sirielle

La langue évolue mais ce sens reste grandement d'actualité sémantiquement, il n'est aucunement désuet même si le terme peut aussi être employé autrement. https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/envie Effectivement, l'envie est l'un des sept péchés capitaux également. C'est à dire l'une des sept sources de tous les vices d'après le catholicisme.

Sur le radical "envie" se construit le verbe "envier", qui lui, est resté plus exclusivement axé sur le sens étymologique du terme, convoiter pour soi les avantages d'autrui. Quant au terme "besoin" il renvoie en résumé au nécessaire, à ce qu'il faut. Mais sa valeur au quotidien peut donc dépendre de la légitimité de son objectif, besoin pour ceci ou cela, dans quel but, même si bien des besoins représentent des aspirations essentielles...

La culture peut avoir une certaine utilité pour traiter des sujets, au-delà des seules interprétations personnelles.

C'est le sens originel du mot, donc il compte prioritairement à mes yeux si on veut juger précisément de ce qu'est l'envie au fond. Même si on doit en effet aussi pouvoir tenir compte d'autres emplois du terme. Et au sujet de l'envie provenant du latin "invidia", Invidia dans la mythologie romaine est aussi la déesse de l'envie (et de la jalousie).

Le terme "envie" a été banalisé et édulcoré au fil du temps mais à la base il vient du latin "invidia", qui signifie en résumé "jalousie, haine". C'est pourquoi en premier lieu l'envie représente quelque chose que l'on souhaite en dépit du bon sens, parce que d'autres l'ont, ou parce qu'on fait fi du raisonnable.

Si pour ma part j'ai utilisé les termes "au-delà", c'est parce qu'on voit que c'est un jeune homme soigné, propre sur lui à la base. Et il dépasse alors ce conformisme social pour se retrouver d'une façon plus instinctive, moins formatée. Et je pense que s'il est autant en admiration devant lui-même, au point de sembler chavirer, c'est aussi peut-être parce qu'il se découvre en tant qu'adulte.

Ce genou est à mes yeux très réaliste, et sa nudité rappelle à mon idée un élan naturel au-delà des conventions sociales.

Ce tableau de Caravaggio est une oeuvre belle et impressionnante à mes yeux. Narcisse y semble se rapprocher de l'eau pour mieux voir son reflet obscur. L'expression de son visage est d'ailleurs soucieuse dans son attirance. Il porte la tenue retroussée pour l'occasion d'un jeune homme soigné et sa coiffure est encore un peu enfantine. Le paysage sombre évoque un isolement, Narcisse s'y découvre hypnotiquement, vraiment seul face à lui-même, dans un lieu naturel et caché...

Une fois par exemple lorsque j'ai dû choisir entre deux relations, j'ai choisi celui qui semblait le plus tenir à moi, le plus présent. On est restés plusieurs années ensemble par la suite. A part ça en général je me fie à mon attirance spontanée et à ce à quoi semble mener la relation. Au fil du temps on fait de nombreuses rencontres et si on est disponible on voit si ça peut marcher ou pas. Regretter une opportunité passée et révolue n'a pas grande utilité mis à part pour réviser sa façon de juger à la rigueur. Les regrets que j'ai pu avoir personnellement sur ce point sont davantage d'avoir essayé avec un homme avec qui ça s'est un peu mal passé, que d'avoir refusé ou rompu, ce que je n'ai jamais vraiment regretté. J'aurais dû davantage le faire.

Les besoins (qui ne sont pas que primaires) sont essentiels à connaître suffisamment et à distinguer des aspirations illusoires ou hasardeuses que peuvent représenter entre autres les envies, les lubies, les caprices, etc...

Effectivement diverses explications sont envisageables. Un désintérêt ou la crainte d'être indiscret en posant des questions personnelles, ou bien en s'immisçant sur des sujets d'ordre privé ou susceptibles de soulever des désaccords... Ou encore peu d'occasions de discuter au-delà de quelques mots par exemple... En fonction des discussions on peut plus ou moins s'en rendre compte si la personne semble vraiment indifférente, voire n'écoute donc qu'à peine lorsqu'on lui parle de soi (même qu'un peu) et élude grossièrement (ce qui peut s'avérer impoli au-delà d'un certain point). Ou bien si elle est à l'écoute, compréhensive, mais réservée, précautionneuse, voire timide ou peu disponible. Et parfois parler de soi est une perche tendue à l'autre pour qu'il puisse parler de lui en retour sans le lui demander directement, mais pas toujours.

