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Tout ce qui a été posté par sovenka
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Pour détendre les rats de bibliothèque...
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INDEPENDENCE, Missouri: Des couronnes centenaires en cheveux humains ornent les murs du Leila’s Hair Museum, et des vitrines regorgent de colliers et de bracelets de montre tissés à partir des cheveux des morts. On y trouve également des tresses censées provenir d'anciens présidents, de la légende hollywoodienne Marilyn Monroe et même de Jésus. Pendant une trentaine d'années, cette collection d'art capillaire, située à Independence, en banlieue de Kansas City, a attiré un public éclectique, dont la légende du heavy metal Ozzy Osbourne. Mais Leila Cohoon, qui a donné son nom au musée, est décédée en novembre dernier à l'âge de 92 ans. Aujourd'hui, sa petite-fille, Lindsay Evans, s'occupe de relocaliser la collection de plus de 3 000 pièces dans des musées à travers le pays, dont le Metropolitan Museum of Art de New York et le National Museum of Women in the Arts de Washington. Tout a commencé en 1956, lorsque Cohoon, coiffeuse, achetait des chaussures de Pâques. Dans un magasin d'antiquités, elle a trouvé un cadre doré rempli de mèches de cheveux torsadées en forme de fleurs. Un cadre qui est devenu la pièce la plus chère du musée de Leila... Cette forme d'art a connu son apogée au milieu du XIXe siècle, lorsque les femmes enroulaient les cheveux des morts pour en faire des bijoux ou racontaient leur histoire familiale en entrelaçant les boucles de leurs proches pour former des couronnes. Mais l'art capillaire est tombé en désuétude dans les années 1940, les souvenirs étant immortalisés en photos, explique Lindsay Evans. De telles œuvres n'étaient de toute façon pas valorisées puisque principalement réalisée par des femmes. Cela explique pourquoi les grands musées en ont peu. Sa grand-mère en a sauvé quelques-unes de la destruction, a écrit un livre et a donné des cours sur cet art, formant ainsi une nouvelle génération d'artistes. Souvent, les œuvres capillaires étaient conservées dans des cadres raffinés avec leur verre d'origine. La collection de Leila s'est enrichi au fil des ans jusqu'à inclure une couronne contenant les cheveux de toutes les femmes membres de la Ligue des électrices du Vermont en 1865. Deux couronnes en forme de croissant contiennent les tresses de deux sœurs dont la tête avait été rasée à leur entrée au couvent. Quelques pièces présentent même des animaux empaillés. Les cadres ornaient les murs de sa maison et de l'école de beauté qu'elle dirigeait avec son mari. Elle les rangeait sous les lits et dans les placards. Finalement, le couple a racheté le bâtiment d'un ancien concessionnaire automobile niché entre un fast-food et une station de lavage. Des célébrités ont eu vent de l'attraction. L'actrice et humoriste Phyllis Diller fit don d'une couronne de cheveux, propriété de sa famille depuis des générations. L'animateur de télévision Mike Rowe tourna un épisode de « Somebody’s Gotta Do It ». On y trouve peut-être aussi quelques mèches d'Osbourne. Lors de sa visite, Leila Cohoon a coupé une mèche, mais sa petite fille ne l'a pas encore retrouvée. En parcourant la collection, Genevieve Keeney, directrice du Musée national d'histoire funéraire de Houston, a contemplé avec intérêt les bijoux commémorant les morts, dont une petite broche ornée des cheveux d'une fillette de 7 ans décédée en 1811. « J'ai toujours pensé qu'il était important d'éduquer les gens sur la mort », a-t-elle déclaré, elle qui est également entrepreneur de pompes funèbres agréé. « Notre société fait tellement d'injustice en ne faisant pas comprendre aux gens ce que sont les véritables émotions ressenties face à la mort. » Lindsay Evans elle-même est aux prises avec un mélange d'émotions alors qu'elle récupère peu à peu l'héritage de sa grand-mère. « Je veux que les gens voient tout ça, car c'est ce qu'elle voulait », dit-elle. « Mais quand ce sera vide, ça me brisera un peu le cœur. » SOURCE: https://apnews.com/article/hair-museum-independence-1b1ab5dae3134cba32467fe8a2629ce2 De quoi inzpirer le zinéma d'épouvante avec une malédiczion des sseveux (excusez ze crois que z'en ai un zur la langue)
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Revue de presse de la semaine (nouvelle formule)
sovenka a répondu à un(e) sujet de Pierre-de-Jade dans Insolites
Un grand-duc de 70 ans n'est plus qu'un vieux hibou de toute façon -
Le mois d'halloween les chauve-souris sont à l'honneur
