Eventuellement

Bien sûr. L'élément neutre par l'addition dans le corps des réels est le seul élément satisfaisant à l'égalité x = -x.

Si je dis que personne à part moi ne peut être Dieu, Alors je suis Dieu Et cet argument est inattaquable (car je suis Dieu, et ce que je dis est vrai en tout point et en toute chose), Donc, je suis Dieu.

La souffrance peut être nécessaire et parfois pas.

Paroles de bon sens, cher ami...

L'humour est aussi une question d'affinité La plupart des femmes ont un humour radicalement différent que celui de la plupart des hommes ! Par contre, on rit à un certain humour qui n'est pas forcément celui qu'on pratique, et c'est assez complexe. L'humour est une question d'humeur et est avant tout personnelle avant d'être une question de genre, même si je conviens qu'il existe une différence notable de sens de l'humour entre les deux sexes, différence qui provient sans doute en partie de la césure sexuelle qu'impose notre société.

J'ai aussi constaté que les femmes ont en général moins d'humour que leurs homologues masculins. Ce n'est pas forcément un mal, car cela peut permettre de focaliser l'attention sur un enjeu primordial. Là où ça devient gênant, c'est quand c'est symptomatique. En ce qui concerne l'humour de manière générale, il est remarquable que sa qualité se détériore d'année en année. Ou peut-être évolue-t-il seulement ? Je regrette cependant l'époque où on riait plus subtilement de choses et d'autres, et pas seulement de potins ou de blagues de sexe.

Tu penses, chèr(e) ami(e). La vérité est là, ou n'existe pas. Quoi qu'il en soit, elle est bien au-dessus de nous tous...

tu joues si bien le jeu, Nietzsche Junior !! :smile2: Oui, j'ose le croire...

L'autorité est une composante essentielle à la vie en communauté. Nous, humains, sommes formés autour de groupes sociaux. Il y en a à différentes échelles, et cela va de la famille à l'entreprise en passant par les clubs sportifs ou culturels. Ce qui caractérise cependant les groupes sociaux, c'est qu'ils sont structurés, organisés, ce qui se caractérise généralement par un organigramme qui classe chacun des membres du groupe par ordre de subordination. La nécessité du chef provient ainsi d'une part de la volonté d'obtenir pour le groupe un organe décisionnel principal afin d'éviter les conflits ou les réunions décisionnelles qui durent des plombes car chacun veut asseoir son pouvoir, ce qui se produit quand l'autorité est diluée au sein des membres et qu'il n'existe aucun chef apparent. Des études sociologiques ont montré que parmi les jeunes garçons (tout comme chez certaines tribus de singes), l'absence de chefs menait à une guerre de pouvoir. Quand un individu parvient enfin à gravir les échelons et se faire respecter, les autres s'adoucissent et le suivent. L'Homme fonctionne dans un système de leadership, où le meilleur est une solution préférable pour l'ensemble du groupe. Il y a ainsi connivence de rôles entre le chef et ses subordonnés, entente sans laquelle nulle avancée ne serait possible. En théorie du travail, on appelle cela le management vertical. D'autre part, il s'agit de donner une cohérence au mouvement, une base autour de laquelle se réunir. Si le chef joue le rôle d'un leader, il est aussi une image et un exemple pour le reste des personnes, une sorte de père, un patron. C'est celui qui sait maintenir l'ordre, car le désordre est une dissipation d'énergie et de moyens. On perd à la fois en efficacité et en efficience... Même en thermodynamique, c'est vrai.

L'échantillon n'est pas représentatif, Savonarol ! (oui, Zenalpha, je m'excuse :smile2:)

Souvent, dans ce monde, le résultat compte plus que les moyens fournis pour y arriver. Parfois, on peut vouloir bien faire et arriver à un résultat médiocre, on peut vouloir aider et finalement se montrer maladroit(e), malgré la bonne intention qui guidait le geste. La personne d'en face peut bien recevoir la tentative, peut tout aussi bien déplorer l'échec et dans le pire des cas, se montrer agacée. Notre monde est ainsi fait, d'une diversité d'individus et de personnalités. Et il n'est pas possible d'exiger de l'autre qu'il comprenne qu'au fond, l'acte partait d'une bonne volonté. Pour creuser un petit peu du côté de l'acte désintéressé : Vivre sans se poser de questions, c'est avant tout vivre pour soi, sans chercher à faire plaisir, sans agir à l'usage des autres (on attend presque toujours une contrepartie, que ce soit un sourire, un mot de remerciement, une bonne pub/réputation, compensation financière, ... voire même le simple plaisir de se dire que l'on a fait quelque chose d'utile mais même ceci n'est pas sans intérêt), sans rien attendre en retour car ses propres actes seront indépendants de la volonté des autres. Il s'agit d'une tâche difficile. Est bien rare celui ou celle qui arrive à commettre l'acte désintéressé.

Tu as tout à fait le droit d'aller à l'Université à 36 ans...

Il est courageux de ta part d'avoir continué, ézîa. Est-ce que tu as entrepris de lutter contre tes agresseurs ?

À cause de toi, je devrai à nouveau noyer ma tristesse dans de la Byrrh fraîche...

Si tu regardes un film pour la qualité graphique, je trouve ça bof bof... On pourrait très bien faire un remix de la trilogie (qui serait bien plus jolie avec de beaux effets spéciaux, des techniques de tournage modernes et tout) que ça ne serait sans doute pas aussi réussi cinématographiquement parlant.

Et n'oublie pas d'aller lire "Un roi sans divertissement" de Jean Giono :) Au revoir

Je te conseille cette lecture qui peut s'avérer aussi intéressante qu'un essai philosophique. La portée est elle-même la même que celle d'un essai.

Salut Rom427, Est-ce que tu as lu "Un roi sans divertissement" de J. Giono ?

Je pense que Titsta reprend essentiellement tes propos. Je devine qu'il y a eu pas mal d'accrochages entre vous... Et je trouve ça agaçant de vous voir monter sur vos grands chevaux car vous entretenez des a priori sur les personnalités de l'autre... Yardas n'est pas exempt de tout reproche non plus. Le viol peut surgir de causes extrêmement diverses et variées. Ce serait faire un raccourci particulièrement débile que de dire qu'il n'est motivé que par une seule chose (la frustration sexuelle pour l'un, la volonté de dominer pour l'autre, et le second est bien souvent un corollaire du premier). Il ne prend pas exclusivement ses racines dans la vision sociétale d'une femme objet, car de nombreux hommes peuvent avoir été victimes d'un viol commis par un autre homme. Ce n'est pas non plus seulement la volonté d'humilier l'autre, bien que dans la plupart des cas il y ait cette composante qui rentre en jeu (notamment dans les cas de viols publics ou des viols en groupe). Le problème est réellement bien plus complexe que ça.

:D

C'est juste qu'elle avait rien d'autre à lui dire pour lui faire comprendre qu'il était indésirable...