conviction?
  7. Je ne me suis pas seulement appuyé sur la définition inscrite dans le code pénal. Pour le dictionnaire de base, c'est pareil et je l'ai également évoqué. Etre d'accord sur la définition des termes, c'est justement le pourquoi du comment de mon intervention. Et comme je vois que l'on galvaude les termes en question, je le dis. Le sens des mots c'est important, sinon on ne peut pas échanger normalement. Le dico, le code pénal, ils sont là pour créer du commun justement. Leurs définitions s'imposent à toutes et à tous, peu importe le ressenti, l'expérience, la place de chacun. C'est un contenu objectif et le débat a besoin d'objectivité, d'être dépassionné. C'est aussi valable pour un homme d'ailleurs. Mais vous conviendrez également que c'est difficile de débattre du sujet, devoir "prendre des pincettes" et relever le fait que les termes clés sont mal employés et confondus. Sinon on occulte tout et on n'échange plus, de peur qu l'autre se sente vexé parce qu'il s'est auparavant déjà pris le choux avec X connards misogyne. J'y peux rien si certains sont sur les dents ou à fleur de peau, c’est leur problème et je refuse d'être mis dans le même panier des "coupables" pour ça. Ca n'est pas mon problème. Je n'ai pas à payer le prix des antécédents d'une conversation. Si les gens ne sont pas capables de se contrôler, si ça les saoule, qu'ils fassent une pause. Ca peut paraitre rude oui, mais dans le cadre d'un débat, c'est nécessaire. Sinon personne ne parle de la même chose. Le code pénal s'appuie lui même sur la définition du dictionnaire. Il faudrait revoir le dico aussi? Du harcèlement reste du harcèlement. On ne va pas transformer le sens des mots parce que les gens ne savent plus ce que certains mots veulent dire. Le code donne un cadre. Ensuite le législateur fait en fonction de ça, du fait, des circonstances de ce dernier. En somme, il y a la loi et l'interprétation de la loi. Pour vous, oui. Mais ça n'est factuellement, objectivement pas du harcèlement. "Absolument. Une agression sexuelle répétée est du harcèlement sexuel. Mais le harcèlement sexuel n'est pas la somme d'agressions sexuelles isolées." Mon but n'est pas de jeter le discrédit sur qui que ce soit. Je constate juste que le concept d'harcèlement est de plus en plus utilisé à mauvais escient, rien de plus. La qualification sur le plan judiciaire, c’est encore autre chose. Mais si on continue tous comme ça, à parler de harcèlement quand cela n'en n'est pas, au bout d'un moment, tout sera qualifié de harcèlement. Et ça n'est pas logique. Entièrement d'accord avec ceci. Je suis conscient que je reste assez campé sur mon point de vue, qu'il set pour certains trop "drastique", pas assez empathique mais je n'aime pas me cacher derrière de faux semblant. Et merci pour la pondération de vos propos et le recul dont vous faites preuve.
  8. Avec nous ou contre nous, misandrie contre misogynie. Ouais, on est pas dans la merde.
  9. Absolument. Une agression sexuelle répétée est du harcèlement sexuel. Mais le harcèlement sexuel n'est pas la somme d'agressions sexuelles isolées. Voici ce qu'a écrit précisément January: 1 jeune femme sur 10 de moins de 20 ans déclare avoir été agressée sexuellement au cours de sa vie. Entre 2010 et 2012, 83 000 femmes sont victimes de viols ou tentatives de viols par an (la stat est vieille, ces agressions sont en augmentation). Et toi tu es surpris ? Pas moi. Oui : on a quasiment toutes été harcelées au moins une fois dans notre vie. January parle d'abord de statistiques d'agression sexuelle pour conclure sur le fait que quasiment toutes les femmes ont été harcelées au moins une fois dans leur vie. D'une, entre des chiffres/stats et un "on a quasiment toutes" qui relève plus du don d'omniscience que d'une réelle probité. De deux, les deux notions se suivent sans lien logique. De trois, je lis "harcelées" et "au moins une fois". Forcément, je peux légitimement émettre une clarification dans tout ça, au regard de la confusion ambiante entre harcèlement et agression. Et c'est valable aussi - et là je me permet d'ouvrir une parenthèse dans le topic - pour les violences physiques. Pour rappel, le n° d'urgence officiel de violences conjugales (3919) est valable pour les deux sexes et pas que pour les femmes. On a tendance parfois à l'oublier car la com' gouvernementale, comme associative, est pour l'essentiel focalisée sur la violence faites aux femmes. Certes, ce sont principalement les femmes qui sont victimes de violences conjugales mais les chiffres concernant les homme sont à relativiser car beaucoup de cas ne rentrent pas dans les statistiques, par méconnaissance des dispositifs ou par honte, tout simplement. Un rapide calcul des victimes de violences conjugales montre que les hommes représentent donc 27 % des cas de violence conjugales et 17 % des cas mortels. La formule – tristement consacrée – : « Tous les trois jours, une femme décède sous les coups de son conjoint » peut toutefois son équivalent pour l’autre sexe : « Tous les 14,5 jours, un homme décède sous les coups de sa conjointe ». Cette violence, plus taboue, est mal représentée par les statistiques. Les hommes en parlent moins, le déclarent moins. Quand 10 femmes sur 100 déposent plainte suite aux violences qu’elles ont subies, seuls 3 hommes sur 100 osent se tourner vers la justice, toujours selon l’ONDRP. http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/04/10/hommes-battus-des-chiffres-pour-comprendre-une-realite-meconnue_4613224_4355770.html http://soshommesbattus.over-blog.com/article-statistiques-violences-conjugales-la-desinformation-continue-123553717.html Fin de la parenthèse.
  10. truebypass

