Aller au contenu

truebypass

Membre
  • Compteur de contenus

    2 838
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par truebypass

  1. truebypass

    Salon du Bourget

    Et le salon du Bourget continue de se faire faire pipi dans la bouche comme un bon gros paillasson.
  2. truebypass

    Salon du Bourget

    C'est bien, c'est bien. Fais un bisou sur le pipou de Meyer de ma part.
  3. Les deux sont d'ED, détestent les mulsulmans et les rabzas. Ca crée des liens.
  4. C'est tellement "évident" qu'en France tous les leviers, soutiens, promoteurs et représentants de l'extreme droite, sont des ennemis affichés de tout ce qui touche à l'islam, aux musulmans et aux individus d'origine maghrébine. Par contre pour taper la bise aux sionistes et faire des voyages en Israel... Meyer Habib : Jordan Bardella a sa place en Israël (lesfrancais.press) Visite du Rassemblement national en Israël : un voyage qui divise (franceinfo.fr)
  5. Ca sert à taper dans la fourmilière à sionistes bas de gamme et t'es tombé dans le piège, petit chat. Ce genre de commentaire est d'ailleurs plutôt ponctuel, sinon rare si tu daignes regarder l'ensemble de mes participations. Mais j'ai déjà du mal à estimer ta probité, alors ne parlons même pas de ton empirisme.
  6. Une nouvelle nuit d’échange de missiles entre Israël et l’Iran a eu lieu entre le 14 et le 15 juin. La domination technologique d’Israël, qui contrôle le ciel et multiplie les bombardements, est évidente, bien que l’Iran soit de nouveau parvenu à toucher le sol israélien avec ses armes. C’est une nouvelle étape dans l’escalade mortifère. Oubliant volontairement que c’est Israël qui a lancé l’attaque et donc déclenché la guerre, la classe médiatique française est au garde à vous. Sur Cnews, on prétend que «les Israéliens sont en train de défendre nos valeurs, la sécurité de l’Occident et la sécurité de l’Europe». BFM donne la parole à des israéliens qui expliquent qu’ils ont «mal dormi», et même à des députés du Likoud, le parti de Netanyahou, qui déroulent leurs éléments de langage. Euronews parle d’habitants de Tel Aviv «sous le choc». France 24 titre : «Destructions et stupeur à Tel Aviv». On évoque aussi les immeubles d’habitation détruits et les personnes «sous les décombres». Tout est fait pour créer de l’empathie avec Israël. Il n’y a jamais eu le dixième d’un tel traitement de l’information pour Gaza, intégralement rasée et victime d’une opération génocidaire. Dans cette guerre médiatique qui vise à intoxiquer l’opinion et à encourager la marche vers la guerre – avec l’appui de la France – voici 10 rappels que vous n’entendrez pas ailleurs : 1 – Israël s’est procuré l’arme nucléaire illégalement et ne respecte pas les traités internationaux. Officiellement, Israël a lancé une attaque pour empêcher l’Iran de se fournir une arme nucléaire de façon secrète. C’est pourtant exactement ce qu’a fait… Israël. Dès 1949, un an après sa création, l’État hébreu cherche à se doter de la bombe, mais les USA s’y opposent, pour éviter une prolifération nucléaire au Proche-Orient. Israël désobéit, et lance secrètement son programme dans le désert du Néguev, avec l’aide de la France. Une aide décisive : dans les années 1950, Israël va enrichir de l’uranium grâce à des techniciens français. En 1960, un scientifique britannique alarme sur le fait qu’Israël pourrait fabriquer une bombe «sale», très radioactive. «Israël ne construit pas de bombe nucléaire et n’a pas l’intention de le faire» répond officiellement l’État hébreu. Un nouveau mensonge. En 1967, les USA apprennent qu’Israël est capable de produire du plutonium, et donc sur le point de fabriquer ses bombes. Mis devant le fait accompli, le président des USA, Nixon, passe un accord secret qui reconnaît le droit à Israël