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Dans la zone artisanale des Playes, à Six-Fours, une salle de casse attire de plus en plus de visiteurs. Leur but : lâcher prise, se défouler, évacuer la colère… en cassant de la vaisselle ou de l’électroménager hors d’usage. Bienvenue à Breakin’Room 83 ! Le concept est né au Japon : entrer dans une salle pour tout casser, en musique et en toute sécurité, équipé d'une batte ou de gants de boxe, avec pour objectif de libérer son trop-plein d'émotions. Dans la salle de casse, la musique est forte, les murs sont solides, et les objets à détruire ne manquent pas : assiettes, tasses, écrans de télévision, micro-ondes… (tous hors d’usage). L’objectif : tout casser, sans jugement, et surtout sans danger. L'activité coûte 40 euros pour une séance de 25 minutes maximum. Et pour que l'aventure continue, l'équipe de Breakin’Room 83 fait un appel aux dons. Une cafetière cassée, un grille-pain hors d’usage ? À Breakin’Room 83, ils finiront en mille morceaux… mais pour une bonne cause. L'équipe se charge après d'apporter ce qu'il en reste à la déchetterie. SOURCE: https://www.francebleu.fr/infos/insolite/video-a-six-fours-ils-viennent-casser-pour-se-liberer-c-est-mieux-qu-une-seance-de-psy-7119390
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La grâce des méduses
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L'automne est là !
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HURGHADA, Égypte: Avec son courage, ses muscles et sa mâchoire d'acier, Ashraf Mahrous, un lutteur égyptien extrêmement populaire, s'est préparé samedi à relever un défi extraordinaire : tirer un navire de 700 tonnes sur l'eau avec une corde retenue uniquement par ses dents. « Aujourd'hui, je suis venu pour battre le record du monde », a-t-il déclaré lors d'une interview à Hurghada, station balnéaire égyptienne sur la mer Rouge, après le défi. La tâche n'était pas facile, mais Ashraf Mahrous, aussi connu sous le surnom de Kabonga, a déjà ébloui par sa force étonnante: plus tôt cette année, il a tiré un train. Il a également tiré seul une locomotive et, il y a quatre ans, un camion. À chaque exploit, sa popularité a grimpé en flèche : les enfants le poursuivent dans les rues, où il est simplement surnommé « l'homme fort ». Grâce à ce remorquage, Mahrous, 44 ans, originaire de la ville portuaire d'Ismalia, espère obtenir une nouvelle reconnaissance du Livre Guinness des records. Un triomphe au bord de la mer Rouge: Le décor était planté samedi sur la côte d'Hurghada où il a d'abord remorqué un navire de 700 tonnes. Ensuite, pour relever son défi, il a remorqué deux navires d'environ 1 150 tonnes ensemble. « Je les ai tirés tous les deux, grâce à Dieu, pour prouver à mes amis et au monde entier que Dieu m'a béni en me faisant devenir l'homme le plus fort du monde » dit-il. Il a précisé que le record du monde Guinness actuel est un navire de 614 tonnes, établi en 2018. Il a indiqué qu'il enverrait des vidéos et des photos de sa tentative au Livre Guinness des records pour évaluation. Pour se préparer à cet exploit, le gaillard a suivi un régime riche en protéines et en fer, consommant au moins une douzaine d'œufs, deux poulets entiers et 5 kg de poisson par jour, tout en s'entraînant deux heures, trois fois par jour. Ce n'était pas son premier tir de navire. Il y a six ans, il a essayé pendant deux heures avant de réussir à hisser un navire de 4 000 tonnes dans l'eau, une corde attachée à ses épaules, sur environ 30 mètres. L'événement a été filmé. « Je grognais et hurlais en tirant le bateau, et je lui parlais en disant : "C'est toi ou moi aujourd'hui" », a-t-il récemment confié à l'Associated Press dans sa salle de sport du Caire, où il s'entraîne quotidiennement. Mahrous estime que parler à l'avance avec l'objet qu'il tire l'aide à établir un lien et est la clé de sa réussite. « Il est important pour moi de considérer l'objet que je vais tirer comme une partie de mon corps qui bouge au rythme de mon cœur », a-t-il déclaré. Un enfant extraordinaire: Mahrous, qui mesure 1,90 m et pèse 155 kg, explique que sa force s'est manifestée très tôt. Enfant, il portait ses amis pour s'amuser et transportait de lourdes charges, plusieurs bouteilles de gaz à la fois, sur une brouette. Il avait 9 ans lorsque son père a perdu son emploi d'entrepreneur en Irak. Après cela, Mahrous a commencé à frapper aux portes, proposant de soulever des objets lourds contre de l'argent. Un jour, il a accidentellement cassé le bras d'un ami en chahutant. Il aidait les gens à déplacer des briques, des