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ABERNART

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Tout ce qui a été posté par ABERNART

  1. https://www.youtube.com/watch?v=zfwYmaklyFk&feature=share
  2. Bah tiens, c'était son anniversaire hier,
  3. ABERNART

    un jour... un poème

    Homme ! libre penseur - te crois-tu seul pensant Dans ce monde, où la vie éclate en toute chose ? Des forces que tu tiens ta liberté dispose, Mais de tous tes conseils l'univers est absent. Respecte dans la bête un esprit agissant... Chaque fleur est une âme à la Nature éclose ; Un mystère d'amour dans le métal repose : Tout est sensible ! - Et tout sur ton être est puissant![...] Je préfère couper la fin que je trouve un peu moins bonne que les deux premières strophes.
  4. ABERNART

    Les poèmes à se pendre

    Poète, prends ton luth et me donne un baiser ; La fleur de l'églantier sent ses bourgeons éclore. Le printemps naît ce soir; les vent vont s'embraser ; Et la bergeronnette, en attendant l'aurore, Aux premiers buissons verts commence à se poser. Poète, prends ton luth, et me donne un baiser. Poussiéreux et ringard à souhait, j'imagine un bonhomme ivre mort qui le réciterait, c'est assez folklorique.
  5. OVIDE, les métamorphoses, le livre dix est mon préféré, le 11 qui suit est plus mélancolique. Chrétien de Troyes, Erec et Enide, son meilleur roman à mes yeux. Georges Pompidou, Anthologie de la poésie française, c'est mon livre d'initiation à la poésie qui ne me quitte jamais. Histoire de la musique de PAUL DRUILHE, un livre classique d'initiation pour les élèves qui date de 1966
  6. ABERNART

    cadavre exquis poétique

    Chante tes amours un instant Dans ce poème, ma belle fleur; Les refrains cachés de mon cœur, Déclare les à cette dame. - Jeune homme, il est l'heure ! De vous exiler de la prison du malheur.
  7. ABERNART

    La citation du jour

    “Dans l'abîme sans fond mon regard a plongé. De l'atome au soleil j'ai tout interrogé.”
  8. Dieu est donc omniscient et omnipotent. La perfection de sa nature s'exprimera donc nécessairement dans sa Création. Un bref regard sur le monde nous donne pourtant une impression contraire : le mal, l'injustice, la souffrance et l'iniquité semblent régner sans partage. Certaines thèses énoncées par les participants sont assez proches du courant de la phénoménologie. Si on mettait un coup de projecteur sur tout ça ? Disons, donc, que nous sommes au monde avant de nous projeter par la pensée dans l'Univers tout entier. Première distinction importante, on ne doit pas confondre l'ensemble de ce qui existe avec la Terre, le globe terrestre en tant qu'appartenant à un système planétaire et, par extension, tout système comparable. Pour moi, le monde apparaît comme un horizon de sens pour la conscience. C'est-à-dire qu'on refuse de séparer le monde intérieur et le monde extérieur, pour souligner que le monde en général est d'abord cette structure de sens visée par l'homme comme horizon de son action, de ses projets avant d'être un objet de connaissance. L'homme, pour la phénoménologie, n'est pas face au monde, mais il est dans le monde. En effet, la raison, en tant qu'elle vise la totalité, remonte vers l'inconditionné, comme son principe. Ce faisant, elle dépasse le champ de l'expérience possible et, en ce qui concerne par exemple l'idée de monde, tombe dans des contradictions ou antinomies, d'où il apparaît qu'on mélange les termes, monde qui représente l'ensemble des choses qui sont connues par les sens, et l'Univers comme ensemble des réalité intelligibles que l'esprit peut saisir, tout cela, considéré dans un milieu matériel et moral. En tant qu'ensemble de tout ce qui existe dans l'espace et dans le temps, on peut aussi bien affirmer du monde qu'il a un commencement dans le temps et qu'il est limité dans l'espace, ou au contraire qu'il est infini aussi bien dans le temps que dans l'espace. Le monde est lié aux productions humaines, aux objets fabriqués de main d'homme, ainsi qu'aux relations qui existent entre ses habitants. Seul l'être humain habite un monde, un séjour stable dont la permanence et la continuité se concrétisent dans des œuvres qui en sont l'expression. Il apparaît donc comme l'ensemble des choses d'une même espèce
  9. On privatise souvent les plages, c'est un phénomène assez répandu pendant les vacances d'été... Il n'est pas question de la vendre. Vous voyez pas l'hyperbole du journaliste qui n'a plus rien à se mettre sous la dent ? 80% de cet article s'efforce d'entretenir des sottises quand on ne s'amuse pas à réveiller en vous la peur qui fait belle place à la théorie du Grand Remplacement on vous fait croire qu'on brade la France aux arabes. Alors qu'en fait, c'est l'histoire d'une famille arabe qui n'en a strictement rien à foutre de la misère dans laquelle son pays s'enfonce : je parle des Droits de la femme qu'on ignore allègrement et des subventions aux terroristes qui les entraîne vers une guerre fratricide.
  10. On parle d'un seul et même truc tout le temps.
  11. Des gens qui voudraient qu'on soit du même avis qu'eux.
  12. Parle à mon cul, ma tête est malade.