d’être une puissance nucléaire, mais sans «faire d’introduction visible d’ogives». Il s’agit d’éviter une panique des pays arabes qui les pousseraient à se doter de la bombe à leur tour. Aujourd’hui, même si ce n’est toujours pas reconnu officiellement, Israël disposerait de 100 à 200 têtes nucléaires. Ce qui permet aux plus radicaux du gouvernement de Netanyahou d’appeler à envoyer une bombe atomique sur Gaza. Cette arme a donc été acquise clandestinement, en-dehors des traités internationaux. Israël n’a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n’est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA). C’est pire que ce qui est reproché à l’Iran. 2 – Une «attaque défensive» n’existe pas. Lors de la guerre en Irak, les USA ont prétexté une «guerre préventive» pour empêcher la prolifération «d’armes de destruction massive». On sait désormais que c’était l’un des plus gros mensonges du XXème siècle, qui a causé des centaines de milliers de morts en Irak et déstabilisé durablement tout le Moyen-Orient. Désormais, les pro-israélien vendent le concept «d’attaque défensive» : un oxymore, comme un coup de poing affectueux ou une claque gentille. C’est une agression délibérée commise contre un État, en violation du droit international, quoiqu’on pense du régime iranien. 3 – L’armée israélienne utilise la population civile comme bouclier humain. Pour justifier le génocide à Gaza, Israël et les médias occidentaux nous ont beaucoup parlé de «boucliers humains», c’est à dire de combattants au sein de la population civile, qui justifieraient les «dommages collatéraux». Gaza était l’un des territoires les plus densément peuplés du monde, sous blocus depuis 15 ans, il est logiquement impossible pour les palestiniens, même s’ils le voulaient, de construire d’éventuelles infrastructures militaires – qui auraient été immédiatement détruites – à l’écart de villes. Surtout, dans toute guerre asymétrique, où une force infiniment plus puissante et armée écrase un ennemi sans capacité militaire, il est logique que les combattants se cachent s’ils veulent survivre. C’est le principe de toute guérilla : de Cuba au Vietnam, de l’Algérie à la Résistance française. C’est même un principe adopté par des armées régulières, en particulier la Suisse qui cache d’énormes infrastructures militaires derrière des paravents civils. En revanche, Israël n’a aucune raison valable de placer ses bases militaires au cœur de la population. Saviez-vous que la principale base des Forces de défense israéliennes, qui abrite le commandement militaire, se trouve au cœur de Tel Aviv, dans le quartier de Kirya ? Ce bâtiment a été visé par l’Iran, entraînant des destructions alentours, abondamment médiatisées. Si l’on parle de «boucliers humains» à Gaza, il faut dire la même chose pour Israël. 4 – Israël a assassiné les négociateurs iraniens. Avant l’attaque, l’Iran était engagé dans des négociations avec la Maison-Blanche sur son programme nucléaire. Parmi les personnes tuées lors de l’attaque israélienne de jeudi figurait le principal négociateur nucléaire iranien : Ali Shamkhani. Le 15 mai, le quotidien Le Monde titrait : «Nucléaire : l’Iran est prêt à accepter un accord en cas de levée des sanctions, affirme un conseiller du Guide suprême». Ali Shamkhani avait affirmé que «Téhéran s’engagerait à ne jamais fabriquer d’armes nucléaires en échange d’une levée des sanctions économiques contre l’Iran». Les négociations étaient sur le point d’aboutir, mais Israël a lancé l’assaut et détruit le processus. Netanyahou avait fait la même chose en assassinant les négociateurs du Hamas qui tentaient de faire avancer un accord de cessez-le-feu et un échange d’otages. À chaque fois, c’est le choix de la guerre à outrance et de l’escalade. 