    prières de rue

    Du coup ça doit être compliqué pour remplir les papiers d'identité, notamment quand il faut mentionner sa date de naissance. Ca donne des citoyens vieux d'environ 600 ans ou bien pour le coup, on décide subitement d'être au XXIème siècle? Les voyages temporels, c'est pas trop chiant?
  11. truebypass

    prières de rue

    Au temps pour moi, je ne savais pas que la préfecture avait donné son autorisation à titre exceptionnel. Je ne faisais que rappeler le cadre légal habituel, propres aux manifestations, qu'elles soient d'ordre religieux ou autres d'ailleurs. Pour autant, ça ne change rien à ce que je précise dans la seconde partie de mon post: "Au regard de la place laissée aux femmes musulmanes dans les mosquées, il y en a une part non négligeable qui sont contraintes - pour des raisons d'espaces ou pour des raisons plus "sociales" - à prier à domicile. J'imagine donc que c'est tout à fait possible pour tout musulman " Difficile de plaider logiquement le besoin en lieu de culte quand au sein même de la communauté, la place laissée aux femmes pour prier est bien plus faible que celle laissée aux hommes. A moins que ce besoin soit plus justifié et justifiable pour un musulman que pour une musulmane?
  12. truebypass

    prières de rue

    Ce qui ne justifie pas que l'on occupe l'espace public sans autorisation. Au regard de la place laissée aux femmes musulmanes dans les mosquées, il y en a une part non négligeable qui sont contraintes - pour des raisons d'espaces ou pour des raisons plus "sociales" - à prier à domicile. J'imagine donc que c'est tout à fait possible pour tout musulman
  13. Trollerie. D'une, j'ai écrit " pour dire tout et n'importe quoi à la fois", et non "ça ne veut rien dire". De deux, extraire connement une phrase de mon explication avec January, c'est de la branlette. De trois, oui, sortir comme un cheveux sur la soupe le gimmick culture du viol, quand quelqu'un prends la peine d'expliquer la différence entre agressions et harcèlements, c'est tout foutre dans le même panier. On en est rendu à des formules toutes faites, globalisantes alors que la réalité est bien plus complexe et plurielle que ça.
  14. Ca réfute pour autant ce que j'explique? Non. Mais merci d'avoir participé. Pour ta gouverne, j'ai il y a quelques années traité des fonds de Tribunaux pour des dossiers de mises sous tutelles, avec très souvent des affaires d'attouchements ou de viols sur mineurs venant presque toujours du cercle familial, avec des peines allant le plus clair du temps jusqu'à seulement 6 mois avec sursis. Donc oui, je suis "un petit peu" conscient de ce qu"il se passe.
  15. Les violences commises peuvent relever soit de la qualification pénale de simple contravention, soit du délit ou enfin du crime. Les violences physiques légères (n’ayant entraîné aucune incapacité de travail (ITT)) sont sanctionnées par une amende de 750 euros. Il s’agit d’une contravention de quatrième classe. Pour en savoir plus, lire la fiche « Contraventions ». Les violences physiques ayant entraîné une ITT de 8 jours ou moins sont sanctionnées d’une amende de 1 500 euros. Il s’agit d’une contravention de 5ème classe. Les violences physiques ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours représentent un délit passible de trois ans de prison et d’une amende de 45 000 euros. Les violences physiques ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont sanctionnées d’une peine de prison de 10 ans et de 150 000 euros d’amende maximum. Les violences physiques ayant entraîné le décès de la victime constituent un crime passible de la réclusion criminelle à perpétuité. https://www.jurifiable.com/conseil-juridique/droit-penal/agression-physique Quant au viol, c'est pénalement un crime, oui. Une agression pour une personne: ponctualité Plusieurs agressions pour une personne: répétitivité Plusieurs agressions pour plusieurs personnes: répétitivité et/ou ponctualité. C'est ce qu'on appelle, utiliser et comprendre la langue française. Je le répète: dictionnaire, code pénal. Le reste, c'est un problème d'APPLICATION des peines encourues. Mais arrêtons d'écrire n'importe quoi en se servant de formules toutes faites, comme "culture du viol" pour dire tout et n'importe quoi à la fois. Merci de la précision.
