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Oui copier/coller par paresse, et par souci de rapidité. Après avoir fait une école de commerce, j'ai pratiqué la fiscalité pendant 40 ans. Votre charabia est consternant. Puisque vous mettez en doute Wikipédia, allons à la source de la source, un site officiel et de bonne qualité de surcroit : "Impôts locaux | service-public.fr Ces impôts locaux sont d'une part la taxe d'habitation, la taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties et les taxes annexes payées par les propriétaires et les locataires telles que la taxe d'enlèvement des ordures ménagères ou encore la taxe de balayage ; et d'autre part, la contribution économique ...2 mai 2018" Votre incompétence, votre inculture fiscale, n'a d'égale que votre grossièreté. La grossièreté, comme la violence, est l'argument de ceux qui n'en ont pas.
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Comparatifs du temps de travail pour acheter une baguette: En 1970, le smic est à 3.27 Fr. Divisé par 60 mn, cela fait 0.0545 Fr La baguette est en moyenne à 0.57 Fr. 0.57 Fr / 0.0545 = 10.45 mn de travail. En 1980, il faut 7.26 mn pour acheter une baguette. En 1990, 6.28 mn suffisent. En 1998, on passe à 6.04 mn. En 2010, on passe en dessous des 6 mn avec 5.85 mn pour pouvoir apporter une baguette sur la table. NB: En 1970, le smic correspondait à 42 heures de travail par semaine. En 2010, on est à 35 heures. Si on calculait au nombre d'heure travaillées, la différence serait encore plus prononcée. Depuis le 12 août 1978, les prix du pain sont complètement libres. Si le prix de la baguette était encore réglementé, elle serait passée à 1,25Є au 1er janvier 2011. (Source : Boulangerie.net - Etude BoulangrieNet © 2011 ) La réalité se mesure, ce n'est pas une vague impression, un sentiment. C'est un fait, les chiffres traduisent la réalité et non pas une vague impression, un sentiment non mesurable.
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J'ai écrit ce qui suit en 2007. C'est un peu long mais je crois nécessaire pour certains qui n'ont pas connu les anciens francs et qui en sont, paradoxalement, nostalgique : "Nostalgie du franc ? Et, pourquoi pas de l’Ancien Franc ? Certains sont en âge, comme moi, malheureusement, de se souvenir de nos bons vieux « anciens francs ». Mais, au fait, pourquoi les avions-nous quittés ? Pour dévaluer me répondrez-vous. D’accord, mais on avait dévalué avant, et l’on a dévalué après. Mais au fait (encore !), pourquoi dévaluait-on ? A cause de l’inflation me répondrez-vous. C’est vrai qu’en ces temps là, l’inflation était fréquemment à 2 chiffres, 10% et plus, jusqu’à près de 14% l'an, mazette ! Ce qui signifie qu’à 10 %, ce qui coûtait 1000 francs anciens, en début d’année, en coûtait 1100 à la fin de l’année. Évidemment, les salariés ne pouvaient accepter une telle dégradation de leur pouvoir d’achat. Ils réclamaient, à juste titre, une augmentation de salaire, qu’ils finissaient par obtenir. Les salaires sont une partie significative des coûts de production des biens et des services ; l’augmentation des salaires entraînait une augmentation des prix de revient. Pour ne pas être amené à travailler pour rien, et voire, moins que rien, c'est-à-dire à perte, et donc rapidement, à faire faillite, il fallait bien augmenter le prix de vente, donc créer de l’inflation. Aie ! Voilà le chien qui se mort la queue ! Mais, ce n’est pas tout ! A cette époque, je me souviens qu’une Renault 4 CV coûtait 500 000 francs (toujours anciens). Imaginons qu’au début de l’année, Fiat, Volkswagen, Austin produisaient une voiture concurrente, au même prix. Admettons, pour la démonstration, que l’inflation dans ces pays était nulle ou très faible (ce qui était le cas de nos voisins allemands). Voilà qu’à la fin de l’année, la 4 CV valait 550 000 anciens francs ; 10% plus chère que les voitures concurrentes. Évidemment, il était préférable de choisir ces dernières. Catastrophe, si nos usines ne vendent plus de 4 CV, il devient inutile d’en fabriquer. Le spectre du chômage pointait le bout de son nez, la récession, le marasme…Il fallait faire quelque chose et vite ! Alors, on décidait arbitrairement de dévaluer notre monnaie. Ainsi, s’il fallait 1 DM pour acheter 500 anciens francs, il fallait, à un allemand, 1000 DM pour acheter une 4 CV en début d’année. Un an après, du