5 – Israël agresse tous les pays voisins. Rien que ces dernières semaines, l’État colonial a mené des frappes sur le Liban, la Syrie, le Yémen, violé l’espace aérien de l’Irak… Il y a des exceptions : l’Égypte, dictature alliée de l’occident, qui protège les intérêts israéliens, et la Jordanie qui lui ouvre son espace aérien pour mener ses bombardements. En dehors d’Israël, aucun autre État dans le monde ne peut se permettre une telle frénésie belliqueuse sans recevoir ni sanction, ni embargo, ni riposte militaire de la coalition internationale. 6 – De la même manière que la guerre renforce Netanyahou, elle renforce aussi le régime des Mollah. Le régime iranien était affaibli par deux ans de contestations sociales et féministes. Les dirigeants iraniens ont assassiné des centaines d’opposant-es et persécutent les minorités. Maintenant que l’Iran est attaqué, le gouvernement va pouvoir verrouiller encore plus le pays et assimiler toute critique interne comme externe à de la complicité avec le sionisme. 7 – Pourquoi Macron défend-t-il Israël ? Le président a immédiatement parlé du «droit d’Israël à se protéger» et s’est dit prêt «à participer à sa protection». C’est gravissime, et la preuve que la Cinquième République est un régime autoritaire et dangereux. Un président mal élu, sans majorité, peut décider en quelques heures de piétiner le droit international et d’embarquer la France dans une guerre aux conséquences incalculables. Pourtant la France n’a aucune raison de défendre Israël, elle est même régulièrement menacée par les ministres de Netanyahou. 8 – «Téhéran brûlera» C’est ce qu’a déclaré le ministre de la défense israélien, Israël Katz, estimant que «le dictateur iranien est en train de transformer les citoyens iraniens en otages et de créer une réalité dans laquelle ils – en particulier les habitants de Téhéran – paieront un lourd tribut». Inversion, menace, qui arrêtera ce gouvernement fanatisé ? 9 – L’objectif d’Israël n’est pas atteint. Selon plusieurs experts, l’armée israélienne n’a pas (encore) sérieusement porté atteinte au programme nucléaire iranien. La volonté iranienne de se doter de la bombe nucléaire pourrait même se renforcer, accélérant sa mise au point, alors que le pays dispose déjà d’uranium enrichi. L’Iran a annoncé samedi cesser de coopérer «comme auparavant» avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), fustigeant son «silence» après des frappes israéliennes contre des sites nucléaires iraniens. Mais Netanyahou s’en moque, puisqu’il cherche l’escalade. 10- La guerre a permis d’enterrer la conférence sur la reconnaissance de la Palestine. La conférence à l’ONU sur l’État palestinien qui devait se tenir la semaine prochaine va être reportée, a annoncé Emmanuel Macron. Il n’y aura pas de reconnaissance de la Palestine par la France, l’Angleterre et autres. C’était l’un des souhaits de Netanyahou, il est atteint.
  7. Alors c'était vraiment pour la forme. Le Japon était à genoux, c'était une question de semaines. Mais bon, c'était sans doute "mieux" de faire un test grandeur nature tout en faisant une démonstration de force au bloc de l'est. De toute façon, les USA ont terminé la guerre comme ils y sont entrés: en fourbes. L'attaque de Pear Harbor n'était pas une surprise, Roosevelt était au courant mais cette attaque pouvait lui servir de prétexte pour entrer en guerre alors que l'opinion public était jusqu'alors défavorable à la guerre. Une attaque connue à l'avance et qui sert de prétexte pour rentrer en guerre... tiens, ça me rappelle quelque chose...
  8. Oui après tout, c'est pas comme si les USA l'avait déjà sans qu'on lui dise quoi que ce soit et par dessus le marché, s'en était servi deux fois de suite sur des civils. La faute à minimum 75 ans d'ingérence américaine et britannique.