  16. Je ne pinaille pas. Je démontre avec preuve à l'appui que des personnes influentes qui s'emparent du sujet, écrivent des conneries et de fait, ont une responsabilité, sinon une influence sur la compréhension et l'approche du problème pour énormément de gens, hommes comme femmes. La mauvaise foi ne plaidera pas en ta faveur. Tu veux être factuelle comme tu dis? OK, alors soyons objectifs, utilisons les bons mots, faisons la part des choses. Si c'est répété dans une soirée, oui, c'est du harcèlement. Là dessous nous sommes d'accord, ps besoin d'enfoncer des portes ouvertes donc pour noyer inutilement le poisson. Également d'accord. Répréhensible à la hauteur de la qualification du délit. C'est justement très clair dans ma tête. Je sais faire la part des choses, je le dis et je le démontre. Maintenant, peut-être auras tu la politesse de répondre à ma question qui demeure en suspend: Nous, qui est ce nous?
  17. J'aimerais que tu m'expliques où il y a du déni dans mon propos. Car désolé de faire des précisions sur les termes à employer et surtout sur leur usage qui est galvaudé à l'occasion. Dans ton post que j'ai cité, il y a deux lignes où tu évoques les agressions sexuelles, parfois ponctuelles ou uniques et avec une dernière phrase de conclusion où tu évoques le harcèlement. Tu admettras sans grande peine que la confusion puisse être possible, à la lecture d'un tel post. Quant au cas de ta fille, oui c'est effectivement du harcèlement. Mais je ne vois pas le rapport avec mon propos initial.
  18. Nous, qui est ce nous? Si c'est "nous, les femmes", j'en connais au moins deux qui ne savent pas faire une différence entre du harcèlement et une agression: Anaïs Bourdet, fondatrice du tumblr Payetashneck, et Manon Bodin, des "Féministes par inadvertance". Elles écrivent au Huff' " interpeller une femme, même une seule fois, avec des propos sexistes, humiliants, insultants, menaçants ou à caractère sexuel constitue déjà une forme de harcèlement. " http://www.huffingtonpost.fr/2017/10/15/ce-tableau-permet-de-distinguer-tres-simplement-drague-et-harcelement_a_23243806/?ncid=tweetlnkfrhpmg00000001 Or, le harcèlement dans le code pénal (comme dans le dico d'ailleurs), ça n'est pas ça: Le harcèlement est la répétition de propos et de comportements ayant pour but ou effet une dégradation des conditions de vie de la victime. Cela se traduit par des conséquences sur la santé physique ou mentale de la personne harcelée. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32247 Bref, si des militantes de la cause s'emparent de notion et les déforment, c'est foutu. Alors merci de le clarifier.
  19. Une agression sexuelle n'est pas du harcèlement . Le harcèlement, c'est une action répétée, non ponctuelle.
  20. C'était quel parfum, par curiosité? Parfum pour homme ou femme?
  21. Elle puise pas plutôt sa force dans l'Orangina rouge?
  22. Sinon, j'ai récemment vu La La Land. Je m'attendais à un film plus léger, plus axé comédie musicale. Finalement c'est un joli drame amoureux et j'avoue avoir fait ma tafiole sur la fin.
  23. Avec du filtre en veux tu en voilà façon "Rolland Garros/pub pour le parfum Terre d'hermès". Cette OST... ou comment Zimmer a dû même faire appel à un autre gus pour à 4 mains, accoucher d'une sous OST de Vangelis-like.
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