fait de l’augmentation des prix en France, il lui fallait 1100DM. Mais si le franc était dévalué de 10 %, alors avec 1 DM il pouvait acheter 550 anciens francs. Il ne fallait plus que 1000 DM pour acheter 550 000 francs, donc pour qu’il se paye une 4 CV. Le tour était joué, nos produits étaient redevenus compétitifs. L’activité économique était relancée. Hélas, cela ne durait que quelques mois. En effet, si nos produits étaient moins chers car il fallait moins de monnaies étrangères pour acheter des francs, à l’inverse il fallait plus de francs pour acquérir les devises étrangères. De ce fait, les matières premières que nous étions obligés d’acheter et de payer en dollar, pour produire nos biens exportables et consommables en France, nous coûtaient plus chers. Augmentation des prix de revient, augmentation des prix de ventes, donc inflation, donc perte de pouvoir d’achat, donc augmentation des salaires, donc augmentation des coûts, donc perte de compétitivité et … dévaluation. Bien sûr, nous n’étions pas les seuls à pratiquer de la sorte. L’Italie, l’Espagne, pour vendre fruits et légumes, production industrielle, faisaient la même chose. Les dévaluations créaient ainsi une concurrence anarchique et stérile, la dévaluation de l’un étant contrée par celle des autres. De dévaluation en dévaluation, les centimes d’anciens francs ne permettaient plus d’acheter quoique que ce soit. Aussi, avons-nous, à l’occasion d’une énième dévaluation, divisé notre ancien franc par 100, pour en faire naître un nouveau, pour éviter de nous retrouver dans la situation de l’Allemagne d’avant guerre, où les ménagères dépensaient des millions de Marks pour faire leurs courses quotidiennes. (Inflation en Allemagne en 1921, 60 %, en 1922, 5 300%, non il n’y a pas de faute de frappe, et en 1923 de 16 580 000 %), Et alors, et alors…. L’Europe est arrivée… le Serpent Monétaire Européen, l’Ecu, et puis l’Euro. Quelle serait la situation du franc aujourd’hui s’il n’y avait pas eu le Serpent monétaire, limitant la fluctuation des monnaies européennes dans des limites étroites, puis l’Euro qui l’a totalement supprimée ? Quelle serait sa valeur par rapport au dollar ? Tiens, je vais faire plaisir à Jean-Marie Le Pen, je vais citer Philippe Pétain : « Français, vous avez la mémoire courte »."
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Inflation comparée par décennies de 1960 à 2010 : Années 60 :49 %; années 70: 156 % (1er choc pétrolier); années 80 : 84 % (années Mitterrand); années 90 : 18,50 % (en gros, les dernières années du FRANC, années ECU et SME, préparation du passage à l’Euro); années 2001 à 2010 : 18,50% (premières années EUROS); 10 dernières années : 13 % CONCLUSION : Les chiffres ne font pas de sentiments.
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Les deux meilleurs "banquiers" que nous ayons eu s'appellent Mitterrand et Sarkozy
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Pour être exact "le foncier "fait partie des "Impôts locaux" qui sont composés de : la taxe foncière sur les propriétés bâties ; la taxe foncière sur les propriétés non bâties ; la taxe d'habitation ; la contribution économique territoriale (CET), qui a remplacé la taxe professionnelle depuis 2010. Elle est composée de la cotisation foncière des entreprises (CFE) assise sur les bases foncières et de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) assise sur la valeur ajoutée ; la redevance des mines ; l'imposition forfaitaire sur les pylônes. Elles peuvent, en outre, instituer les taxes facultatives suivantes : la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (n'est pas considérée comme un prélèvement obligatoire) ; la taxe de balayage, lorsqu'elles assurent le balayage de la superficie des voies livrées à la circulation publique qui incombe aux propriétaires riverains. les taxes spéciales d'équipement perçues au profit des établissements publics ; la taxe de trottoirs ; la taxe pour la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations. (Sources : mes souvenirs avec le secours de Wikipédia) Quand on veut s'exprimer sur un sujet, mieux vaut le connaître afin de ne pas dire de sottise. A défaut, tout ce que vous pourrez écrire ne sera plus pris au sérieux. Et compte-tenu de la médiocrité de vos arguments, qui se résument en quelques injures et grossièretés, vous n'avez pas besoin de ça !