  9. Depuis des mois, en plus de commettre un génocide à Gaza et d'annexer des territoires palestiniens en Cisjordanie, Israël a multiplié les agressions et provocations dans tout le Proche et Moyen-Orient : bombardements en Syrie, attaque militaire et attentats au Liban, frappes en Iran… Le gouvernement fasciste israélien sait que la guerre permanente est son assurance vie, et il a tout fait pour obtenir des réactions. Sans succès, jusqu'à présent. Cette fois-ci, c'est la bonne : un conflit contre l'Iran est déclenché, et il risque d'embarquer le monde avec lui. Netanyahou était plus fragilisé que jamais à l'intérieur comme à l'extérieur. Ces dernières semaines, il commençait à être lâché par ses plus proches alliés, y compris la France et l'Angleterre qui s'apprêtaient à reconnaître la Palestine. Il s'est mis à dos les opinions publiques mondiales, provoquant des manifestations de plus en plus importantes. Enfin, dans son propre pays, des milliers de soldats font défection, des protestations se font entendre jusque dans les rangs du Mossad, et une tentative de destitution a été lancée par l'opposition parlementaire. Quoi de mieux qu'une bonne guerre pour faire taire tout le monde ? Dans la nuit du 12 au 13 juin, Israël a lancé, avec l'accord tacite de Trump, plusieurs vagues de bombardements sur l'Iran. 200 avions de guerre ont largué leurs bombes, des drones militaires ont aussi été déployés pour frapper des sites militaires et nucléaires, mais également des immeubles résidentiels. 78 personnes ont été tuées, dont des enfants, et 320 autres blessées. Plusieurs hauts responsables du régime iranien ainsi que des scientifiques ont trouvé la mort dans leurs maisons, avec leurs familles. Netanyahou a annoncé qu'Israël était à «un moment décisif de son Histoire» et que l'opération baptisée «la force d'un Lion» durera «le temps qu'il faudra». Cette opération a décapité l'élite iranienne et a humilié le régime. Elle a démontré que l'Iran est profondément infiltré par les services israéliens, qui ont non seulement localisé ses plus hauts responsables mais aussi saboté des avions et des appareils militaires avant l'attaque, empêchant une riposte rapide. Israël a également frappé en profondeur dans le pays, contre des sites stratégiques. Sur le site nucléaire de Natanz, lourdement bombardé, des radiations ont été mesurées ce vendredi. L'Iran subit depuis des mois de lourdes pertes sur son territoire et parmi ses alliés du Hezbollah, le régime ne peut pas ne pas réagir. Il ne s'agit pas tant de faire mal à Israël, mais de sauver les apparences. Le régime des Mollah est affaibli, il fait face depuis deux ans à d'importantes contestations, il est isolé diplomatiquement : il est obligé de montrer sa force. Vendredi matin, il a lancé une centaines de drone vers Israël, facilement interceptés. Le soir, il a tiré 200 missiles dont certains ont atteint Israël, y compris la capitale Tel Aviv. Le Likoud, le parti de Netanyahou, avait annoncé qu'il s'attendait à une riposte. Dès les missiles iraniens tombés, il a promis des représailles «terribles». Dans la nuit du 13 au 14 juin, de nouvelles escouades d'avions de guerre israéliens frappaient l'Iran. Tout est scénarisé à l'avance : maintenant, Israël peut se présenter comme l'agressé qui se défend, et ainsi enclencher une escalade incontrôlable. Macron a prononcé un discours dans lequel il «réaffirme le droit d’Israël à se protéger et à assurer sa sécurité [...] si Israël devait être attaqué, la France participerait aux opérations de défense d’Israël». Il est donc en train d'embarquer la France dans une guerre au Moyen-Orient, déclenchée par Israël. C'est extrêmement préoccupant. Autre conséquence : l’Iran risque d’accélérer sur la préparation de la bombe nucléaire. Le pays vient d'annoncer qu'il sortait du traité de non-prolifération des armes nucléaires, car des lignes rouges ont été franchies. Officiellement, l'attaque israélienne visait à empêcher l'Iran de se doter de l'arme atomique. Dans les faits, c'est l'inverse qui risque de se produire. Nous l'avons dit, Netanyahou lance cette guerre pour se maintenir au pouvoir. Cela va lui permettre de museler toute opposition à sa politique meurtrière, empêcher les manifestations et la tenue d’éventuelles élections, mais aussi son procès pour corruption. Il s'agit aussi d'un contre-feu : l'armée israélienne vient de couper toutes les communications à Gaza en détruisant la fibre optique qui reliait le territoire palestinien au reste du monde, un acte scandaleux. C'est aussi un contre-feu à la mobilisation internationale : celle du «Madleen» mais aussi le convoi pour Gaza qui se trouve actuellement en Égypte. Tous les yeux sont désormais rivés sur l'Iran. Enfin, une guerre contre l'Iran rentre dans le projet messianique des fascistes israéliens. Les colons religieux qui sont au gouvernement appellent depuis toujours à un conflit généralisé pour recréer «Eretz Israël», le «Grand Israël» de la Bible, qui s'étend selon leurs croyances sur le Liban, en Syrie, en Irak… Leur projet délirant est donc de mettre le feu à toute la région pour obtenir le retour du messie. Une seule certitude : l'obscurité s'approfondit, les empires veulent du sang et des larmes. Celui des peuples.