sacs de sable et autres matériaux lourds, et il était rapide. Passionné de sport, il s'entraînait au kung-fu, au kickboxing et avait même créé une équipe de lutte au Caire. Ce n'est que lorsque ses amis l'ont vu faire facilement tourner des pneus géants dix fois de suite dans la cour déserte de leur salle de sport et pousser une voiture d'un seul doigt qu'ils l'ont encouragé à viser un record du monde. « J'étais inspiré par ceux qui battaient des records et qui avaient l'impression de ne pas être meilleurs que moi », a-t-il déclaré. Aujourd'hui, il craint moins les blessures et craint davantage de rater une traction. Récompenses passées: En mars, il a été officiellement reconnu par le Livre Guinness des records pour la traction ferroviaire la plus lourde : il a tiré un train de 279 tonnes avec une corde tenue par ses dents sur une distance de près de 10 mètres. À l'époque, il avait reçu deux autres certificats, pour la traction de locomotive la plus lourde et pour la traction de véhicule routier la plus rapide sur 100 mètres. Mahrous, qui est Également président de la Fédération égyptienne des lutteurs professionnels, avait déjà été récompensé par le Guinness en juin 2021 pour avoir tiré un camion de 15 730 kilos grâce à ses dents. En février 2024, la franchise internationale l'avait également récompensé pour avoir cassé et mangé 11 œufs crus en 30 secondes. Il porte un protège-dents lors des épreuves de tirage, mais affirme ne pas avoir d'inquiétude pour ses dents. Au lieu d'aller chez le dentiste, il utilise un miswak, une branche traditionnelle pour se nettoyer les dents, riche en composés antibactériens qui aident à prévenir les caries. Il affirme ne prendre aucun complément alimentaire, seulement manger, dormir et s'entraîner au moins deux fois par jour. Ses ambitions sont loin d'être terminées. Il prévoit également d'adresser une demande à la présidence égyptienne pour obtenir l'autorisation de tirer un sous-marin de 263 000 tonnes. Il espère même un jour tirer un avion en utilisant uniquement les muscles de ses paupières. https://apnews.com/article/egypt-strong-man-ship-pull-mahrous-cbc3184a26bdbc84034cc6843bc8f00e (vidéo de l'exploit sur le lien)
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La justice a fait un coup de nettoyage au karcher
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A la rigueur des œufs de caille... ou mieux du caviar, ce ne sont pas 20 œufs d'esturgeon ou même de lompe qui vont bouleverser un organisme humain
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Comme effets secondaires il faut plutôt s'attendre à des pets tonitruants. Je le dis sans avoir encore lu les réponses à ton sujet mais je parie qu'on te l'a déjà fait remarquer je vais voir ça tout de suite Je trouve au contraire que c'est bien qu'il y ait des bouffons (je le dis sans méchanceté parce que bouffon fut un métier autrefois, une vraie profession qui plaçait ces personnes au contact direct des rois), c'est bien qu'il y ait des bouffons pour détendre l'atmosphère et qu'on rigole un peu de temps en temps
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Le rosé fait tourner la tête... et tourne le moulin d'Alphonse Daudet !
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« On avait tous le trac » : à Granville, des bénéficiaires du RSA défilent devant des employeurs
sovenka a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Insolites
Faut pas avoir le trac devant un employeur, il pisse et il chie comme n'importe qui d'autre et si il ne vous embauche pas faut se dire qu'on perd rien, que la vie continue -
Mon actrice préférée Merci Claudia et repose en paix, tu es inoubliable et personne ne te remplacera
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La passion de la poterie (si @Engardin passe par là...)
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si un livre vous ennuie , vous forcez-vous à le lire quand même ?
sovenka a répondu à un(e) sujet de Ximène dans Littérature
Ouh le cadeau empoisonné ! -
Aurais-tu été roi dans une vie antérieure ? Suite à un tournoi Henri II mourut à cause d'un éclat de bois de la lance de son adversaire -le comte de Montgomery- venu se ficher profondément dans son oeil (l'éclat de bois, pas Montgomery). Comme on n'avait pas encore inventé le scanner les médecins en quête de solution sont allés en prison enfoncer des échardes similaires dans l'œil de condamnés à mort, avant de découper leur tête en tranches fines pour tenter de voir comment ils pourraient soigner le souverain, qui finalement a rendu l'âme sans qu'on puisse le sauver.