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Il f
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Il y a quand même des intervenants sensés sur ce forum, avec des arguments. C'est autre chose que les répéteurs de slogans. Monsieur Poutine aussi fait beaucoup de bien à l'Europe en occupant deux provinces en Géorgie depuis 2008 et deux autres en Ukraine depuis 2014, en annexant la Crimée, en survolant les pays baltes avec ses bombardiers, en faisant le tour de l'Europe de temps en temps avec les mêmes bombardiers, en soutenant Bachar pour conserver une grosse base militaire en Méditerranée au Sud de l'Europe Cela dit, et pour revenir au sujet, cessez de vous quereller sur le prix des choses. Chargez sur vos smartphones un convertisseurs francs euros qui prend en compte l'érosion monétaire, celui de l'INSEE par exemple, et servez-vous en en allant faire vos courses.
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Le dumping c'est aussi la Chine et quelques autres qui a ma connaissance de font pas partie de l'UE.
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Vous n'avez rien vu ! On était libre de rien. Je sais"j'y étais !". Sans l'UE, il y a longtemps que nous serions les pions des USA. C'est déjà en grande partie vrai, mais il est encore temps. La France compte au sein de l'Europe. L'Europe compte dans le Monde trop peu par rapport à sa vraie force. L'Europe si elle est unie, fédérée, comptera obligatoirement dans le Monde et comme la France compte en Europe, la France continuera de compter dans le Monde avec ses partenaires et contre les dictats des USA, les menaces de la Fédération de Russie et les appétits capitalistiques de la République Populaire de Chine qui n'a plus grand chose de communiste. Quand aux allemands, ils n'étaient pas si chauds que ça pour abandonner le puissant deutschemark. Le dumping social au sein d'une Europe fédérée pourra être limité, jugulé. Lutter contre le dumping social de la Chine par des pays européens isolés est vain, unis ils peuvent là encore peser dans la balance? L'union fait la force, ce n'est pas d'hier. Diviser pour régner, non plus, et c'est que souhaites nos amis Trump, Poutine et Xi.
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Merci de donner les référence du texte !!! Mais aussi et surtout pour payer les intérêts de la dette et son "remboursement". Sans omettre, en ce qui me concerne, que transformer une élection de députés européens en référendum anti-Macron c'est la transformer en un référendum pro-Trump-Poutine-Xi !
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Vous n'avez pas bien lu. Nous n'étions maître de rien. L'inflation, les dévaluations successives, la spéculation ballotaient nos monnaies et surtout , surtout, surtout ... le franc. Inflation comparée par décennies de 1960 à 2010 : Années 60 :49 %; années 70: 156 % (1er choc pétrolier); années 80 : 84 % (années Mitterrand); années 90 : 18,50 % (en gros, les dernières années du FRANC, années ECU et SME, préparation du passage à l’Euro); années 2001 à 2010 : 18,50% (premières années EUROS); 10 dernières années : 13 % CONCLUSION : Les chiffres ne font pas de sentiments.
