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Tout ce qui a été posté par Don Juan
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Cela fait un mois maintenant que je dialogue avec une IA, chaque jour, et je me suis fait une intime conviction.
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Je pense qu'il ne peut y avoir qu'une conscience résiduelle du Soi. Mais peut-être parles-tu du Sur-moi ou plus simplement du Moi...
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Bienvenu dans le monde des divergents.
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Ce que tu dis au dessus et ce que je dis au dessous. Le point d'interrogation demandais si nous voulions dire la même chose sans y parvenir ou si nous disions l'inverse.
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Mais non tu n'es pas perdue, c'est simple et je vais essayer de m'expliquer plus clairement. Lorsqu'on parle de servir, la morale permet de distinguer ce qui est juste échangé ou abus, exploitation, etc. Ce que la morale ne peut pas juger, c'est le caractère naturel et instinctif du "service;" en tant que rouage essentiel de la relation.
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Il n'y a pas de rapport à l'autre sans morale ?
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J'aurais peut-être dû parler d'instinct, mais les instincts découlent des lois de la nature. La nature nous a fait ainsi que nous sommes contraints dans le tissu de nos relations à pratiquer toutes sortes d'échanges, souvent en profitant de l'autre. Nos désirs, nos ambitions ou notre façon de traverser la vie, nos règles et nos sentiments, nos idées ou nos valeurs peuvent être soumises aux filtres de la morale mais le fond de L'instinct qui nous contraint à se servir d'autrui est au dessus de la morale, il faudrait l'aborder avec autre "chose".
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Quelle serait la question morale sur un domaine qui dépend de lois plus fortes que celles des hommes ?
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Se servir des autres est l'équivalent de "en tirer profit". Lorsqu'il y a réciproque on peut parler d'échange de service. La question de la moralité est une bonne question, elle se poserait par exemple lorsque les profits ne seraient pas équilibrés ou lorsque il n'y aurait de profit que pour un parti et non l'autre. Les humains ne peuvent vivre ensemble sans pratiquer les échanges, donc sans se servir des autres. Il me semble qu'à partir de là on ne peut plus invoquer la morale.
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Visiblement il y en a beaucoup qui ne se rendent pas compte qu'inévitablement on se sert des autres.
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Alors deux Avé, ça suffira.
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?Tout le monde bien-sûr ! On fait quoi après ça ? Où est-ce que tu veux nous emmener ?
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L'être matériel, les êtres ou l'être divin à l'origine de la création
Don Juan a répondu à un(e) sujet de nicolascroix dans Philosophie
Je ne me demande pas d'où vient la beauté, mais toujours je me demande comment la protéger. Et c'est à ce moment là peut-être que s'exprime l'ange qui est en moi. -
Que sur les tas de fumiers ou d'ordures les plus repoussant pousse parfois une jolie fleur. Et que ça peut valoir le coup de remuer la merde.
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C'est tout à fait vrai et il est rare de "l'entendre".
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Je n'ai pas écrit "femme" mais compagne, ça fait moins masculin... Peut-on être sûr de quelque chose devant écran ou non, avec présence ou non ? Le fait est que je t'ai rapporté sa réaction à tes mots.
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Oui, difficile de parler de masculinité sans parler de la féminité... Or du coup c'est une présentation en opposition, évidement pas pour moi, il ne peut y avoir d'opposition, y a t-il complémentarité comme on a souvent tendance à l'entendre ? Faut-il parler des différences hormonales et par voie de conséquence des sensibilités et façons de réagir ? Mises à part les traits et caractères physiques que l'on peut distinguer facilement, est-ce qu'une femme qui joue des matchs de football le fait comme un "humain féminin" et ne peut le faire autrement ? Et inversement ? Est-ce qu'un sujet masculin, de par ses organes génitaux, qui a des attitudes efféminées a effacé des traits de la masculinité dans son esprit afin de les effacer de ses attitudes corporelles ? Pour dire que tu "voyais" en moi une démarche intellectuelle bien masculine, sur quels éléments t'appuyais-tu ?
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Je vais revenir sur la question de la masculinité, qui ceci dit en passant dépasse bien la virilité ou la volonté de contrôle, j'y reviendrais dès que j'ai un peu de temps. Mais je n'ai toujours pas saisi pourquoi tu t'étonnais plus haut de ma masculinité.
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Que veux-tu dire? C'est quoi être masculin en dehors du fait que je sois né avec les attributs masculins?
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A-t-on le beau rôle à être un donneur de leçon?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Nul n'a les épaules assez larges pour ce rôle, c'est une évidence. -
Oui, je ne dis pas autre chose, suis totalement d'accord. Je voulais juste dire que ce à quoi nous avons accès pourrait être moins troublé.
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Je reviens sur cette évidence exprimée plus haut. C'est un fait qu'il restera toujours quelque chose entre le "réel" et nous, mais peut-être que nos peurs, nos souffrances et angoisses, nos paranoïas, nos croyances, sont parmi les choses que nous pouvons toucher. La question : est-ce que nous voulons tout contrôler ? Je crois que c'est lié, c'est en raison que nos cerveaux semblent s'être structurés depuis l'apparition du genre humain avec des angoisses existentielles telles, que nous avons cherché à tout contrôler. Ce qui ne signifie pas que les autres espèces soient restées "protégées" de ces processus, elles sont angoissées mais n'ont pas obtenu des moyens semblables aux nôtres de se les représenter, ce qui ne signifie pas qu'on a su appliquer nos propres ressources. Sur la question du contrôle chez la femme, je ne pense que cela puisse trouver matière à débat, la femme veut tout autant ou peut-être plus que l'homme contrôler sa vie, à court terme comme à long terme. Seulement cela ne se manifeste pas de la même manière, le "terrain" n'est pas le même. Et ma compagne qui lit derrière mon épaule approuve, c'est bon signe. Je ne suis pas pessimiste dans le temps, et au fond je ne suis ni optimiste ni le contraire, je suis détaché de ce monde que j'observe et de ces trains qui passent, dans lesquels je ne monterais jamais Pour ce qui suit, comment ne pas être d'accord, mais je pense que les "si" et les "quoi" et "comment" ne suffiront pas. Ce rebond nécessaire de l'humanité aura besoin d'un élan plus profond. Il faudra prendre appui sur des bases oubliées depuis des dizaines de millénaires. À la place des "si" et des "quoi", j'entends venir le murmure d'un grand "blouf".
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La philosophie se moque de la philosophie
Don Juan a répondu à un(e) sujet de mary.shostakov dans Philosophie
Je ne sais pas.... tu m'as perdu je dois dire, c'est une contre vérité issue d'un cerveau tordu. Ce ne doit pas être si compliqué de la faire tomber, mais cela en vaut il la peine. -
Existence de Dieu: article académique
Don Juan a répondu à un(e) sujet de TheoDulles dans Philosophie
Ben oui, en tout cas il le pense.