  13. Pour se foutre de la gueule de ceux qui le cherchent depuis des siècles.
  14. Des mecs qui parlent pour rien dire, des autres qui vivent dans un concert de rock en permanence
  15. L'ivresse dionysiaque est bien ce moment, où l'identité individuelle se perd, pour se plonger, s'abîmer dans la fusion avec une totalité cosmique en délire. Parce qu'il est un sentiment cosmique, le dionysiaque renvoie à l'essence même du monde de la volonté de puissance : un monde en perpétuel mouvement, en lequel toutes les formes se nouent et se dénouent, se créent et se défont sans cesse. C'est sur ce fond obscur et déchiré que se dessinent les formes lumineuses, aux contours nets et finis, des fictions apolliniennes,
  16. Un petit peu, une année simplement. Je préfère la musique et le cinéma, à la prochaine ! :)
  17. Dans une société traditionnelle, tous les aspects de la vie sont étroitement imbriqués. La religion assure l'unité d'une existence totalement intégrée, et dont le sens n'est pas problématique. La différenciation des institutions est au contraire la caractéristique essentielle du monde moderne. La conséquence de ce mouvement de rationalisation et de différenciation des institutions est la suivante : la religion se trouve progressivement refoulée et n'apparaît plus que comme une dimension particulière de la vie sociale, avec ses propres organes, séparés et spécialisés. Mais on ne peut prendre position sur de telles question sans s’interroger également sur la légitimité d'une culture et d'un ensemble de valeurs, dont la portée universelle est souvent contestée. Mais la laïcité ne se résume pas à cette évolution institutionnelle. C'est également une morale et un idéal, celui de la liberté absolu des consciences. La laïcité républicaine est d'abord, selon Jules Ferry, une difficile ascèse individuelle, fondée sur le premier des devoirs républicain : s'instruire. L'humanisme, le rationalisme et le respect de la libre pensée sont les composantes essentielles de cette philosophie que certains, aujourd'hui, jugent désuète. Le fanatique est celui dont la conviction est telle qu'elle le rend incapable de juger par lui-même, ni d'envisager, voire tolérer, tout autre opinion que la sienne. Cela en fait souvent un combattant... Or, du point de vue religieux, Dieu n'est pas un qu'un principe d'explication du monde, c'est une personne miséricordieuse, objet d'amour. Toutes ces interprétations du phénomène religieux ont en commun d'être réductrices : elles font de celui-ci un symptôme d'autre chose : oppression sociale, domination du négatif ou souvenir traumatique. Chacune de ces réductions est du reste, en théorie, exclusive des autres. Car toute analyse réductrice de la religion a tendance, quelle que soit la pertinence de ses aperçus, à négliger la diversité et la complexité du phénomène religieux, et à sous-estimer la valeur spirituelle de l'expérience religieuse. C'est à partir de l'idée de parfait qui est en nous que Descartes veut prouver l'existence de Dieu : cette idée est une idée innée de notre entendement, claire et distincte, qu'il ne peut pourtant avoir conçue par ses propres forces, puisqu'il est lui-même imparfait. Un être parfait est donc la cause de l'idée de parfait en notre esprit. Dieu est la seconde certitude, dérivée de celle du sujet pensant. Mais le monde aussi pourrait conduire à Dieu, et Descartes a toujours essayé de concilier les intérêts de la science et ceux de la religion : la nature-machine n'implique-t-elle pas un ingénieur divin ? Parce que le monde est un pur mécanisme, il ne saurait exister par lui-même, il est suspendu à la création divine. Il faudrait donc faire naître toute religiosité du sentiment qu'à l'homme de sa finitude et de sa dépendance à l'égard d'une puissance qui le dépasse. L'attitude religieuse par excellence est alors la foi. L'acte de foi a donc rapport à des vérités jugées essentielles, mais mystérieuses, situées au-delà de ce que la raison peut comprendre et qui sont l'objet de révélation. L'homme s'aliène en Dieu parce qu'en lui, il se réalise en un autre imaginaire.
  18. Bonsoir, cette chanson peut apporter beaucoup de réconfort les journées bien ordinaires,
  19. ABERNART

    Capitalisme

    Utilisé dans une perspective critique par le marxisme, le mot capitalisme a fini par avoir des connotations péjoratives : ses défenseurs parlent donc plutôt de libéralisme ou de régime de la libre entreprise. De puissants mouvements politiques altermondialistes contestent les effets du capitalisme dans sa dimension désormais universelle. La crise économique de 2008 apporte de l'eau à leur moulin.
  20. J'en ai marre de dire à mes collègues que "j'vous l'avais bien dit mais vous ne m'avez pas écouté... comme d'habitude !"
  21. ABERNART

    Les musiques de l'ame...

    Pour la paix de toutes les âmes qui cherchent encore la chaleur d'une pensée toujours traversée du souvenir de leur passage,
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