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ADDISON, Vermont (USA): Céline Thouin a beaucoup appris lors de ses études à l'Université Franklin Pierce, et l'une des compétences qu'elle a conservées le plus longtemps est l'utilisation d'un ancien outil de lancer de javelot. Elle a pu partager cette compétence avec ses compatriotes vermontois samedi. A 38 ans vétérante de l'équipe d'atlatl de Franklin Pierce, elle faisait partie des quelques dizaines de participants au Championnat d'Atlatl du Nord-Est à Addison, dans le Vermont. L'atlatl a été inventé il y a des milliers d'années par l'homme pour servir d'outil de lancer de javelot. Il servait à chasser des animaux imposants comme les mammouths laineux, bien avant l'histoire écrite. Aujourd'hui, ce groupe d'amateurs et de passionnés d'anthropologie considèrent l'atlatl comme un moyen d'apprendre l'histoire tout en s'amusant. « Je pense que c'est un sport sans pression. Vraiment très amusant », a déclaré Céline Thouin, lauréat du concours 2020 et dont les enfants sont également passionnés d'atlatl. « C'est aussi de l'archéologie expérimentale, ce qui est incroyablement amusant. Nous utilisons les mêmes armes que celles utilisées il y a 15 000 ans partout dans le monde. » La compétition s'est déroulée au site historique d'État de Chimney Point à Addison, près du lac Champlain et de la frontière avec l'État de New York. Il s'agissait de la trentième édition annuelle, ceci dans le cadre du Mois de l'archéologie du Vermont. Le concours était ouvert à tous les âges et permettait aux participants de tester la précision et la distance. Des lancers de plus de 244 mètres ont été enregistrés. Néanmoins il faut savoir que même un lancer beaucoup plus court exige une bonne habileté. Pour Douglas Bassett, ancien président de l'Association mondiale d'atlatl et autre participant à l'événement de samedi, l'histoire de l'atlatl est aussi intéressante que son utilisation. Il le décrit comme « un bâton avec lequel on peut lancer un autre bâton », et il précise qu'il était utilisé dans tout le monde antique. Il avoue ignorer la prononciation du nom de l'outil. La plupart des sources indiquent qu'il s'agit de aht-LAHT-l, mais la prononciation exacte pourrait bien se perdre dans la nuit des temps, déclare-t-il. « La langue a disparu avec les peuples, donc je ne sais pas grand-chose sur les prononciations. Mais il y avait toutes sortes de langues, partout dans le monde. Il a peut-être été présent sur presque tous les continents. Même lorsque l'Antarctique fondra, peut-être trouverons-nous des traces d'hommes lançant des javelots là-bas aussi, avec l'atlatl. » SOURCE: https://apnews.com/article/vermont-atlatl-sports-spears-8fdaf7dbe84505055df60ea55772a10e
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Au volant du véhicule immobile, Nicole attend, presque tous les jours, les hommes qui viendront s’offrir un peu de son temps et de son corps. À bientôt 88 ans, cette femme au regard bleu perçant et à l’abondante chevelure brune se prostitue depuis des décennies. “J’ai commencé à 21 ans, raconte-t-elle. C’est ma maison ici, c’est ma vie, je m’ennuie chez moi. Ici je suis bien, je vois du monde.” Près de 67 ans après ses débuts, elle n’a aucune intention de ranger sa camionnette au garage. “C’est triste à dire, 88 ans, il y en a beaucoup qui me disent ‘ben Nicole, alors la retraite ?’ Oui, il n’y a pas de problème, mais je suis heureuse là.” Bien sûr, son âge soulève de nombreuses questions, ou du moins une certaine curiosité. Loin d’éluder le sujet, Nicole s’en amuse : “Il y en a qui passent, ils me disent ‘ben dis donc tu es un peu âgée’, ce n’est pas grave, je dis regarde toi avant !’”, lâche-t-elle dans un éclat de rire. Certes, elle voit bien que sa forme décline, et se plaint de sa démarche, moins vive qu’avant. Pour son travail, en revanche, le poids des années n’est pas si lourd : “Plus je vieillis, plus j’ai du succès. Parce que je suis gentille, c’est un métier, c’est la gentillesse.” Un petit sourire au coin des lèvres, elle ajoute : “Puis c’est du bon boulot.” De fait, certains clients s’arrêtent en apercevant son véhicule, d’autres l’appellent sur son téléphone portable pour convenir d’un rendez-vous, ou s’assurer qu’elle est là. “Et puis il y a beaucoup de nouveaux, il