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Alors j'explique ... J'ai le triste privilège d'être parmi les vieux qu'on de l'âge (attention à l’orthographe !). Jeune, je me souviens lire les titres des journaux "le franc est attaqué" (par la finance "internationâllle", ajoutait Georges Marchais),"le franc ne sera pas dévalué" disait le gouvernement en place, « la Banque de France défend le franc", titraient les journaux. La Banque de France vidait ses réserves de Dollars, de Yens, de Deutschemarks, de livres sterlings puis une fois tout épuisé, le gouvernement annonçait "le franc est dévalué". Où était alors la maîtrise de notre monnaie, notre souveraineté face à la finance "internationâllle" ? La dévaluation entraînait l'inflation (143% en 10 ans dans les années 70, moins de 12% ces 10 dernières années!), pour lutter contre l'inflation, la Banque de France augmentait les taux du crédit (jusqu'à 17%, contre en moyenne 1.30 % aujourd'hui !), le pouvoir d'achat en prenait un coup, la récession menaçait, les spéculateurs anticipaient une prochaine dévaluation, ils "s'attaquaient au franc". C'était la spirale dévaluation-inflation - hausse des taux d'intérêt - récession - spéculation - etc. ... (Source : mes souvenirs) Oui, " mais ça, c'était hier" comme dit la pub ! Alors, aujourd'hui, où est la souveraineté du Royaume-Uni qui, bien il ait gardé sa monnaie, connaît depuis qu'il a opté pour le Brexit, une dépréciation (=dépréciation subie, non maîtrisée, involontaire) de sa monnaie, une inflation incontrôlée (multipliée par 10) ? Sans compter la mise en place depuis 2017, et l'annonce de la poursuite pour plusieurs années, d'un budget d'austérité, d’une politique de rigueur, alors que selon les tenants du Frexit c'est pour échapper à cela qu'il faut sortir de l'UE et de l'Euro. (source : la presse britannique).
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Parce qu'il y a eu des promesses électorales à tenir, comme en 1981, et à chaque élection suivante.
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Les USA sont loin d'être une fédération de 50 états de même niveau de vie (voir la carte jointe). Je n'ai rien trouver pour les 85 sujets de la Fédération de Russie mais je suis prêt à parier qu'il y a des écarts de niveau de vie considérable entre la Crimée, récemment annexée et le Kamtchatka.
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Et c'est bien comme ça qu'il faut voir les choses. Je viens de vous lire attentivement. Ce qu'exprime Crabe fantôme est argumenté, construit. Même si on n'est pas d'accord, ses arguments sont étayés. Ses détracteurs sont plutôt dans le slogan et souvent pas très cohérents avec eux-mêmes. J'ai quelquefois la tentation de leur répondre, mais Crabe Fantôme le fait mieux que moi. Alors qu'il le sache, il n'est pas le seul à penser comme lui !
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Oui elle n'est pas viable en l'état. Pour que de telles dérives ne se produisent plus il faut faire non pas une "union" mais une fédération qui aura des pouvoirs étendus sur des domaines comme la politique extérieure, la défens, le commerce extérieur et d'autres. La dette française n'est due qu'à la France et à ses dirigeants, ceux que nous avons choisi depuis 40 ans ! l'Europe n'a rien à voir avec notre dette, si ce n'est à nous inciter à être moins dépensier.
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Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
pluc89 a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Politique
...fiscale j'espère. préparer, ne serait-ce qu'un BTS de comptabilité, c'est aussi acquérir des connaissances en droit commerciales, des sociétés, en droit social, en organisation, en économie d'entreprise et en économie politique, en informatique, et j'en oublie certainement. -
Et pour ne plus être un "nain", il faut grandir,grandir pour être fort et l'UNION fait la force. A 27 on est plus fort que seul. Mais il faut une véritable union, pas une addition d'individualités.
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le sujet est : Elections européennes ou référendum ?
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Je pensais plus particulièrement aux "supérieurs hiérarchiques", aux préfets sans préfectures, aux ambassadeurs et ambassadrices sans ambassades (ou bien celle des pôles, en attendant la prochaines ambassades des tropiques).
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Plus je vous lis,et moins je crois !
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Réduire la dépense publique C'est Clemenceau Georges, déjà cité plus haut qui disait encore :" Les fonctionnaires, c'est comme les livres d'une bibliothèque, plus ils sont hauts placés, moins ils servent". Après le 50/50 de Sarko, je vous propose le 20/80 : on supprime 80% des postes des 20 % de fonctionnaires les plus hauts placés donc les mieux payés.
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Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
pluc89 a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Politique
Si on en revenait au sujet : Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi» -
Oui c'est à ce niveau qu'il faut placer la politique, en prenant en compte la globalisation des problèmes, en allant voir un peu plus loin que le bout de son nez. Quand on vote aux municipales, on choisit la politique de notre ville, quand on vote aux départementale ou aux régionales, on choisit une politique locale. Quand on vote pour choisir des députés, on choisit pour une politique nationale, mais il faut alors prendre en compte la place de ce choix dans un contexte international. Et c'est encore plus vrai quand on choisit des députés européens, même s'ils n'ont encore que peu de pouvoir.