Oui, je base beaucoup ma mentalité et mon mode de vie sur ma foi, sur la spiritualité. Donc quelque part je suis influencée dans mes choix d'activités, y compris pour le week-end, par ça... Le respect de la vie avant tout, les soins du corps, l'entretien des relations, les responsabilités personnelles, etc... (Attention, il y a menace d'attentats à l'encontre des chrétiens entre autres actuellement.)

Un peu oui.

Oui, en effet.

Oui, j'espère pouvoir y retourner un de ces quatre. Ces derniers temps je profite du week-end pour récupérer et dormir un peu tard, mais un jour prochain ce sera peut-être différent. Aujourd'hui j'ai vu la messe de Pâques aux infos, j'ai beaucoup aimé...

J'adorerais avoir le temps pour ça. Que de bons souvenirs d'enfance et autres, un peu comme un rêve éveillée pour moi... Voir ma famille, mes amis, faire du sport, avancer dans mon travail, faire la fête pour décompresser...

Cetains points de vue sont conciliables, réciproquement enrichissants, d'autres démontrent la fausseté du point de vue opposé... Ou encore les deux, ils s'enrichissent par leurs vérités respectives et rectifient leurs erreurs partielles... Cela dit un point de vue contient toujours une certaine utilité, une part de connaissance, mais certains sont quand-même extrêmement erronés, et d'autres pas du tout (même si leur connaissance du sujet reste partielle) évidemment. D'ailleurs avoir conscience de l'éventuelle incomplétude de son point de vue sur le sujet contribue à sa justesse.

Oui, tout à fait, une certaine gravité est signe d'intelligence à mes yeux. Non pas que la gaieté ou la mièvrerie me semblent forcément niaises, heureusement que non, mais au-delà d'une certaine mesure si.

Un jour quelqu'un m'a dit que j'étais comme un pot de fleurs sur une cheminée... (Mais je n'aime pas les cheminées en général par contre, trop tristes à mes yeux.)

Pour moi la sexualité est normale à la base, et je suis indépendante donc si je vis une liaison, j'aime la liberté qu'on est censé avoir respectivement de continuer à se fréquenter ou pas. C'est plus romantique et sensé à mes yeux. Et heureusement que toute liaison ne tourne pas forcément très mal, et que bien des gens sont assez raisonnables pour être assez respectueux et détachés, sinon ça n'en vaudrait pas la peine, or les relations amoureuses font justement partie en principe de ce qui peut apporter un peu de bonheur et de plaisir à être ensemble dans la vie, même si c'est juste pendant un temps, des heures, des jours, des mois, ou des années... Et si c'est terminé oui, c'est dans pas mal de cas possible de rester en bons termes ou sans rancune.

J'ai par exemple une chevalière familiale ancienne en or qui m'a été transmise par ma mère.

Personnellement mes états de stress sont provoqués par l'anticipation de tâches (ou d'un ensemble de tâches) difficiles ou présumées difficiles. Ce stress peut être positif pour moi dans le sens où il me booste. Et il peut être négatif dans le sens où il me rend nerveuse et impulsive, voire inquiète.

Quand on débute une relation avec quelqu'un, ce dernier n'est pas obligé de continuer coûte que coûte si finalement la relation ne lui convient pas assez. C'est le principe du vrai consentement mutuel. Et bien des gens, lors d'une relation, considèrent donc que même s'ils essaient que la relation se passe bien, ils sont libres de l'arrêter quand ils le souhaitent, même s'il n'y a eu que quelques rapports sexuels. En clair l'engagement reste alors limité, on n'est pas certains de si on sera ensemble ou pas dans un an, et on l'accepte. Donc à mon avis avec un état d'esprit où à partir du moment où la relation a commencé, elle doit durer, cela ne conviendra qu'avec des personnes particulièrement enclines à l'attachement plus ou moins inconditionnel, or c'est loin d'être l'état d'esprit de tout le monde. Et concernant cet homme, il paraît effectivement capable de se détacher plus ou moins facilement de cette relation, même s'il a été intéressé par deux fois au moins. On peut alors accepter ou pas ce type de "fragilité relationnelle au gré de l'humeur" (au moins au début), en fonction de ses propres attentes, c'est une question de choix.