y a des estivants, liste-t-elle. Il y a des petits jeunes qui viennent s’instruire, il y a des vieux qui ne peuvent plus mais ce n’est pas grave, ils viennent passer un petit moment, ils discutent, ils papotent.” Arrivée en Charente-Maritime il y a plus de 35 ans, Nicole a su, au fil du temps, se constituer une clientèle fidèle : “J’ai beaucoup d’habitués, je suis leur femme. C’est aberrant, mais c’est comme ça, ils m’aiment.” Cet amour n’est toutefois pas réciproque : pour elle, les sentiments et le plaisir sont exclus à l’arrière de la camionnette. “Je suis gentille, je reçois bien, je donne peut-être un peu d’espoir, mais il n’y a pas plus que ça. C’est mon métier", rappelle-t-elle. L’amour, Nicole dit l’avoir connu une fois, de manière platonique. Elle qui a repoussé de nombreuses demandes en mariage, en parle comme d’un lointain souvenir, enterré depuis des lustres : “Moi, j’ai aimé dans ma vie, mais c’est fini, terminé. Quand je vois ce qu’il se passe et que j’ai les clients là, c’est terminé, je n’ai plus confiance. Bon, on ne voit que les mauvais, on ne voit pas les bons. Non, je ne vais plus aimer, c’est fini.” Ce qu’elle aime aujourd’hui, c’est sa "liberté". Il faut dire que dès sa jeunesse, les hommes ont laissé sur son histoire une empreinte sinistre, indélébile, mais c’est pourtant de leur fréquentation que Nicole a fait son gagne-pain... SOURCE: https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/la-rochelle/plus-je-vieillis-plus-j-ai-du-succes-les-confidences-de-nicole-88-ans-et-prostituee-toujours-heureuse-3219548.html
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Une étude avance qu'en mangeant des fruits mûrs chargés en éthanol, les chimpanzés consomment à l'état sauvage l'équivalent de plusieurs verres d'alcool par jour ! En recueillant des fruits habituellement consommés par les chimpanzés et en mesurant leur taux en éthanol, une forme d'alcool produite par la fermentation de sucres, les chercheurs ont pu établir que nos plus proches cousins étaient quotidiennement exposés à cette substance via leur alimentation. Et pas qu'un peu. Selon leurs calculs basés sur la teneur mesurée et la quantité très importante de fruits ingérés par jour par ces primates, ils évaluent que leur consommation journalière se situe autour de 14 grammes d'éthanol. On peut dire que ça équivaut à une pinte de bière pour un humain, pesant bien plus lourd qu'un chimpanzé. Notre appétence pour l'alcool et notre capacité à le métaboliser pourrait-il être un héritage de nos ancêtres primates exposés à l'éthanol via leur régime frugivore ? À ce stade de la découverte, on ignore encore si les primates recherchent délibérément ou non les fruits en forte teneur d'éthanol, ou si la consommation quotidienne a créé une dépendance. SOURCE: https://www.tf1info.fr/sciences-et-innovation/l-equivalent-d-une-pinte-de-biere-par-jour-les-chimpanzes-consomment-de-l-alcool-dans-la-nature-et-ca-en-dit-long-sur-nos-habitudes-2395430.html
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Huit ans après avoir été poignardé lors d'une violente rixe, un Tanzanien a découvert qu’il vivait toujours avec la lame de couteau coincée dans sa poitrine. Les médecins l’ont retirée in extremis, évitant un risque mortel. L’objet traversait la cage thoracique de l’arrière vers l’avant, coincé entre la cinquième et la sixième côte, à quelques centimètres seulement du cœur et des poumons. Le scanner a également mis en évidence d’anciennes fractures consolidées au niveau de l’omoplate et de plusieurs côtes. Si l’homme n’a pas souffert pendant toutes ces années, c’est parce que son organisme avait encapsulé le couteau dans une capsule fibreuse, formée notamment de collagène. Cette réaction immunitaire, déjà observée dans d’autres cas cliniques, permet de limiter l’inflammation et les dégâts sur les tissus environnants en isolant le corps étranger. L’équipe médicale est parvenue à extraire l’objet avec précaution. Les médecins soulignent toutefois que le risque encouru était immense. SOURCE: https://www.ladepeche.fr/2025/09/19/depuis-8-ans-il-vivait-avec-une-lame-de-couteau-pres-du-coeur-il-decouvre-larme-blanche-lors-dun-examen-medical-12941310.php
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oui je connais respirelax, très pratique