  10. Je l'ai effectivement regardé ces jours ci et c'était plutôt enrichissant. Mike Love s'est aussi racheté une âme et une virginité apparemment, ahah. Dans "Love and Mercy", c'est pas la même partition pour lui ^^
  11. Ah, le business en famille... Mais bon, au moins ils ont pas eu à se farcir Yoko.
  12. C'est pas évident je trouve car les deux groupes ont eu des "facilités" et des "difficultés" assez différentes pour mettre en oeuvre leur musique: Pour les Beach Boys, le management "tarte dans la gueule", la formule-pognon facile "filles/bagnoles/surf" ont été des freins pour Brian qui s'est finalement retrouvé très isolé au sein du groupe, même en dehors de sa très probable neuro-atypie. Et à côté de ça, les conditions studio c'était Byzance avec ne serait ce qu'une console 8 pistes. Alors que les Beatles c'est l'inverse: de la 4 pistes jusqu'à certaines sessions de Get Back/Let it be mais les mecs - et surtout le duo John/Paul - ont toujours été bien entourés, entre un management aux petits oignons sur la période Epstein et en parallèle l'aide et le savoir faire précieux de Georges Martin sur une grosse partie de leur discographie. Des groupes orientés rock avec de la fuzz, du stack Marschall. Les Beach Boys étaient clairement moins rock dans leur son et dans leurs influences 50's. Ca se ressent beaucoup à l'écoute de ce disque:
  13. C'est la preuve que les 60's en musique, c'est vraiment un puits sans fond.
  14. C'est un groupe "west coast" des sixties, entre folk et pop baroque. Un de leurs plus beaux titres, Magic Hollow, avait d'ailleurs été repris par Ulver (qui avait fait un split avec Sunn également huhu). A mon avis, c'est parce qu'ils étaient fan des Beatles.
  15. J'aurais ajouté Scott Walker, les Byrds, Procol Harum, The Beau Brummels. Entre autre hein
  16. Il faut écouter à partir de Pet Sounds. En gros, dès que Wilson a lâché les lives pour se concentrer sur la production studio et l'arrangement. Exit le pop surf-rock (la fameuse "recette" promue par Mike Love) et bonjour la symphonie de poche pop et baroque.
  17. Tu peux: aucune idéologie, qu'elle émane d'un groupuscule terroriste "normé" ou d'une politique étatique via le bras armé de ses militaires par le terrorisme d'état ("démocratique"), ne justifie la mort massive d'innocents. "Nous imposons un siège total contre la ville de Gaza. Il n'y a pas d'électricité, pas de nourriture, pas d'eau, pas de carburant. Tout est fermé. Nous combattons les animaux humains et nous agissons en conséquence" Yoav Galant Il n'y a rien de conventionnel à essentialiser une population entière à des animaux.
  18. Parce qu'il existe du terrorisme non imbécile car non religieux? Comme on oublie que le service militaire est obligatoire pour les israeliens de 18 ans et plus. Formés, armés. Et quand on sait que la tranche 0-18ans ne représente que 30% environ des israeliens, tu vois à peu près ce qui reste de "civils" israeliens qui savent se servir d'une arme avec une formation militaire. Effectivement, ça fait une différence importante en matière de moyens et d'effectifs. Ce n'était pas une provocation, juste une simple constatation.
  19. En comparaison, la pseudo "lutte contre le terrorisme" est responsable de plus de morts innocents et de destruction que "le terrorisme" lui même. La pseudo "lutte contre le terrorisme" est donc encore plus terroriste que "le terrorisme" lui même.
×